Tramway de Québec

Personnellement, j’aurai préféré que ce soit un métro qui soit construit. Considérant qu’ils font déjà l’effort de construire des voies dédiés pour une bonne partie du réseau, c’est vraiment dommage.

Le problème du Tramway, c’est que c’est un mode de transport qui est sujet aux aléa du traffic. Ça donne quelque chose dans ce genre:

Light Rail Dash Cam Compilation Volume 2
TRAM CRASHES💥 AND CLOSE CALLS (+ crazy situations) Honest Guide

Disons que ça promet pour le futur considérant à quel point Québec est une ville qui aime l’automobile. La cohabitation pourrait s’avèrer difficile et ça pourrait causer de nombreux retards.

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Les groupes d’opposition des projets à Québec et à Montréal semblent apprendre l’un de l’autre. :unamused:

Le tramway, un mauvais pas pour la mobilité durable de la région

FERNAND TRUDEL

On ne parle que du tramway pour relier le centre-ville et la partie Ste-Foy de la ville de Québec. C’est un faux débat. Ni la rive-sud, ni l’est, ni le nord, ni l’aéroport ne sont desservis. On ne désengorgera pas les ponts et le réseau routier régional de cette façon. On pousse le problème aux phases subséquentes.

Le tramway n’est pas un dossier régional, mais local réservé à deux arrondissements centraux sur six de la ville de Québec.

Il faut repenser non seulement le territoire du RTC, mais de toute la région et pour se faire transférer les pouvoirs en matière de transport collectif sous toute forme à une instance régionale. Une pause s’impose et une réflexion à l’échelle régionale est nécessaire et urgente.

Ce n’est pas à un maire de dicter la vision régionale de la mobilité durable, ni de nous faire dépenser quatre milliards pour un projet incomplet et diffus. On ne parle jamais des phases subséquentes qui vont multiplier les milliards de fonds publics inutilement.

Je demande au gouvernement du Québec d’amorcer une discussion publique sur une vision régionale du transport collectif sous toutes ses formes. L’intégration au niveau métropolitain des modes de transport est la seule voie à une mobilité durable et efficace.

Faites comme à Montréal où vous êtes retourné à l’ARTM par manque d’acceptabilité sociale le projet de REM de l’est.

S’il vous plaît, retournez à la CMQ le pouvoir de coordonner la mobilité en transport enlevé par la loi 26 du ministre Bonnardel en juin 2019 sous l’appellation «Loi concernant le Réseau structurant de transport en commun de la ville de Québec».

https://www.lesoleil.com/2022/08/30/le-tramway-un-mauvais-pas-pour-la-mobilite-durable-de-la-region-f528e03123bcd3cccfe720ed3bde77eb

Il faut arrêter de donner autant d’attention à des gens qui ne maîtrise pas du tout le sujet mais qui prenne un ton de «spécialiste».

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Au moins, les travaux préparatoires… vont bon train ! :station: :+1:

Tramway de Québec : travaux préparatoires dans le secteur Chaudière

Portail Constructo | 30 août 2022


Crédit : Ville de Québec

La Ville de Québec entame les travaux de déboisement et de décontamination menant à la construction du futur centre d’exploitation et d’entretien (CEE) du tramway.

Les travaux visent en premier lieu à réhabiliter une zone contaminée de 1,5 hectare anciennement utilisée comme dépotoir. Les terres contaminées et les matières résiduelles seront transportées à l’extérieur du site pour être traitées et enfouies conformément aux exigences environnementales en vigueur. Le déboisement de cette superficie est préalable à sa décontamination.

Une seconde phase de travaux, de décembre 2022 à février 2023, consistera en le déboisement du reste du site du CEE, correspondant à une superficie d’environ 3,5 hectares. Rappelons que la Ville de Québec s’est engagée à compenser les superficies déboisées avec un ratio de 1 pour 1 dans le cadre de la réalisation du tramway.

La construction du CEE devrait débuter en 2023. L’échéancier détaillé sera déterminé par le Partenaire privé – Infrastructures qui sera sélectionné à l’été 2023.

Source : Ville de Québec

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On ne parle que du tramway pour relier le centre-ville et la partie Ste-Foy de la ville de Québec. C’est un faux débat. Ni la rive-sud, ni l’est, ni le nord, ni l’aéroport ne sont desservis. On ne désengorgera pas les ponts et le réseau routier régional de cette façon. On pousse le problème aux phases subséquentes.

Oh non ! On ne peut pas desservir l’ENTIÈRETÉE de la ville de Québec avec la 1ère phase du tramway. Dans ce cas, mieux vaut ne rien construire ! :clown_face:

On ne parle jamais des phases subséquentes qui vont multiplier les milliards de fonds publics inutilement.

Inutilement ? Je comprend même pas leur argument rendu là. C’est pas inutile si les phases subséquentes servent à élargir le territoire desservit.

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Par ailleurs, ça ne se rends pas sur la Rive Sud parce que Lévis s’est retiré du projet initial qui incluait un SRB sur le territoire et le provincial a forcé la ville à couper dans le projet pour maintenir un budget global de 3G$, puis changé le tracé du tram pour l’envoyer à Estimauville au lieu de Charlebourgs.

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Suggestion de Marco Chitti, en complémentarité au Tramway de Québec:

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C’est vraiment bon ça. Un genre de train de banlieue mais en moderne.

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J’adore !! :heart_eyes: :joy:

Une campagne pro-tramway dans le style de la radio parlée

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(Québec) À peine les élections sont-elles terminées que la Ville de Québec lance une nouvelle offensive pour convaincre ses citoyens des bienfaits du tramway : une campagne de publicité dans le style de la radio parlée.

5 octobre 2022 | Publié à 15h23 | GABRIEL BÉLAND | LA PRESSE

Les créateurs ont imaginé un personnage qui rappelle un animateur de radio. « Tom Tramway » est à la barre de l’émission fictive « Gros bon sens », « l’émission où on réfléchit en commun même si c’est juste moi qui parle ».

Le premier segment a été diffusé mercredi, notamment sur les ondes de CHOI Radio X, où les animateurs sont ouvertement contre le projet cher à l’administration municipale. Il s’attaque à l’idée selon laquelle la création d’un réseau de tramway va défigurer Québec.

« Y’a du monde contre le tramway parce qu’ils trouvent qu’il y a trop de fils électriques comme c’est là. Ben vous avez raison, il y en a trop. Et vous savez quoi ? Avec le tramway, il va y en avoir moins. Ils vont tous être enterrés sous le trajet sauf un par direction », lance Tom Tramway.

La campagne au coût de 113 830 $ sera diffusée « sur l’ensemble des radios commerciales, communautaires et étudiantes de Québec », a précisé le porte-parole de la Ville de Québec, David O’Brien.

Elle « vise à rectifier certaines perceptions », dans « une approche ludique », note M. O’Brien.

Sur la page Facebook Tramway de Québec, on peut lire : « Vous avez probablement déjà participé à un de “ces soupers" où il s’en dit des affaires au sujet du tramway… ! »

« Des fois on peut s’y fier, des fois moins. Au cours des prochaines semaines, Tom Tramway nous partage son opinion avec des faits vérifiés. Ça fait du bien, n’est-ce pas ? »

Plusieurs animateurs de la radio parlée de la capitale ont adopté une attitude très négative envers le projet de tramway. Encore mercredi, sur les ondes de Radio X, Dominic Maurais parlait « d’un mauvais projet, trop cher ».

Un autre animateur de la même station a ajouté que le maire de Québec était « un peu crosseur » de voir dans l’élection de la CAQ un nouveau signe de l’appui de la population envers le tramway.

Le projet de quelque 4 milliards vise à doter Québec d’un premier système structurant de transports en commun. En mai dernier, un sondage Léger montrait que seuls 44 % des citoyens de Québec étaient d’accord avec le projet, et 51 % étaient contre.

Le maire de Québec, Bruno Marchand, s’est engagé à publier régulièrement des sondages d’opinion payés par la Ville au sujet du tramway. Il pense pouvoir convaincre ses citoyens du bienfait du projet d’abord présenté par Régis Labeaume en 2018.


Autre clip sur la chaîne YT du Tramway de Québec :

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Trolling EXPERT!!!

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I have repeatedly suggested the same thing for the exo4 Candiac line.

«Plein support» au tramway, assure Jonatan Julien

Taïeb Moalla | Journal de Québec | Publié le 27 octobre 2022 à 12:56

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Même s’il a évoqué le printemps dernier la condition d’un appui à 50% + 1 de la population au tramway de Québec, Jonatan Julien, nouveau ministre responsable de la Capitale-Nationale, a assuré que le gouvernement Legault est «en plein support» au mégaprojet de la Ville de Québec.

• À lire aussi: Tramway: Jonatan Julien promet d’être un «allié indéfectible» au maire de Québec

«Notre gouvernement, on est en plein support au projet de tramway. On est en plein support dans le Réseau express de la Capitale. Sans l’ombre d’un doute, au conseil des ministres, tout le monde est derrière ces projets-là (pour) l’ensemble des éléments pour la mobilité améliorée dans la région de Québec», a laissé tomber le ministre Julien, jeudi matin, en marge d’un point de presse à l’hôtel de Ville de Québec où il se trouvait pour la deuxième journée consécutive.

Assis côte à côte, M. Julien et le maire Marchand semblaient s’entendre à merveille et ont assuré avoir convenu d’une façon de procéder pour maintenir les canaux de communication continuellement ouverts entre eux.

Le ministre Julien a d’ailleurs salué les «efforts» de communication menés actuellement par l’administration municipale pour susciter «l’adhésion» de la population. «Actuellement, le projet va de l’avant et on le supporte», a-t-il insisté.

Aucun des deux politiciens n’a voulu s’avancer quant à un plafond de dépenses au-delà duquel l’appui financier au tramway pourrait ne plus être assuré. Les deux ont également exclu l’idée d’amputer le projet d’une portion du tracé.

Prudence sur la deuxième phase

Interrogé par ailleurs quant à une possible deuxième phase de tramway qui pourrait se rendre à Charlesbourg, M. Julien, qui est lui-même député de Charlesbourg, est demeuré extrêmement prudent.

«À Charlesbourg – et moi j’ai fait des milliers de portes lors de la dernière campagne -, la desserte par le Métrobus est hyper efficace. Ça fonctionne bien. Les délais et la transition du secteur si on veut aller au centre-ville, ça fonctionne bien», a-t-il signalé.

Interrogé sur le même sujet, le maire Marchand est également resté évasif. «Présumons qu’il y aurait une deuxième phase, on est dans une mise en service en 2030, 2032, 2033 (…) En ce sens-là, dans les dix prochaines années, il faut se rabattre sur ce qui fonctionne bien et d’améliorer le service d’autobus notamment», a-t-il soutenu.

Assurant souhaiter une deuxième phase du tramway, il a toutefois ajouté ces bémols : «Où va-t-elle aller? On verra. Quand on va être prêts à la faire? On n’est pas rendus là. On n’a pas parlé de ça au gouvernement (…) Je crois à une deuxième phase pour Charlesbourg, pour Lebourgneuf et pour l’aéroport. Maintenant, est-ce que ça va être un tramway? Est-ce que ça va être un service différent? On va prendre le temps de l’évaluer.»

Engagement brisé, déplore l’opposition

Il y a exactement un an, lors de la dernière campagne électorale municipale, une des dix promesses de Québec forte et fière (QFF), parti du candidat Marchand, évoquait pourtant clairement le tramway comme mode choisi pour la deuxième phase.

«Phase 2 : Le futur développement du tramway s’orientera impérativement sur les trois nouveaux axes Centre Vidéotron-Charlesbourg, Place Fleur de lys – Galeries de la Capitale – Lebourgneuf, direction vers l’Aéroport international Jean-Lesage (YQB)», promettait QFF.

Alicia Despins, conseillère municipale de Québec d’abord, s’est immédiatement inquiétée de cette sortie du maire. «Il n’y a même pas un an, M. Marchand disait qu’en 2022, il allait définir ce qu’était, selon lui, la deuxième phase du tramway. Moi, ce que j’ai perçu aujourd’hui, c’est qu’il reculait sur cet engagement électoral-là», a-t-elle vivement déploré.

https://www.tvanouvelles.ca/2022/10/27/plein-support-au-tramway-assure-jonatan-julien

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Le tramway encore confronté à un seul soumissionnaire

Émilie Pelletier, Le Soleil
Simon Carmichael, Le Soleil
2 décembre 2022 14h29
Mis à jour à 19h34

Seule Alstom saute dans le train pour fabriquer les wagons du tramway de Québec, alors que le groupe Siemens s’est officiellement retiré de la course. Mais cette fois, la Ville de Québec aurait décidé de ne pas recommencer le processus et de négocier avec l’unique soumissionnaire restant.

Le groupe Siemens a décidé de ne pas déposer d’offre à la Ville de Québec afin de décrocher le contrat de la conception et de l’entretien du matériel roulant du tramway, selon des informations d’abord rapportées par Radio-Canada puis confirmées par Le Soleil.

«On ne fait pas partie du processus», valide le chef de la direction de Siemens, Yves Desjardins-Siciliano, joint par téléphone en soirée, vendredi.

La multinationale française Alstom, propriétaire de Bombardier, se retrouve donc la seule toujours qualifiée pour l’appel d’offres.

Ce retrait définitif de la firme Siemens confirme ce qu’elle avait déjà laissé planer quelques mois auparavant.

En juin, Le Soleil révélait que Siemens remettait en question sa participation au processus d’approvisionnement en raison de critères jugés trop contraignants. L’allemande souhaitait notamment proposer des wagons hybrides, alimentés par fils et batteries. Une technologie qui n’a pas fait ses preuves, selon l’administration municipale.

Questionné sur les motifs ayant mené au refus de Siemens de demeurer dans la course, M. Desjardins-Siciliano informe qu’il est «exact» d’affirmer qu’ils sont les mêmes que ceux évoqués cet été.

Le refus du Bureau de projet d’analyser sa proposition aura eu raison de la concurrence. Le gouvernement du Québec fait pression pour que la capitale ne serve pas de banc d’essai et réclame plutôt une technologie éprouvée dans des conditions hivernales.

Déjà vu

Le tramway de Québec rejoue ainsi dans le même film qu’en juin 2021.

Jusqu’alors regroupé en une seule entente, le processus d’appel d’offres n’avait permis de recueillir qu’une proposition. Pour éviter de négocier une entente de gré à gré avec un partenaire, l’ancien maire Régis Labeaume avait annoncé la reprise complète de cette étape de réalisation.

Les appels d’offres avaient ainsi été scindés en deux volets: le matériel roulant et les infrastructures, qui représentent respectivement 20% et 80% des contrats du projet.

Pour la deuxième fois en autant de tentatives, la Ville de Québec se retrouve donc devant un seul fournisseur potentiel, pour la construction des rames du tramway.

Or, contrairement à l’été 2021, elle pourrait décider de ne pas recommencer à zéro la quête d’un partenaire, d’après Radio-Canada. Le temps presse et elle ne veut plus déroger aux échéanciers. D’autant plus que la mise en chantier officielle est prévue en 2023.

Les mois qui passent font en effet grimper la facture. En plus d’année de retard, l’arrêt des premiers appels d’offres a engendré des coûts supplémentaires d’environ 100 millions $, selon les estimés du Bureau de projet de tramway.

Et il en serait de même pour chaque année de plus, advenant le cas où la mise sur rails devrait être repoussée après 2028.

Mais cette fois, faute de compétition, la Ville pourrait bien se retrouver à la merci d’une offre à un prix plus élevé que celui espéré. Le contexte inflationniste n’ayant rien non plus pour faire tendre les coûts à la baisse.

Les coûts inconnus

Il y avait de quoi se douter que tout ne tournait pas rond. Rumeurs et spéculations au sujet des délais allaient bon train depuis le début de l’automne, alors qu’aucune information sur les appels d’offres — pourtant conclus depuis le mois d’octobre — n’avait encore été rendue publique.

Le calendrier prévoyait bel et bien un choix final du partenaire privé à l’automne 2022, mais la Ville de Québec se refusait catégoriquement à révéler si elle avait reçu des propositions, indiquant que l’ensemble du processus d’approvisionnement se doit de demeurer privé jusqu’à sa fin.

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Sait-on s’il y a des exigences de contenu local dans l’AO pour les véhicules du réseau de tram de Québec?

Tramway de Québec | Les opposants au projet évoquent un vaste conflit d’intérêts


PHOTO YAN DOUBLET, ARCHIVES LE SOLEIL
« Mensonges », « tricheries », « tromperies envers les citoyens », « mauvaise foi » … L’avocat Guy Bertrand n’a pas mâché ses mots au palais de justice de Québec.

(Québec) Le procès intenté aux gouvernements par des opposants au tramway de Québec afin de faire dérailler le projet a commencé lundi avec des allégations de conflit d’intérêts au sommet de l’État. Une procureure qui représente Québec a dénoncé des arguments « qui nourrissent des théories du complot ».

Publié à 12h36
Gabriel Béland
LA PRESSE

« Mensonges », « tricheries », « tromperies envers les citoyens », « mauvaise foi » … L’avocat Guy Bertrand n’a pas mâché ses mots au palais de justice de Québec.

« Vous devez rejeter le décret [du gouvernement en faveur du tramway], car il n’a pas été fait avec honnêteté envers la population », a lancé l’avocat.

Me Bertrand a laissé entendre que la décision de la Ville de Québec et du gouvernement Legault d’aller de l’avant avec le tramway découlait d’un conflit d’intérêts apparent.

Selon lui, les autorités ont décidé de construire un tramway qui va profiter à l’entreprise française Alstom, de laquelle l’État québécois est actionnaire par le biais de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

Me Bertrand a aussi soulevé des doutes sur l’indépendance d’un spécialiste embauché par le ministère des Transports du Québec (MTQ) pour analyser le projet de tramway. Jean-Marc Charoud avait conclu que le tramway était le bon moyen de transport en commun pour la capitale dans un rapport de novembre 2020.

Or, coup de théâtre selon Me Bertrand, l’homme a été nommé quatre mois plus tard au conseil d’administration de CDPQ Infra, une apparence de conflit d’intérêts.

« Il a une théorie du complot et veut la mettre devant vous », a réagi Gabrielle Ferland-Gagnon, avocate pour le Procureur général du Québec. Québec est mis en cause devant la Cour supérieure, car le gouvernement entend financer une partie importante du projet estimé à quelque 4 milliards de dollars.

Les sous-entendus de Me Bertrand « nourrissent des théories du complot envers l’État québécois et les médias », a-t-elle ajouté.

« Je trouve ça très péjoratif, l’expression théorie du complot », a rétorqué Me Dominique Bertrand, du cabinet de Guy Bertrand. « Ça manque de respect envers les plaignants. »

La poursuite a fait entendre ses deux premiers témoins lundi matin dans le cadre de ce procès qui doit durer cinq jours. Les requérants demandent l’arrêt du projet jusqu’à la tenue d’un référendum.

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Ça ne fait pas sérieux.

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S’il y avait conflit d’intérêt à chaque fois que l’état faisait affaire avec une compagnie dans laquelle la CDPQ était actionnaire, l’état ne ferait pas grand chose.

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Heureusement que je sais que c’est juste de l’humour, sinon je serais profondément découragé de savoir qu’après tout ce temps certaines personnes pensent encore vraiment que l’opposition au tramway de Québec est comparable à l’opposition au REM de l’Est.

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