Is anyone aware of what the city is planning to do with this bike path? It’s been completed for a while now, but just leads to a dead end on the Bonaventure Expy
That bike path was done by the Federal Government with the Samuel-De Champlain bridge project.
NouvLR is doing a bike path on Marc-Cantin along the REM.
Hopefully, both bike paths will be connected, and connected to the path planned with the Bonaventure project (Federal part)
Imiter la Ville de New York en rénumérant les gens qui dénoncent le stationnement illégal dans les voies cyclables? Radio-Canada a posé la question
On apprend aussi qu’'il y a eu plus de 1000 constats donnés pour stationnement illégal depuis le 1er mai à 173 $ chaque
Version YouTube : Voitures sur les pistes cyclables : être payé pour dénoncer? - YouTube
1000 contraventions depuis mai, c’est environ 5 par jour. C’est ridiculement bas, considérant que moi-même, tout comme le cycliste interviewé, j’en vois minimalement 3 par jour dans mon secteur, alors imaginez pour tout le territoire de la ville…
Je suis curieux de voir le nombre de contraventions pour les voitures garées ou arrêtées dans les voies réservées. J’imagine que c’est encore plus bas. Chaque fois que je prends la 80 ou la 165, il y a une voiture arrêtée dans la voie à presque chaque intersection. Complètement inutilisable. Si cette application fait une petite différence, c’est quelque chose. J’ajouterais également des caméras aux bus pour qu’ils puissent donner des tickets dans les voies réservées.
Il suffit de regarder la situation sur st catherine pour voir que c’est du n’importe quoi. Rien n’empêchera les gens de se garer avec les lumieres clignotantes pour 10 minutes. Seuls les flex posts et les bordures en béton. Et même ca parfois ça ne marche pas lol.
Une discussion entre Annie Desrochers (l’animatrice) @jacouzi et Bruno-Pierre Jobin (qui diffuse les stats vélo sur Twitter) sur comment continuer à donner des statistiques sur le vélo à l’émission radio Le 15-18
Le portrait du vélo d’hiver à Montréal Rattrapage du jeudi 17 nov. 2022 : Vélo d’hiver, et gratuité du vaccin antigrippal
Automobilistes sur les pistes cyclables : des cyclistes bloquent des rues pendant «juste 2 minutes»
Photo Julien Bouthillier
24heures.ca | Julien Bouthillier | 19 novembre 2022 07H00
Quand une voiture s’arrêtait sur la piste cyclable de la rue McGill vendredi midi, un groupe de cyclistes en faisait de même sur la voie où les autos circulent. Une manière de créer un corridor de sécurité pour les cyclistes, mais également de sensibiliser les automobilistes.
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«Je viens me chercher un lunch, ça dure 2 minutes», a justifié au 24 heures l’un des automobilistes qui s’est fait prendre à se stationner en double sur la piste cyclable par les militants de Vélorution Montréal, le collectif derrière l’action de vendredi.
«Juste deux minutes», c’était justement le slogan de l’activité, une excuse beaucoup trop utilisée par les automobilistes selon ses organisateurs.
«Ces deux minutes peuvent être une question de vie ou de mort. Pourquoi la commodité des conducteurs est plus importante que la sécurité des personnes à vélo?» se demande Sophie Lavoie, une participante à l’événement.
Photo Julien Bouthillier | Sophie Lavoie
Sensibilisation double
L’action de vendredi visait à sensibiliser les automobilistes, mais également les autorités municipales qui, selon les militants, devraient mieux protéger les pistes cyclables afin qu’il soit plus pour difficile pour les voitures de s’y aventurer. Ils citent en exemple le Réseau express vélo de la rue St-Denis, un modèle qu’ils aimeraient voir implanter sur encore plus de rues, notamment sur McGill.
Les bollards de protection installés entre la chaussée et la piste cyclable sur la rue McGill ne semblent en effet pas très dissuasifs pour les automobilistes.
Lors des 10 premières minutes du passage du 24 heures aux abords de cette piste cyclable, nous avons été témoins de trois véhicules s’y immobilisant, ce qui est interdit. Le phénomène s’est poursuivi tout au long du moment passé avec les militants, ce qui met en danger les cyclistes selon eux.
«Ce n’est peut-être pas agréable de devoir tourner sur une rue, se stationner, marcher trois minutes pour aller chercher ta bouffe, mais pour moi c’est le minimum de cohabitation, de ne pas tout à coup t’immobiliser dans une place où des personnes vulnérables circulent», explique entre deux interventions dans la rue, Mathieu Murphy-Perron, un membre du collectif Vélorution Montréal.
Photo Julien Bouthillier | Mathieu Murphy-Perron, un membre du collectif Vélorution Montréal.
«Une piste cyclable, ce n’est pas un stationnement. Il y en a plein des stationnements. Il faut juste chercher un peu», ajoute Mme Lavoie.
Le groupe Vélorution espère que son action de vendredi permettra de remettre de l’avant l’enjeu du partage de la route, et rappelle que ces obstacles ne sont pas que des désagréments pour les cyclistes, mais peuvent représenter des enjeux de sécurité.
«Il y a des cyclistes plus aguerris qui vont dire “ok, je vais naviguer comme il le faut”, mais quand je vois un kid de 8-9-10 ans avec ses parents essayer de naviguer ces obstacles-là, ça m’émeut beaucoup», estime M. Murphy-Perron.
Bonne réaction des automobilistes
La plupart des automobilistes interpellés par les militants semblaient sympathiques à leur cause et s’avouaient être dans le tort. Un chauffeur de Uber qui circulait sur la rue McGill lorsque celle-ci a été fermée par le groupe de cyclistes le temps qu’un véhicule quitte la piste cyclable, a indiqué être en accord avec l’action des militants, bien qu’il regrettait que celle-ci ait causé du retard à la course qu’il était en train d’effectuer.
«Les quelques personnes qu’on a interpellées à date étaient en train de rire, ils ont pris le trac, ils rentraient dans le jeu. Ils comprenaient que c’est un peu un faux pas ce qu’ils étaient en train de faire», confirme M. Murphy-Perron.
Un seul automobiliste rencontré par le 24 heures faisait preuve d’une certaine animosité envers les cyclistes.
«Veux-tu que je t’en parle de la sécurité des cyclistes moi? Des osties de fous qui passent partout en malade, qui ne font pas attention aux piétons, qui ne font pas attention aux chars, ils se câlissent bien de tout le monde. […] Il faudrait qu’ils respectent les autres s’ils veulent être respectés», nous a confié Fabien, qui a dit tout de même comprendre les revendications des militants bien qu’il trouve qu’ils «ont beaucoup de temps à perdre».
Nous avons soumis les commentaires de Fabien aux militants du collectif Vélorution pour savoir comment ils réagissaient à ceux-ci.
«Si les infrastructures étaient mieux réparties, si la redistribution de l’espace se faisait de manière beaucoup plus équitable, probablement qu’il y aurait moins de cyclistes justement qui enfreindraient la loi», a répondu du tac au tac Mme Lavoie.
Not the heroes we deserve, but the ones we need.
Vraiment cool comme action citoyenne!
Un message a été fusionné à un sujet existant : Réseau cyclable du Grand Montréal
Dans le Plan décennal des immobilisations 2023-2032 publié aujourd’hui avec le budget
30 M$ par année pour développer le REV et le réseau cyclable, 10 M$ pour l’entretien et un peu d’argent pour la véloroute le long du REM
Dans le résumé du budget
5 mythes sur le vélo d’hiver
Faire du vélo l’hiver à Montréal Photo: iStock
Maxime Bilodeau - Agence Science-Presse
1 décembre 2022 à 7h00 - Mis à jour 30 novembre 2022 à 17h15 5 minutes de lecture
Fendre les bancs de neige au guidon d’un deux-roues pour aller et venir au boulot ? Irréaliste au Québec, entend-on encore souvent. Pas si vite, analyse le Détecteur de rumeurs.
1. Il fait trop froid
À Oulu, en Finlande, environ 12 % de tous les déplacements pendant la saison froide sont réalisés sur deux roues. Et environ un cycliste sur deux pédale 365 jours par année, même par -20 degrés Celsius et moins. Pas surprenant qu’elle soit considérée comme la capitale mondiale du vélo d’hiver.
Le journal britannique The Guardian s’était livré en 2016 à une comparaison avec Winnipeg : ses hivers sont proches de ceux d’Oulu — durée d’ensoleillement, températures au thermomètre, jours avec de la neige au sol — mais la capitale du Manitoba est davantage représentative de ce qu’on retrouve ailleurs en Amérique du Nord. La part modale du vélo y est marginale comparativement à celle de l’automobile. Seuls quelques prétendus « extrémistes » enfourchent leur bicyclette en hiver. Ils ne sont pas aidés par le fait que l’entretien hivernal des infrastructures cyclables est pratiquement inexistant.
Montréal n’atteint pas le niveau d’Oulu, mais le nombre croissant de cyclistes l’hiver démontre que le froid n’est pas un empêchement. Un rapport de Vélo Québec évaluait à 13,6 % le nombre de cyclistes qui avaient poursuivi leurs sorties pendant l’hiver 2020-2021. C’est donc dire qu’un cycliste montréalais sur sept continue de rouler au cours de la saison hivernale.
D’autres villes européennes — surtout scandinaves — peuvent se targuer de voir de nombreux cyclistes circuler lors de la saison blanche. Parmi elles, il y a la capitale danoise Copenhague, où on ne badine pas avec le déneigement des pistes cyclables. Lund et Ulmea, en Suède, et Helsinki, en Finlande, sont aussi des exemples souvent cités.
2. On risque des engelures
Comme tous les amateurs de sports d’hiver le savent, le secret réside dans… le multicouche. Un manteau par-dessus deux gilets ou chandails : tout dépendant de la température ambiante, les novices sont toujours étonnés de constater qu’il suffit de gravir une côte pour commencer à avoir chaud, même à moins 20. Sans oublier des gants chauds et une tuque pour protéger les parties du corps exposées.
3. Il faut y sacrifier un vélo
La gadoue, le froid, les redoux, la pluie et le calcium font la vie dure à un vélo. Or, cela ne signifie pas pour autant qu’il faille sacrifier une monture durant ces 4 à 6 mois, comme certains le laissent entendre. De nombreux sites offrent des trucs et astuces de base pour l’entretien hivernal.
Il pourrait aussi y avoir, en théorie, la solution du vélo-partage. À Toronto, le système Bike Share est ainsi disponible toute l’année. Les vélos, tout comme les stations et leurs points d’ancrage, sont conçus pour résister aux affres de l’hiver. Et ça marche : l’équivalent du BIXI montréalais là-bas — la technologie est la même — est utilisé de novembre à mars, surtout par des abonnés annuels.
On n’en est pas encore là à Montréal, où le système de vélos en libre-service cesse ses opérations le 15 novembre de chaque année, jusqu’à la mi-avril. Les montures hibernent alors dans un entrepôt dédié ; les stations, dans les stationnements du Parc olympique. L’idée de déployer BIXI en hiver « fait son chemin », affirme-t-on chaque année à la ville.
Photo : Robert Ruggiero/Unsplash
4. C’est trop d’efforts
Rouler dehors en hiver est plus laborieux qu’en été. La résistance au roulement, soit l’énergie perdue lorsque les pneus se déforment en contact avec le sol, est plus élevée en présence de neige folle au sol que sur un asphalte sec. Il en va de même si la surface de roulement est inégale, par exemple lorsqu’elle est croûtée plutôt que lisse.
Mais tout dépend de ce qu’on compare. Un vélo à assistance électrique permet d’annuler en partie la plus haute résistance au roulement. Et dans tous les cas, avoir à sa disposition des infrastructures cyclables bien entretenues est crucial.
5. Il faut être casse-cou
À Oulu, le vélo d’hiver est pratiqué par monsieur et madame Tout-le-monde. De fait, recourir à ce mode de déplacement dans des conditions est si normal que même des enfants le font tous les jours.
Mais encore une fois, la clé du succès est de mettre à la disposition des cyclistes d’hiver des pistes cyclables dégagées. À Oulu, les principaux axes du réseau de plus de 800 km sont par exemple déneigés avant les rues. À Montréal, ce sont 27 km de voies cyclables qui sont déneigés. Une recherche réalisée à Toronto en 2018, dans les quartiers entourant l’Université métropolitaine de Toronto, tendait à conclure que des infrastructures accessibles et dégagées constituaient l’argument clef pour convaincre un plus grand nombre d’hésitants à utiliser leur vélo en hiver.
attention, ce qui est mis ici pour 2023 ne sont que des exemples et non pas une liste. Il faut s’attendre à une liste beaucoup plus enrichie qui est normalement annoncée au printemps.
J’espère bien que les REV dans CDN vont arriver avant 2026… J’ai bien hâte de voir le budget au printemps
Piste Sagard au nord de Jean-Talon ce matin. J’imagine quand ça va geler…
Concrètement la piste protégée est presque aussi large que la voie carrossable. C’est sûr que les résidents du côté est qui ont une entrée de garage seront tentés de l’utiliser.
Montréal: le vélo hivernal aussi difficile que l’on croit?
Plusieurs utilisent tout de même le vélo en hiver, bravant le froid et la neige et le manque d’informations sur l’état des pistes. Photo: iStock
David Beauchamp
17 décembre 2022 à 16h21 - Mis à jour 17 décembre 2022 à 16h28 4 minutes de lecture
Alors que Montréal connaît sa première tempête de neige, plusieurs pistes cyclables sont déneigés et fréquentés, notamment les différents axes du réseau express vélo (REV), alors que d’autres sont toujours impraticables, au grand dam des gens qui se déplacent à vélo peu importe la saison ou le quartier dans lequel ils vivent.
Peu d’options disponibles
À Montréal-Nord, la piste cyclable du boulevard Gouin constitue la seule piste cyclable sécurisée. Cependant, elle est seulement sécuritaire trois saisons par année puisque les bollards sont retirés l’hiver à des fins de déneigement, forçant les cyclistes à emprunter le boulevard pour se déplacer.
«On est obligés de prendre la rue parce que la piste est bloquée par la neige, raconte Jean-François Gagné de l’Association pour une mobilité sécuritaire à Montréal-Nord (AMSMN) et lui-même cycliste hivernal. En plus, la piste de Gouin est discontinué l’hiver parce qu’elle passe par les parcs Aimé-Léonard et de l’île de la Visitation, devenant des pistes de ski de fond.»
Il ajoute qu’il a été confronté samedi matin à des buttes de neige laissés sur le boulevard Gouin par des entreprises de déneigement, bloquant les pistes cyclables. «Ce n’est pas la première fois que ça arrive mais c’est toujours frustrant de voir ça. C’est illégal de mettre de la neige dans la rue et la conseillère municipale Chantal Rossi l’a même rappelé lors du dernier conseil de ville», souligne-t-il.
Photo prise samedi matin par Jean-François Gagné, montrant un amoncellement de neige bloquant la piste cyclable et le boulevard Gouin dans Montréal-Nord. Caption: Gracieuseté, Jean-François Gagné
Connaître l’état des pistes à l’avance, c’est possible
Bien que des groupes Facebook comme Ahuncycle ou Vélo d’hiver – Montréal renseignent les utilisateurs sur l’état des pistes cyclables dans certains arrondissements, peu sont au courant des outils disponibles pour connaître l’état des pistes cyclables dans leur entièreté à Montréal.
C’est ainsi qu’un groupe de programmeurs a mis en ligne dernièrement l’application VéloInfo, une plateforme de « crowdsourcing » alimenté par les cyclistes pour informer les cyclistes et la Ville de l’état des pistes cyclables à Montréal.
En entretien avec Métro, une des responsables de la création de l’application, Chantal Morin, explique que l’intérêt de faire du vélo hivernal dans la communauté montréalaise a été la principale raison à l’origine de la mise sur sur pied ce programme.
«Ce projet a débuté dans le cadre de HackQC, une compétition de programmation, raconte Mme Morin. La Ville de Montréal avait lancé le défi aux programmeurs de développer une application qui améliorerait le vélo hivernal. En faisant une étude des besoins et des intérêts, 80% des répondants ont affirmé vouloir faire du vélo en hiver si les pistes le permettent.»
«C’est cet intérêt public important qui nous a poussé à développer l’application. Dès qu’il y a des bollards de sécurité, c’est beaucoup plus difficile pour le déneigement. Cependant, nous savons que si les pistes sont mieux déneigées, il y aurait effet boule de neige qui agrandirait considérablement la pratique du vélo hivernal. Avec VéloInfo, tout le monde est mieux renseigné sur l’état des pistes et ça améliore le transport actif.»
Bonne nouvelle pour les gens de CDN NDG
La première traverse sécurité en vélo pour traverser décarie sera aménagé l’an prochain sur Bourret!
En plus un total de 9km de piste cyclable sera mis à niveau (protégé) ou ajouter (protégé aussi) pendant 2023!
Je voudrais faire amende honorable.
Les équipes de déneigement ont effectivement ramassé la neige accumulée entre les bollards lors de l’opération déneigement qui a suivi le premier déblayage.
Je ne vois pas plus de cyclistes sur ce tronçon mais ça c’est un autre problème
L’annonce est enfin sortie!
L’arrondissement du Sud-Ouest déneigera la piste multifonction côté nord du canal de Lachine entre la passerelle Atwater et la rue de la Commune.
Parcs Canada fera le damage de la piste côté Sud de Lachine à Ville-Marie pour permettre le ski de fond, la raquette et le fatbike, marche, etc.
Activités hivernales en bordure du Canal-de-Lachine
Le sentier hivernal damé et le tronçon de piste déneigé bénéficieront aux amateurs de plein air tout au long de l’hiver
Le 22 décembre 2022 Montréal (Québec) - Parcs Canada souhaite informer la population qu’encore une fois cet hiver, la piste du lieu historique national du Canal-de-Lachine sera damée sur presque toute sa longueur, soit sur une distance de 15 kilomètres reliant les arrondissements de Lachine, Lasalle, le Sud-Ouest et Ville-Marie. En plus du sentier hivernal damé, le côté nord de la piste sera déneigé de la passerelle Atwater jusqu’au Vieux-Port. Le damage sera réalisé par l’équipe de Parcs Canada tandis que le déneigement du tronçon compris entre le marché Atwater et la rue de la Commune sera réalisé par l’Arrondissement du Sud-Ouest.
Il importe de noter que certaines conditions sont préalables au damage de la piste : le sol devra être bien gelé, il devra y avoir suffisamment de neige au sol et les prévisions météorologiques devront être favorables. Lorsque ces conditions seront réunies, la neige sera compactée jusqu’à ce que la base de 20 centimètres de neige tassée soit en place.
Le damage et le déneigement d’un tronçon de la piste bénéficieront non seulement aux cyclistes, mais à l’ensemble de la population qui y verra une possibilité intéressante d’y pratiquer différentes activités hivernales dont le fat bike, la raquette, la course à pied ou la marche. Des toilettes seront également accessibles aux usagers durant l’hiver à certains emplacements le long du sentier.
Parcs Canada travaille avec ses partenaires pour développer l’offre récréative au Canal-de-Lachine et afin de favoriser la pratique d’activités hivernales en plein air pour que toutes les clientèles puissent profiter de ce site exceptionnel en plein cœur de Montréal à longueur d’année. À cet effet, Parcs Canada tient à souligner la collaboration de la Ville de Montréal et de ses arrondissements pour leur appui dans la mise en place de la portion déneigée du sentier.
Citations
Parcs Canada est fier de collaborer avec la Ville de Montréal à favoriser la pratique d’activités hivernales aux abords du Canal-de-Lachine et de voir se développer l’offre récréative dans ce lieu exceptionnel en plein cœur de Montréal. Merci à tous ceux et celles qui entreprennent le damage et le déneigement de la piste le long du lieu historique national du Canal-de-Lachine.
L’honorable Steven Guilbeault
Ministre de l’Environnement et du Changement climatique et ministre responsable de Parcs Canada
Nous sommes heureux d’annoncer le déneigement du côté nord de la piste du Canal-de-Lachine, entre le marché Atwater et le Vieux-Port, sur une distance de 2,3 km. Cette entente entre le Sud-Ouest et Parcs Canada représente une avancée décisive pour la mobilité active, en réponse à une demande croissante de la population pour des liens cyclables sécuritaires et conviviaux en période hivernale. Le projet pilote s’inscrit dans une série d’efforts soutenus, et témoignent d’une collaboration exemplaire entre nos deux paliers de gouvernement. Les travaux de déneigement seront effectués par CMS Entrepreneurs Généraux Inc., lequel a été le plus bas soumissionnaire conforme.
Benoit Dorais
Maire du Sud-Ouest et vice-président du comité exécutif, Ville de Montréal
C’est une super bonne nouvelle!