Transport en commun - Discussion générale

Beaucoup de choses à décortiquer ici…

Les voies réservées, c’est une partie de la solution mais ça ne peut pas être mis partout, en tout temps, n’importe comment. La décision revient ultimement aux arrondissements (la ville centre a un droit de veto mais c’est risqué de bypasser des arrondissements).

Pour la fréquence du service, je sais pas quoi te dire… les OPTC modulent leur réseau en fonction de la demande et de son évolution. Ils n’ont pas le choix de le moduler le mieux possible car ils ont une enveloppe associée à l’offre de service qui augmente à petits coups dans un contexte financier normal (elle est figée pratiquement depuis 2 ans). C’est le principe de base de l’offre et de la demande qui s’applique.

Pour être honnête je comprends pas trop ton argumentaire. On ne devrait pas faire confiance aux sociétés de transport pour gérer leur propre service? Québec devrait être impliquée dans le microdétail de l’offre?

3 « J'aime »

Yes, but it’s the first time I’ve seen public transport signage in the South with syllabics. I’m rather pleased.

2 « J'aime »

Tu as peut-être juste accroché un bouton, la suppression a été faite avec ton compte selon l’historique du message! Anyway je l’ai remis.

1 « J'aime »

Personnellement, c’est au niveau du paiement et des titres de transports que j’aimerais voir Québec être le gestionnaire. Le fait que ça prit jusqu’en 2023 pour pouvoir acheter des titres par téléphone au Québec, ça n’a absolument pas de bon sens. J’aimerais vraiment voir un système unique avec un seul portail qui donne accès à tous les services de transport en commun au Québec.

Le manque de voies réservées sur certaines artères qui sont appropriées est un exemple de gaspillage qu’on devrait pas demander au contribuable de payer. C’est plein de chauffeurs payés à gros prix pognés dans le trafic et qui ne sont pas du tout productifs. Je ne veux pas payer pour un service de marde à Sherbrooke comme je suis gêné de demander à un contribuable de Gaspé de payer pour l’autobus qui avance à 10km/h sur Sherbrooke.

Je suis content de savoir qu’ils opèrent selon le principe de l’offre et la demande. Par contre pour certains parcours je crois sincèrement qu’ils pourraient améliorer le service en couvrant moins de territoire pour augmenter la fréquence. Ce serait objectivement moins cher et donnerait un meilleur service. Malheureusement, la STM semble être géré comme un service social qui se souci de couvrir un territoire et cocher une case plutôt que de réellement offrir un service fiable et rapide.

Je pense que ça va prendre un budget fixe et prévisible à chaque année. Entre-temps, il faudrait que Québec s’entendent avec les municipalités pour déterminer les grandes lignes de quel genre de service ils devraient offrir. La nature humaine et la politique étant ce qu’elles sont, c’est sûr que les sociétés de transport vont vouloir donner un service de luxe si c’est les autres qui paient. Je pense notamment à la STM qui donne le service gratuit à tous les 65 ans et plus. De l’extérieur, ça donne l’impression d’une opération politique de Valérie Plante pour gagner des votes. Pourquoi est-ce que c’est Québec qui devrait payer pour ça?

1 « J'aime »

Tu mélanges beaucoup de choses.

La ville offre la gratuité pour les 65 ans et plus oui, mais c’est une mesure absorbée à 100% par la ville qui ne requiert aucune contribution de Québec. Ça ne fait pas partie du déficit, qui est lié aux coûts d’opérations.

Je crois qu’il y a vraiment une mauvaise compréhension de la mission d’une société de transport ici. C’est un service essentiel et avant tout social, ce n’est pas opéré comme une business. Pourquoi? Parce que la personne âgée de Côte-Saint-Luc a le droit de pouvoir se déplacer sans auto pour pas cher autant que celle du Plateau. Tous deux paient ce service social par l’entremise de leurs taxes municipales.

Est-ce que le service se doit d’être attrayant et performant? Absolument. Je crois que la STM fait de son mieux avec ce qu’elle a actuellement, il y a eu beaucoup d’investissements dans des voies réservées et des systèmes d’information voyageur dans les dernières années et ça va continuer. Ça ne se fait pas en un hiver.

Tu as droit à ton opinion évidemment mais visiblement tu sembles croire que la STM fait n’importe quoi avec son argent. Libre à toi de penser ça mais moi ça ne m’intéresse pas ce genre de discussions.

6 « J'aime »

Juste pour être clair: J’aime beaucoup la STM et je crois que les gens qui y travaillent sont compétents. J’utilise les services souvent et je souhaite sincèrement que cette organisation soit prospère. Je crois par contre que les orientations sont mauvaises.

Je ne comprends pas. Les personnes âgées qui ne paient pas leur passe d’autobus, c’est de l’argent de moins qui est présent dans la catégorie revenu, non? Si ils payaient leur passe, les revenus augmenteraient, dont le déficit diminuerait?

Couvrir un territoire peu densifiée pour rejoindre la madame de Cote-Saint-Luc est une mission qui est incompatible avec la mission d’accomplir le plus grand transfert modal et réduire les GES liés au transport. C’est un ou l’autre. Quelqu’un qui doit se déplacer à son travail et qui a accès à un temps de parcourt de 15 minutes avec sa voiture ne sera pas intéressé à prendre l’autobus qui prend 45 minutes pour le même trajet.

Le choix que nous avons c’est soit d’être en mesure de rejoindre la personne âgée qui habite dans un cul-de-sac à Pointe-Claire en couvrant l’entièreté d’un territoire ou d’avoir un circuit d’autobus rapide et fréquent qui permet d’être compétitif avec la voiture.

Ça doit être moi qui est impatient d’abord. Je trouve ça très frustrant que d’un bord on injecte de grandes sommes d’argent pour opérer un réseau de bus mais de l’autre bord on ne fait pas des efforts d’urbanisme et de voirie qui permettrait d’améliorer grandement la performance du réseau. C’est moins pire à Montréal car le territoire est raisonnablement densifié, mais dans les banlieues le territoire est tellement vaste que ça prendrait des budgets d’opération astronomique pour avoir quelconque compétitivité avec l’automobile.

2 « J'aime »

Content de l’entendre!

La ville paie une somme de plus à l’ARTM pour compenser les revenus perdus.

1 « J'aime »

L’année dernière, l’aide spéciale du gouvernement (70 % du déficit renfloué) a permis d’éviter le pire. Les sociétés de transport collectif ont ainsi équilibré leur budget. Mais pour cela, elles ont reporté des dépenses en ajout et en entretien. Les services ont stagné.

Ce statu quo n’a rien d’un équilibre. Il équivaut à accepter l’auto solo, la congestion, l’étalement urbain ainsi que ses coûts financiers et écologiques.

Résumé

L’avenir à court terme

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

« [P]our se développer, le transport collectif aura besoin de nouvelles sources de revenus », fait valoir notre chroniqueur.


Paul Journet
Paul Journet La Presse

Pas étonnant que les caquistes et les municipalités ne s’entendent pas sur les moyens pour financer le transport collectif. Ils ne partagent pas les mêmes objectifs. Ce serait toutefois plus simple s’ils l’avouaient clairement.

Publié à 1h23 Mis à jour à 6h00

Partager

Combien manque-t-il d’argent ? La réponse : ça dépend des services voulus.

Les caquistes y voient d’abord un problème de dépenses. Ils exhortent les sociétés de transport à contrôler leur budget. Pour le reste, ils misent sur un retour de l’achalandage au niveau prépandémique. Avec moins de gaspillage et plus d’usagers, selon eux, on répondra à la demande. C’est une vision à court terme, si on peut parler de « vision ».

Les municipalités veulent augmenter l’offre. En principe, les caquistes y sont favorables. Ils sont prêts à financer l’ajout de ces services. Mais ils ne veulent pas payer davantage pour les opérer et les entretenir.

L’année dernière, l’aide spéciale du gouvernement (70 % du déficit renfloué) a permis d’éviter le pire. Les sociétés de transport collectif ont ainsi équilibré leur budget. Mais pour cela, elles ont reporté des dépenses en ajout et en entretien. Les services ont stagné.

Ce statu quo n’a rien d’un équilibre. Il équivaut à accepter l’auto solo, la congestion, l’étalement urbain ainsi que ses coûts financiers et écologiques.

Selon les villes, l’offre ne devrait pas s’adapter à la demande. Elles proposent le contraire. Plus le service s’améliorera, disent-elles, plus les usagers troqueront leur voiture pour le bus, le train et le métro.

Le passé montre que c’est possible. De 2006 à 2011, les services en transport en commun ont augmenté de 19 %, et l’achalandage y a bondi de 11 %.

Malheureusement, ce progrès a ralenti. De 2013 à 2018, dans le Grand Montréal, la fréquentation du bus, du métro et du train a augmenté de seulement 4 %⁠1.

Pire : dans l’ensemble du Québec, le recours à l’auto a augmenté.

Part modale de l’automobile

  • 2006 : 78,2 %
  • 2016 : 78,2 %
  • 2021 : 82,4 %

Source : Institut de la statistique du Québec

La politique de la mobilité durable du Québec vise pourtant à réduire l’auto solo. Et aussi à bonifier l’offre de transport collectif, de 5 % par année.

En 2019, l’ancien ministre des Transports François Bonnardel lançait une consultation sur le financement du transport collectif. Le constat : le modèle ne fonctionne plus. Les sociétés de transport peinent à entretenir leurs actifs. Or, leurs dépenses augmenteront avec l’ajout du REM, de bus, de métros et de trains. Et les revenus de la taxe sur l’essence diminueront à cause de l’électrification.

Depuis, de nombreux rapports d’experts ont proposé des solutions :

  • Taxe kilométrique (compliquée à implanter technologiquement)
  • Péage ou, pour Montréal, cordon de péage (qui nuira aux commerçants de l’île)
  • Hausse de la taxe sur l’essence (qui n’a pas été indexée)
  • Hausse de la taxe et des droits d’immatriculation (qui n’ont pas été indexés)
  • Redevance et captation foncière (ce qui déplaira aux promoteurs immobiliers)
  • Prélèvement dans le Fonds vert (qui alourdira le déficit)
  • Hausse des taxes foncières (déjà élevées)
  • Hausse du tarif aux usagers (alors qu’on veut les attirer)

Aucune solution n’est facile à vendre. C’est justement pour cela que les élus doivent y réfléchir ensemble.

À son arrivée en poste, la ministre Geneviève Guilbault a lancé une nouvelle ronde de consultation. Le problème fut reporté.

Malgré tout, il y avait de l’espoir. On notait sa décision d’ajouter « Mobilité durable » au nom de son ministère. Sa politique de sécurité routière a été bien reçue. C’est aussi elle qui a défendu l’abandon du troisième lien. Mais depuis la défaite de la CAQ à l’élection partielle de Jean-Talon, les communications en coulisses sont plus rares et tendues entre le cabinet de Mme Guilbault et les municipalités.

Si la ministre est réputée pour son ton cassant, certaines municipalités ne s’aident pas. La mairesse de Montréal, Valérie Plante, a rendu le transport collectif gratuit pour les aînés alors qu’elle dit manquer d’argent. Le maire de Laval, Stéphane Boyer, fait des sorties médiatiques solitaires cinglantes. L’automne dernier, il s’est permis d’attaquer le gouvernement caquiste lors d’une annonce où son service de police recevait une aide de 20 millions.

Puis, jeudi, le maire de Québec, Bruno Marchand, a dit ne plus avoir « confiance » en Mme Guilbault. C’est comme s’il misait sur un remaniement ministériel au cours des prochains mois. Mais la pire façon d’obtenir le dégommage d’une ministre, c’est de le demander.

Durant la pandémie, le gouvernement caquiste a épongé les déficits des sociétés de transport collectif. Mme Guilbault déplore que ces sociétés n’aient pas assez réduit leurs dépenses durant cette crise.

En effet, les municipalités pourraient resserrer leurs dépenses. Par exemple, leurs employés sont payés davantage que ceux du niveau provincial. Québec a d’ailleurs commandé des audits – même si elles en subissent déjà de la part de vérificateurs indépendants.

Mais cela ne change rien au fond du problème : pour se développer, le transport collectif aura besoin de nouvelles sources de revenus. Les « gains d’optimisation » réclamés par Mme Guilbault (354 millions sur cinq ans) n’équivalent qu’à une fraction du manque à gagner. Ça ne suffira pas. La solution devra aussi passer par une forme d’écofiscalité et par une contribution additionnelle des automobilistes.

Les caquistes s’y refusent. Avec les routes, leur discours est différent. Ils ne parlent jamais d’une route « déficitaire ». Pour l’asphalte, l’État ramasse la facture sans rechigner.

Bien sûr, les automobilistes paient plusieurs taxes. Mais cela ne suffit pas à payer pour les services qu’ils reçoivent, comme l’a déjà démontré Pierre-Olivier Pineau, de la Chaire de gestion du secteur de l’énergie de HEC Montréal.

Les caquistes reportent les décisions difficiles2. À moins qu’ils aient déjà tranché et abandonné la politique de mobilité durable.

1. Lisez les faits saillants de l’enquête Origine-Destination pour la région de Montréal 2. Lisez la chronique « La “fougère” desséchée du transport collectif »

7 « J'aime »

M. Legault a reproché à l’opposition de se faire le porte-parole du « lobby des villes », alors que les électeurs de la CAQ viennent surtout des banlieues et des régions. Pourquoi paieraient-ils pour que les Montréalais se trimbalent aux frais de la princesse, bien au chaud dans leur métro, alors qu’eux-mêmes doivent braver la tempête et se ruiner en essence ?

2 « J'aime »

De l’article de Stephanie Grammond:

Quand le gouvernement a lancé le projet de REM, c’était écrit dans le ciel qu’il ferait exploser les coûts d’exploitation, sans faire grimper les revenus tarifaires d’autant, car beaucoup d’utilisateurs prenaient déjà les transports collectifs. Autrement dit, le nouveau REM a cannibalisé l’ancienne clientèle.

Il s’agit d’un problème structurel qui existait bien avant que la COVID-19 fasse chuter l’achalandage, creusant davantage le déficit des sociétés de transport.

Le même enjeu se reproduira avec la ligne bleue du métro de Montréal, le tramway à Québec, l’électrification des autobus…

Exactement. Le problème à la base est qu’on (tout le monde sauf CDPQi) considère l’implémentation tout en étant agnostique à l’exploitation.

Les nouvelles infrastructures coûtent si cher à exploiter qu’on ne peut pas demander aux utilisateurs de couvrir le tiers de la facture, comme dans le passé, car les tarifs deviendraient prohibitifs.

Euh, quoi? C’est un dogme abstrait, comme le terme acceptabilité sociale.

Surtout que c’est l’ensemble de la clientèle qui écoperait, car le tarif est le même partout sur l’île de Montréal, sans égard au mode de transport emprunté. Ainsi, l’écolier qui prend l’autobus pour aller à l’école à quelques minutes de la maison se trouverait à « subventionner » indûment le travailleur qui prend le REM pour aller à Sainte-Anne-de-Bellevue.

Justement, c’est un problème que bien d’autres endroits ont adressé, et un problème qui appartient à l’ARTM, et que celle-ci n’a pas réussi à (ou ne veut pas) régler.

N’oublions pas que c’est aussi l’ARTM qui a dit non à la captation foncière pour le prolongement de la ligne bleue.

Mais au moment où l’on gratte les fonds de tiroirs, on s’explique mal pourquoi la Ville de Montréal vient de rendre les transports collectifs gratuits pour les 65 ans et plus, alors que plusieurs d’entre eux ont les moyens de payer, se privant ainsi de 40 millions de dollars par année.

Exactement. De la petite politique.

Je ne suis pas certain de ce que tu veux dire? L’ARTM a officiellement demandé au gouvernement du Québec une redevance de 122$ le mètre carré pour les projets immobiliers dans un rayon de 1 kilomètre des stations.

2 « J'aime »

Si c’est le cas, c’est une marche arrière par rapport à la position initiale.

Je me rappelle très clairement que l’ARTM avait refusé la captation foncière, mais je n’ai pas l’envie ou les outils pour remonter l’historique des discussions.

1 « J'aime »

Je serais surpris que l’ARTM avait commencé par demander plus que cela, on parle d’une taxe de 8000$ pour un 700 pieds carrés déjà, mais tout est possible.

Cependant, depuis septembre, est-ce que le gouvernement a dit oui à une demande de l’ARTM pour que celle-ci dise non à leur propre demande? Je ne me souviens pas de cela. C’est quand même récent. Peut-être que c’était dans un autre contexte?

C’était plus vieux que cela (autour du temps où on discutait de l’explosion des coûts de la ligne bleue? :thinking:), donc la demande de l’ARTM est plus récente.

Ceci-dit, quel fut la réponse du gouvernement à cette demande? Je ne serais pas surpris qu’ils refusent, ou simplement qu’ils se trainent les pattes pour laisser les promotteurs devancer la taxe.

Je me posais la même question. L’article mentionne que la demande doit être approuvé par un décret, mais je n’ai rien trouvé sur cela. Si le gouvernement Legault ne veut pas de cette taxe, ça devrait au moins être dit officiellement. Le projet est en construction, et ça représente des centaines de millions de dollars potentiels. Les règles devraient être claires pour les promoteurs et l’ARTM.

1 « J'aime »

Normalement quand on fait des déclarations comme ça, on remonte à sa source pour éviter de mal informer les gens. Just saying…

1 « J'aime »

That was created by the city of dorval after the 2 accidents with car hittings pedestrians

Effectivement. J’ai cherché dans l’historique et malheureusement je n’arrive pas à retrouver la source, sauf pour un autre commentaire de moi-même datant d’aout 2023, donc qui précède l’article: REM 2 (Est de Montréal) - Projet annulé - #3971 par Decel

C’est rare que je recherche si loin dans l’historique et que je me bute aux limite des outils de recherche (chercher le terme sur le fil expose les posts, mais ne surligne pas le passage ou le mot clé), l’abstraction du terme (redevance, captation, financement, etc.), et la diversité des fils où le sujet peut apparaitre (refonte tarifaire, extension de la ligne bleue, REM de l’Est. Etc.)

Le plus près que j’ai trouvé en termes d’articles est celui-ci:

Pour l’instant, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) n’a pas voulu indiquer si les propriétaires qui feront de nouvelles constructions le long du tracé de la ligne bleue devront payer une redevance, comme c’est le cas pour le REM.

https://www.tvanouvelles.ca/2019/12/18/de-riches-proprios-gagnent-avec-la-ligne-bleue-12

Bref, quitte à perdre mon temps à fouiller dans les bas-fonds du web un samedi matin pour retrouver une référence datant potentiellement de la pré-pandémie, je me tairai à présent.

Parlant du loup (je ne l’ai pas vu passer celle-là, ce qui démontre comment un fait/article peut-être obscur, et celle-ci ne date que de 2 jours):

2 « J'aime »