REM - Discussion générale

Tempéré et “climate controlled”, ça veut dire exactement la même chose: chauffé en hiver et climatisé en été (si nécessaire) pour conserver une température confortable. Ça peut vouloir dire qu’il ferait 16 en hiver et 25 en été, mais ça ne veut certainement pas dire “ouvrir une fenêtre l’été”. Ça ne porte pas vraiment à confusion.Si leur système de ventilation est assez efficace, ils auraient pu conserver le terme tempéré.

Ventilé, par exemple, ça veut plutôt dire que l’air est changé pour assurer qu’ils soit sain, ça a pas de lien avec la température et plus avec la présence d’un échangeur d’air. Et j’espère que ce n’est pas tout ce qu’ils ont en tête, parce que ça va être chaud dans le West Island avec les trains aux 15 minutes!

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Si on souhaite être encore plus pointilleux, dans le jargon technique, climate-controlled signifie que l’on contrôle aussi le taux d’humidité. Atmosphere-controlled, on contrôle la température, l’humidité et la pression. En tant qu’ingénieur je me dois d’utiliser les bons mots dans mes devis, recommandations, rapports… car sinon, on tombe sur ce genre d’étude de cas avec CDPQi où on n’est pas certain de ce qui est offert; avec une plage de liberté d’interprétation. J’étais vraiment convaincu que les stations, du moins les nouvelles, allaient être climatisées.

Il m’apparaît aussi quasi certain que ce n’est pas anodin et que CDPQi continue de jouer sur l’ambiguïté comme le mentionne @MTLover.

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Même chose avec VIA Rail et le tunnel. Devinez qui va payer pour la climatisation.

VIA :clap: will :clap: never :clap: be :clap: able :clap: to :clap: run :clap: in :clap: the :clap: tunnel :clap:

I realize that. I was just pointing out that just as the Caisse must have strung Desjardins-Siciliano along, and told them they would get their TGF if they got in line with the REM, it also strings us along. I guess you like that.

It’s not a question of like or dislike. It’s a technical impossibility without a third or fourth track in the tunnel – disregarding incompatible voltages and axle loads. REM will be capable of running every 80 seconds if necessary and will run every 120 seconds at launch. For the “frequent,” empty VIA trains (that don’t even exist, because the new Chargers are diesel-only, not dual-mode, multi-voltage) that will pass once an hour or so to be squeezed in would require a disruption of the rapid transit service, similar to how VIA passenger trains have always been disrupted by freight trains. It’s been a no-sold from the start, and anybody who believed they could coexist in the narrow, low tunnel is on crack.

Via really did get screwed over, as they were just about to announce their plan for HFR right when the Couillard government announced the REM.

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I never thought the two trains were compatible.When I said the Caisse must have told them they would get their TGF I meant they must have promised them another track somewhere else.

I’m not sure I get what you mean. CDPQi doesn’t control tracks anywhere else, so how could they “promise them other tracks” somewhere else? And if the tracks are somewhere else, what does it have to do with the tunnel at all? If whichever entity had to bore or enlarge the tunnel to accommodate two more mainline tracks, then it’s all a moot point. In other words this is not even a debate. One entity got a hold of the infrastructure before a slower one, and that’s that. There isn’t a really valid reason why VIA should need that specific tunnel in the first place. Everybody keeps saying it’s quicker to get downtown with a tunnel that heads northwest, except that nobody can explain why. There are rights of way that are easily accessed from the CN viaduct, heading both northeast towards Quebec City and southwest towards Toronto. If they are planning to spend billions of dollars to enlarge the tunnel, they can certainly spend hundreds of millions of dollars to build dedicated tracks in one of these more appropriate rights of way. Hell, Quebec government even spent $136 million building a separate, dedicated right of way through the Turcot interchange that will never get used unless somebody buys it from the government. You could build your HFR/HSR right there and solve a lot of problems in one of the trickiest areas.

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Who knows what they said. As you put it, “One entity got hold of the infrastructure before a slower one.” Hopefully, VIA will find another path. The point was that everyone got into line really fast, and it makes me wonder what the Caisse did for that to happen.

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Québec prévoit 2,2 milliards de plus pour le REM

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

La somme de 18,7 milliards qui apparaît dans le document intitulé Plan québécois des infrastructures (PQI) 2021-2031 représente un écart de 2,2 milliards par rapport au chiffre officiel qui circule, soit 16,5 milliards, pour les deux tronçons : 6,5 milliards pour la ligne de l’Ouest et 10 milliards pour le REM de l’Est.

Le gouvernement du Québec a inscrit dans ses documents budgétaires une somme de 18,7 milliards pour la construction des deux lignes du Réseau express métropolitain (REM) par la Caisse de dépôt et placement.

Publié le 31 mars 2021 à 6h00

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André Dubuc André Dubuc
La Presse

Cette somme, qui apparaît dans le document intitulé Plan québécois des infrastructures (PQI) 2021-2031, représente un écart de 2,2 milliards par rapport au chiffre officiel qui circule, soit 16,5 milliards, pour les deux tronçons : 6,5 milliards pour la ligne de l’Ouest et 10 milliards pour le REM de l’Est.

« La CDPQ Infra travaille présentement sur deux prolongements du REM. Cette somme de 2,2 milliards (et même davantage) sera requise lorsque la décision sera connue », a expliqué par écrit Florent Tanlet, attaché de presse de la présidente du Conseil du trésor, mardi en fin de journée lorsque La Presse a demandé plus d’information sur cet écart de 2,2 milliards.

Le Trésor assure que les 2,2 milliards ne sont pas une provision pour des dépassements de coûts du REM actuellement en construction. Mais impossible de connaître les détails sur les prolongements dont parlent la Caisse et le ministère des Transports. Des prolongements vers Lachine, la gare Via de Dorval, vers Mirabel ou encore Rivière-des-Prairies ont déjà été évoqués, mais rien n’est indiqué dans le document.

On sait par contre que le tronçon Chambly–Saint-Jean-sur-Richelieu a été abandonné. Les projets de Laval et du boulevard Taschereau, sur la Rive-Sud, sont toujours à l’étude. Ces deux derniers projets figurent ailleurs dans le PQI et ne sont pas compris dans les 18,7 milliards du REM.

Vendredi dernier, Harout Chitilian, vice-président, affaires corporatives, développement et stratégie, à CDPQ Infra, s’est limité à dire que c’était au gouvernement d’expliquer son chiffre.

Le ministère des Transports n’a pas donné suite aux questions de La Presse, lundi et mardi, et nous a dirigé vers le Conseil du trésor.

Des questions sur la transparence

« Il y a de gros problèmes de transparence dans la gestion du REM, a commenté Jean-Philippe Meloche, professeur à l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal, à qui La Presse a demandé ce qu’il comprenait de cet écart-surprise de 2,2 milliards dans le REM. « C’est sûr que ça va coûter plus cher qu’on nous l’a dit, affirme-t-il. Pour le REM 1 [en cours de réalisation], on le sait déjà. Pour le REM de l’Est, on ne nous a pas dit grand-chose. Ça peut varier beaucoup. »

De son côté, François Pépin, président du conseil d’administration de Trajectoire Québec, groupe faisant la promotion des transports en commun, déplore l’absence complète de détails sur ces 2,2 milliards additionnels en transport collectif. « On aimerait savoir comment 6,5 milliards plus 10 milliards font 18,7 milliards », dit-il, un sourire dans la voix.

« Nous aurions effectivement dû être plus précis dans le PQI et le détailler davantage », reconnaît le Conseil du trésor, dans un courriel.

Délais et augmentations de coûts

En construction, la ligne Brossard–centre-ville–Deux-Montagnes, avec ses antennes vers l’aéroport et Sainte-Anne-de-Bellevue, mesure 67 kilomètres et compte 26 stations. Son coût est annoncé à 6,5 milliards par la Caisse. Quand on tient compte de toutes les contributions des partenaires gouvernementaux, la facture approche les 8 milliards, en incluant la contribution additionnelle des gouvernements pour la gare de l’aéroport qu’Aéroports de Montréal n’est plus capable de payer.

En novembre 2020, la Caisse a annoncé que le REM serait retardé de 18 mois à la suite de la découverte de résidus d’explosifs dans le tunnel sous le mont Royal. L’état de dégradation de celui-ci sous la station de métro McGill exige aussi plus de travaux qu’anticipé. À l’époque, la Caisse parlait d’un minimum de 80 millions à titre de surcoûts. Le patron de la Caisse, Charles Emond, a promis en février une mise à jour complète des coûts et des échéanciers du REM dans les prochaines semaines.

Le secteur de la construction fait face ces temps-ci à une inflation galopante des coûts des matériaux de construction. Récemment, un fabricant de glissières de sécurité s’est inscrit au registre des lobbyistes pour demander au gouvernement provincial de revoir à la hausse les modalités de son contrat en raison de la hausse vertigineuse du prix du bois et de l’acier. Le ministère des Transports lui a offert 14 % de plus, mais le fabricant juge l’offre inacceptable et exige « 25 % + 5 % », lit-on dans le mandat de lobbying.

Le REM de l’Est a fait l’objet d’une annonce officielle en décembre 2020. On parle d’une ligne à deux antennes totalisant 32 kilomètres et 23 stations pouvant être mise en service d’ici 2029. Il y a tout juste trois mois, les coûts de construction du projet étaient estimés à 10 milliards. Le projet prévoit la construction d’un tronçon aérien en plein centre-ville à l’est du boulevard Robert-Bourassa. L’ensemble du chantier du REM constitue le plus important projet de transport collectif de l’histoire du Québec
.https://www.lapresse.ca/affaires/2021-03-31/quebec-prevoit-2-2-milliards-de-plus-pour-le-rem.php

Les futurs usagers du REM craignent le temps de correspondance

Le 14 avril 2021 à 11 h 47 min

Temps de lecture : 2 min

Photo de Audrey Leduc-Brodeur

Par Audrey Leduc-Brodeur

(Photo : Archives)

C’est la conclusion à laquelle en vient exo au terme de son processus de consultation publique à propos de la refonte du réseau de transport, entamé il y a plus d’un an. L’opérateur des circuits d’autobus et des trains de banlieue sur le territoire du Reflet dévoile le bilan de sa démarche.

«La correspondance avec le Réseau express métropolitain (REM) suscite une crainte commune chez les participants, qui ont peur de voir leur temps de parcours augmenter ou d’attendre longtemps avant de pouvoir embarquer dans une voiture», résume exo dans son compte-rendu des secteurs Roussillon (Delson, Saint-Constant et Sainte-Catherine) et Le Richelain (Candiac, La Prairie et Saint-Philippe).

De plus, les usagers ayant répondu au sondage en ligne ou participé aux soirées de consultation virtuelle se sont dits préoccupés par la gestion du trafic dans le secteur de la station Brossard, où les autobus locaux procèderont à leur embarquement et à leur débarquement.

Selon exo, les participants ont des attentes élevées en termes de correspondance et de fréquence de départs en direction du REM parce que ce dernier a lui-même une fréquence de passage élevée. Il est prévu que des trains du REM quittent la gare Brossard toutes les deux minutes et demi durant les heures de pointe et aux cinq minutes en dehors de cette période.

Autrement, exo estime que ses consultations ont permis de «constater que les participants sont généralement satisfaits de la couverture du territoire, des parcours et du niveau de service même si la plupart ont des préoccupations».

L’opérateur finalisera les trajets, l’emplacement des arrêts ainsi que les horaires au cours de la prochaine année, fait-il savoir.

Quelques chiffres

-Un total de 261 citoyens ont participé au processus de consultation publique d’exo sur la refonte du réseau, soit 96 à La Prairie, 62 à Candiac, 42 à Saint-Constant, 30 à Sainte-Catherine, 14 à Delson, 11 à Saint-Philippe et 6 à Saint-Mathieu.

-Les trois points les plus appréciés par la clientèle des secteurs Le Richelain et Roussillon par rapport au scénario proposé sont la distance de marche (85%), la fréquence en période de pointe (66%) et l’accès facile à différentes destinations d’intérêt (64%).

-À l’inverse, le service offert la semaine et la fin de semaine, ainsi que la fréquence hors pointe sont les enjeux soulevés par les usagers.

-Le nouveau réseau suggéré par exo plaît à 57% des répondants, alors que 43% d’entre eux se disent insatisfaits.

Les futurs usagers du REM craignent le temps de correspondance - Le Reflet

Je viens d’apprendre que le REM a lancé une nouvelle section sur leur site Web concernant le bruit, les vibrations et la qualité de l’air

On peut voir ici où seront installés les murs antibruit le long du tracé

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Wow ! Et tout ça, en seulement 5 ans ! :smiley:

5 ans en 5 cartes : l’évolution du REM depuis 2016

  • AVANCEMENT DU PROJET
  • Publiée le 22 avril 2021

22 avril 2016. Pour la toute première fois, CDPQ Infra présentait le REM au public. Retour sur 5 années d’évolution et d’avancement pour un projet qui aujourd’hui se réalise et devient concret.

CARTE #1 – Avril 2016 : le REM présenté pour la première fois


C’est cette carte qui a été présentée pour la première fois au public. À l’époque, le réseau comportait 24 stations et quelques-unes supplémentaires étaient « potentielles », encore sous analyse.

C’est effectivement le 22 avril 2016 que la proposition de projet autrefois appelée « Réseau électrique métropolitain » était présentée au public. C’était alors le lancement de la phase de planification du REM, qui allait s’échelonner jusqu’en 2018.


Conférence de presse du 22 avril 2016, sur le parquet des bureaux de la Caisse de dépôt et placement du Québec (Édifice Jacques Parizeau)

CARTE #2 – Novembre 2016 : les stations au centre-ville sont confirmées


Le 25 novembre 2016, un engagement de la Caisse, du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal permet de confirmer la construction des stations Édouard-Montpetit, McGill et la station alors nommée Bassin Peel, dans le secteur Griffintown.

Le 25 novembre 2016, un engagement de la Caisse, du gouvernement du Québec et de la Ville de Montréal permet de confirmer la construction de 3 stations, soit Édouard-Montpetit, connectée à la ligne bleue du métro, McGill, connectée à la ligne verte, puis finalement la station qu’on appelait auparavant Bassin Peel, dans le secteur Griffintown.

En étant connecté aux trois principales lignes du métro existant, le REM prend alors une tout autre ampleur. Cette nouvelle carte nous permet de comprendre que le centre-ville aurait désormais un lien sous le mont Royal, permettant de passer du campus de l’Université de Montréal (Station Édouard-Montpetit) à l’Université McGill (Station McGill) en 3 minutes.

2016-2017 : pas de changements à la carte, mais plusieurs activités marquantes

En 2016 et 2017, le REM était en pleine phase de planification. Ces années ont été marquées par une période de rencontres et d’échanges avec les citoyens aux quatre coins du tracé, ainsi que par la confirmation du montage financier du projet.


Portes ouvertes et rencontres citoyennes en 2016


Portes ouvertes et rencontres citoyennes en 2016


Portes ouvertes et rencontres citoyennes en 2016


Audiences publiques du BAPE en 2016


Confirmation du financement du fédéral, en 2017

CARTE #3 – 2018 : confirmation des consortiums et première pelletée de terre


En février 2018, alors que les deux consortiums (NouvLR et GPMM) appelés à réaliser le projet sont confirmés, l’icône du REM est présenté au public pour la première fois.

Le mot « électrique » dans l’appellation du projet devient « express », pour le désormais nommé « Réseau express métropolitain ». La carte est mise à jour. La station « Autoroute 13 » initialement prévue est retirée, étant donné le faible achalandage estimé.

Le 12 avril 2018, on célèbre le début des travaux de construction avec une première pelletée de terre. La construction débute sur la Rive-Sud, le long de l’antenne Deux-Montagnes et à Édouard-Montpetit notamment.


Première pelletée de terre du REM, Griffintown, 12 avril 2018.

2019 : les travaux s’activent

En 2019, on n’assiste à aucun changement au niveau de la carte. Toutefois, les chantiers s’activent!


En 2019, les premières stations prenaient forme sur la Rive-Sud. Sur cette photo, la station Du Quartier, en date d’août 2019.


À l’été 2019, les premiers rails étaient installés sur la Rive-Sud.


À la fin de l’hiver 2019, on installait les premières poutres de la structure aérienne dans le secteur du Canal-de-Lachine.


Septembre 2019 a été marqué par la fin de l’excavation du puits principal à Édouard-Montpetit.


La station Ville-de-Mont-Royal en 2019


En juin 2019, Anne et Marie entraient en action et débutaient le travail de construction de la structure dans l’Ouest-de-l’Île.

CARTE #4 – 2020 : le nom des stations se confirme


Au début 2020, le nom des stations est mis à jour.

En février 2020, la toponymie des stations devient officielle. Huit stations changent de nom :

  • Rive-Sud devient Brossard
  • Mont-Royal devient Ville-de-Mont-Royal
  • Correspondance A40 devient Côte-de-Liesse
  • Technoparc devient Marie-Curie
  • Aéroport-Montréal-Trudeau devient YUL-Aéroport-Montréal-Trudeau
  • Roxboro-Pierrefonds devient Pierrefonds-Roxboro
  • Pointe-Claire devient Fairview–Pointe-Claire
  • Sainte-Anne-de-Bellevue devient Anse-à-l’Orme

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CARTE #5 – 2020 : la station Griffintown–Bernard-Landry se dévoile


À l’été 2020, le nom de la station Bassin Peel devient Griffintown Bernard-Landry et son emplacement est officialisé. Cette carte devient donc la plus à jour et la dernière carte du projet du REM.

La station Griffintown–Bernard-Landry est la dernière station confirmée dans le cadre du projet. Le REM compte donc officiellement 26 stations, dont plus d’une vingtaine sont aujourd’hui en pleine construction.

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2021 : des chantiers actifs plus que jamais et une préparation de à la mise en service

Aujourd’hui, en 2021, les chantiers sont actifs dans tous les secteurs et les équipes se préparent à la mise en opération.

Vous l’avez peut-être remarqué lors du dévoilement des voitures du REM, à l’automne 2020, quelques cartes sont aujourd’hui en cours de préparation pour accompagner les futurs utilisateurs dans le réseau.
Une carte linéaire sera ainsi installée dans les voitures du REM au-dessus de chaque porte.


Télécharger la carte

Prochaine carte à venir? La carte métropolitaine, en préparation par l’ARTM, présentant les réseaux de transport du Grand Montréal intégrés. Cette carte sera affichée dans les stations et voitures du REM dès 2022!

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Au sujet des caméras de chantier Devisubox, je trouve que c’est pas trop excitant ces temps-ci. Il y 2 caméra qui ne sont plus mis à jour. La nouvelle caméra sur le viaduc Du Quatier ne montre pas grand chose de passionnant, non plus les 2 caméras technoparc, bref il y a au moins 5 caméra sur 12 qui semblent inutile…

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100% d’accord. Concernant la technoparc_2, dans la fosse, je m’amuse parfois à localiser un petit point sur la convoyeur et voir depuis combien de jours il est là. Sérieusement je crois qua ça fait des mois qu’ils n’ont pas sorti de terre.
On a pas eu de nouvelles concernant l’affaissement survenu sous le milieux humide?

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En fait ça m’étonne que le tunnelier coincé n’ai pas encore suscité l’intérêt des journalistes… ça ferait une bonne histoire!

J’avais déjà l’impression que la CDPQi sous-estimait l’achalandage…

Une baisse d’achalandage de 10 % à prévoir en raison du télétravail


PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE
Le REM couvrira tout l’ouest de l’île de Montréal, jusqu’à la Montérégie avec un autre prolongement sur la couronne nord, vers Deux-Montagnes.

(Québec) Le télétravail pourrait réduire à la baisse de 10 % l’achalandage dans le REM, le Réseau express métropolitain de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

Publié le 27 avril 2021 à 11h44

PATRICE BERGERON
LA PRESSE CANADIENNE

C’est l’estimation évoquée par le président de la Caisse de dépôt, Charles Émond.

En commission parlementaire mardi matin, il a été questionné sur la pertinence de ce vaste chantier de train léger qui couvrira tout l’ouest de l’île de Montréal, jusqu’à la Montérégie avec un autre prolongement sur la couronne nord, vers Deux-Montagnes.


PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE
Charles Émond

M. Émond a fait valoir que seulement 40 à 50 % des déplacements prévus pour le futur REM sont attribuables au travail.

Par ailleurs, il évalue à partir des études que 20 % des travailleurs vont opter pour le télétravail, donc l’effet à la baisse sur le total de l’achalandage devrait se situer autour de 10 %.

Mais en contrepartie, le grand patron de la Caisse estime que les grands projets de développement immobilier autour des stations devraient faire augmenter l’achalandage de 10 %.

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Intéressante donnée. Cet élément sera peut-être élaboré lors d’une Causerie virtuelle (organisée par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain) avec Jean-Marc Arbaud, Président et chef de la direction de CDPQ Infra, ce vendredi midi.

https://twitter.com/chambremontreal/status/1383075291724193796

En 2015, CDPQ Infra a vu le jour proposant un modèle novateur pour la réalisation de grands projets d’infrastructures publiques modernes et efficaces. En moins de six ans, deux projets de transport collectif importants pour le Grand Montréal, totalisant 99 km de métro léger, se profilent : le Réseau express métropolitain est en phase de construction et il se déploie rapidement sur le territoire métropolitain, tandis que le projet du REM de l’Est, qui est en phase de planification détaillée, se bonifie à la lumière des études et des consultations.

La causerie aura pour but de faire le point sur ce qui a été accompli et sur ce qu’il reste à bâtir.
Conférence – Jean-Marc Arbaud, CDPQ Infra| CCMM

Note: La conférence est gratuite pour les membres de la CCMM et 35$ pour les non membres.

Il y a eu une mise à jour à cet article avec des éléments qui apporteront certaines réponses sur les autres phases (proposées par la CAQ) et le tronçon vers Lachine:

Autres phases

M. Émond a lancé une douche froide quant à la réalisation de tous les projets de REM que le gouvernement Legault voudrait lui confier. Québec demande en effet à la Caisse d’évaluer un prolongement vers Laval et un autre vers la Rive-Sud.

« Le gouvernement nous mandate, c’est lui qui détermine les besoins, on regarde les critères et on leur revient avec une recommandation d’usage », a-t-il expliqué.

« Mais il est fort possible que d’autres projets ne puissent pas se faire, parce que pour nous il doit être viable économiquement, faisable techniquement, rentable financièrement. […] Ce n’est pas parce qu’on regarde un projet qu’on est nécessairement intéressé. »

Tronçon Lachine

L’opposition libérale a demandé à obtenir les études concernant le tronçon vers Lachine, demandé par le gouvernement caquiste, mais qui a été refusé par la Caisse.

Or, le gouvernement persiste et a alors plutôt demandé à l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) de se pencher sur la faisabilité du projet.

Le député libéral André Fortin a demandé à connaître les motifs du refus de la Caisse, mais le ministre des Finances, Eric Girard, l’a invité à s’adresser plutôt au ministre des Transports, François Bonnardel.

Le chantier actuel du REM est un réseau de 67 km avec 26 stations. Il comporte une ligne principale, de Deux-Montagnes à Brossard, et deux antennes qui vont vers l’ouest de l’île de Montréal à partir de Saint-Laurent.

Estimée à l’origine autour de 6 milliards, la facture du REM actuellement en cours de réalisation n’a cessé d’augmenter. On l’évaluait à pas moins de 7,5 milliards en 2018, et de surcroît, Québec, Ottawa et la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC) ont récemment accepté de rallonger 600 millions pour la station de l’aéroport de Montréal.

Québec et la BIC sont des investisseurs dans le projet du REM, mais c’est la Caisse qui est propriétaire du réseau avec sa mise de fonds de 3 milliards.

https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2021-04-27/rem/une-baisse-d-achalandage-de-10-a-prevoir-en-raison-du-teletravail.php


Voici deux autres articles relatant la même nouvelle: :wink: