Très probable! J’étais assise au café 49th Parallel au coin de Notre-Dame et McGill cet après-midi et j’ai vu le groupe circuler sur Notre-Dame en direction Est.
L’agence de mobilité durable vient d’installer deux casiers sécurisés conçus pour six vélos chacun, l’un sur la rue Fleury à l’intersection de la rue Chambord et l’autre au Plateau-Mont-Royal, sur la rue Rachel, à l’intersection de la rue Papineau, près du parc La Fontaine. Il s’agit d’un projet pilote de 18 mois, réalisé en collaboration avec la Ville de Montréal.
Cette expérience-test permettra d’évaluer l’utilisation des stationnements sécurisés en vue d’un déploiement dans plusieurs pôles de mobilité à travers la ville. « Ce projet pilote part du constat qu’il y a un réel besoin de stations sécurisées pour vélos. Il nous permettra de faire l’évaluation du fonctionnement des installations en tout temps et notamment en période hivernale », explique, en entrevue avec JDV, Laurent Chevrot, directeur général de l’Agence de mobilité durable. « On veut constater par exemple, s’il y a des bogues dans le système et dans quelle mesure la formule choisie correspond bien aux attentes des citoyens. »
L’Agence considère que l’endroit choisi sur Fleury est bien placé pour devenir l’un des principaux pôles de mobilité de la ville.
Ma première fois faire les cours avec mes nouveaux paniers. J’aime bien être capable d’acheter le plus grand contenant de quelque chose sans me faire mal au dos!
oh je suis curieux, c’est quoi le guidon que tu as d’installé sur ton vélo ?
C’est le Vélo Orange « Crazy Bar ». Mon vélo avait un guidon très droit qui était pas bon pour moi. Pendant les dix années précédentes j’utilisais un vélo à dix vitesses des années 1970s avec un guidon « drop » et j’ai bien aimé la position avant pour gagner de la vitesse. Mais quand je faisais les cours je voulait un guidon avec une position plus verticale.
J’ai fait beaucoup de recherche. Il y a beaucoup de designs pour les guidons alternatifs, et c’est difficile à savoir lequel est le mieux pour toi. Mais j’ai emprunté un vélo avec un guidon « bullhorn » et je l’ai bien aimé, et le Crazy Bar c’est comme un bullhorn attaché à un guidon plus traditionnel.
J’utilise exclusivement la position verticale en hiver, mais la position avant est un bon option en été! J’ai besoin des options de position pour les longues promenades à vélo, et j’aime aussi être capable d’éviter le vent. Je dois ajouté la guidoline quand la temperature est moins frigide, pour le confort.
Ajout: malheureusement le site-web WhatBars n’a pas encore le Crazy Bar v2, mais on peut comparer le VO « Curvy » aux autres guidons. Le Crazy Bar c’est le Curvy avec les horns ajouté.
On peut voir que mon nouveau guidon est beaucoup plus ergonomique pour les positions verticales que mon ancien. Je suis plus vertical·e, et mes poignets ont un meilleur angle.
Et pour la position droite, mes mains sont un peu plus près du centre que le guidon « drop ».
à Lyon, une étudiante en génie a inventé un cadenas qui libère une odeur de putréfaction quand quelqu’un essaie de le couper
Elle l’a mise en marché pour 180 euros → https://www.cactuslock.com/
L’antivol CactUs Lock a été inventé par Aïko, une étudiante lyonnaise de 22 ans. Un objet qui contient un gaz à base de putrescine, la molécule de la putréfaction, dont l’objectif est de faire en sorte que le voleur n’essaie même pas de voler le deux-roues.
La jeune ingénieur s’appuie alors sur ses compétences en physique des matériaux et en chimie pour imaginer un cadenas tellement répulsif que personne ne voudra le couper en deux. Et quoi de pire que l’odeur d’un corps en décomposition ? «J’ai fait appel à la nature. La putrescine est la molécule de la putréfaction. Elle n’est absolument pas toxique mais est totalement horrible. Quand on la sent, le cerveau fait un raccourci et toutes les autres odeurs autour sont associées à elle pendant plusieurs jours» , raconte Aïko qui l’a appris à ses dépens lors des phases de tests, son shampoing à la vanille ayant eu pendant quelque temps pour elle une odeur extrêmement désagréable.
Avec l’aide de son père, elle imagine donc ce cadenas, qui comprend un gaz à la putrescine sous pression. Cet antivol vert et jaune pétant avec des pictogrammes chimiques est là pour prévenir le voleur de ce qu’il risque en le brisant.
Un message a été fusionné à un sujet existant : Réseau cyclable du Grand Montréal
à l’émission Ça vaut le coût de Télé-Québec
Vélos à assistance électrique: quoi savoir avant d’acheter! | Ça vaut le coût
Voici comment bien planifier votre achat de vélo électrique. Parce qu’entre le prix, le moteur, la batterie et le poids du vélo, le choix de votre modèle doit être réfléchi!
L’arrondissement Ahuntsic-Cartierville vient de publier sa programmation vélo qui inclut des cours de vélo, des prêts d’équipement, etc.
Nouvelle vidéo de Tom Babin sur comment bien barrer son vélo avec différents types de cadenas
Spot the mistake I made locking 8 different bike locks
It can be tough to lock your bike in a way that will keep it safe and secure. So I thought we’d play a game to welcome a new sponsor on board to test your knowledge of properly locking your bike.
J’en ai vu plusieurs au cours des dernières semaines. Je crois qu’Intelcom a en grande partie repris les livraisons d’Amazon pour secteur.
Ça fait moins de camions de livraison dans les voies cyclables!
C’est la première fois que je vois ce modèle, les autre c’est avec le cargo en avant. J’ai aussi vu plusieurs quitter l’entrepôt qui ce retrouve sur la rue bridge à coté de poste canada.
Un message a été fusionné à un sujet existant : BIXI et vélopartage - Actualités
C’est Masse Critique cette soirée! On départ du Monument Sir-George-Étienne-Cartier à 17:30!
Reportage de la Radio Télévision Suisse (RTS)
Accidents en hausse: les sales blessures des vélos et trottinettes électriques | RTS
Une explosion d’accidents toujours plus graves : c’est le résultat de la multiplication de vélos et trottinettes électriques dans nos rues. Avec des victimes et des soignants, 36.9 dresse le bilan de cette mobilité pas si douce.
Un reportage de Alain Orange / Olivier Paul / Fabien Wohlschlag / Benjamin Radice / David Puntener / Marc Thill / Valérie Wacker
Il est question d’accidents dans cette édition de 36.9. Parce que la santé publique, c’est aussi s’intéresser aux statistiques des blessures, des accidents graves et des décès qui augmentent quand une nouvelle pratique se démocratise, alors qu’elle est mal encadrée ou du moins insuffisamment. Depuis 2005, il s’est vendu plus de 1,5 million de vélos électriques en Suisse. On estime qu’aujourd’hui 20 % des ménages en possèdent au moins un. Il faut dire que ce moyen de transport a tout pour plaire. Il est rapide, efficace, écolo, il permet de faire un peu d’exercice tout en évitant les bouchons et les galères de parking. Mais ce succès a un revers : les urgences des hôpitaux voient défiler tous les jours des victimes d’accidents souvent graves. Et les lits des services de neurologie sont aujourd’hui parfois bien plus occupés par des traumatismes crâniens que par des AVC. Il faut d’urgence mieux informer les usagers et miser sur la prévention pour améliorer encore plus le rapport bénéfice-risque du vélo électrique. Le reportage d’Alain Orange et Olivier Paul.
On ne devrait d’ailleurs pas parler de vélo électrique. C’est un raccourci de langage incorrect, mais bien de VAE pour « vélo à assistance électrique ». Parce que c’est tout l’intérêt de ces deux roues. Le moteur ne remplace jamais entièrement l’effort musculaire, surtout si on choisit un mode d’assistance modérée ou économique pour se déplacer. C’est tout l’inverse avec un autre engin de plus en plus répandu : la trottinette électrique. Les bénéfices pour la santé sont nuls puisque le moteur fait tout le travail. Et là on vous prévient tout de suite, on ne va pas faire le débat sur l’aspect encombrant et pénible de ces deux roues dans les transports publics et sur les trottoirs. On reste sur le thème de l’accidentologie car il plane comme une énorme sous-estimation des risques, comme on le voit dans le reportage. On n’imagine pas toujours dans l’euphorie de la vitesse cheveux au vent, ce que la rencontre avec l’asphalte peut avoir de brutal. Alors attention, les témoignages du reportage sont illustrés par des images qui sont susceptibles de heurter les personnes sensibles.
Pour faire de la prévention efficace, il faut tenir compte de l’évolution des usages. Si les gens font l’effort d’abandonner leur voiture pour le vélo, alors on doit leur aménager des pistes dédiées, sûres et rapides, avec autant de soin et d’énergie qu’on a mis pour aménager l’espace public en faveur des voitures. Adapter également les transports publics qui accueillent vélos et trottinettes. Et puisque les VTT à assistance électrique fleurissent dans les stations de montagne pour séduire plus de clientèle, à elles d’aménager des parcours séparés des sentiers pour randonneurs. Le coût pour la collectivité de chaque blessé est tellement élevé que c’est un bon calcul économique de tout faire pour minimiser le nombre d’accidents.
Très belle job de journaliste je trouve! Ils relitivisent les statistiques choquantes comme l’augmentation des blessures en vélo électrique. Le reportage n’est pas juste sur le fait que tu peux avoir des accidents plus graves avec des véhicules à assistance électrique, mais les journalistes ont vraiment remontés aux racines du problème sans politiser la chose. Ils expliquent même la motonormativité de manière neutre et directe.
À l’étape où nos sommes dans nos médias Québécois, j’ai l’impression qu’ils auraient mis la faute sur la visibilité des usagers de vélos électriques, qu’ils auraient expliqué la motonormativité comme un discours d’activistes de “lobbys de la gauche” et présenté une contre-partie avec Robert Poëti qui dit que les chauffeurs d’auto en ont assez, pour terminer en faisant la conclusion que les vélos à assistance électrique et les trottinettes sont les plus grands dangers de ce monde.
Je l’ai tu dis ou je ne l’ai pas dit!? Les vélos, c’est bien dangeureux!
mais le casque n’a pas protégé sa clavicule
Je crois que le problème est surtout les gens qui se mettent à faire du vélo sans connaître le CSR, et comment faire du vélo en milieu urbain (ex. dépassement des autres cyclistes, priorité aux piétons, signaler ses intentions avec le bras, etc.)