Réseau cyclable montréalais - Discussion générale

Je viens de réaliser que si le PPCMOI du 1990, rue William est adopté, il y aura un lien cyclable protégé sur la rue William et la rue Ottawa entre les rues McGill et Chatham qui permettrait d’éviter la piste multifonction achalandée du canal de Lachine et ses viaducs étroits près de la tour d’aguillage Wellington et le pont des Seigneurs

Sur adoption du PPCMOI, le passage entre la rue William et le canal aura 3 mètres de largeur et sera cédé à la Ville, car Parcs Canada ne veut pas d’accès privé direct au canal; c’est pour ça que les cours intérieures des différents projets le long du canal ont des « barrières »

Même si le passage est piétonnier, je crois qu’il y aura un gain en temps (et confort) même si on doit descendre du vélo.

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Il y a eu une séance d’information sur l’aménagement d’une pistes cyclable sur Legendre et L’Esplanade (Il y a plusieurs citoyens qui posent des questions à ce sujet au Conseil municipal ce soir)

Présentation est ici : https://portail-m4s.s3.montreal.ca/pdf/ac_legesp2023_si.vfinale.pdf

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Inquiétudes autour des pistes cyclables sur Christophe-Colomb

journaldesvoisins.com | Transport | Publié le 24 mars 2023 | Amine Esseghir, journaliste de l’Initiative de journalisme local (IJL)


La piste cyclable sur l’avenue Christophe-Colomb. (Photo: François Robert-Durand, archives JDV)

La majorité des questions posées par les citoyens autour du projet de deux pistes cyclables unidirectionnelles sur l’avenue Christophe-Colomb soulignent la crainte de voir le flux réduit de véhicules sur cette grande artère déborder sur les rues adjacentes, voire dans les ruelles. Sinon, globalement, le projet semble bien accueilli.

Même avec une voie de circulation en moins dans chaque sens, la Ville de Montréal ne craint pas de congestion importante du trafic sur les rues parallèles. C’est ce que les citoyens ont appris lors d’une soirée d’information virtuelle sur le projet de pistes cyclables unidirectionnelles sur l’avenue Christophe-Colomb, tenue le 22 mars.

«L’expérience a démontré – on a vécu cela sur Saint-Denis [avec le Réseau express vélo (REV)] – que les débits Nord-Sud vont se distribuer naturellement sur les axes qui sont adjacents. On pense à De Lorimier, à Papineau, à Saint-Hubert qui sont à proximité. Certains usagers vont décider de faire leur transit Nord-Sud sur d’autres axes plutôt que de le faire sur Christophe Colomb», a assuré Ralph Vicière, ingénieur à la Ville de Montréal qui répondait aux questions des citoyens.

La Ville n’a pas fait d’étude d’impact en amont sur la circulation automobile, mais des comptages seront effectués à partir de maintenant.

La rencontre a réuni 225 personnes. Même si les questions étaient nombreuses, les intervenants semblaient en général satisfaits du projet.


Sur Christophe-Colomb, deux voies de circulation automobile seront retirées pour permettre l’aménagement de pistes cyclables. (Image : Ville de Montréal)

Grand chamboulements

La Ville avait annoncé au début de février l’aménagement d’une piste cyclable continue sur sept kilomètres entre le boulevard Gouin, à Ahuntsic-Cartierville, et la rue Saint-Grégoire dans Le Plateau-Mont-Royal. La piste traversera deux autres arrondissements, Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension et Rosemont–La Petite-Patrie.

En 2023, les travaux consisteront à installer des bollards, à sécuriser des intersections, à changer des séquences de feux de circulation et à effectuer du marquage au sol pour une mise en service à la fin de l’été.

En 2024, alors que des travaux de reconstruction de l’avenue Christophe-Colomb entre Jarry et Jean-Talon seront menés, on verra aussi apparaître les structures définitives en béton, à l’image du REV sur Saint-Denis ou Lajeunesse.

À Ahuntsic, le tronçon de trois kilomètres de l’avenue Christophe-Colomb qui traverse l’arrondissement sera concerné par l’ajout d’une piste parallèle à l’actuelle entre la rue de Louvain Est et l’avenue Émile-Journault. Cette dernière existera toujours, mais servira à ceux qui roulent lentement, à vélo.

L’autre grand changement dans le quartier se verra dans l’harmonisation des heures d’interdiction de stationnement en heure de pointe avec le reste de l’avenue et bien entendu avec la disparition d’une voie de circulation de chaque côté.

Pas que pour les cyclistes

Au-delà des arguments écologiques et de réduction des gaz à effet de serre ou de la pollution de l’environnement, le projet vise à accommoder les usagers du vélo. Selon les comptages effectués, ils sont de plus en plus nombreux dans les rues de Montréal.

Sur la rue Boyer, parallèle à Christophe Colomb où une bande cyclable bidirectionnelle existe, le comptage présenté par la Ville signale 1474 cyclistes en un jour, soit l’équivalent de ce qui roule sur le REV.

Par ailleurs, fort d’un sondage mené après le démantèlement des Voies actives et sécuritaires (VAS) de 2020, le taux de personnes sondées satisfaites de cet aménagement s’élève à 86 %.

Ce qui est prévu aujourd’hui sur Christophe-Colomb est une copie quasi conforme de ce qui s’est fait en 2020. Toutefois, la sécurité et le respect des limitations des vitesses et l’apaisement de la circulation sont aussi mis en avant dans ce projet.

«Depuis le décès de la petite Mariia [Legenkovska] en décembre, dans le Centre-Sud, les gens demandent qu’on apaise la circulation, qu’on réduise les vitesses. Il y a sur [Christophe-Colomb] trois écoles primaires, une école secondaire. C’est très difficile de respecter des limites à 30 km/h quand on a quatre voies de larges devant soi. Donc, en rétrécissant les voies, on va aider les conducteurs à ralentir […]. Christophe-Colomb fait aussi partie du Réseau vert du Québec qui va d’Oka à Saint-Hilaire. On a énormément de gens qui souhaitent se déplacer à vélo pour toutes sortes de raisons au quotidien et on pense qu’il faut aller vers cela. On va offrir le plus possible des pistes sécuritaires, accessibles, qui donnent le goût de faire du vélo», a relevé Marianne Giguère, conseillère de Ville dans l’arrondissement Le Plateau-Mont-Royal et conseillère associée à la mobilité et aux transports actifs au comité exécutif de la Ville de Montréal.

Lors de la rencontre, il a été précisé que les aménagements cyclables touchent à peine 3 % des rues de Montréal.

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Y sont rapides à trouver tous les problèmes du monde causés par les pistes cyclables? 3eme guerre mondiale? chute de l’empire américain (quoique c’est mal parti dans leur cas…), effet papillon et tremblement de terre au Japon?

Bof, la critique négative attire toujours plus que le positif alors faut pas s’en faire, c’est bien normal se laisser les gens ventiler un peu et tôt ou tard tout rentre dans l’ordre.

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oui j’avoue.

Pas vraiment sur le réseau cyclable, mais un commentaire qui revient souvent de la part de quelques personnes quand il est question d’aménagements cyclables

Immatriculer les vélos, peut-être pas une si bonne idée


Photo: Guillaume Levasseur Archives
Le Devoir Plusieurs villes québécoises, dont Montréal, ont déjà eu un système d’immatriculation, mais la mesure a été abandonnée dans bien des endroits.

Jeanne Corriveau
27 mars 2023
Transports / Urbanisme

Régulièrement, l’idée d’immatriculer les vélos revient sur le tapis. Pourquoi les cyclistes ne paieraient-ils pas leur part dans les infrastructures qu’ils utilisent, alors que les automobilistes doivent, eux, payer une taxe sur l’essence, des frais d’immatriculation et leur permis de conduire ? se demandent certains. Cette pratique a longtemps eu cours dans plusieurs villes québécoises, mais n’est plus guère populaire.

Sur les réseaux sociaux, l’idée d’imposer une taxe kilométrique ou toute autre nouvelle tarification aux automobilistes suscite immanquablement des commentaires sur les « plaques » pour vélos. « Pour pouvoir circuler sur les onéreuses pistes cyclables de Montréal, il serait bon de devoir être muni d’une plaque vissée sur le vélo et de payer une juste contribution, disons 100 $ par année », a notamment suggéré un internaute sur Twitter il y a quelques mois.

Plusieurs villes québécoises, dont Montréal, ont déjà eu un système d’immatriculation, mais la mesure a été abandonnée dans bien des endroits. Cette option est cependant évoquée de façon ponctuelle. En 1992, l’administration de Jean Doré avait d’ailleurs envisagé de remettre en place un système d’immatriculation assorti de points d’inaptitude pour les cyclistes. Le projet ne s’est jamais concrétisé.

La municipalité de Salaberry-de-Valleyfield fait partie des villes québécoises qui ont délaissé l’immatriculation obligatoire des vélos. Depuis 2015, la Ville offre toutefois une vignette de 10 $ à ceux qui la veulent. « Certains ont payé un bon montant pour leur vélo. Ça les sécurise que leur vélo soit immatriculé, en cas de vol », explique Lynn Hainault, commis à la perception à la Ville de Salaberry-de-Valleyfield.

Mais comme la vignette est liée à la bicyclette de façon permanente, dans bien des cas, les vélos ont le temps de changer de mains plusieurs fois au fil des ans. Il devient alors difficile de retrouver les propriétaires, reconnaît-elle.

Le financement des infrastructures

Chez Vélo Québec, on estime que prétendre que les cyclistes ne paient pas pour les infrastructures cyclistes ou routières est un mythe. Au même titre que l’ensemble des citoyens, les cyclistes paient des impôts et des taxes municipales, rappelle Magali Bebronne, directrice des programmes chez Vélo Québec. Bon nombre de ces cyclistes ont aussi un permis de conduire et même une voiture, donc assument des frais d’immatriculation.

« Les rues locales, qui sont les principales infrastructures utilisées par les cyclistes, sont financées par les taxes foncières. Chaque personne qui vit dans une ville, qu’elle soit propriétaire ou locataire, paie pour les rues locales », explique Mme Bebronne.

Quant aux routes et aux autoroutes, qui relèvent du ministère des Transports et de la Mobilité durable, elles sont généralement moins fréquentées par les cyclistes. En 2017, une étude réalisée par Trajectoire Québec et la Fondation David Suzuki soulignait que les automobilistes payaient environ le tiers des coûts liés aux routes, un autre tiers était assumé par le transport de marchandises et le dernier tiers par l’ensemble des contribuables québécois.

Tant qu’à y être, devrait-on demander aux piétons de payer pour l’utilisation des trottoirs ?

— Magali Bebronne

« Quand on regarde tout ça, on peut se demander s’il y a vraiment une raison de demander aux cyclistes de payer davantage, souligne Magali Bebronne. Tant qu’à y être, devrait-on demander aux piétons de payer pour l’utilisation des trottoirs ? […] S’il fallait vraiment qu’on applique le principe de l’utilisateur-payeur, l’automobiliste n’en sortirait pas du tout gagnant. »

Elle précise aussi que les frais d’immatriculation et de permis de conduire servent essentiellement à alimenter le Fonds d’assurance pour indemniser les victimes des accidents de la route, et non à financer la construction et l’entretien des infrastructures routières.

Discipliner les cyclistes

Chargé de cours à l’Université de Montréal et expert en planification des transports, Pierre Barrieau ne voit pas la question du même oeil. Instaurer un système d’immatriculation pourrait être bénéfique en responsabilisant les cyclistes trop téméraires. « Il y a une réflexion à avoir. L’immatriculation contribuerait à diminuer la délinquance des comportements à vélo. C’est moins une question fiscale qu’une question de responsabilité et de respect du Code de la sécurité routière », dit-il.

Selon lui, cette mesure pourrait dans un premier temps s’appliquer aux vélos neufs et demeurer optionnelle pour les vélos existants. La gestion d’un tel système pourrait être confiée à Vélo Québec, avance-t-il.

Cet argument ne convainc pas Vélo Québec. « C’est un bazooka. Les policiers n’ont pas de problèmes à remettre des constats d’infraction aux vélos », soutient Magali Bebronne.

Contrer les vols de vélos

Pierre Barrieau est aussi d’avis qu’un système d’immatriculation aurait l’avantage de freiner le vol et le recel de vélos. Selon lui, les statistiques officielles sur le vol de vélos ne reflètent pas la réalité. « On le sait, la majorité des vélos volés ne sont pas déclarés à la police. Les données sont imprécises, mais on sait que les cas déclarés augmentent », dit-il.

Vélo Québec balaie aussi cet argument. Plusieurs services de police québécois, dont le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), ont adhéré à Garage 529, une application développée à Seattle qui permet aux propriétaires de vélos d’enregistrer en ligne des informations et des photos de leur monture ainsi que d’apposer un autocollant sur leur vélo. Ce système a fait ses preuves, affirme Magali Bebronne. La Ville de Vancouver soutient que, depuis qu’elle a implanté ce système, en 2015, les vols de vélos ont diminué de 40 % sur son territoire.

Le SPVM, qui a adhéré à l’application il y a deux ans, compte maintenant près de 16 000 inscriptions. Il n’a cependant pas été possible de savoir quel bilan le service de police faisait de ce système jusqu’à maintenant.

Si Pierre Barrieau juge que l’implantation d’un système d’immatriculation pourrait se faire à un coût raisonnable, ce n’est pas ce qu’ont constaté plusieurs municipalités qui l’ont expérimenté. En 1981, Victoriaville avait aboli le règlement sur l’immatriculation des vélos, car, avait-elle constaté, son application coûtait plus cher que ce qu’elle rapportait.

Toronto en est venue à la même conclusion. À plusieurs reprises au cours des dernières décennies, le retour des immatriculations pour vélos a fait l’objet de débats, mais cette option a été rejetée. Dans bien des cas, le coût de l’enregistrement aurait dépassé la valeur du vélo lui-même, avait-on conclu.

À Montréal, un système d’immatriculation pour vélos n’est pas envisagé. « Les usagers de la route qui se déplacent de façon active paient aussi des taxes et des impôts qui servent à l’entretien des rues, alors que l’immatriculation couvre l’assurance automobile », souligne dans un courriel Marianne Giguère, conseillère associée aux transports actifs au comité exécutif. « Il est de plus démontré que les personnes qui se déplacent à vélo ou à pied rapportent déjà de l’argent à la société, en environnement et en santé par exemple. »

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On vole l’idée ?

À Marseille, les cyclistes peuvent passer au feu rouge


Le panneau « Cédez-le passage cycliste au feu rouge ».PHOTO : Collectif Vélos en Ville / Twitter @VelosenVille

Le 15-18
Publié le 27 mars 2023

Depuis février dernier, la Ville de Marseille a installé 200 panneaux qui indiquent que les cyclistes peuvent continuer leur route sans s’immobiliser complètement au feu rouge. Ce panneau s’appelle un « cédez le passage cycliste au feu rouge », et comme son nom l’indique, il permet à une personne à vélo de continuer sa route, mais seulement après avoir cédé le passage aux piétons et aux véhicules déjà engagés. Si cela est nouveau à Marseille, ces panneaux existent en France depuis maintenant 10 ans; l’objectif est de fluidifier les déplacements des cyclistes et d’encourager ce mode de transport actif.

Les personnes sceptiques seront d’ailleurs confondues : il n’y a pas plus d’accidents avec cette signalisation.

Comme l’explique notre journaliste cambrioleuse Hélène Mercier, il y a même un aspect sécuritaire.

Chaque semaine, Hélène Mercier, la journaliste cambrioleuse, nous présente une initiative intéressante adoptée ailleurs dans le monde en se demandant si cette dernière peut être importée à Montréal. Vous avez une suggestion à lui faire? Écrivez-nous : le1518@radio-canada.ca.

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Dans une autre nouvelle, la Ville perd une belle expertise

L’homme derrière le REV pédale maintenant pour Vélo Québec


Stéphane Blais a notamment contribué au développement du REV.
Photo: Capture d’écran LinkedIn

Clément Bolano
27 mars 2023 à 14h37 - Mis à jour 27 mars 2023 à 14h51 2 minutes de lecture

Celui qui occupait depuis trois ans le poste de chef de la section vélo à la Ville de Montréal, Stéphane Blais, devient aujourd’hui directeur de l’expertise et de la recherche de l’organisme Vélo Québec. Après avoir fortement contribué à développer les infrastructures cyclistes dans la métropole, l’expert en mobilité passe à l’échelle provinciale.

«Depuis plus de 25 ans, Vélo Québec travaille à faire avancer la qualité des aménagements cyclables de la province. C’est dans cette logique que l’arrivée de Stéphane Blais pourra nous permettre de soutenir le développement des infrastructures cyclables de qualité et de faire avancer le champ de pratique, partout au Québec», commente le PDG de Vélo Québec, Jean-François Rheault.

Ingénieur de formation, Stéphane Blais a travaillé pendant plus de 11 ans pour la Ville de Montréal. Après avoir travaillé à l’aménagement des rues, il était en charge de planifier la Vision vélo 2023-2027.

Le nouveau directeur de l’expertise et de la recherche de Vélo Québec a notamment déployé le Réseau express vélo (REV) Saint-Denis. Il est aussi à l’origine de nombreuses mesures d’apaisement de la circulation sur le Plateau—Mont-Royal.

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Près de 10,95 M$ pour un tunnel cyclable sous le REM


Photo: Josie Desmarais/Métro

Nicolas Monet
27 mars 2023 à 16h29 2 minutes de lecture

Un passage réservé aux piétons et aux cyclistes sera aménagé pour traverser les rails du Réseau Express Métropolitain (REM), près de la station Du Ruisseau, entre Cartierville et Saint-Laurent. Les dépenses de construction – près de 10,95 M$ – ont été autorisées la semaine dernière par le conseil municipal.

Le passage de 88 mètres, qui reliera les rues Jean-Massé et Dutrisac, permettra de désenclaver les résidents du secteur. Actuellement, seulement trois passages permettent de traverser la voie ferrée entre Cartierville, au nord, et Saint-Laurent, au sud, entre le boulevard O’Brien et le chemin de la Côte-Vertu – un tronçon de près de deux kilomètres.

Un de ces points de traversée, l’actuelle gare Du Ruisseau de la ligne de train Deux-Montagnes, ne sera plus accessible pour les piétons sans payer le tarif du REM. Le nouveau passage permettra donc de traverser sous les rails, sans passer par la nouvelle station, précise-t-on dans le sommaire décisionnel.


Les liens actuels et le nouveau lien projeté entre le boulevard O’Brien et le chemin de la Côte-Vertu. Gracieuseté de la Ville de Montréal.

«Le transport actif doit être déployé de manière plus ambitieuse pour soutenir le REM», a souligné la conseillère de Ville du district Louis-Riel, dans Mercier-Hochelage-Maisonneuve, Alba Zuniga Ramos. «Il faut intégrer des passages piétons faciles d’accès et gratuits sur l’ensemble du Réseau du REM.»

La Station Bois-Franc, à l’Ouest, présente également la même problématique, a-t-elle rappelé. La planification actuelle force les résidents de Saint-Laurent et de Cartierville à payer pour traverser la voie sans faire un long détour.

«On essaie de faire des réseaux complémentaires, qui permettent aux citoyens d’avoir un accès à du transport collectif structurant, mais aussi de pouvoir s’y rendre de manière active», lui a rétorqué la responsable du transport et de la mobilité de l’administration Plante, Sophie Mauzerolle.

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C’est surprenant qu’on ‘‘officialise’’ pas le lien entre Poirier & Henri-Bourrassa par le parc, question de connection entre les quartiers, faut réellement qu’à Montréal on crée plus de passages légaux au-dessus/en-dessous des voies ferrées/axes de transport

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Je comprends pas cette nouvelle… le lien a déjà été creusé. Ça faisait parti du plan d’implantation de la station.

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C’est le journal Métro qui ne comprend pas vraiment ce qu’il rapporte à mon avis. Le conseil de ville a simplement officialisé la dépense pour payer CDPQ pour cet aménagement, mais c’est effectivement déjà fait.

La séance d’info sur Christophe-Colomb est en ligne

Aménagement de voies cyclables sur l’avenue Christophe Colomb - Séance d’information

Séance d’information virtuelle du 22 mars 2023 au sujet de l’aménagement et de la bonification des voies cyclables sur l’avenue Christophe-Colomb, entre le boulevard Gouin et la rue Saint-Grégoire.

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I really think Rue Ontario / Avenue du President Kennedy should receive a protected bike path similar to that of Maisonneuve

Un chantier ampute la sécurité des cyclistes au centre-ville

Photo: Alexis Drapeau-Bordage, Métro

Alexis Drapeau-Bordage

29 mars 2023 à 17h28 - Mis à jour 29 mars 2023 à 18h04 2 minutes de lecture

Situé au coin de la rue De Bleury et de l’avenue du Président-Kennedy, un chantier de construction privé met à risque les cyclistes. Bien que la piste cyclable qui passe sur la rue contourne le chantier, ses usagers s’inquiètent pour leur sécurité.

Rencontré par Métro, Olivier est un cycliste qui emprunte souvent le chemin par l’avenue du Président-Kennedy. «Ça gosse depuis un bout», lance-t-il à propos de l’obstruction de la piste. «Les gens sur le chantier ont d’autres choses à faire que de s’occuper de nous, alors des fois il y a de la cochonnerie sur la route, ou des voitures garées qu’il faut éviter».

Sur les lieux pendant une heure mercredi matin, Métro a constaté la présence de machinerie dans le chemin à divers moments, ainsi que des camions qui se sont installés dans la zone réservée aux vélos.

Marc-Antoine, lui, passe deux fois par semaine près de la zone de travaux. Il confirme que la voie est souvent obstruée.

Lors de notre visite, un employé assurait le passage des voitures. Dans la zone des travaux, la piste cyclable prend la place d’une des deux voies de la rue. Celle-ci n’étant pas à sens unique, l’employé vêtu d’un gilet jaune assure le passage des voitures dans les deux directions, afin d’éviter les accidents. «Il le fait pour les autos, mais souvent pas pour nous. Il n’indique pas aux vélos s’il y a une voiture qui arrive de l’autre bord», remarque Marc-Antoire.

Le chantier «met régulièrement en danger les piétons et cyclistes du centre-ville depuis plus de deux ans», prévient quant à lui Chris McCray en partageant la photo d’un camion stationné directement sur la voie cyclable.

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I tried to embed the video but it didn’t work, so click on the link to watch it

Want to leave the island of Montreal by bicycle? There are few options

Paige Saunders · Social Sharing

While there are 27 points of entry to the island, only three have a dedicated bike lane.

And with bridges built to last a century, all levels of government must be forward-thinking about their active transit plans. There’s an opportunity to have our bridges be a reason to walk or bike, instead of drive.

Watch the video above to see what obstacles are in the way of making the greater Montreal region accessible to those on the island, and vice versa.

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Il n’y a aucun autre pont que l’estacade, SdC et Jacques-Cartier qui ont une piste cyclable??

Il y’a plusieurs que j’ai emprunter:
Pont de la 20 vers l’ile pierrot
117 vers Laval
Pont Viau vers Laval
Passage par l"ile Perry vers Laval
138 vers Repentigny
Pont victoria a partir du parc jean drapeau

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Il y’en a sur la 20, 117, l’ile perry (train vers st jerome), viau, a25 vers laval, r138 vers repentigny, le pont concorde vers le parc jean drapeau, et le pont vers l’ile bizard. Je pense que le pont pie ix en a un aussi mais je ne me rappelle pas. Les autres ponts (a40 x2, a13, a15, a19, victoria, et mercier) n’ont pas de pistes, ni les ponts de train (sauf celle de l’ile perry) non plus.

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