Développement des terrains industriels situés autour de la station de métro L’Assomption.
https://ocpm.qc.ca/fr/assomption/documentation
Modèles 2D : Projets situés dans le secteur du PPU Assomption-Nord
Étiquettes : Projets en planification, en construction, et autres fils de discussions connexes
ROSE : 3 projets de Merlin Immobilier
BLEU FONCÉ : 5460, rue Sherbrooke Est
JAUNE : Vivenda L’Assomption
BLEU PALE : 3015-3035, boul. de l’Assomption
ORANGE : L’Assomption
VERT : Métro L’Assomption et place publique
Interessant ce quartier en construction! Plein de beaux projets. Ca va manquer de grosses epiceries et de pharmacies avec tout ces nouveaux logements.
Il y a une épicerie IGA qui ouvre cette automne dans le nouveau complexe au coin Sherbrooke/Assomption!
Je ne sais pas si je dois créer un nouveau fil, puisque ce projet potentiel remplace peut-être un autre (c’est par Omnia, pour le coin Assomption / Marseille) :
Présentation de dessins architecturaux au comité consultatif en urbanisme de la Ville de Montréal, arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, en vue d’obtenir un permis de construction pour l’érection de deux (2) édifices de 12 étages à vocation multi-résidentiel, locatif & condominium, situé sur le lot 6 490 958 situé à l’intersection du boulevard Assomption et de la rue De Marseille à Montréal, en vertu du règlement d’urbanisme 01-275 applicable à l’arrondissement Mercier-Hochelaga-Maisonneuve. Le lot 6 490 958 sera subdivisé en deux (2) lots afin de permettre la construction des deux (2) nouveaux bâtiments. Le nouveau bâtiment ayant front sur la rue De Marseille sera occupé entièrement par environ 265 logements locatifs tandis que celui ayant front sur le Boulevard de L’Assomption sera occupé par environ 265 condominium et environ 9000 pieds carrés à usage commercial (type de commerce non déterminé à ce stade; les activités de lobbyisme ne concernent que la construction du “base building” (coquille du bâtiment) et n’auront pas de lien avec les éventuels commerces qui pourront être opérés dans l’immeuble). Aucun changement de zonage n’est demandé.
Modélisation intéressante sur le site des Loges:
Le volume au coin de Sherbrooke et Assomption correspond à la forme du vrai projet. Même chose pour le Vertica.
Étrange, parce que le lot mentionné n’existe pas…
Toutefois, j’ai l’impression qu’il s’agit des lots 1360261 et 1360262 puisqu’on mentionne des commerces uniquement sur l’Assomption pour une superficie totale de 9000 pi2, ce qui est relativement peu et correspond environ à la tête de ce terrain.
Il s’agirait donc du terrain sur lequel Cogir souhaitait réaliser un projet. Omnia et Cogir collabore d’ailleurs déjà sur le projet Imperia.
Le REM étant élevé dans cette section, il sera similaire au SkyTrain de Vancouver et de Burnaby avec de nouveaux développements autour de la nouvelle ligne (et probablement des barrières sonores). Cela permettrait également un itinéraire/alternative plus rapide au centre-ville, de sorte que même avec ces nouvelles maisons, cela ne rendrait pas la ligne verte trop occupée.
En fait, si on construit un quartier avec le REM de l’Est en tête, c’est beaucoup plus acceptable que si on l’ajoute dans une zone déjà construite.
Reportage à l’émission radio Le 15-18 expliquant en gros que le PPU n’a pas protégé deux boisés du secteur
Le 15-18
Publié le 6 mars 2023
Il est minuit moins une, pour sauver l’un des rares boisés matures de Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, selon la conseillère d’opposition Alba Zuniga Ramos. Les élus de l’arrondissement vont voter pour approuver une entente conclue avec un promoteur pour donner le feu vert à un projet qui comptera près de 1900 logements. Il faudra donc détruire le boisé du boulevard L’Assomption, en plus d’un autre espace vert, éventuellement.
Le journaliste Philippe-Antoine Saulnier s’est penché sur le sujet.
Sur le même sujet
Anouk Lebel | Le Journal de Montréal| Publié le 7 mars 2023 à 00:00 - Mis à jour à 07:10
Des citoyens accusent Projet Montréal de signer «l’arrêt de mort» d’un rare boisé composé d’arbres matures en lançant les premiers travaux liés à un vaste projet immobilier près du métro Assomption.
«Projet Montréal se dit en transition écologique et veut beaucoup planter [d’arbres], mais il faut aussi protéger les acquis, le peu qui nous reste», dénonce François Plourde, alias Renard Frak, un citoyen engagé dans la protection des milieux naturels à Montréal.
Hier, l’arrondissement Mercier–Hochelaga-Maisonneuve prévoyait donner le feu vert à la construction d’une rue locale en vue du développement de quatre tours d’habitation totalisant près de 1000 logements près du métro Assomption.
Pour M. Plourde, il s’agit du «début de la fin» pour les rares tilleuls et ormes d’Amérique qui ont repoussé à cet endroit après qu’un ruisseau eut été remblayé, il y a 50 ans.
«C’est un milieu qui existe déjà, un écosystème avec des arbres sur pied, qui offrent un petit îlot de fraîcheur dans une mer d’industries», renchérit Anaïs Houde, porte-parole du collectif Mobilisation 6600, qui se bat pour la protection du boisé.
La conseillère d’Ensemble Montréal du district de Louis-Riel, Alba Zúñiga Ramos, s’étonne de voir l’administration de Pierre Lessard-Blais aller de l’avant avec les travaux dans un secteur considéré comme un «poumon noir» de l’Île.
«On n’a pas l’embarras du choix. On ne peut pas se permettre d’enlever un boisé. Il n’y en a pas d’autres», souligne l’élue de l’opposition, qui a déposé une motion en novembre pour protéger les cinq derniers espaces verts de l’arrondissement.
Le cabinet du maire Lessard-Blais blâme plutôt l’administration précédente.
«Le développement immobilier sur le site du boisé Assomption est l’héritage de la vision de Réal Ménard et de Denis Coderre, que nous n’avons légalement pas le choix de faire avancer, malheureusement», indique dans une déclaration la conseillère de Maisonneuve-Longue-Pointe, Alia Hassan-Cournol.
En 2017, le projet particulier d’urbanisme Assomption Nord a été adopté à l’unanimité, y compris par les deux élus de Projet Montréal.
Photo: iStock
26 mai 2023 à 13h00 - Mis à jour 26 mai 2023 à 14h28 2 minutes de lecture
Ensemble Montréal propose d’interdire le camionnage de transit sur la rue Notre-Dame à Mercier, entre l’autoroute 25 et l’avenue Georges-V. Une motion en ce sens sera déposée le 5 juin par Julien Hénault-Ratelle, conseiller de ville du district de Tétreaultville.
«Il est purement inacceptable que ce soit les citoyens de Tétreaultville qui doivent vivre avec les nuisances du camionnage de transit», a-t-il déclaré ce matin en conférence de presse.
Il rappelle que Notre-Dame longe des écoles, des CPE et des parcs, dont le quotidien est rendu difficile par le camionnage. Jacques Laurin, responsable du comité de nuisance urbaine du Collectif en environnement de Mercier-Est, abonde en ce sens.
Il considère qu’un «enjeu de sécurité vraiment important» découle du camionnage, autant pour les piétons qui cherchent à traverser la rue que pour les résidents du secteur, dont la propriété peut courir d’importants risques en cas de renversement. Il dénonce aussi la pollution atmosphérique créée par ces camions qui traversent le secteur sans devoir s’y arrêter.
En plus de ces risques, M. Hénault-Ratelle rappelle que les vibrations et le bruit engendrés par le passage constant des camionneurs nuisent à la qualité de vie des résidents. Il souligne aussi que le sol argileux qui compose le secteur sud est particulièrement sensible aux vibrations. Les fondations des bâtiments pourraient ainsi être endommagées.
Un citoyen du quartier, Yoland Bergeron, a souhaité lui aussi prendre la parole. Il explique que le bruit généré se rend plus loin que sur l’unique rue Notre-Dame, et que celui-ci dérange à journée longue les enfants à l’école, les habitants des résidences pour aînés et les gens qui font du télétravail.
En 2009, le camionnage de nuit a été interdit dans le secteur pour des raisons similaires. Une étude de l’époque démontrait que 90% des camionneurs transitaient sur Notre-Dame sans s’y arrêter. En 2012, Montréal-Est a interdit le camionnage de transit sur son segment de la rue Notre-Dame. Ensemble Montréal espère étendre cette interdiction au secteur.
M. Hénault-Ratelle invite les camionneurs à emprunter l’autoroute 40 ou la rue Sherbrooke pour se rendre à leur destination, expliquant que le passage par Notre-Dame est plus un raccourci qu’un chemin obligatoire.
