I kinda like biking beside my friends, but maybe not everyone gets that opportunity
I’ve also seen parents teaching their kids on the newer bidirectional bike paths like on rue de Verdun. Imagine how scary it would be for a parent to teach their kid on a path like Maisonneuve!
Les pistes cyclables unidirectionnelles sont souvent choisies récemment car elles améliorent la sécurité des cyclistes, surtout aux intersections, en réduisant les conflits avec les voitures qui tournent et en rendant le passage plus sûr pour les piétons: conducteurs et piétons n’ont à surveiller qu’une seule direction de cyclistes. Sur des rues très fréquentées par les cyclistes comme Rachel, De Maisonneuve ou Berri, des pistes unidirectionnelles seraient également utiles pour séparer et mieux gérer le flux important de cyclistes.
Pour régler ça, il faut faire de la prévention et des amendes ! En 15 ans que je fais du vélo, j’ai eu 1 seul accident, un emportillage, il y a 2 ans ! Pourquoi ? Parce que je fais attention quand je suis sur un vélo en respectant les lois.
Les automobilistes, cyliste, piéton, etc doivent REGARDER et RESPECTER les lois. Il y aura toujours des accidents, c’est malheureux, mais c’est la vie, il faut mettre plus de arrestations et de préventions
Rappel que les pistes sont conçue pour tout les niveaux d’usagers en tête; enfants, ados, personnes âgées, limitations fonctionnelles…
Sur un autre sujet, il va falloir rétrécir les trottoirs pour pas prendre trop de place aussi, peut être un trottoir par rue pour pas trop prendre d’espace auto.
You following the rules doesn’t quantify the safety of everyone else on the bike path.
On bien augmenter la surveillance et donner plus d’amandes, mais ça prendrait des centaines de salaires supplémentaires et il y aura toujours des contrevenants qui passeront inaperçus. Un aménagement sécuritaire, par contre, rend physiquement impossible certaines infractions.
En passant…ça ressemble à quoi un audit de pistes cyclables? Ils vont avoir des ingénieurs et urbanistes faire une liste de toute les pistes cyclables et leur donner une note de A à E, comme on le fait pour les stations de métro?
Les pistes protégées et le REV seront A et B, et les bandes cyclables seront C, D, ou E selon leur emplacement (entre le traffic et le stationnement vs. entre le stationnement et le trottoir), état de la chaussée, largeur, aménagement des intersections?
C’est quelque chose qui est sensé se faire durant les 100 premiers jours de leur mandat, mais j’ai l’impression qu’on a aucune idée de ce à quoi cet audit aura l’air…
Des ingénieurs qui vont auditer le travail de d’autres ingénieurs quand l’Ordre des ingénieurs du Québec existe pour protéger le public
Et ça va prendre probablement plus que 100 jours pour lancer un appel d’offres pour ce travail… même en gré à gré, car peut être long pour signer le contrat
Je vois mal des employés de la Ville auditer le travail de leurs collègues
Les pistes unidirectionnelles sont plus sécuritaires tant pour les cyclistes que les automobilistes. Voici un exemple.
Si un cycliste veut tourner à droite en deux temps ici, il doit s’arrêter entre la piste cyclable et les voies pour les automobilistes (carré orange). Ça devient vite dangereux, surtout s’il y a plusieurs cyclistes. Ça peut mener à bloquer une des deux voies des automobilistes.
Si un cycliste veut tourner à droite en un temps, il doit couper les deux voies des automobilistes. Si tu n’habites pas dans le secteur, tu ne t’attend pas à ce qu’il y ait quelqu’un qui arrive à ta gauche. Par habitude, tu regardes seulement ton angle mort droit.
Je pense que tu voulais plutôt dire le contraire
Merci! C’est corrigé!
Sur Maisonneuve, j’ai souvent remaqué que certains automobilistes ne regardent pas derrière eux avant de tourner à gauche, car pas habitués à se faire dépasser par la gauche quand ils tournent… Le nombre de fois que j’ai dû faire sonner la clochette de Bixi comme une folle (ou leur crier après) pour qu’ils ne me coupent pas en tournant
Écoute, plusieurs ont été à sa conférence de presse devant le garage de char…Ça a pris 2 heures entre le temps qu’on a su et le temps où les quelques personnes s’y sont rendus.
Parr contre, plusieurs piste qui ont été réalisees a un autre époque peuvent êtres auditer.
C’est mon trajet chaque lundi vers midi. et je haïs passer par là.
Un auditeur proposerait de rendre au moins une de ces pistes unidirectionnelles de chaque côté de la rue.
Désolé, mais ce n’est pas vrai. Helsinki, qui est une ville d’importance à réussi à ne pas avoir de mort sur la route depuis 1 an. Avec la volonté de changer les choses, c’est réalisable et même réaliste d’arriver à une vision zéro.
Ça permet à EM de se réfugier dans un attentisme, un peu comme comme la CAQ qui avait tenter d’instrumentaliser la CDPQ pour couler le tramway de Québec. SMF pourra retarder des interventions piétonnes/vélos importantes pour plusieurs années, pour au final recevoir comme conclusions qu’il faut bonifier et développer les infras piétonnes/vélos.
Pour faire l’avocat du diable, dans certains cas, ça fonctionne et sans que ce soit optimal, c’est un compromis acceptable. Je pense à Bennett, Du Havre, Bourbonnière, 1e Avenue (St-Zotique à Jarry) qui sont des aménagements qui fonctionnent et qui sont agréables à utiliser.
Ce sont 4 pistes nord-sud avec peu d’intersections (comparé à l’axe est-ouest) et qui ont un flux de cyclistes plutôt réservé à du trafic local.
Ça ne doit absolument pas être utilisé à toutes les sauces cependant. Rachel et Maisonneuve devraient être en unidirectionnelles, tout comme le REV St-Denis n’aurait jamais pu être une bidirectionnelle.
Sécurité des pistes cyclables à Montréal
Il s’agit d’un important changement de cap pour la cheffe d’Ensemble Montréal qui maintenait toujours il y a une semaine à peine son intention de commander un audit sur la sécurité des pistes cyclables de la métropole.
À peine élue, la nouvelle mairesse de Montréal, Soraya Martinez Ferrada, fait marche arrière sur sa promesse de commander un audit sur la sécurité des pistes cyclables de la ville de Montréal.
Publié à 16 h 05
Vincent Larin La Presse
Henri Ouellette-Vézina La Presse
En conférence de presse à l’hôtel de ville, au lendemain de sa victoire, la mairesse désignée a sorti un lapin de son chapeau en faisant référence à un débat tenu durant la campagne dans les locaux du média Urbania, le 20 octobre dernier.
Elle a cité les propos de son adversaire, l’ancien conseiller municipal Craig Sauvé, qui avait alors déclaré qu’il « existe déjà cet audit, la Ville l’a déjà ».
La nouvelle élue dit avoir profité de sa rencontre de ce matin avec le directeur général de la Ville, Benoit Dagenais, pour lui demander de lui fournir le document.
« Je l’attends et on s’entend que si elle existe déjà, on n’en fera pas une autre. Alors, faisons confiance à l’administration », a-t-elle déclaré devant les journalistes rassemblés sur place.
Il s’agit d’un important changement de cap pour la cheffe d’Ensemble Montréal qui maintenait toujours il y a une semaine à peine son intention de commander un audit sur la sécurité des pistes cyclables de la métropole.
« On fait un état des lieux, on va en avoir d’autres pistes cyclables, on veut juste avoir les bons projets de pistes cyclables et quand on les faits, que les gens soient consultés », déclarait-elle alors, à l’occasion d’un autre débat organisé par Radio-Canada.
Soraya Martinez Ferrada s’était engagé très tôt dans la campagne, à la mi-août, à revoir l’ensemble du réseau cyclable montréalais « dans les 100 premiers jours » de son éventuelle administration.
Elle n’excluait alors aucun « retour en arrière », malgré les coûts d’aménagement que pouvait engendrer le démantèlement de telles infrastructures.
La mairesse désignée a également profité de ce premier passage devant les médias pour réitérer qu’après la grève ayant cours à la Société de transports de Montréal (STM), la lutte à l’itinérance sera sa « priorité numéro un ».
À l’approche de l’hiver, elle insiste sur « l’urgence » d’agir et dit avoir demandé un « état des lieux » au directeur général de la Ville sur les capacités de l’administration municipale.
« Les bâtiments, les terrains de la Ville, je veux savoir comment on peut mettre en place rapidement des mesures d’urgence pour l’hiver qui s’en vient, mais aussi pour les trois, les quatre prochains hivers. Les hivers reviennent chaque année donc on peut tu avoir un plan pour plusieurs années et arrêter de se poser la question à chaque fois », a-t-elle expliqué.
Soraya Martinez Ferrada est par ailleurs revenue sur sa promesse, faite en campagne, d’alléger la structure de la Ville en supprimant au moins 1000 postes parmi les employés n’offrant pas de services directs aux citoyens.
« On va commencer par discuter avec notre DG. On s’est donnés quatre ans pour faire ça », a-t-prudemment lancé, en disant d’abord vouloir procéder « par attrition ». « On ne veut pas couper des gens, on veut couper des postes », a-t-elle ensuite lancé.
La nouvelle mairesse s’engage à plus court terme à abolir l’un des six postes de directeur général adjoint de la Ville qui est inoccupée à l’heure actuelle. Elle y voit « une façon de rapidement réduire le fardeau de la bureaucratie ».
Au total, la Ville compte actuellement 28 000 employés. En juillet, l’administration Plante avait aboli 200 postes. La manœuvre a permis d’économiser 50 millions. Il s’agissait de la seule vague d’abolition de postes de cette administration. Depuis l’arrivée au pouvoir de Mme Plante en 2017, la Ville a ajouté environ 3000 employés.
Ultimement, une meilleure gestion des dépenses donnera plus de crédibilité à la métropole dans ses relations gouvernementales, estime Soraya Martinez Ferrada. Celle-ci entend incarner une « nouvelle attitude » dans ses échanges avec Québec et les autres municipalités du Grand Montréal.
« Je pense que le gouvernement est très ouvert à cette nouvelle façon de faire. Et puis, on a eu un mandat clair et très fort par rapport au changement que les citoyens de Montréal demandent », a-t-elle conclu.
Avoir cette promesse d’audit comme sa seule sortie sur le sujet de la mobilité active, ça fait qu’on ne connaît rien d’officiel sur la position de SMF. « Je vais faire un audit », c’est essentiellement dire « je ne sais pas ».
Il y a tellement peu de concret là-dedans que je n’ai vraiment aucune idée à quoi m’attendre pour le futur du réseau cyclable.
