REM - Discussion générale

Just saw this about the technology being used on the Mont-Royal tunnel.

7 « J'aime »

That’s the most in-depth analysis of the new system that I have yet read. Thank you.

1 « J'aime »

Je sais pas pourquoi les réseaux de transports semblent vouloir “se rivaliser” au point de n’indiquer que les correspondances et rien d’autre.

La STM n’affiche que les informations concernant leur réseau, de même pour exo et bientôt pour le REM. Dans un souci de simplicité d’usage (lorsque l’espace le permet) on devrait simplement afficher toutes les lignes dans leur entièreté.

13 « J'aime »

The REM has said online and on phone calls that the date of April 23rd probably isn’t accurate, and that we shouldn’t suspect it to open at that date specifically. It MIGHT but it’s not 100% on that date

7 « J'aime »

Les cartes sont faites par l’ARTM non? Je pense pas que ce soit une question de concurrence.

En ce qui a trait à EXO, quant à moi ça se comprend. Le train de banlieue n’a pas du tout la même offre de service.

2 « J'aime »

Le système de billetterie du REM encore plus coûteux que prévu

Installer le système d’achat de billets va coûter 56 M$


PHOTO DOMINIQUE CAMBRON-GOULET
Le Réseau express métropolitain (REM) fonctionnera avec le système Opus comme les autres sociétés de transport du grand Montréal.

DOMINIQUE CAMBRON-GOULET
Mardi, 21 février 2023 00:00MISE À JOUR Mardi, 21 février 2023 00:00

L’explosion des coûts du Réseau express métropolitain (REM) se poursuit. L’installation du système d’achat de billets coûtera au moins 21 M$ de plus que l’estimation initiale, a appris Le Journal.

D’abord évalués à 35 M$ en 2019, puis à 51 M$ en 2020, les coûts de l’installation du système de cartes Opus et de billets dans les stations du REM s’élèvent maintenant à plus de 56 M$.

Les causes de la plus récente hausse : l’achat de davantage d’équipements, mais aussi les retards dans la livraison du réseau de trains de 26 stations de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ).

Ces millions supplémentaires sont peut-être un avant-goût des prochains mois. CDPQ a déjà annoncé que son budget de 6,9 G$, qui n’inclut pas le système de billetterie, serait dépassé en raison des retards dans la livraison du projet. Mais aucune mise à jour n’a été faite.

Prévue pour 2021, la mise en service du REM a été reportée trois fois et n’a pas encore commencé. Le tronçon entre Brossard et le centre-ville de Montréal doit ouvrir ce printemps, mais les autres stations ne seront pas desservies avant 2024.

« Les retards dans la mise en service du REM entraînent des dépenses supplémentaires, notamment en matière de mobilisation prolongée du bureau de projet billettique, d’entreposage des équipements et de coordination additionnelle », a indiqué le porte-parole de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) Simon Boiteau.

les mêmes billets

Bien que la CDPQ pilote le REM, c’est l’ARTM qui supporte les coûts pour le système de billets, afin que celui-ci soit le même que dans les autres sociétés de transport du grand Montréal.

L’ARTM a délégué le projet à la Société de transport de Montréal (STM).

Au début du mois, le conseil d’administration de la STM a d’ailleurs voté une augmentation de budget de 2 M$ à deux firmes de génie pour des services professionnels y étant reliés.

« La mise en service du REM a été reportée d’environ six mois par CDPQ infra, empêchant la STM de mettre en place la solution Billettique dans les installations du REM dans les délais initialement prévus. Le prolongement du projet requiert une augmentation de l’effort des ressources des deux firmes », indiquent les documents du conseil d’administration de la STM.

https://www.journaldemontreal.com/2023/02/21/le-rem-innove-encore-pour-gonfler-la-facture

1 « J'aime »

Le JDM a réviser le titre pour quelque chose de moins sensationnaliste, mais le lien n’est pas à jour :rofl:

7 « J'aime »

Puisqu’il y aura des travaux entravant les accès à la station IDS pour 8 semaines à partir du 27 février, cette station ne pourra pas être accessible aux usagers avant 2 mois. :man_shrugging:

Potentielle mise en service du REM pas avant le 23 avril… ?! :wink:

2 « J'aime »

Service en fonction au 1er mai alors (29-30 avril gratuit peut-être).

Autre chose à vérifier serait quand la marche à blanc commence.

Hmmm, à bien y penser, peut-être qu’ils peuvent commencer au 23 avril gratuitement. Est-ce que le contrat stipule un paiement ARTM → CDPQi basé sur le km/passager sans autre critère (ie: capture de la tarification)?

Dans le communiqué de presse de la CDPQ au sujet du rendement de son portefeuille d’investissements en 2022

En ce qui concerne le Réseau express métropolitain (REM), plusieurs étapes clés ont été complétées en cours d’année, dont la finalisation des travaux d’infrastructures et l’électrification complète de l’antenne Rive-Sud. Également, des tests et essais dynamiques ont été menés pour valider le fonctionnement et la fiabilité des systèmes, et ce, dans diverses conditions, incluant les intempéries hivernales. Rappelons que la mise en service de l’antenne Rive-Sud du REM est prévue au printemps 2023.

2 « J'aime »

On approche bientôt de la dernière phase de tests, soit la “marche à vide”… :checkered_flag:

9 « J'aime »

un autre titre alarmiste de QMI…

Baisse d’achalandage dans les transports: le REM pourrait en payer le prix


Photo d’archives, Agence QMI

Audrey Sanikopoulos
Agence QMI
Publié le 27 février 2023 à 05:00

Le Réseau express métropolitain (REM) pourrait souffrir financièrement de la baisse du nombre d’usagers du réseau de transport en commun montréalais, affirment des experts.

«Si l’achalandage n’est pas au rendez-vous, ça se peut que les profits ne soient pas au rendez-vous», a résumé Jean-Philippe Meloche, professeur et directeur de l’École d’urbanisme et d’architecture de paysage de l’Université de Montréal.

Le REM va être opéré par la CDPQ Infra, une filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec. Elle compte atteindre un rendement de 8% sur son investissement.
Un contrat a été négocié avec Québec pour des subventions selon le nombre de passagers par kilomètre, et non en fonction de la disponibilité des services. La CDPQ Infra a alors tout misé sur l’achalandage.

Toutefois, les usagers du transport en commun sont moins nombreux depuis la pandémie, ce qui affecte les finances des sociétés de transport (voir autre texte). Par exemple, l’achalandage du train de banlieue représente actuellement 50% de celui de 2019, selon son opérateur exo.

«Le REM a été ajusté dans une perspective de 2019. Quand il va rentrer en service, on est déjà en train de se demander s’il n’y a pas trop de transport en commun selon nos besoins d’aujourd’hui», a expliqué M. Meloche.

Peu de flexibilité

Les opérateurs du REM n’ont presque aucune autre solution si l’achalandage ne suit pas. Il leur serait impossible de jouer sur le prix du billet, qui sera similaire au reste du réseau.

Sans chauffeurs, le REM nécessite aussi peu de frais d’exploitation. Il serait donc difficile d’y faire des coupes.

«Tout ce qui est espéré, c’est que ça ne va pas faire trop mal. Il va falloir que le REM absorbe le coût parce qu’il n’y a aucune flexibilité», a indiqué le professeur.

La CDPQ Infra n’a pas non plus la certitude de pouvoir compter sur Québec pour des subventions additionnelles.

«La Caisse a tellement insisté sur le fait qu’elle assumerait le risque que Québec ne recevrait probablement pas positivement une telle demande», a avancé Michel Beaulé, conseiller sur le financement du transport collectif.

Filet de sécurité

La CDPQ Infra a tout de même été prévoyante en négociant des subventions en fonction d’un achalandage potentiellement faible. «La Caisse s’est donné un coussin de sécurité», a précisé M. Beaulé.

Elle mise aussi sur un monopole du transport vers la Rive-Sud et l’ouest de l’Île. «Les opérateurs ont tout mis en place pour qu’il y ait beaucoup de passagers. Ils ont même forcé les sociétés de transport à tout rabattre sur le REM», a assuré M. Meloche.

«Nous demeurons confiants de nos prévisions, le modèle de CDPQ Infra est ancré sur une perspective long terme», a réagi Emmanuelle Rouillard-Moreau, porte-parole de CDPQ Infra.

Les premiers passagers du REM devraient pouvoir l’emprunter dès ce printemps pour aller de la Rive-Sud au centre-ville de Montréal.

Le télétravail nuit au transport collectif

Le principal rival du transport en commun n’est plus la voiture, mais bien le télétravail, qui affecte de plus en plus les finances des sociétés de transport, croit un expert.

«Le transport en commun, ça fonctionne bien dans les zones à très haute densité quand beaucoup de gens ont la même destination. Si vous n’avez pas un centre-ville dynamique, vous n’avez pas du transport en commun dynamique», a souligné Jean-Philippe Meloche.

De moins en moins de gens se déplacent dans la métropole. Selon les derniers chiffres de la Société de transport de Montréal (STM), l’achalandage actuel du métro n’atteint que 72% de celui de 2019.

Il est actuellement de 74% pour le bus. La réduction se fait aussi ressentir dans les trains de banlieue.

La STM a été obligée de mettre fin à son service de bus aux 10 minutes. Elle a aussi été forcée de réduire ses dépenses de 18 millions $ pour faire face à un trou budgétaire désormais évalué à 60 millions $.

La situation est similaire pour les autres services de transport du Grand Montréal. L’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) accuse actuellement un déficit de 500 millions $.

«Les opérateurs essaient de maintenir les services jusqu’à ce que les gens reviennent. Mais si les gens ne reviennent pas, c’est mettre de l’argent dans les poubelles», a affirmé M. Meloche.

Les services de transport n’auront donc certainement pas d’autres choix que de réajuster les fréquences de leurs modes de déplacement selon les journées les plus prisées pour le travail au bureau.

D’après Jean-Maxime St-Hilaire, porte-parole d’exo, l’achalandage des trains de banlieue vers le centre-ville est plus important du mardi au jeudi.

«Ce n’est pas juste à Montréal que les gens ne vont plus au centre-ville avec le transport en commun, c’est dans toutes les grandes villes du monde», a rappelé toutefois le professeur.

https://www.tvanouvelles.ca/2023/02/27/baisse-dachalandage-dans-les-transports-le-rem-pourrait-en-payer-le-prix

Brilliant deduction,Watson !

2 « J'aime »

Le but des transports publiques est de déplacer des gens, pas offrir du service, non? Selon moi l’alignement entre la motivation et les récompenses est justement meilleur ainsi.

Prochain chef de l’ARTM? :roll_eyes:

:rofl: :rofl: :rofl:
L’automatisation et les bas coûts d’opérations sont maintenant un désavantage!
Son commentaire est sponsorisé par le syndicat des chauffeurs, opérateurs de trains et métro.

Et présentement l’ARTM et la STM non-plus…

Assumer le risque est justement un avantage de l’accord pour le gouvernement.

Dans un réseau de hub-and-spoke (tout vers le centre-ville). Moins dans un réseau maillé.

Donc selon lui s’il y a moins d’achalandage il faut offrir moins de service. Bien sûr moins de service entrainera moins d’achalandage.

C’est sûr qu’avec ce raisonnement on aura pas besoin d’un service automatisé à bas coût d’opération qui sera disponible bon an mal an…

19 « J'aime »

Le fait que le directeur de l’école d’urbanisme de montréal puisse sortir une phrase pareille explique beaucoup sur l’état du planning à l’ARTM.

En tout cas j’ai hâte que le REM fasse exploser l’achalandage dès le premier jour et ridiculise ces gens là.

18 « J'aime »

« Le télétravail nuit au transport collectif »
Et bien dans mon cas la qualité du transport collectif m’incite à faire du télétravail.

Il faut des dirigeants avec des perspectives différentes sinon le TEC deviendra une espèce en voie de disparition.

4 « J'aime »

They’re correct. The CDPQi doesn’t have options. But you know who does?

Sainte-Anne-de-Bellevue
image

Kirkland

Pointe-Claire


Brossard

Ideally, there’d be a law at the provincial level that would oblige the municipalities to do it by default, but thats just wishful thinking. If we’re not hitting ridership targets and the area is already dense, then sure, that’s a problem. However if that station is in the “middle of nowhere”, you have plenty of opportunity to create that demand. Today, that’s in a housing crisis no less.

Anyway, here’s just a fun little comparison of 77th St. Station in Brooklyn to show what having transit options can contribute to.

image

6 « J'aime »

Vu ses interventions précédentes sur la question, je me doute que M. Meloche a été mal cité, mais je comprends mal cette réflexion. L’ARTM elle-même, dans son dernier plan stratégique de développement disait vouloir augmenter la part modale des déplacements en TeC sur l’ensemble de son territoire à 35%. Je ne vois pas comment c’est possible sans, procéder à une augmentation drastique de l’offre de service pour couvrir le plus de besoins de déplacements possibles.

5 « J'aime »

Apple Maps is getting ready for the REM… all the entrances/exits have been added to the map already! They normally do this almost exactly one month before a train line opens.

Brossard:

Du Quartier:

Panama:


Each side of the tunnel is marked as an entrance, this one as just a “walk through” because the tunnel entrance doesn’t have doors:
Screenshot 2023-02-27 at 8.56.54 PM

Île-des-Sœurs:


This one shows that the entrance is a doorway, unlike Panama:
Screenshot 2023-02-27 at 8.53.39 PM

(Gare Centrale already had entrances mapped out because the station already exists)

This could mean a late March or early April opening possibly!

3 « J'aime »

Aussi sur la vue Explore, on y voit les stations:

image

Oups mauvaise terminologie:

image

3 « J'aime »