Transport en commun - Discussion générale

Mais la majeure partie de l’imposition est relatif à une mesure sur lequel c’est capturé: revenu (impôt), coût (TVQ), valeur en terme de plus-value (foncière), et sert déjà aux services essentielles…

… services essentielles dont les coûts sont justement chroniquement critiqué, parce que c’est juste un gros sac d’argent qui se déplace sans vraiment mesurer l’efficacité.

Et de ces taxes, la taxe à l’achat est celle qui est la plus équitable et la moins évitable selon divers économistes. C’est le modèle de l’utilisateur-payeur.

Bref, pour moi le modèle de financement autour du REM ($ par passager/km, captation foncière) est une alternative vers lequel le reste du système devrait converger vers, et non le contraire qu’on a subit historiquement.

Il y a une grosse différence entre une redevance pour payer une infrastructure qui a un effet positif direct sur la valeur d’une propriété et une taxe sur le développement comme le 20-20-20. Un développeur immobilier va pouvoir vendre un logement plus cher si il est à proximité du TeC. Pour le 20-20-20, c’est pas du tout le cas.

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Ça me fait penser à la taxe à la densification. Elle ne devrait pas soulever tant de critiques du milieu académique et de l’industrie, et pourtant. (même des représentants de l’industrie c’était insurgés contres les redevances du REM et l’adoption du modèle pour le prolongement de la ligne bleue). C’est pourtant des sommes allant — supposément — directement dans les infrastructures et services aux nouveaux résidents.

C’est bien vrai.

Mais ça a aussi l’effet de diminuer l’accessibilité des secteurs qu’on veut encourager le développement. Ça reste un montant de plus à payer pour habiter un endroit. Je prenais uniquement l’angle de l’abordabilité et du coût de construction. Je ne dis pas que c’est un mauvais principe du tout, mais on peut lui trouver des problèmes.

Le 20-20-20, en théorie, est supposé couvrir le coût d’un service essentiel, en comparaison. Techniquement l’objectif est essentiel, mais c’est vrai que ça n’apporte pas la plus-value d’une infrastructure comme le REM (ou avec des bénéfices très indirects).

Ce serait sur le nombre d’employés, un concept déjà bien présent dans la fiscalité. Mais je ne défend pas la mesure ici (ce n’est pas mon idée et je n’ai pas d’opinion particulière sur la chose), je pense juste qu’elle n’est pas aussi bancale que ça, n’étant pas un concept si ésotérique. Mais je pense que tu voudrais changer beaucoup de choses en profondeur, alors ça change la perspective, c’est certain.

On critique aussi le prix de l’épicerie.

Il n’y a pas qu’une façon de mesurer l’efficacité cependant, et cette mesure n’a pas la même toujours la signification. Je n’ai pas la même attente dans mes placements que ce que je m’attends du système de santé. Et ça ne veut pas dire que notre système public roule en l’absence de contrôle non plus (aussi imparfait soit-il). C’est un débat complexe, dont je reconnais les mérites des arguments que tu avances, mais je pense que la question va beaucoup plus loin.

Il faut aussi reconnaître ses limites: ce modèle ne s’applique pas sur tous les projets, la Caisse l’ayant démontré clairement. Mais je suis aussi très ouvert à cette façon de faire. Mon problème est qu’à la pièce, on se retrouve à pénaliser certains projets tout en continuant d’encourager d’autres, sans réel connexion avec des objectifs de société plus complexes. Si, par exemple, l’aménagement urbain était conçu sur un principe utilisateur-payeur plus fort, la densité, le TEC, le transport actif deviendrait beaucoup plus attrayants, parce que ces choses sont fondamentalement moins coûteuses pour la société. Mais il faut tempérer avec le fait que c’est une approche peu populaire sur de nombreux plans.

Pour voir l’autre extrême, il suffit de regarder une ville comme Dallas / Fort Worth et Houston qui est très permet de construire à peu près n’importe quoi n’importe où.

C’est vraiment anarchique comme ville, avec des usines directement à coté de résidences, et des bureaux sur l’autre coin de rue. C’est une ville dont la banlieue n’en fini plus. C’est vraiment difficile de desservir correctement une ville comme ça avec le transport en commun.

C’est le royaume de l’automobile, avec certaines des autoroutes les plus large du continent. La Katy Highway, c’est hallucinant à quel point c’est large. C’est 6 voies par direction, plus les voies de service qui ont habituellement 2-3 par direction, plus les rampes, plus les voies payantes… #OneMoreLane

Il y a un juste milieu entre trop de régulation et trop peu.

C’est drôle, je viens de voir passer cette personne sur X qui s’amuse à ajouter des voies au Katy Highway avec l’aide de l’IA selon le nombre de j’aime obtenus, une voie par 5 j’aime :wink:

https://twitter.com/heademptyset/status/1735112149444460903

La personne a décidé d’arrêter à cette image :sweat_smile:

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AnalyseTransport au Québec : avancez en arrière

Le débarcadère de la station Henri-Bourassa.

Les sociétés de transport souffrent financièrement, et Québec a accepté d’éponger une partie de leur déficit.

Photo : Radio-Canada / Ivanoh Demers

Publié à 4 h 00 HNE

Si on veut réussir la transition afin de s’éloigner des énergies fossiles, pour reprendre l’esprit de l’entente conclue à la COP28, il faut résolument poursuivre et accélérer les investissements dans le transport collectif. Or, sur ce plan, le Québec avance à pas de tortue.

Je dirais même, comme il est écrit dans les autobus de la Société de transport de Montréal (STM) : Avancez en arrière! On n’a pas du tout l’impression que le gouvernement Legault a pris la pleine mesure de l’urgence et qu’un plan structuré, clair, ambitieux et, surtout, rapide est en train de se déployer.

Le REM de l’Est à Montréal a été annulé et on se demande toujours ce que le projet pourrait éventuellement devenir. À Québec, le troisième lien Québec-Lévis, avec sa dernière mouture en transport collectif, a été annulé, tout comme le tramway. On attend ici l’analyse de CDPQ Infra en 2024. Les travaux de consultation sur ce qui ressemble à la ligne rose de la mairesse Valérie Plante à Montréal sont suspendus.

Et on a appris il y a quelques mois que la mise en service du nouveau tronçon de la ligne bleue du métro, qui inclut cinq stations, est reportée d’au moins un an, ce qui nous amène en 2030. Et le seul consortium pouvant creuser le tunnel pour prolonger la ligne bleue menaçait jusqu’a récemment de se retirer. Le consortium aurait fait différentes demandes à la STM pour réduire certains frais. La période de l’appel d’offres a dû être prolongée de nouveau.

Des projets bloqués, des sociétés en difficultés financières

Les sociétés de transport souffrent financièrement, alors que l’achalandage n’est pas revenu aux niveaux d’avant-pandémie. Québec a accepté de payer une partie du déficit des sociétés, soit 265 millions de dollars. Mais ce n’est que 70 % de ce manque à gagner.

Les sociétés sont donc condamnées à couper dans leur budget. À Montréal, c’est 255 postes qui seront supprimés et c’est 86 millions de dollars en réduction de dépenses qui ont été annoncées. La STM prévoit aussi trouver des économies de 100 millions de dollars sur cinq ans.

Si la STM tente de se faire rassurante en affirmant qu’elle ne réduira pas le service, il est clair qu’en mode compressions, il est difficile d’envisager des ajouts de lignes ou des passages plus fréquents.

Alors, une question fondamentale se pose : quelle est donc la vision du gouvernement Legault en matière de transport collectif? Depuis cinq ans, Québec annule, reporte, transforme, retire puis ramène des projets de transport. Les déclarations publiques sont contradictoires, les estimations sont approximatives, des projets sont condamnés dès qu’on évoque des coûts qui semblent trop élevés.

Québec investit surtout dans le réseau routier

Dans le Plan d’infrastructure 2023-2033, Québec prévoit des investissements de 31,5 milliards de dollars dans le réseau routier contre 13,8 milliards pour le transport collectif. C’est près de 70 % des investissements qui vont au réseau routier. Et près du quart de la somme prévue pour le réseau routier représente une bonification de l’enveloppe. C’est ça, la priorité?

Or, selon un rapport du CIRANO, préparé par les chercheurs Marcelin Joanis et Pierre-Carl Michaud, le gouvernement Legault devrait investir dans le maintien de ses actifs routier plutôt que d’en ajouter de nouveaux. Les sommes prévues dans le plan d’infrastructure ne sont pas suffisantes pour prendre en charge le déficit actuel en maintien d’actifs au cours des prochaines années, selon les experts.

Le déficit en maintien d’actifs est de 3600 $ par habitant au Québec, alors qu’il n’est que de 1100 $ en Ontario, écrivent-ils. À l’heure actuelle, le déficit en maintien d’actifs représente 6,5 % du PIB. Au rythme actuel, il sera de 14,4 % en 2037-2038 et de 33,3 % en 2047-2048.

C’est intenable et c’est insoutenable sur le plan des finances publiques. En s’appuyant sur ces données, il est clair que le gouvernement du Québec doit orienter ses investissements vers l’entretien de ce qui existe déjà et concentrer ses bonifications financières sur le transport collectif. N’est-il pas temps d’amorcer ce virage?

Transport : une mobilité déficiente

De plus, force est de constater que la mobilité au Québec est de moins en moins fluide. Nous voici cinq ans après l’élection de la Coalition avenir Québec et on cherche encore un plan crédible pour développer la mobilité sur le territoire. Non seulement les projets de transport public n’avancent pas, mais on apprenait récemment que le transport interurbain n’était plus que l’ombre de lui-même.

Selon l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques, depuis 1981, le nombre de départs hebdomadaires a chuté de 85 % pour passer de 6000 à seulement 882 par semaine. Et dans les six dernières années, c’est le tiers des départs qui ont disparu.

Le manque de fonds publics en transport interurbain est montré du doigt, alors que ce secteur reçoit moins de 1 % de l’enveloppe destinée au transport collectif.

Le gouvernement Legault a également annoncé la fin du Programme d’aide pour le maintien des services aériens régionaux essentiels, qui avait pour objectif de soutenir les transporteurs régionaux malmenés par la pandémie. En réaction, Pascan Aviation a décidé de mettre fin aux vols directs entre Mont-Joli et les grands centres. Depuis le 4 décembre, l’entreprise n’offre que deux vols hebdomadaires vers Wabush, au Labrador.

Québec a aussi réduit de 30 % le nombre de billets d’avion à 500 $ disponibles dans le cadre de son Programme d’accès aérien aux régions (PAAR) pour l’année 2023-2024, un programme qui n’a pas connu le succès escompté. Il ne répond pas durablement aux enjeux du transport aérien régional au Québec, dont les activités sont continuellement chambranlantes et menacées.

Bien sûr, les infrastructures de transport urbain, les trajets régionaux par autocar et les vols aériens entre les régions du Québec sont trois dossiers distincts, mais ils soulèvent tous une question centrale : n’y a-t-il pas un enjeu de taille en matière de mobilité durable au Québec?

Comment expliquer l’incapacité de ce gouvernement à faire avancer et fonctionner les projets qui doivent permettre de faciliter les déplacements des citoyens en régions urbaines et entre les régions du Québec?

La réalité, c’est qu’on parle beaucoup, mais les actions sont modestes et manquent de cohérence. Il y a bien sûr le REM qui a été lancé cette année dans la grande région de Montréal. Mais ce projet a été introduit par Philippe Couillard et a été mené par la Caisse de dépôt, qui continue de le défendre malgré des problèmes et des retards.

Le transport doit être au coeur des solutions pour réussir notre transition énergétique. C’est urgent.

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Texte d’opinion de Phillip Schnobb dans Le Devoir

LE REM, exemple à suivre ou un cas unique?


Christinne Muschi, La Presse canadienne
Le REM s’implante principalement sur des emprises du ministère des Transports, précise l’auteur.

Philippe Schnobb
L’auteur a fait carrière en journalisme et en gouvernance du transport collectif.
15 décembre 2023
Libre opinion

Les discussions autour des coûts des grands projets de transport collectif sont fréquentes et parfois déterminantes pour la réalisation d’un projet. Malheureusement, elles sont parfois décalées parce qu’elles se basent sur la comparaison des coûts par kilomètre sans égard aux particularités des projets.

Un article de l’agence Bloomberg à ce sujet a récemment été porté à l’attention du public. L’agence compare les coûts de construction du REM à ceux d’autres grands projets en Amérique du Nord et estime que c’est un modèle à suivre.

Ces comparaisons sont hasardeuses quand on compare des projets en cours de réalisation au Québec à des projets qui se font ailleurs sans savoir ce qui a été inclus dans les coûts dévoilés publiquement. Est-ce le coût final ou l’évaluation initiale ? A-t-on inclus les frais de financement sur 30 ans et le coût des expropriations ?

Il n’y a pas de doute que CDPQ Infra réussisse à mener un projet à un coût estimé qui défie toute comparaison, c’est tout à son honneur. Mais il y a une explication à cela.

Le REM se déploie dans un contexte très particulier, qui peut difficilement être mis en parallèle avec d’autres chantiers. Conséquemment, plusieurs paramètres font en sorte que la comparaison « dollar par kilomètre » est hasardeuse.

Le REM s’implante principalement sur des emprises du ministère des Transports, le long de l’autoroute 10 et de l’autoroute 40, et bénéficie d’une servitude. S’il avait fallu exproprier l’équivalent des terrains nécessaires comme c’est le cas dans la plupart des grands projets, tel que le prolongement de la ligne bleue, on peut imaginer que le projet aurait coûté beaucoup plus cher ou n’aurait tout simplement jamais vu le jour.

Le REM traverse le pont Samuel-De Champlain grâce aux deux voies réservées au transport collectif. La réalisation de ce tablier central constitue la contribution d’Infrastructure Canada au projet du REM ; elle représente plusieurs centaines de millions. Cette utilisation du tablier central est assujettie à un droit de passage (dont le montant n’est pas connu), mais on peut certes conclure que le REM ne se serait pas rendu à Brossard s’il avait fallu financer la construction d’un pont pour traverser le fleuve. De plus, les frais liés à l’utilisation du tablier central se trouvent dans les frais d’exploitation annuels et non dans le calcul des coûts du projet.

CDPQ Infra a fait l’acquisition de la ligne de train de Deux-Montagnes et du tunnel sous le mont Royal au coût de 125 millions, un montant inférieur à la valeur comptable, si bien que le gouvernement du Québec a dû verser une compensation de 45 millions à EXO, qui en était propriétaire. On peut facilement conclure que le projet aurait coûté beaucoup plus cher s’il avait fallu exproprier des terrains à leur valeur marchande jusqu’à Deux-Montagnes et creuser un tunnel sous le mont Royal.

Il y a aussi le fait que les coûts pris en compte par CDPQ Infra se limitent au REM lui-même, à ses piliers, voies, stations, matériel roulant, mais ignorent tous les ouvrages complémentaires réalisés par ses partenaires et sans lesquels le REM ne serait pas fonctionnel : accès aux stations, équipements de perception, station de l’aéroport. Sans oublier les mesures d’atténuation financées par le ministère des Transports et les modifications à leurs infrastructures qu’ont dû faire les municipalités. Tout cela mis ensemble, il y en a pour près de deux milliards !

Ces éléments sont fondamentaux dans le modèle d’affaires du REM et c’est ce qui en fait un projet intéressant pour le gouvernement, qui avait également à l’époque la volonté de soutenir un projet majeur de transport collectif en limitant les répercussions sur son endettement.

Le modèle d’affaires du REM est peut-être un exemple à suivre sur le plan financier, mais c’est un cas unique et il me semble hasardeux de comparer son coût par kilomètre aux autres projets de transport collectif, à moins de chercher des raisons pour les rejeter ou pour dénigrer ceux qui les ont planifiés. Comparer peut parfois devenir un risque mal calculé…

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L’art de mettre les choses dans leur véritable perspective. Une explication hyper pertinente et incontestable. Il faudra garder en tête ces détails, car elles montrent bien à quel point les expropriations sont la partie invisible majeure des coûts de constructions. Ce qui ramène sur terre les opposants au tramway et d’autres projets de transports publics structurants. Alors cessons de critiquer les coûts en omettant l’essentiel du budget le site d’implantation lui-même.

Il a fait plus que de la gouvernance du transport collectif. C’était le président du conseil d’administration de la STM. Il n’est pas neutre et il faut ajuster l’optique de ses propos.

C’est vrai, mais ça fait parti des choix à faire. Rien n’empêche, techniquement parlant, les compagnies de transports (STM/EXO) de faire de même.

Ce paragraphe était le plus intéressant du texte. Je ne savais pas, ou j’ai oublié, la partie redevance pour le pont. Le fait que soit dans les frais d’exploitation est intéressant dans l’optique que les coûts auraient pu être plus bas que les .72$+ sans cela.

Absolument vrai, et en même temps c’était la bonne chose à faire, économiquement parlant. La ligne Deux-Montagne stagnait et n’était pas utilisé à son plein potentiel. Si le REM livre ce qu’il a promis, on sera beaucoup plus prêt de cela.

En même temps, on ne peut pas blâmer une entité de responsabilités qui ne lui appartient pas.

Pour la station de l’aéroport, c’est beau de dire que c’est en retard ou que CDPQi n’a pas payé pour, mais c’était à la demande d’ADM.

Et au final c’est un projet qui avance, contrairement aux autres projets qui ont étés notamment perturbés à cause de l’endettement associé à ces initiatives. Voici un exemple qui met en relief les limites financières d’une entité gouvernementale.

L’existence, ou pas, du REM Taschereau définiera si c’est bien un projet unique.

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En prenant en compte, les chiffres de cette article (que je trouve de très mauvaise qualité, par exemple, il se base sur quoi en disant 800 millions pour le Pont Samuel de Champlain quand le projet comportait les éléments suivants:
-* le nouveau pont Samuel-De Champlain de 3,4 kilomètres;

  • un nouveau pont pour L’Île-des-Sœurs de 470 mètres;
  • l’élargissement de l’autoroute 15 entre l’échangeur Atwater et le nouveau pont;/li>
  • l’amélioration des bretelles de la route 132 et de l’autoroute 10 sur la Rive-Sud menant au pont.

et que le montant contient un 700 millions pour l’entretient et la remise a neuf (que le REM paye certainement avec son bail)

Alors, en prenant les chiffres avancé dans l’article plus le 1,95G de cout supplémentaire du projet on arrive à un cout de 158 millions par KM qui est très bon.

Le SRB Pie-IX c’est 472,5 millions juste pour la partie TC pour 11KM, on parle quand même de 42,95 millions par KM pour une ligne de bus dans une emprise déjà existante.

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Faire du transport collectif un choix de société | LesAffaires.com

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Extrait de l’article en question:
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Now that Ottawa and Montreal both have tram connections to their train station, I did a REM → VIA Rail → O-Train voyage to visit some friends, I recorded it in snippets and though that folks might find it interesting.

When their respective airport connections open, I want to do a sequel “from Ottawa Airport to Montreal Airport… by Rail” :wink:

From Montreal’s South Shore to West Ottawa by Tram & Rail

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À votre connaissance, est-ce qu’il existe une association ou organisation au Québec qui fait la promotion du transport ferroviaire de passager? Soit la promotion en général ou qui fait la promotion d’un projet précis de train interurbain ou de train régional.

J’ai fait une recherche rapide et je n’ai rien trouvé. Il y a Trajectoire Québec qui fait la promotion du TC en général, mais pas spécifiquement des projets ferroviaires.

Un message a été fusionné à un sujet existant : Train Montréal-Sherbrooke (corridor ferroviaire Estrie-Montérégie)

3 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Axe Jean-Talon

La 30 Saint-Denis a un bus électrique! C’est nouveau?

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Quand les arrêts d’autobus sont mal localisés/aménagés

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Je pense c’est déjà un bon début pour l’argument de réduire le nombre d’arrêt de bus.

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La 51 ouest a deux arrêts à l’avenue du Parc: un avant, un après. Je suis perpétuellement surpris qu’on n’en n’ait pas déjà annulé un. Le réseau bus a un paquet d’arrêts à moins d’une centaine de mètres de distance. C’est un travail qu’on devrait urgemment faire, idéalement avant même la refonte du réseau bus dans les secteurs où elle n’est pas prévue avant 2027.

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