Tramway de Québec

Ajoutons Pierre Corriveau, président de l’Ordre des architectes; Anne Carrier, présidente de l’Association des architectes en pratique privée; Isabelle Giasson, présidente de l’Association des architectes de paysage; Carole Deniger, présidente de Héritage Montréal; Phyllis Lambert, directrice fondatrice du centre canadien d’architecture; Sophie Gironnay, cofondatrice de la maison de l’architecture du Québec; Philippe Poullaouec-Gonidec, professeur émérite et directeur de la Chaire UNESCO en paysage urbain de l’Université de Montréal…

Y’en a d’autres.

Tous des experts en aménagement qui ont soulevé le drapeau rouge pour le REM mais qui ne se sont jamais prononcés contre le tramway de Québec.

Donc les parallèles entre l’opposition contre le tramway et l’opposition contre le REM de l’Est, je suis désolé, mais ils ne tiennent absolument pas la route. Aucun rapport.

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Et ce n’est que la pointe de l’iceberg.

Un jour, le livre «Tout sur le lamentable échec du REM de l’Est» sera publié, et plusieurs vont tomber en bas de leur chaise.

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J’ai l’impression qu’on est en ce moment dans un DRAMA HBO… J’adore !!

À la NewsRoom ou LeftWing !!

C’est selon !

Et c’est assez de drama pour le moment :wink:

On peut retourner au tramway de Québec, ou si vous voulez discutez du REM de l’Est à nouveau, on a encore un beau sujet pour le faire:

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Au moins ce “lamentable échec” aura duré 2 ans. Et non 40 ans comme la ligne bleue.

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Si je comprend bien les deux seuls critiques du projet son la coupe d’arbres et le mode du tramway.

Je n’ai pas de données fermes au sujet, mais le tramway est certainememt le mode optimal concidérant la faible densité de la ville. Ça c’est sans mentionner le prix exorbitant d’un métro. Le bus ne fait pas la job concidérant la situation dans laquelle on se trouve.

Ensuite pour les arbres c’est malheureux, mais c’est un faible cout à payer. Si on concidère l’impact de l’étalement urbain sur les milieux naturels, ils sont à une échelle beaucoup plus grande que la coupe d’une quarantaine d’arbres

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@Verdure
Tu as parfaitement raison, le tramway est vraiment le type de transport en commun idéal pour une ville de la dimension de Québec, si on la compare aux autres villes similaires dans le monde. Quant aux arbres qui disparaissent, victimes du chantier, c’est un mal nécessaire qui peut être facilement compensé par des plantations dans le voisinage. D’ailleurs cet inconvénient disparaitra avec le temps car il n’est que ponctuel.

Tandis que l’énorme avantage d’un système de TEC structurant pour la vieille capitale sera une amélioration majeure pour son bilan CO2. Concernant le tram lui-même, c’est un mode de transport adapté à caractère universel, facilement accessible pour l’ensemble de la clientèle, silencieux, confortable, efficace et non polluant.

Alors laissons les radios-poubelle et les médias sociaux ultra conservateurs se discréditer eux-mêmes. Rien ne pourra arrêter la réalisation du tramway de Québec, dont le budget est nettement moins couteux qu’un métro souterrain et bien supérieur à un réseau d’autobus. En plus il sera adapté aux véritables besoins d’une ville moderne en matière de transport public et en accord avec tous les principes du développement durable.

Or, une fois inauguré, la population de Québec se demandera vraiment comment elle a pu s’en passer aussi longtemps.

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Peut-être une critique un peu plus nuancé…

https://www.tvanouvelles.ca/2022/07/10/tramway-de-quebec--le-manque-de-transparence-de-la-ville-denonce-par-un-expert

Sinon, je sort le Popcorn a lire vos dithyrambes !!

La proposition actuelle ne passera JAMAIS. La destruction de la canopée sur René-Lévesque et autres aberrations du même genre sont trop inacceptables pour avoir l’acceptation sociale. Le tramway, s’il voit le jour un jour, devrait passer par le boulevard Charest. Cela sera un catalyseur pour aménager une véritable entrée de ville dans la Basse-ville.

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Réseau structurant – Le tramway de Québec

Portail Constructo | 21 juin 2021 (Mise à jour le 22 juin 2022)

Réseau structurant – Le tramway de Québec. Crédit : Ville de Québec
Crédit : Ville de Québec

La Ville de Québec prépare le plus grand projet de son histoire : le tramway de Québec, un réseau de mobilité durable reliant Cap-Rouge à D’Estimauville.

Le réseau structurant vise entre autres 29 stations (dont deux souterraines) sur 19,3 km, incluant 2,1 km souterrains, deux terminus de fin de ligne, cinq pôles d’échange ainsi qu’un centre d’exploitation et d’entretien.

Les grands axes du chantier visent les infrastructures souterraines, la voirie de surface, les infrastructures de distribution d’énergie (gaz et électricité) et de télécommunications, le réseau d’éclairage, le système de signalisation et bien sûr, la construction de tunnels, infrastructures ferroviaires et bâtiments abritant notamment les stations.

Les travaux relatifs aux infrastructures souterraines permettront la relocalisation et le rebranchement des conduites d’aqueduc, d’égouts sanitaires et pluviaux ainsi que les branchements privés, sur pas moins de 84 km. La réfection de voirie prévoit notamment la mise en place de la plateforme du tramway et des rails. La reconfiguration complète des infrastructures de rue serait planifiée pour intégrer au projet les modes de transports actifs tels que la marche et le vélo. De nouvelles structures de rue devront être construites. Les tunnels seront construits sur 2,1 km. En amont sera réalisé l’aménagement urbain, qui intègrera du mobilier urbain et de l’aménagement paysager. Des stationnements incitatifs seront aménagés en périphérie, pour un total de 6 000 cases réparties en sept Parc-O-Bus.

De dimensions variables, les stations se déclinent en aires ouvertes – chacune intégrant une marquise protectrice de verre faisant office de « toit » – et en bâtiments fermés ou semi-fermés. Le concept de quai radiant est retenu pour toutes les stations de surface. Leur revêtement sera composé de béton coulé, de pavés de béton, de bandes en granite et de bandes podotactiles en fonte. Les stations souterraines comprendront un édicule hors terre vitré faisant office de point d’entrée. Des escaliers roulants et des ascenseurs relieront le bâtiment de surface aux quais d’embarquement souterrains. Toutes les stations seront séparées d’une distance approximative de 650 mètres.

Coût

3 965 G $

Parts de financement :

  • Gouvernement du Québec : 1 865 M$
  • Gouvernement du Canada : 1 200 M$
  • Ville de Québec : 300 M$

Partenaires

  • Réseau de transport de la Capitale
  • Gouvernement du Québec
  • Gouvernement du Canada

Promoteur et maître d’œuvre

  • Ville de Québec

Grandes étapes de réalisation

2018

Le projet du réseau structurant est lancé. La Ville de Québec amorce des travaux d’arpentage, de sondage des sols pour en déterminer la nature et la contamination, et de localisation des services de distribution d’énergie et de télécommunications. Ces données serviront à la conception du tracé du tramway.

2018-2019

Lancement des études préliminaires visant l’environnement, le portrait de la circulation et des infrastructures.

2018-2020

La conception préliminaire se poursuit.

28 février 2020

La Ville lance le processus d’approvisionnement pour la construction du tramway.

Juin 2020

Fin de la conception préliminaire par le Bureau de projet.

Juillet 2020

Audience publique du BAPE.

Dépôt des candidatures en réponse à l’appel de qualification.

Printemps 2021

Lancement d’un appel de propositions pour la conception finale et la réalisation du tramway.

Juin 2021

Reprise du processus d’approvisionnement avec une nouvelle formule et
obtention du décret environnemental pour le tracé de Le Gendre à Saint-Roch.

*** À la suite du lancement de l’appel de propositions le 30 avril 2021, la Ville de Québec a reçu un seul engagement de participation. Afin d’éviter de négocier de gré à gré avec un soumissionnaire unique, la Ville choisit de relancer un processus d’approvisionnement en deux temps, soit l’un pour trouver un partenaire privé pour livrer le matériel roulant et ses systèmes afférents et assurer l’entretien de la ligne de tramway, et un second pour réaliser la conception et la construction des infrastructures municipales et de transport.

Septembre 2021

Lancement simultané de deux appels d’offres de qualification distincts : l’un pour le matériel roulant de transport (plateforme du tramway, stations, pôles d’échanges, terminus, tunnel, centre d’exploitation et d’entretien) et l’autre pour les infrastructures municipales (voirie, aqueduc et égouts, réseaux techniques urbains, aménagements urbains).

Janvier 2022

Clôture de l’appel de qualification pour le matériel roulant. Les fabricants internationaux Alstom Transport Canada et Siemens Mobilité Limitée ont déposé leur candidature.

Février 2022

Clôture de l’appel de qualification pour les infrastructures. Mobilité de la Capitale et ModerniCité ont déposé leur candidature.

Hiver 2022

Dernier échéancier connu de l’appel de propositions pour les infrastructures de transport.

Avril 2022

Lancement de l’appel de propositions pour le matériel roulant.

Été 2022

Sélection du partenaire pour le matériel roulant.

Printemps 2023

Sélection du partenaire privé pour les infrastructures municipales.

Été 2023

Début de la fabrication des infrastructures de transport et mise en chantier des infrastructures municipales.

2023-2028

Réalisation des travaux d’infrastructures municipales et de transport, livraison du matériel roulant (tramway) et essais de conformité.

Calendrier de chantier

Déployé en quatre grandes phases, le calendrier d’exécution des travaux prévoit les grands axes de la nature des travaux pour chacune d’elle.

2020-2023

Travaux préparatoires : ils visent le réseau d’aqueduc et d’égout, les réseaux de distribution d’électricité, gaz et télécommunications, la décontamination de certains sites et terrains et la démolition de bâtiments.

La reconfiguration et l’élargissement de voies de contournement sont prévus pour permettre la bonne continuité des déplacements.

2020-2021

L’année 2021 a été consacrée aux travaux préparatoires reliés à la gestion de la circulation, à la déviation des réseaux souterrains ainsi qu’au réaménagement d’artères routières :

  • Pose de fibres optiques souterraines, afin de relier les feux de circulation au système central de gestion de circulation (le gestionnaire artériel), effectuée sur plusieurs kilomètres;
  • Travaux de relocalisation hors de l’emprise du tramway pour les réseaux techniques urbains d’électricité, de télécommunications et de gaz naturel, principalement dans le plateau Sainte-Foy et le quartier Saint-Roch;
  • Déplacements ou modifications de chambres de vannes dans certains secteurs;
  • Réaménagement de deux axes de circulation majeurs : la rue Dorchester et le boulevard Hochelaga, comprenant une remise à neuf de leurs infrastructures souterraines et de surface.

2023

Lancement de deux chantiers majeurs : début des travaux pour la construction du terminus Le Gendre, à l’Université Laval, et creusage du tunnel de la colline Parlementaire.

2024-2026

Déploiement des travaux sur l’ensemble du réseau structurant. Sont construits le réseau ferroviaire ainsi que le parc immobilier. Les travaux de creusage du tunnel de la colline Parlementaire entamés lors de la phase précédente se poursuivent.

2028

Mise en opération complète du tramway.

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Réseau structurant – Le tramway de Québec. Crédit : Ville de Québec

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Oh est-ce que le Popcorn Orville Redenbacher’s est en spécial cette semaine…

C’est jamais quand on en a besoin :pensive::face_exhaling::pleading_face::wink::upside_down_face::grinning:

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C’est toujours d’une grande intelligence les mouvements contre les transports en commun

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Épique!!!

Guy Bertrand as It finest…

Je sais il est souverainiste c’est voulu…

Incroyable!!

https://www.journaldequebec.com/2022/07/15/tramway-debut-des-plaidoiries-pour-linjonction-provisoire

Chers Membres!!

Oh thank god!


Le tramway de Québec reste sur les rails

Publié à 10 h 20

La Cour supérieure a tranché : l’injonction provisoire demandée par le groupe d’opposants Québec mérite mieux est rejetée. C’est donc dire que le projet de tramway reste sur les rails.

Dans un jugement de 30 pages, Clément Samson ne donne pas raison aux opposants au tramway, qui subissent ainsi un premier échec dans leur poursuite contre la Ville de Québec.

« Les demandeurs échouent dans leur démonstration d’un préjudice sérieux et irréparable imminent, de la prépondérance des inconvénients et de l’urgence. »
— Extrait du jugement de Clément Samson


Me Guy Bertrand, représentant de Québec mérite mieux. Photo : Radio-Canada / Pierre-Alexandre Bolduc

Demande renouvelable

Représenté devant la Cour par l’avocat Me Guy Bertrand, Québec mérite mieux souhaitait faire cesser les travaux du tramway pour une durée de 10 jours. Une demande renouvelable, alors que le débat sur la suite du projet aurait eu lieu.

Le directeur du bureau de projet craignait une suspension des travaux, ce qui mettrait selon lui carrément l’ensemble du projet en péril.

Me Bertrand ainsi que la Ville de Québec doivent réagir plus tard aujourd’hui.

Plus de détails à venir

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L’historique de Guy Bertrand n’est pas trop reluisant avec ses causes désespérées dont on ne compte plus les échecs. Faut croire que c’est payant puisqu’il en a fait une spécialité et qu’il renouvelle sans cesse ce genre de poursuites, en dépit de leur superficialité et de ses arguments souvent bancals.

En attendant voici cet article du Soleil Tramway: la Ville ressort ses canons juridiques pour exproprier rapidement | La Capitale | Actualités | Le Soleil - Québec

Article paru hier en fin de journée dans le Journal de Québec… avant l’excellente nouvelle d’aujourd’hui: :smiley:

Tramway: moins d’acquisitions que prévu à cause du changement de tracé


ILLUSTRATION COURTOISIE, VILLE DE QUÉBEC

JOURNAL DE QUÉBEC | Mercredi, 20 juillet 2022 17:07 | JEAN-LUC LAVALLÉE

La Ville de Québec a revu à la baisse ses besoins quant aux acquisitions d’immeubles et terrains le long du tracé du tramway. Désormais, 282 lots sont visés, en plus de 136 servitudes, et 8 % d’entre eux feront l’objet d’une démarche d’expropriation.

La Ville de Québec a fait parvenir au Journal, mercredi, la mise à jour que nous réclamions depuis belle lurette, dans la foulée du changement de tracé annoncé au printemps 2021. Rappelons qu’à la demande du gouvernement Legault, la Ville avait alors accepté de sacrifier le secteur Charlesbourg au profit de D’Estimauville à Beauport.

Le seul chiffre qui circulait, depuis deux ans, était périmé depuis longtemps. À l’époque, en juillet 2020, la Ville avait annoncé qu’elle procéderait à 352 acquisitions (partielles ou totales).

En ajoutant les servitudes, cela donnait un total de 477 lots ciblés, comparativement à 418, en date d’aujourd’hui.

Le nouveau bilan des expropriations et acquisitions prévoit donc une réduction d’une soixantaine de lots. Cela n’est guère étonnant puisque le nouveau tracé de 19,3 km a été raccourci d’environ 3 kilomètres. Les tronçons de Charlesbourg et Limoilou (1re Avenue) qui ont été abandonnés comptaient à eux seuls plus de 150 lots.

86 lots sur le nouveau tronçon

Le nouveau tronçon qui reliera le Pôle Saint-Roch au Pôle D’Estimauville nécessitera quant à lui 86 acquisitions (5 totales et 81 partielles), un chiffre qui n’est toutefois pas définitif. «Ce nombre pourrait varier considérant que les plans pour les réseaux techniques urbains sont toujours en cours», précise le porte-parole de la Ville, David O’Brien.

La Ville rasera notamment une station-service au carrefour de la 3e Avenue et de la 4e Rue dans Limoilou ainsi qu’une quincaillerie.

Démarches d’expropriation

La Ville rappelle qu’elle tente toujours de s’entendre de gré à gré avec les propriétaires concernés. Or, dans environ 8 % des cas, calcule-t-on, des procédures légales d’expropriation ont été ou devront être enclenchées afin de respecter les échéanciers du projet. Les négociations se poursuivent toujours de façon concomitante pour trouver un terrain d’entente, rappelle-t-on, afin d’éviter que le tribunal ait à trancher.

«À tout moment lors du processus de négociation, si le propriétaire accepte l’offre ou conclut une entente de gré à gré, le dossier d’expropriation sera évidemment fermé», précise-t-on.

Depuis le lancement du projet, 14 avis d’expropriation ont été envoyés. Un de ces dossiers s’est finalement réglé de gré à gré.

«Au cours des prochaines semaines, 21 propriétés additionnelles seront visées par un processus d’acquisition par expropriation», apprend-on dans des documents judiciaires déposés par la Ville dans le cadre de la demande d’injonction visant à stopper le projet de tramway.

«Des 21 propriétés visées, 19 sont détenues par des grandes sociétés commerciales qui oeuvrent notamment dans les domaines de l’assurance, du développement immobilier, de la vente au détail (grandes surfaces), de la restauration et de l’hôtellerie», précise-t-on.

Les acquisitions devront être complétées au printemps 2023 pour la portion située entre le Pôle Le Gendre et Saint-Roch puis au printemps 2024 pour le segment entre Saint-Roch et D’Estimauville.

Un budget inconnu

La Ville n’a toutefois pas été en mesure de préciser le budget prévu pour réaliser la totalité des acquisitions. À l’origine, une enveloppe de 210 M$ avait été annoncée, sur un budget total de 3,3 milliards $, lequel avoisine maintenant les 4 milliards $. «Le montant global est en cours de révision puisque la conception n’est pas terminée et que le nombre d’acquisitions peut encore varier», explique-t-on.

Jusqu’à présent, près de 42 M$ ont été dépensés pour acquérir 88 lots. Cinq autres lots ont déjà été acquis, pour un total de 93, mais les montants de ces transactions ne sont pas encore disponibles.

Avec la collaboration de Taïeb Moalla

https://www.journaldequebec.com/2022/07/20/tramway-moins-dacquisitions-que-prevu-a-cause-du-changement-de-trace#cxrecs_s

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Tramway de Québec : les travaux préparatoires s’amorcent à Cap-Rouge

Portail Constructo | 28 juillet 2022


Crédit : Ville de Québec

La Ville de Québec procédera au cours des prochains jours à des travaux de préparation de site le long de la rue Mendel.

Cette intervention servira à libérer l’espace nécessaire pour aménager une aire de transbordement qui permettra de rendre le site opérationnel et d’assurer le respect des échéanciers pour la réalisation des travaux préparatoires de décontamination et de déboisement du site du futur centre d’exploitation et d’entretien (CEE) du tramway annoncé en mai dernier.

Une première phase de travaux, de septembre 2022 à février 2023, vise à décontaminer une superficie de 1,5 hectare sur le site du CEE. Cette zone, autrefois utilisée comme dépotoir, sera réhabilitée.

Une seconde phase de travaux, de décembre 2022 à février 2023, consiste en le déboisement du reste du site du CEE, correspondant à une superficie de 3,5 hectares.

Source : Ville de Québec

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Le parti vert qui s’oppose au tramway en faveur d’un métro parce qu’on doit “couper plus de 1000 arbres”.

:clown_face:

J’imagine que c’est ce qu’on gagne à réduire l’écologisme et la préservation de l’environnement à la préservation de verdure en milieu urbain.

Il me semble que le parti vert devrait, normalement, être le premier à reconnaître les délais nécessaires pour réétudier, replanifier et refinancer un métro sous terrain coûteraient plus cher sur le plan environnemental que la coupe et le remplacement de ces arbres.

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:clown_face::clown_face:

Déjà que ça cause un tôlé de construire un tram à Québec, je verrais pas comment la population accepterais de construire un métro 2x plus cher. Aussi, les arbres c’est une excuse bidon, ils veulent simplement caler le projet (ils se sont alliés avec Québec Mérite Mieux) pour peut-être aller chercher de l’électorat aux élections d’octobre. J’ai jamais vu un parti vert sérieux s’opposer à un projet de transport en commun pour des raisons niaiseuses.

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