Sports professionnels à Montréal - Actualités

Pourquoi attendre des heures pour se tasser comme des sardines dans des trains de métro quand on peut marcher une couple de kilomètres ou bien aller en vélo. Ou bien via des navettes d’autobus sur des voies réservées sur le pont ? Il y a toujours des options…

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Ou encore des navettes fluviales très fréquentes

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Le problème de la surcharge de personnes dans le métro a été causé par les personnes qui ont quitté le parc quand le concert de Pitbull a été annulé… Les gens qui devaient assister au concert devaient normalement quitter le parc bcp plus tard que les gens qui étaient là pour la F1

Là on a eu deux foules qui sont parties en même temps…

T’ajoute la pluie intermittante à tout ca… + certains médias qui annonçaient que la séance d’essais était annulée quand ça ne l’était pas…

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L’Omnium Banque Nationale prendra de l’expansion l’an prochain. L’organisation a annoncé mercredi que dès 2025, le calendrier du tournoi serait prolongé et que son tableau principal serait élargi.

Ainsi, tant à Montréal qu’à Toronto, la compétition s’étalera désormais sur 12 jours, tandis que le tableau principal passera de 56 à 96 joueurs. Quatre séances y seront ajoutées, dont un tour supplémentaire.

Un tableau de qualification d’une journée comptant 32 joueurs sera mis en place au préalable le samedi 26 juillet. Les activités du tableau principal s’amorceront le lendemain.

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C’est le même problème… Un autobus embarque une 40aine de personnes, et nécessite d’enlever des fois pour les piétons. Avec la foule, faire du vélo devient plus dangereux qu’autre chose. Même au Centre Bell, avec une foule de 20 000 personnes, tu en as pour plus d’une heure pour vider les lieux, faut pas s’attendre à des miracles avec 5 fois plus de gens ! Et fermer le pont, c’est bien beau pour les feux, mais en pleine journée, avec la Ronde qui fonctionne, et considérant que la foule sur le pont est d’environ 12 000 personnes lors des feux d’artifice, je te laisse imaginer de quoi ça l’air avec 5 fois plus de gens !

On parle d’un dimanche après-midi pour la F1.

Il y a 5 voies sur le pont. On parle de fermer une voie pour les piétons pendant peut-être deux heures lors de grands événements…

Il va falloir que je modifie l’image d’entête pour ajouter le golf professionnel :wink:

Il y a une aura de prestige à L’Île-Bizard, derrière les maisons cossues de cette banlieue huppée, qui émane du club de golf Royal Montréal. Après des investissements de plusieurs millions, le gazon n’est vraiment pas plus vert chez le voisin dans le coin, à 100 jours de la Coupe des présidents.

Cette mise en beauté, c’est pour accueillir la crème du golf professionnel, du 24 au 29 septembre, dans cette prestigieuse compétition internationale par équipe.

Vu dans mon fil X, via Peter Yannopoulos

Montréal est à nouveau mentionné pour une équipe d’expansion de la @NBA avec Las Vegas, Seattle, Mexico City et Vancouver.

Une deuxième franchise au :canada: est nécessaire.

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J’aimerais bien ça mais Seattle et Las Vegas partent avec une bonne longueur d’avance.

S’il ne s’agit que de deux équipes d’expansion, je pense qu’elles iront à Seattle et à Las Vegas. Cela ajouterait une équipe aux divisions Nord-Ouest et Pacifique.

Idéalement, la ligue veut garder les divisions équilibrées, donc je les vois ajouter une troisième équipe à Montréal (division Atlantique) et ensuite avoir une autre expansion en 10 ans pour amener toutes les divisions à 6 équipes.

Montréal est très bien placé pour avoir une équipe. Il y a beaucoup de joueurs Québécois dans la ligue qui ont déjà manifesté leur intérêt à amener une équipe ici, le commissaire s’est dit intéressé, on a un groupe d’investisseurs potentiels prêt, le basketball est très populaire auprès des jeunes d’ici et on a un aréna prêt à accueillir une équipe.

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J’aimerais vraiment voir les expos à Montréal, mais je crois que la NBA est la seule expansion réellement probable à Montréal dans un moyen terme: investissement initial plus bas, marché en croissance, moins de sièges et un commissaire réceptif. Je crois que la NBA à Montréal serait un très beau gain pour Montréal.

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Ça va prendre un proprio avec des poches plus profondes que Michael Fortier, l’homme d’affaire le plus en vue dans ce dossier. La masse salariale des équipes varie entre $130M et $220M US et est en forte hausse.

De plus l’achat d’une franchise d’expansion serait de 4 millards US. Notre peso canadien est à 73 cents…

Je suis pour une expansion à Montréal sauf si cela implique aux gouvernements d’investir de l’argent public.

Il n’a jamais été question d’un seul propriétaire, mais plutôt d’un groupe de propriétaires. Si Montréal est choisie un jour, ce n’est pas l’argent qui est en cause.

Juste au niveau local, le PDG de Gardaworld a déjà déclaré qu’il était prêt à investir 10 % de l’argent nécessaire. Ajoutez à cela Bell et le Groupe CH, et d’autres personnes qui s’y connaissent et qui s’intéressent à la propriété sportive, comme Alain Bouchard, Mitch Garber, Pierre Karl Péladeau…

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Je ne m’y connais pas du tout en sports, mais entre le baseball et le basketball, même sans prendre en compte les coûts des installations ou autres, le basketball me semble fait beaucoup plus de sens - comme mentionné ci-dessus c’est un sport très populaire chez les plus jeunes générations et qui correspond beaucoup plus au ‘zeitgeist’ du sport professionel en Amérique du Nord que le baseball (n’en déplaise aux nostalgiques des Expos!). Même moi qui n’y connait absolument rien de rien au basketball je peux nommer au moins 5 à 10 joueurs en activité, alors que je ne connais aucun joueur de baseball pro en ce moment. Plusieurs joueurs de basketball sont de véritables célébrités dont le statut dépasse largement le simple milieu du sport.

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Un nouveau tweet

Montréal Montréal Montréal et la @NBA.

L’enthousiasme et l’engouement sont tangible et c’est une question de temps! Une deuxième franchise au :canada: est nécessaire. #OuiPapa
@RDSca :basketball:

@FOS

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Le club de la NBA va s’entraîner à l’Université du Québec à Montréal, du 1er au 5 octobre.

Ce sera un deuxième camp dans la Belle province pour l’équipe torontoise, après un séjour à Québec en 2019.

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L’aventure de François Dumontier au Grand Prix de Formule 1 du Canada est en fin de parcours, a appris La Presse. Trois ans après avoir vendu Groupe de course Octane à Bell, l’entrepreneur quitte ses fonctions chez Octane et laisse le volant à un duo formé par une collaboratrice de longue date et un cadre du conglomérat de télécommunications.

Résumé

Grand Prix du Canada François Dumontier cède le volant

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

Séance d’essais libres lors de la dernière édition du Grand Prix du Canada sur le circuit Gilles-Villeneuve, en juin dernier

L’aventure de François Dumontier au Grand Prix de Formule 1 du Canada est en fin de parcours, a appris La Presse. Trois ans après avoir vendu Groupe de course Octane à Bell, l’entrepreneur quitte ses fonctions chez Octane et laisse le volant à un duo formé par une collaboratrice de longue date et un cadre du conglomérat de télécommunications.

Publié à 1h32 Mis à jour à 6h00

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Julien Arsenault
Julien Arsenault La Presse

Ce qu’il faut savoir

  • Bell est devenu promoteur du Grand Prix de Formule 1 du Canada en 2021.
  • Le conglomérat avait acheté Groupe de course Octane, qui agissait comme promoteur local de l’évènement.
  • Cette entreprise appartenait à François Dumontier – également le dirigeant.
  • Après être resté en poste pendant trois ans, il passe le flambeau à un duo formé par Jean-Philippe Paradis et Sandrine Garneau.

Ce changement de garde survient néanmoins moins de deux mois après la tenue d’une course marquée par des ratés, ce qui a valu de vives critiques aux organisateurs de l’évènement. Le grand patron de la Formule 1, Stefano Domenicali, s’était d’ailleurs excusé auprès des différentes écuries.

Malgré tout, M. Dumontier, 57 ans, qui travaille au Grand Prix du Canada depuis 30 ans, estime partir avec le « sentiment du devoir accompli ».

PHOTO DOMINICK GRAVEL, ARCHIVES LA PRESSE

François Dumontier, en juin dernier

« L’arrivée de Bell a insufflé l’oxygène dont nous avions besoin, écrit-il, dans une lettre ouverte diffusée ce vendredi. Il reste bien sûr beaucoup à accomplir, mais les bases sont jetées pour la prochaine génération. »

Lisez la lettre de François Dumontier

M. Dumontier sera remplacé par Jean-Philippe Paradis, qui deviendra président et chef de la direction d’Octane. Ce dernier conservera ses fonctions de vice-président chez Bell Média. De son côté, Sandrine Garneau, actuellement directrice générale, marque et stratégie du Groupe de course Octane, prend du galon et deviendra cheffe de l’exploitation au sein de l’entreprise.

Plusieurs ratés

Plus important évènement touristique au Canada avec des retombées économiques de 67 millions, le dernier Grand Prix du Canada, qui s’est échelonné du 7 au 9 juin, a été entaché par une série de cafouillages. Selon le magazine spécialisé Motorsport, l’affaire a incité la Fédération internationale de l’automobile (FIA) – l’organisation qui chapeaute le sport automobile – à blâmer Octane.

La liste des choses reprochées au promoteur était longue : problèmes d’accès au site, spectateurs refoulés à cause d’informations erronées, une intrusion massive du public sur le circuit avant la fin de l’épreuve, ainsi que des infiltrations d’eau dans les studios de télévision et les autres espaces réservés aux médias aux abords du circuit Gilles-Villeneuve.

Octane n’avait toutefois pas la mainmise sur tous ces éléments. À titre d’exemple, pour les infiltrations d’eau, c’est la Ville de Montréal et la Société du parc Jean-Drapeau qui sont responsables du maintien du site de la course.

La médiatisation de l’affaire a néanmoins échaudé le gouvernement Legault.

« Je suis très gênée de l’image à l’international du Québec et de Montréal », a réagi la ministre québécoise du Tourisme, Caroline Proulx, le 13 juin dernier, en marge d’une séance du Conseil des ministres.

Long parcours

S’il cède sa place comme principal responsable du Grand Prix du Canada, M. Dumontier demeurera « conseiller stratégique » chez Octane dans le but d’assurer une « transition harmonieuse » à l’interne. N’empêche, l’entrepreneur tournera une page importante de sa vie professionnelle.

Ses premiers pas au Grand Prix du Canada remontent à 1994, comme coordonnateur aux opérations. Il est longtemps numéro deux de l’épreuve, à l’époque où Normand Legault en est le promoteur local.

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

François Dumontier observant le circuit Gilles-Villeneuve, en 2001

En 2009, faute d’une entente avec les gouvernements sur les subventions, la F1 fait l’impasse sur Montréal. À son retour en 2010 – avec une nouvelle entente avec les gouvernements –, M. Dumontier devient le promoteur local du Grand Prix du Canada par l’entremise de son entreprise, Octane.

Avec l’annulation de l’épreuve en 2020 ainsi qu’en 2021 en raison de la pandémie, Octane n’est pas en mesure de tirer de revenus de la course pendant deux ans. En avril 2021, M. Dumontier vend Octane à Bell, qui devient le promoteur local de l’épreuve. Il suit son entreprise et conserve son titre de président chez Octane.

La plus importante entreprise de télécommunications au pays conclut du même coup une prolongation de deux ans avec la F1 pour demeurer le promoteur local du Grand Prix du Canada jusqu’en 2031. Les chaînes de télé de Bell, RDS et TSN, diffusent respectivement la F1 depuis 1994 et 1992.

En 2021, on indique que l’entrepreneur restera en poste à long terme chez Octane. L’association se terminera finalement après un peu plus de trois ans.

« Je cède la direction d’un évènement en très bonne santé financière et plus populaire que jamais », estime M. Dumontier, sans faire référence aux ratés survenus en juin dernier.

Que fait Octane au juste ?

Comme promoteur du Grand Prix du Canada, Bell/Octane couvre les dépenses d’organisation de l’épreuve et touche les revenus locaux de l’évènement, comme les revenus des billets et ceux de la vente de nourriture et de boissons sur le site. Il doit partager un certain pourcentage des revenus locaux avec la F1. Il ne touche rien des revenus mondiaux (par exemple, les droits de télédiffusion).

De plus, le promoteur local n’est pas partie prenante du contrat entre la F1 et les gouvernements, qui paient des droits annuels aux propriétaires de la F1 (Liberty Media) pour pouvoir présenter une course à Montréal. Ottawa, Québec et Montréal paieront 25 millions en 2030 et 26 millions en 2031. Bell/Octane ne touche rien de cet argent.

L’acquisition d’Octane permettait au conglomérat de télécommunications d’ajouter une autre corde à son arc. Bell est déjà actionnaire minoritaire de Groupe CH et propriétaire du Canadien de Montréal, du Centre Bell, de l’Équipe Spectra et du promoteur evenko. Il gère nombre de salles de spectacle et de festivals en plus de détenir d’autres festivals, comme Osheaga.

En plus de la F1, François Dumontier est aussi impliqué dans l’organisation de l’International Bromont, un concours équestre de calibre international tenu au Québec.

En savoir plus

  • 23
    Nombre d’employés permanents chez Octane

source : la presse

2002
Année où François Dumontier fonde Groupe de course Octane

source : OCTANE

Au Téléjournal

Grand Prix de F1 du Canada : François Dumontier cède le volant après 30 ans

Après 30 années passées dans l’univers de la course automobile, le patron du Grand Prix de formule 1 du Canada, François Dumontier, entre aux puits et cède le volant à Jean-Philippe Paradis.

Il quitte un événement plus populaire que jamais, malgré les ratés de la dernière édition.

Le reportage de Marie-Josée Paquette-Comeau.

l’équipe de hockey féminine de Montréal a enfin un nom et un logo

Notez la fleur de lys et le M pour Montréal en plus foncés

La Ligue professionnelle de hockey féminin (LPHF) a dévoilé lundi matin les noms et logos tant attendus de ses six équipes. Outre la Victoire de Montréal, on retrouve le Fleet de Boston, le Frost du Minnesota, la Charge d’Ottawa, les Sceptres de Toronto et les Sirens de New York. Le mandat de développer l’identité de chaque formation a été confié à l’agence new-yorkaise Flower Shop.

Le nom de la formation montréalaise, indique la Ligue, fait référence à « l’esprit compétitif qui règne à Montréal ». « Elle agit comme source d’inspiration vers l’atteinte des sommets sportifs les plus élevés. »

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