L’opposition à ces projets est diversifiée et cette image n’a pas pour but d’en représenter la totalité. Elle réfère spécifiquement à deux groupes surreprésentés dans ces débats, qui se rejoignent dans leur pratiques et leur argumentaire spécieux.
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Après vérification, selon le projet de loi 26, il y a une exigence de 25% de contenu local pour la construction des trams.
Comme il n’y a que Alstom qui est présent sur le territoire, c’est sûr que tous les autres manufacturiers sont désavantagés et ça limite la concurrence.
À moins d’avoir un contrat énorme pour inciter la construction d’une ligne d’assemblage ici même, cet appel d’offres est clairement conçu pour avantager Alstom/Bombardier.
Si on avait voulu avoir une vraie mise en concurrence, on aurait des exigences de contenu local beaucoup plus basses.
D’ailleurs, il me semble que Calgary et Edmonton n’ont pas exigé de contenu local pour le matériel de la ligne verte et de la Valley line. C’est pourquoi ce sont Hyundai-Rotem et CAF respectivement qui ont remporté les contrats.
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Je suis prêt à parier que cet avocat, Me Guy Bertrand, est le genre d’avocat qui est prêt à se remplir les poches en utilisant des “idiots utiles” qui vont se vider les poches pour étaler et allonger les procédures à la cour de justice dans l’espoir de bloquer le projet.
La raison pour laquelle je mentionne ceci est parce-que ce genre d’histoire est déjà arrivé quand l’un des voisins de mon grand-père a voulu le poursuivre pour un moins que rien, pour un problème ridicule qui aurait simplement pu être résolu par une simple discussion. L’avocat de ce voisin avait certainement senti la bonne affaire en étalant les procédures de justice.
En fin de compte, ça ne sera pas les opposants du projet du tramway qui vont gagner, mais ça sera certainement leur avocat.
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On pourrait dire ça de Guy Bertrand.
Quelqu’un peut lui expliquer qu’Alstom n’a pas un monopole pour la fabrication de trams ?
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Ou encore que les mêmes conditions qui favorisent Alstom pour l’appel d’offre du tram de Québec l’auraient quand-même favorisé si la ville avait opté pour un métro ou un VAL tel qu’exigé par le regroupement qu’il représente?
Je mettrais ma main au feu que Hitachi ou Hyundai n’auraient pas plus soumissionné sur l’approvisionnement du matériel roulant. Au mieux, peut-être que Siemens aurait maintenu sa candidature, mais rien n’est moins sûr.
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Un VAL pour Québec aurait été génial. Je ne pense pas qu’il y aurait eu d’opposition de la part des citoyens.
Aérien, ou au sol, oui. Il y a bien des gens qui ne veulent de TEC que si la construction ET l’infrastructure sont invisibles ou presque. Tunnel, tunnel, tunnel.
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J’espère que cette phase 2 va arrivé, et ça sera un tramway
Bien mérité pour ces NYMBY et leurs soit-disant experts. 
Les experts des opposants au tramway écorchés en cour
Stéphanie Martin | Journal de Québec | Publié le 7 décembre 2022 à 12:03 - Mis à jour à 12:16
Partialité, manque de rigueur, militantisme, non-pertinence, partisanerie : les experts qui ont témoigné en cour pour les opposants au tramway ont été fortement écorchés mercredi.
• À lire aussi: Un référendum «obligatoire», plaide l’avocat des opposants au tramway
• À lire aussi: Début du procès: Le tramway, «un viol», selon une opposante
C’est au tour des procureurs de la Ville de Québec de plaider, au palais de justice, dans le troisième jour du procès sur la légalité du projet de tramway.
L’avocate Kathy Lévesque est revenue sur les témoignages et rapports des experts Fanny Tremblay-Racicot, Clément Gosselin et Denis Poussart.
La veille, l’avocat de Québec mérite mieux, Guy Bertrand, avait insisté sur le fait que les avocats de la partie défenderesse n’avaient pas contre-interrogé les experts et que conséquemment, ils n’étaient «pas contredits».
Me Lévesque a recadré : si la Ville et le gouvernement ont choisi de ne pas produire de contre-expertise, dit-elle, c’est qu’on prétend que les expertises ne sont «pas utiles au débat».
Demande de rejet
Elle a décortiqué le travail de chacun des experts, demandant au juge Clément Samson de considérer leurs expertises «complètement inutiles» et de les rejeter.
Elle souligne que Fanny Tremblay-Racicot utilise des «termes exagérés et peu nuancés», «s’est activement impliquée dans le débat public sur le tramway» et a «pris la parole lors d’assemblées citoyennes contre le tramway organisées par les demandeurs».
De plus, ajoute Me Lévesque, «le fait de reprendre des faits non prouvés qui découlent de complots discrédite les conclusions et sa qualité d’expert».
Elle fait référence ici au fait que Mme Tremblay-Racicot parle d’une «entente secrète qui, pour elle, vicie tout le processus». Or, les mots exacts employés par l’experte dans son rapport sont : «une entente politique entre le maire de Québec et le premier ministre du Québec de l’époque».
Clément Gosselin et Denis Poussart ne citent quant à eux «aucune source, sinon des sources partisanes», apportent peu de précision, ce qui revient à demander de «prendre ça pour du cash» et font preuve d’un «manque total de rigueur», a affirmé l’avocate.
Selon elle, il faut retenir que ces experts ne prouvent pas que la décision de faire le tramway est déraisonnable. Au mieux, ils démontrent que s’ils avaient été en position décisionnelle, ils n’auraient pas choisi ce mode.
«La raisonnabilité des décisions est un spectre qui implique plusieurs issues possibles.»
Termes virulents
La procureure a souligné la virulence des termes utilisés par les opposants depuis deux jours.
«Dans les derniers jours, j’ai entendu parler de désastre humain, de projet destructeur pour la vie, de projet infernal, corrompu, malsain. Ce qui me frappe, c’est que j’oublie de quel projet on parle. C’est pas un projet sale de centrale nucléaire sur les Plaines. C’est un projet de transport en commun électrique pour la population de Québec.»
Elle a noté d’autres éléments qui selon la Ville doivent être considérés inadmissibles en preuve. Par exemple, les insultes, les théories du complot, les ouï-dire. «J’aimerais souligner l’usage de déclarations, de propos franchement exagérés, de figures de style dénigrantes à la limite de la diffamation. Ils n’ont pas leur place dans un débat démocratique et encore moins dans une cour de justice.»
Elle a cité des termes comme «violeurs», «mauvaise graine», «totalitaire», «jihadiste pro tramway», qu’on retrouve dans des déclarations sous serment d’opposants.
«Des qualificatifs injurieux et des jugements de valeur qui ne constituent pas des faits dans un débat comme le nôtre.»
Par ailleurs, la Ville de Québec a détaillé toutes les démarches, consultations et études menées depuis 2010, en commençant par le Plan de mobilité durable, pour arriver au projet de tramway.
https://www.tvanouvelles.ca/2022/12/07/les-experts-des-opposants-au-tramway-ecorches-en-cour-1
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Voici un autre excellent clip, réalisé par Rail Fans Canada (et soulignons ici le très bon travail de @sseguin613 
) : 
Building an Iconic Tramway Line in a Historical City: An Overview of Quebec City’s Future Tramway
Rail Fans Canada
8 déc. 2022Following decades of studies and varied plans, Quebec City is moving forward with their first new tramway line. Join us as we explore the various aspects of the project in this brief overview.
The line will measure 19.3 km and go from Le Gendre to Estimauville, passing through the most important hubs of the city. It will be the first tramway line in the city since the closure of its historic streetcar network in 1948 due to declining ridership. The inspiration for the new line can be found in France, with its tramway renaissance and similar focus on design, ease of access and mobility.
We are very excited to follow on the progress of the project over the coming years and look forward to be onboard the very first trains in 2028.
Video by David Bellerive (@dbellerive15).
To learn more about the project, make sure to visit our website: https://www.railfans.ca/rail-systems/…
For the latest updates on the project: https://tramwaydequebec.info
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Tramway : Legault s’entend avec Trudeau pour un partage des dépassements de coûts
Félix Morrissette-Beaulieu
2022-12-20 | Mis à jour hier à 16 h 33
Le premier ministre François Legault assure s’être entendu avec Ottawa pour un partage des dépassements de coûts du tramway de Québec.
Au terme de sa rencontre avec le premier ministre du Canada, François Legault a dit avoir eu une confirmation de la part du gouvernement canadien. On s’est entendus pour que le fédéral respecte son pourcentage pour les dépassements de coûts.
François Legault a souligné qu’avec l’inflation, il y a beaucoup de projets financés par le provincial et par le fédéral qui vont enregistrer des dépassements de coûts. Je pense entre autres au tramway de Québec, à la ligne bleue [de métro] à Montréal puis à la construction de la voie de contournement ferroviaire à Lac-Mégantic.
« On s’est entendus pour que les dépassements de coûts soient assumés par les deux gouvernements dans la même proportion qui était convenue dans les estimations préliminaires. »
— Une citation de François Legault
Une mise à jour des coûts associés au projet de tramway doit être réalisée en 2023 par l’administration Marchand.
Bruno Marchand satisfait
Sans surprise, le maire de Québec s’est réjoui de l’intention affirmée des gouvernements.
On est à 8,9 % pour la VDQ, plus ou moins 40 % pour le gouvernement fédéral et plus ou moins 50-51 % pour le gouvernement du Québec, a précisé le maire Marchand en ce qui concerne le partage des coûts. Évidemment, il reste les ententes à signer. Est-ce que le fédéral va finir à 40 %, 38 %, dépendamment des possibilités qu’il a en fonction de ses programmes? Tout ça reste à valider.
« On vient confirmer ce qu’on avait demandé, qui était de dire que ce n’est pas vrai que les surplus liés aux coûts vont être payés au tiers par les partenaires, ce que la Ville de Québec ne pouvait pas assumer. Ça, c’est une excellente nouvelle. »
— Une citation de Bruno Marchand
Malgré les hausses de coûts qui viendront comme dans tout projet présentement, le gouvernement fédéral va être présent, a ajouté le premier magistrat.
Selon le maire, il s’agit d’une extraordinaire nouvelle pour les gens de Québec. Je pense que ça doit rassurer M. Villeneuve. Il va pouvoir passer un meilleur Noël. On n’a aucune indication qu’on doit être inquiets.
Redevances
Questionné à savoir comment le maire entend payer près de 10 % des dépassements de coûts, le maire de Québec dit avoir fait une demande officielle cette semaine au gouvernement du Québec pour avoir accès à une redevance sur les nouveaux projets construits le long du trajet de tramway.
Ce n’est pas une captation de la plus-value foncière, c’est les nouveaux projets qui devront payer une redevance en fonction du fait qu’ils vont bénéficier de l’arrivée d’un transport structurant notamment dans la valeur de leur bâtiment qui va grimper en flèche, parce que c’est comme ça partout dans le monde.
La Ville n’écarte pas d’imposer cette redevance pour une durée qui pourrait aller jusqu’à 25 ans.
Pour l’instant, sans compter l’inflation, la Ville devra payer 353 millions $ pour le projet de réseau de transport structurant.
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quelles entreprises forment la ModerniCité?
Les journalistes québécois semblent vraiment fixés sur les problèmes de la ligne 1 d’Ottawa. Comme s’il n’y avait aucun tram ou métro dans le monde roulant à l’extérieur dans des conditions hivernales.
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Biais de récence (recency bias), mais il y a quand même beaucoup de parallèle:
- Près de nous
- Récent
- Dans un contexte climatique similaire
- Dans un contexte politique similaire
Aussi, l’O-Train a le bénéfice d’être le premier: tomber dans le même panneau suciterait des critiques d’une amplitude supérieure.
Franchement je ne les plains pas.
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Oui, car il y a aussi… Toronto, avec son système de tramway (streetcars) qui roule depuis 1861!
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La différence avec le tram de Toronto c’est qu’il roule en pleine rue avec la circulation, donc soumis à la congestion au même titre que les bus. Seul les systèmes en site propre sont vraiment efficaces, en plus la capacité de ces trams est nettement supérieure à celui de Toronto.
Le tramway de Québec ressemble bien plus au Eglinton LRT qu’au Toronto streetcar
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… et Calgary et Edmonton. C’est sans compter les trains de Exo et Go Transit qui roulent aussi à l’extérieur, sur des rails de fer. La ligne Deux-Montagne, bien qu’alimentée par caténaire tombait très rarement en panne en hiver.
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Je suis fortement en désaccord avec cette affirmation.
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Les retards sur la ligne Deux-Montagnes étaient bien plus dus à l’âge des sous-stations électriques et aux usagers qu’à une faiblesse face à la météo… C’est un fait.
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