Sports professionnels à Montréal - Actualités

Discussion sur le sport professionnel à Montréal

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Après le hockey, le soccer professionnel se jouera au féminin à Montréal à partir de 2025.

La métropole québécoise imite Vancouver, Calgary, Toronto et Halifax, ainsi qu’une autre ville qui sera annoncée dans les prochaines semaines, pour former la nouvelle ligue féminine au pays, dont le coup d’envoi est prévu pour 2025.

La fondatrice du groupe Project 8, la double médaillée olympique Diana Matheson, affirme qu’elle ne pouvait imaginer que le Québec soit exclu de la première saison. Deux entrepreneurs québécois, Isabèle Chevalier et Jean-François Crevier, ont exaucé son souhait.

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Le propriétaire de la nouvelle équipe de la WNBA de Toronto a mentionné que l’équipe jouera des matchs à Montréal et Vancouver, car ce sera l’équipe du Canada

https://www.sportsnet.ca/wnba/video/toronto-wnba-franchise-will-also-play-games-in-vancouver-and-montreal/

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Résumé

Grand Prix du Canada Le transport collectif d’abord, les entraves routières limitées au maximum

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

La rue Crescent sera fermée aux voitures et piétonnisée dès 16 h, ce mardi, et ce jusqu’à la fin du Grand Prix.

À l’aube du week-end du Grand Prix de Formule 1 du Canada, où plus de 100 000 personnes par jour sont attendues de vendredi à dimanche, l’administration Plante réitère son appel à l’utilisation du transport collectif. Partout sur l’île, les entraves routières seront néanmoins limitées au maximum.

Publié le 4 juin

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Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

C’est ce qu’a annoncé mardi le porte-parole administratif de la Ville de Montréal, Philippe Sabourin, et le porte-parole du ministère des Transports et de la Mobilité durable (MTMD), Martin Girard, qui ont tenu un point de presse sur la rue Crescent, l’épicentre des activités entourant le Grand Prix dans la métropole.

« On s’attend à avoir beaucoup de monde au centre-ville en fin de semaine, dans un secteur avec une forte concentration de chantiers, donc on demande vraiment aux gens d’opter pour le transport actif ou collectif », a indiqué d’emblée M. Sabourin.

Il a prévenu qu’aucun espace de stationnement ne sera disponible sur les îles Sainte-Hélène et Notre-Dame, à l’exception des clients du casino et des détenteurs de passe VIP. « Oubliez ça. Vous ne trouverez pas de stationnement », a insisté M. Sabourin, en précisant que les automobilistes ne détenant pas de tels billets pourraient être refoulés à l’entrée des îles.

La Société de transport de Montréal (STM) bonifiera son service sur la ligne jaune. Un « achalandage accru » est attendu aux stations Berri-UQAM, Jean-Drapeau et Longueuil-Université-de-Sherbrooke, prévient le transporteur, qui n’autorise pas les vélos ou les chiens à bord durant la fin de semaine.

Sur le réseau routier, un haut débit est attendu sur le pont Jacques-Cartier, où le trottoir demeurera fermé entre l’île Sainte-Hélène et Montréal pour des travaux. Une forte présence policière sera sur place.

Le moins de travaux possible

Au cœur de la ville, la rue Crescent sera fermée aux voitures et piétonnisée dès 16 h, ce mardi, et ce jusqu’à la fin du Grand Prix. Durant le week-end, il en sera de même pour le boulevard Saint-Laurent, dans la Petite Italie, entre les rues Beaubien et Jean-Talon. La rue Peel ne sera toutefois pas piétonnisée cette année.

Montréal limitera les travaux sur la voie publique, en n’octroyant aucun nouveau permis de chantier pendant la fin de semaine. Les travaux déjà en cours, comme sur le pont de la Concorde, la rue McGill ou encore l’autoroute Bonaventure, se poursuivront.

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

Philippe Sabourin et Martin Girard

Québec, de son côté, assure qu’aucune entrave majeure ne sera en place, à l’exception des grands chantiers comme celui du tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine. La plupart des grands axes comme l’autoroute Métropolitaine, ainsi que les autoroutes 10, 20 et 30 ou le corridor de la 15 entre Mirabel et Montréal, seront libérés. Les travaux entourant la réfection du pont d’étagement Saint-Laurent, eux, se poursuivront.

« On sait que les gens ne viennent pas que de l’île et même pas seulement du Québec, donc on s’assure que tous les axes principaux autour de l’île soient disponibles », a assuré Martin Girard.

L’Escouade mobilité de la Ville surveillera de son côté les « chantiers fantômes », soit les travaux en place qui ne sont pas en activité, afin de les démobiliser au besoin. « Ce n’est pas acceptable », a dit M. Sabourin, en notant que Montréal démonte maintenant systématiquement un chantier au bout de cinq jours d’inactivité.

Vendredi dernier, l’un de ces « chantiers fantômes » avait été désinstallé au coin de la rue Saint-Antoine et de la place Jean-Paul-Riopelle, après un signalement effectué par le président et chef de la direction de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain (CCMM), Michel Leblanc.

Les taxis illégaux sous surveillance

La Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ) a annoncé mardi que ses contrôleurs routiers mèneront « une opération visant le transport rémunéré de personnes » du 6 au 9 juin, dans la région de Montréal et ses environs. Tout chauffeur de taxi illégal sera passible d’une amende pouvant aller de 250 $ à 5000 $. Les récalcitrants risquent la saisie immédiate de leur véhicule, a rappelé la SAAQ. Depuis un moment, le phénomène des taxis non homologués s’accentue dans la métropole, en particulier dans le secteur de l’aéroport Montréal-Trudeau.

En savoir plus

  • 80 millions
    C’est l’équivalent des retombées économiques du week-end du Grand Prix de Formule 1 à Montréal, qui génère environ 900 emplois au passage.

Source : Ville de Montréal

https://www.lapresse.ca/actualites/circulation/2024-06-04/grand-prix-du-canada/le-transport-collectif-d-abord-les-entraves-routieres-limitees-au-maximum.phpÀ l’aube du week-end du Grand Prix de Formule 1 du Canada, où plus de 100 000 personnes par jour sont attendues de vendredi à dimanche, l’administration Plante réitère son appel à l’utilisation du transport collectif. Partout sur l’île, les entraves routières seront néanmoins limitées au maximum.

J’ai ouvert ce fil parce qu’en fouillant le forum avec le moteur de recherches il n’y avait à mon grand étonnement aucune référence au Grand-Prix du Canada, qui comme tout le monde le sait se déroule à chaque année à Montréal. Où est l’historique et les publications à propos du GP qui devraient être regroupés dans un fil dédié?

Départ cahoteux pour les amateurs de Formule 1 : un orage, la construction dans les rues et un arrêt de service dans le métro ont assombri la deuxième journée des festivités du Grand Prix du Canada, vendredi à Montréal. Malgré tout, de nombreux amateurs ont pris d’assaut les rues du centre-ville.

Résumé

Grand Prix du Canada De l’eau dans le gaz des festivités

PHOTO ROBERT SKINNER, LA PRESSE

Festivités du Grand Prix de Formule 1 de Montréal sur la rue Crescent

Départ cahoteux pour les amateurs de Formule 1 : un orage, la construction dans les rues et un arrêt de service dans le métro ont assombri la deuxième journée des festivités du Grand Prix du Canada, vendredi à Montréal. Malgré tout, de nombreux amateurs ont pris d’assaut les rues du centre-ville.

Publié à 1h52 Mis à jour à 5h00

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Samira Ait Kaci Ali
Samira Ait Kaci Ali La Presse


Anaïs Desjardins
Anaïs Desjardins La Presse


Megan Foy
Megan Foy La Presse

« Cette année, à cause de la pluie, c’est un peu plus tranquille », a noté Fabien Pilon, vendeur dans un magasin de marchandise officielle de l’évènement rue Sainte-Catherine pour la deuxième année.

L’année passée, Fabien Pilon a parfois terminé de travailler vers « 1, 2 h du matin » en raison de l’achalandage du commerce. S’il reconnaît que la pluie a un effet à cet égard, celui qui se décrit comme un « fan » de la Formule 1 ne tire pas moins de plaisir de l’évènement.

Les commerçants rencontrés par La Presse dans les rues Peel, Crescent et Sainte-Catherine ont d’ailleurs tous affirmé avoir moins de clients que l’année dernière en raison de la pluie et des travaux.

Cela dit, « quand il fait beau, c’est comme l’année passée : le monde tripe, c’est le fun, il y a les autos dans les rues. C’est comme le party un peu », tempère M. Pilon.

Les amateurs sont d’accord. « Le Grand Prix, c’est comme Noël ou l’Action de grâce », explique Brent Patterson. Il s’est retrouvé au Ziggy’s Bar, rue Crescent, avec ses amis Adrien Vigneault et Steve Lapointe, ne pouvant pas se rendre sur le circuit en raison de l’orage.

Les murs du bar exposent notamment les uniformes de Jacques Villeneuve, Fernando Alonso, une casquette Hamilton. L’ambiance y est chaleureuse et conviviale. Le propriétaire depuis plus de 30 ans, Ziggy Eichenbaum, connaît presque tous les clients présents. Le Grand Prix est une grosse semaine. Il y enregistre une hausse des ventes de 80 %.

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La construction dérange

Le constat n’a pas été le même pour les restaurateurs de la rue Peel : une baisse importante d’achalandage se faisait déjà ressentir… à cause de la construction.

Jeudi, Jorge Ferreira, propriétaire du Café Vasco da Gama, avait anticipé les contrecoups du chantier de construction au coin des rues Peel et Sainte-Catherine. Par rapport à la même journée l’an dernier, il a observé une baisse d’environ 40 % de l’achalandage.

Cette année, les commerçants de la rue Peel n’ont pas obtenu les permis nécessaires à la mise en place habituelle du Peel Paddock en raison des travaux de réaménagement qui ont lieu depuis mars.

« C’est habituellement le plus gros week-end de l’année, même plus que Noël », dit-il en présentant la terrasse vide de son café, en pleine heure du dîner. M. Ferreira est d’avis que cette année sera différente, en raison de l’absence des attractions qui animent habituellement la rue.

Véronique Auger, nouvelle amatrice de Formule 1, visite la rue Peel pour la deuxième année pendant le week-end du Grand Prix. Cette année, elle a amené avec elle deux de ses amies.

« On a vite décidé d’aller sur Crescent, car il n’y avait rien sur Peel à part les restaurants à cause de la construction », dit-elle.

Même son de cloche auprès de la nièce de Jorge Ferreira, qui est aussi la directrice générale du restaurant Ferreira, situé quelques pas plus loin. « Les gens ne sont pas fâchés contre nous, heureusement, mais ils sont juste déçus pour Montréal », estime Sandra Ferreira.

La terrasse du restaurant Iberica est quant à elle passée de 50 à 20 places cette année, explique le gérant, Christopher Ramirez.

Selon Alain Creton, propriétaire de la brasserie parisienne Alexandre et Fils depuis 47 ans, la situation pourrait être bien pire. « On pourrait être négatifs, mais on a du monde et c’est tout ce qui compte. »

Frustration dans le métro

En après-midi, la Société de transport de Montréal (STM) a dû fermer l’accès à la station Jean-Drapeau, sur l’île Sainte-Hélène, durant 45 minutes, en raison de l’orage violent. Un message diffusé dans le métro annonçant erronément l’annulation des activités du Grand Prix a semé la confusion.

À la station Berri-UQAM, des centaines de partisans s’entassaient devant les escaliers roulants menant à la ligne jaune.

« On est frustrés, c’est sûr », a lâché Alexandra Lehouiller, qui avait acheté son billet la veille « à la dernière minute » pour assister à la première séance d’essais libres sur le circuit Gilles-Villeneuve.

« On était prêts, on aurait supporté la pluie, on a nos parapluies », a-t-elle ajouté.

« J’espère qu’ils vont nous laisser passer à un moment donné, parce que si on compare avec le samedi de l’année passée, il y avait beaucoup plus de pluie », a déclaré Gabrielle Tanguay, qui assistera au Grand Prix pour la deuxième année d’affilée.

« Certains spectateurs ont eu pour réflexe de se réfugier à la station Jean-Drapeau pour se protéger de la pluie sans toutefois prendre le métro », a expliqué la STM dans une déclaration écrite pour expliquer la fermeture. « Face à cette situation, la STM a pris la décision de diffuser un message sonore dans les stations Jean-Drapeau et Berri afin d’éviter que la foule à la station Jean-Drapeau gagne en importance et ainsi éviter que la fluidité en station soit compromise, créant ainsi un enjeu de sécurité. »

Vers 13 h 05, les amateurs de Formule 1 ont retrouvé l’accès au parc Jean-Drapeau et le circuit Gilles-Villeneuve a commencé à accueillir les gens à 13 h 25.

Je tiens à faire une petite mise au point. Je publie les nouvelles sur le Grand-Prix du Canada parce que c’est un événement important pour Montréal. Toutefois cette industrie irrite fortement mon côté écologique et environnemental et je ne suis certainement pas le seul. Ce qui finira bien par obliger la communauté internationale à essayer sérieusement de trouver des solutions pérennes, afin de diminuer le désastreux impact environnemental de ces courses à travers le monde.

Une réflexion qui devra s’imposer pour que la Fête soit vraiment réussie et cela le plus possible en accord avec le développement durable. Bien sûr il y a beaucoup de chemin à parcourir. Cependant le premier pas doit être la prise de conscience générale, autant de la part des dirigeants que du public, de la nécessaire réforme en appliquant des normes de plus en plus exigeantes à respecter et des compensations carbones à débourser comme pour toutes les entreprises énergivores dans le monde.

Une question de logique et d’équité envers tous ceux et celles qui font déjà leur part pour sauver la planète.

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Week-end de la F1: des restos du centre-ville fermés pour avoir contrevenu à la sécurité incendie en pleines festivités


Erika Aubin
Vendredi, 7 juin 2024 15:30

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Alarme incendie défectueuse, sorties d’urgence encombrées, décor combustible: des tenanciers du centre-ville ont écopé d’amendes salées et certains ont même été obligés de fermer leurs portes lors de la première soirée du week-end du Grand Prix pour avoir enfreint des règlements de sécurité.

«Êtes-vous vraiment obligés d’être autant que ça?», lance un jeune gestionnaire en voyant débarquer six agents de prévention du Service de sécurité incendie de Montréal à son bistro asiatique de la rue Crescent, en pleine heure du souper.

Le Journal a accompagné jeudi soir cette équipe, qui assure tout le week-end l’opération spéciale Sentinelle. L’objectif est de vérifier que restaurants et bars respectent la réglementation.

Pendant que les clients attablés dégustaient leurs plats colorés, les agents de prévention, eux, ont aussitôt repéré plusieurs lacunes. Des chaudières empilées, des boîtes de carton et même une plaque de cuisson bloquaient deux issues de secours.

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Une issue de secours bloquée par des chaudières et des boîtes de carton. Photo ERIKA AUBIN

Des masques de chats accrochés au mur et des drapeaux qui ornent le plafond sont combustibles, donc non conformes. Le tenancier avait d’ailleurs été averti l’an dernier, selon les agents de prévention.

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Les agents de prévention ont testé un drapeau accroché au plafond en décoration pour déterminer s’il était conforme à la réglementation sécurité incendie. Photo MARTIN ALARIE

«Si le feu prend dans les drapeaux, ça peut couler sur les gens et les brûler. Tout le plafond peut rapidement s’embraser», explique l’agente Marie-Josée Diotte.

Resto fermé

Pire encore, le système d’alarme incendie ne fonctionnait pas. Vers 20h15, le chef de section Kevin Francoeur a ordonné la fermeture du bistro achalandé. «Plus personne ne peut rentrer.»

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur. Photo MARTIN ALARIE

«L’alarme a été mise sur silence. Depuis quand? On ne le sait pas, déplore M. Francoeur. Il n’y a plus le son de cloche, donc si un incendie se déclenche en cuisine, on n’entendra rien.»

Les cuisiniers ont rangé la nourriture. Des clients déjà attablés ont terminé leur repas en vitesse. Sous une pluie battante, certains sont partis avec leurs restants de sushis à la main.

Le restaurant a écopé d’amendes frôlant les 4000$. Le propriétaire pourra rouvrir dès qu’il aura fait toutes les corrections. Par exemple, les fanions pourraient être trempés dans une solution ignifuge certifiée.

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Le restaurant asiatique a été obligé de fermer ses portes, jeudi soir. Photo MARTIN ALARIE

«Notre priorité, c’est le retour à la conformité dans les meilleurs délais. On accompagne aussi les tenanciers, on leur arrive avec des solutions», explique Kevin Francoeur.

Pour flasher

Presque au même moment, une autre équipe de prévention a fermé un restaurant de la rue Notre-Dame Ouest. Sur l’entièreté du plafond et même des murs, les plantes en plastique suspendues étaient non conformes.

Le chef de la section prévention, Kevin Francoeur, et deux autres agents constatent que l'arme incendie d'un restaurant était non fonctionnelle, sur la rue Crescent.

Les plantes artificielles étaient non conformes. PHOTO COURTOISIE

Plus tôt dans la journée, un propriétaire s’est fait avertir de retirer ses fausses plantes sur sa terrasse de la rue Peel. «Il a investi énormément dans sa décoration pour flasher durant le Grand Prix […] Il n’était vraiment pas content», explique M. Francoeur.

«Je comprends que c’est dommage, mais nous, on a une priorité: s’assurer que la population et les visiteurs sont en sécurité», insiste-t-il.

Les préventionnistes vérifient également que les établissements ne sont pas en surcapacité, ce qui arrive plus fréquemment pendant le week-end de la F1. Mais la météo avait ralenti les festivités jeudi soir.

Au Ziggy’s Pub, qui se trouve au cœur de la rue Crescent, les agents ont plutôt été accueillis à bras ouvert en début de soirée.

«Vous êtes toujours les bienvenus», a lancé le propriétaire, Ziggy Eichenbaum, qui n’avait rien à se reprocher.

«Chaque année j’attends leur visite. J’aime ça, car je sais qu’ils sont là pour la sécurité de mes clients», dit-il tout sourire.

En une soirée, deux équipes de prévention ont visité onze établissements et remis une douzaine de constats d’infraction totalisant plus de 17 000$ en amendes. L’opération Sentinelle se tient quatre fois par année: à l’Halloween, aux Fêtes, à la Nuit blanche de Montréal et pendant le Grand Prix.

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Le commissaire de la LNH Gary Bettman va confirmer samedi que Montréal et Boston seront bel et bien hôtes du Tournoi des quatre nations inaugural, prévu en février prochain, selon les informations de Radio-Canada.

Bettman s’adressera aux médias avant le premier match de la finale de la Coupe Stanley, entre les Panthers de la Floride et les Oilers d’Edmonton, à Sunrise.

Le tournoi verra des équipes de la Suède, de la Finlande, des États-Unis et du Canada en action. Il servira de répétition en prévision du tournoi olympique des Jeux de Milan, l’année suivante, qui marquera le retour des joueurs de la LNH aux Jeux olympiques.

La LNH a annoncé en février dernier que ses joueurs seraient de retour aux Jeux olympiques en 2026, après 12 ans d’absence.

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Moi je veux bien questionner le coté écologique de la F1. Mais si on fait cela, on doit aussi se questionner sur la progression fulgurante des vols à l’aéroport Trudeau et idem pour les nombreux bateaux de croisières qui, selon moi, polluent beaucoup plus que la F1.

Il y a aussi tous les québécois qui s’offrent des voyages dans le sud, parfois plusieurs aller-retour entre Montréal et la Floride qui, selon moi encore une fois, polluent davantage qu’une course de la F1. On ne peut pas critiquer la F1 et fermer les yeux sur les autres activités qui se déroulent à l’année longue ici et ailleurs.

Effectivement, je viens de lire un article qui mentionnais que les émissions de tous les voitures de F1 pour toutes les courses d’un année complète équivalent à 5h de vol d’un 747.

Il faut dire que le gros de l’impacte environnementale de la F1 est le transport de tout le cirque qui se promène avec la F1. Les voitures et tous les employées des équipes et de la FIA.

Mais je me demande à quel point l’impacte de se transport se compare au 41 parties que les 31 équipes de la NHL font à l’étranger en avion.

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Toutes les activités humaines ont une incidence sur notre bilan carbone, certaines plus que d’autres, donc on est tous sollicités à différents degrés sur le plan individuel comme collectif. Cela dit la visibilité de la F1 et ses courses sont une vitrine exceptionnelle qui pourrait aider à sensibiliser tout le monde à ces fameux changements climatiques, qui on le sait menacent l’ensemble de la planète.

Il s’agit donc d’une tribune de premier plan qui a un pouvoir énorme d’attirer l’attention du public. L’idée ici n’est pas d’accuser quiconque, mais plutôt de donner l’exemple, en démontrant que chaque organisme et entreprise peut et devrait s’engager à collaborer dans cette direction.

Parce que justement les GP jouissent d’une popularité et d’un attrait exceptionnel, on peut imaginer l’impact majeur d’une implication potentielle de cet organisme international en faveur de l’environnement. Révéler son bilan et publier ses propres efforts annuels en vue d’en réduire les effets, même s’il est moins important que d’autres activités économiques, aurait une portée symbolique puissante qui inciterait assurément à l’émulation.

En d’autres mots si le GP du Canada réussissait à réduire ses propres émissions carbones par des objectifs réalistes, sans pour autant nuire à la qualité du spectacle. Ce serait une super démonstration que tout le monde peut suivre cet exemple et réussir à faire sa part pour le mieux-être et l’avenir de notre monde.

Les dates des matchs ‘4 Nations’:

Source:

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Canada c. E-U au Centre Bell va donner un ambiance de fou! J’ai bien hâte

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Accès rapide au parc Jean-Drapeau lors de grands évènements comme la F1

Pourquoi ne pas fermer certaines voies sur le pont Jacques-Cartier pour faciliter la mobilité active et permettre aux gens d’accéder/quitter le parc sans attendre d’accéder le métro pendant des heures? Le pont au complet est fermé (ainsi que des rues près de la sortie nord) pendant des heures lors des feux d’artifice.

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Chaque fois qu’une équipe de Toronto dit qu’elle est l’équipe du Canada, cela me donne envie de vomir :nauseated_face:.

Les équipes de Toronto sont les équipes de Toronto, that’s it that’s all, les Canadiens ne sont pas obligés de les soutenir simplement parce que leurs équipes sont au Canada.

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Logiquement, le pont Victoria est plus proche de la piste de course. Mais peu importe, quand tu as 100 000 personnes qui veulent toutes sortir en même temps, faut s’attendre à devoir attendre ! C’est l’inconvénient que de tenir ces événements sur une île ! Les accès sont limités !