Parcs de Montréal - Discussion générale

Restauration du chalet du parc Morgan


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Montreal turning Lachine playground into their fourth ‘sponge park’

“It’s going to act more like a cooling system,” says Lachine city councillor Vicki Grondin, on how the conversion of Brewster Park into Montreal’s fourth ‘sponge park’ will help the city with climate change. Diona Macalinga reports.

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Nouvelle aire de détente à la berge du parc de la Promenade-Bellerive

Photo: Gracieuseté

Naomie Gelper

27 juillet 2023 à 12h16 - Mis à jour 28 juillet 2023 à 17h21 2 minutes de lecture

Alors que l’Arrondissement de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve a pour objectif de permettre la baignade dans le fleuve Saint-Laurent à partir de la berge de la Promenade-Bellerive dès 2024, une section du parc a été aménagée en ce sens. On y trouve notamment une aire de détente avec des bancs et des chaises longues en bois, ainsi que des parasols.

En plus du mobilier de plage, ce nouveau pôle récréatif, inauguré mercredi soir, accueille du marquage ornemental sur la chaussée, des installations sanitaires écologiques, des sentiers ainsi qu’une rampe d’accès à la plage accessibles universellement. Des arbres situés aux abords de l’eau ont également été taillés afin d’améliorer la vue sur le fleuve Saint-Laurent vis-à-vis le belvédère existant.

Cela fait maintenant plusieurs années que Projet Montréal s’est engagé à aménager un accès à l’eau et à la baignade au parc de la Promenade-Bellerive.

«Notre objectif demeure toujours de permettre la baignade dès que possible. À l’Arrondissement, on a fait ce qui est en notre pouvoir afin d’y arriver. On compte maintenant sur les autres paliers de gouvernement pour les dernières étapes», a déclaré le maire de l’Arrondissement, Pierre Lessard-Blais.

Des études sont actuellement en voie d’être terminées, précise-t-il, afin d’évaluer si un futur espace de baignade répond aux exigences des gouvernements provincial et fédéral. Pour s’assurer de créer un espace de baignade sécuritaire, il faut d’abord étudier la direction et la vitesse des courants; l’absence d’éléments toxiques et de débris sur la grève et dans le littoral; la topographie d’une éventuelle zone de baignade; ainsi que le respect de la biodiversité.

En demandant à ses équipes internes de Mercier–Hochelaga-Maisonneuve d’imaginer et de concevoir en grande partie le projet d’aménagement, l’Arrondissement a réussi à réduire les coûts à 400 000 $, soit la moitié du montant estimé si le contrat avait plutôt été octroyé à un fournisseur externe, indique le cabinet du maire.

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En complément de l’inauguration du parc Saidye-Bronfman il y a tout juste un an, voici quelques photos d’une amie qui était dans le coin cette semaine:

Elle a trouvé cela joli, mais un manque d’ombre surtout pour les tables.

Le parc se trouve dans le Triangle ici:

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Réaménagement de la rue Berthier et du parc Berthier, dans Ville-Marie, entre de la Visitation & Panet:

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Aménagement urbain | Les parcs urbains à l’heure de la transition


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Situé sur une ancienne carrière, le parc Rosemont a été réaménagé au coût de 6,75 millions de dollars.

Davantage d’arbres et de diversité, voire des microforêts, et aussi plus de trèfle et de jardins de pluie. Les changements climatiques amènent à repenser l’aménagement des parcs urbains, où le gazon règne depuis longtemps.

Mis à jour à 12h00
VALÉRIE SIMARD
LA PRESSE

Quand le parc renaît

« Avant, même les oiseaux ne voulaient pas venir ici ! », lance à la blague Yvan, résidant du quartier Rosemont qui habite près du parc du même nom depuis de nombreuses années. Jadis un parc ordinaire qui accueillait un module de jeux pour enfants et une grande surface gazonnée servant de terrain de soccer, le parc Rosemont a été complètement transformé.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Des jeux d’eau ont été installés dans le parc Rosemont, de même qu’un système de gestion environnementale pour les eaux souterraines et les biogaz.

À la fin du mois de juin, les résidants du quartier ont pu découvrir cet espace renouvelé de 15 000 m⁠2 aménagé en trois zones : la Place, où se trouve le chalet qui sera rénové, la Clairière, constituée d’un parterre de trèfle, de modules de jeux en bois favorisant le jeu libre, de jeux d’eau et d’un anneau de glace en hiver, et le Boisé urbain, une microforêt où de jeunes plants ont été mis en terre à haute densité. Une rivière sèche et un jardin de pluie, installé au point le plus bas du site, aident à recueillir les eaux de ruissellement.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Des brumisateurs ont été installés pour rafraîchir les usagers.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Une rivière sèche aide à la gestion des eaux de pluie.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Pour favoriser le jeu libre et s’inscrire dans l’esprit d’un parc-nature, des modules en bois ont remplacé les anciens modules en métal.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
Lorsque les végétaux composant la microforêt auront grandi, la clôture les protégeant sera retirée.

Ce parc s’inscrit dans un changement de posture adopté pour atténuer les impacts des changements climatiques. Dans son Plan directeur de biodiversité, l’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie dit viser à ce qu’en 2040, la population jouisse d’un contact quotidien avec la nature. Pour ce faire, elle compte accroître la biodiversité sur son territoire en bonifiant les habitats existants, en en créant de nouveaux et en les connectant ensemble.

Une microforêt qui promet

Environ 400 arbres et arbustes ont été plantés dans la microforêt du parc Rosemont, la cinquième dans l’arrondissement. « D’avoir une forêt comme celle-là a plusieurs avantages », souligne Audrey Boulanger-Messier, ingénieure forestière à l’arrondissement. Avec sa structure complexe et étagée, la microforêt favorise la biodiversité. À l’échelle individuelle, les arbres peuvent intercepter une certaine quantité de particules fines dans l’air, réduire la quantité d’eau de pluie dans le réseau municipal et créer de l’ombrage. « L’ombrage créé par les végétaux a plus d’avantages que celui des bâtiments parce que lorsqu’il transpire, l’arbre rafraîchit l’air également », précise-t-elle.


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
La nouvelle microforêt du parc Rosemont

Selon Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et titulaire de la Chaire de recherche sur la forêt urbaine, il est nécessaire de repenser la forêt urbaine qui, comme les humains, est affectée par les changements climatiques. Pour la Ville de Montréal, il y a le défi d’augmenter la canopée, en parc comme sur rue, à un moment où de nombreux arbres ont été décimés par l’agrile du frêne.


PHOTO MARCO CAMPANOZZI, ARCHIVES LA PRESSE
Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM

Dans 20 ans, on aura encore plus besoin des arbres. Si on ne fait rien, on n’en aura pas plus. Il faut augmenter la forêt urbaine en quantité de canopée, mais aussi s’assurer qu’elle sera encore là dans 20 ans.

— Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM

Cette résilience passe par la diversité.

Ainsi, les espèces plantées au parc Rosemont ont été sélectionnées en fonction d’une diversité fonctionnelle. « En ayant une plus grande diversité, on a une plus grande diversité de réactions, explique Audrey Boulanger-Messier. Il y a certains arbres qu’on va perdre en fonction des aléas climatiques, mais la majorité va bien s’en sortir. On est prêt à tout en plantant de tout. »

PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE

Un équilibre doit être trouvé entre les plaines de jeu libre et les espaces plus fournis en végétation.

Avec l’engouement récent des municipalités pour ce concept lancé par le botaniste japonais Akira Miyawaki, on voit pousser ces microforêts dans divers arrondissements montréalais et dans des villes comme Repentigny et Candiac. Mais des défis se posent. Leur emplacement doit être bien choisi afin de ne pas diminuer le sentiment de sécurité des usagers. Un équilibre doit aussi être trouvé entre les plaines de jeu libre, qui permettent la pratique d’activités sportives, les espaces en gestion différenciée où des herbes hautes sont laissées et les zones densément boisées.

« Si on s’arrêtait seulement aux services écosystémiques, remplir nos parcs avec des arbres devient une évidence, mais il faut que les gens puissent se rencontrer, faire des activités sportives, souligne Alain Paquette. Jouer au frisbee, ça se fait très mal dans une forêt dense. On ne va pas remplacer nos parcs gazonnés par des forêts semi-naturelles. Mais, entre les deux extrêmes, il y a plein d’options, entre autres ces fameuses miniforêts. »


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE
L’équipe de l’arrondissement qui a supervisé le réaménagement du parc Rosemont : Guylaine Déziel, directrice – développement du territoire et études techniques, Félix Champagne-Picotte, chef de division urbanisme, permis et inspection, Audrey-Boulanger, ingénieure forestière, et Jeevanathan Regismarianayagam, chef de division – aménagement du territoire et études techniques. Absente de la photo : Vania Rodriguez, architecte paysagiste.

« Quand on rencontre les citoyens, ils veulent 200 choses », remarque Félix Champagne-Picotte, chef de division urbanisme, permis et inspection de Rosemont–La Petite-Patrie. « On se demande : “Ce parc, quelle est sa vocation ?” L’objectif est que tous nos parcs soient en transition écologique, mais qu’ils soient différents les uns des autres. »

Prochainement commenceront les travaux pour le réaménagement du parc Montcalm, où les principes de transition écologique seront poussés encore plus loin. « L’idée est de venir créer de petits écosystèmes à travers le parc pour faire revenir les petits mammifères, les abeilles, les oiseaux », expose M. Champagne-Picotte.

Vivement de l’ombre !

« J’ai hâte que la forêt grandisse », a exprimé Suzelle Beaulieu, rencontrée au parc Rosemont alors qu’elle était en train de faire la lecture à sa petite-fille Clémence. « Dans tous les parcs où il y a des jeux d’enfants, il manque d’ombre. »

Il faudra toutefois être patient. La plupart des arbres sont encore trop jeunes pour fournir de l’ombre. Il faut s’attendre à de la mortalité aussi dans la microforêt, ce qui est normal, voire positif lorsqu’on cherche à recréer un milieu naturel, indique Alain Paquette.

UN PARC SANS POUBELLES ?

Un élément manque cruellement dans le parc Rosemont, selon de nombreux usagers : des poubelles. Au cours de notre visite, une résidante qui promenait son chien, sac de plastique à la main, a exprimé son mécontentement à une représentante de l’arrondissement. Chaque jour, a-t-elle déploré, des citoyens ramassent des déchets qui jonchent le sol. Les poubelles ont-elles été oubliées ? Non. C’est un projet-pilote de l’arrondissement pour inciter les gens à prendre la responsabilité de leurs détritus et à les diminuer. L’arrondissement dit s’être inspiré d’autres endroits publics dans le monde qui ont adopté cette approche, notamment le parc Frédéric-Back à Montréal. « L’arrondissement veut s’inscrire comme un agent de changement, affirme Guylaine Déziel, directrice du développement du territoire et des études techniques de Rosemont–La Petite-Patrie. Il faut communiquer le message et sensibiliser les gens. La transition écologique, c’est l’affaire de tous. »

Ailleurs à Montréal


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, LA PRESSE
Dilkash Kaur se rafraîchit au parc Dickie-Moore, qui porte le nom de l’ancien numéro 12 du Canadien de Montréal, qui a grandi dans le quartier de Parc-Extension.

Dans d’autres arrondissements aussi, la transition écologique s’invite dans les parcs et les places publiques. C’est le cas de la place des Fleurs-de-Macadam, dans Le Plateau-Mont-Royal, devenue une place multifonctionnelle inondable, et du parc Dickie-Moore, inauguré l’an dernier dans le quartier Parc-Extension. D’une superficie de 4000 m⁠2, cet ancien terrain vacant compte dorénavant quelques arbres, plusieurs arbustes, un jardin de pluie et des modules de jeux en bois.

« Il y a des classes d’exercices, des enfants qui jouent dans l’eau, c’est invitant pour tout le monde : les jeunes enfants, nos locataires, des adultes, des familles, se réjouit Arnold Fox, l’un des propriétaires de l’édifice locatif voisin. C’est un parc qui a été bien pensé et c’est un merveilleux ajout au quartier. » Et un plus aussi d’un point de vue immobilier.

C’est certainement un atout [d’avoir un parc à côté], comme d’avoir une station de métro.

— Arnold Fox, l’un des propriétaires près du parc Dickie-Moore


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, LA PRESSE
Le parc est situé à l’intersection des avenues Beaumont et de L’Épée, sur un ancien terrain vacant.


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, LA PRESSE
Ici aussi, les modules en bois ont été privilégiés.


PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, LA PRESSE
Les pollinisateurs sont au rendez-vous.

Priorité variable

Bien que la Ville de Montréal ait fait de la biodiversité et des espaces verts l’une de ses priorités pour accélérer la transition écologique, l’intérêt accordé à la forêt urbaine varie beaucoup d’un arrondissement à l’autre, constate Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM. « C’est tellement facile de planter des arbres là où les gens en veulent. Il faut les planter là où les gens n’ont pas de voix. Pour beaucoup de Montréalais, la seule nature à laquelle ils ont accès dans l’essentiel de leur vie d’enfant, puis comme jeune adulte, ce sont les parcs autour d’eux. »

Dans une réponse acheminée par écrit, la Ville de Montréal indique que son Plan climat 2020-2030 prévoit la plantation, l’entretien et la protection de 500 000 arbres en priorité dans des zones vulnérables aux vagues de chaleur et que « chaque arrondissement fait sa part pour atteindre cet objectif ambitieux ».

Quel arbre planter dans sa cour ?


PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE
Les arbres de la forêt privée montréalaise sont plus diversifiés que ceux qu’on retrouve sur les terrains municipaux.

S’il existe un portrait assez précis de la forêt urbaine qui se trouve sur l’emprise publique montréalaise, on en sait assez peu sur les arbres qui ornent les terrains privés. Or, c’est en connaissant les espèces qui se trouvent autour de chez soi qu’on peut mieux choisir celles à planter dans sa cour.

Méconnaissance

Lorsqu’on lui demande quelles espèces d’arbres les propriétaires montréalais devraient privilégier pour augmenter la diversité de la forêt urbaine, Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM, fait un long détour. « Les gens pensent qu’on a une connaissance de la forêt urbaine, mais les inventaires qui sont disponibles partout dans le monde, ce sont les arbres publics, c’est-à-dire les arbres qui sont plantés dans l’emprise publique et qui sont donc sous la responsabilité de la municipalité, affirme le titulaire de la Chaire de recherche sur la forêt urbaine. On ne connaît rien de la forêt privée. La forêt privée, c’est la forêt résidentielle, commerciale, institutionnelle. »

En menant une recherche autour du Complexe des sciences de l’UQAM, son équipe a constaté que la forêt privée est très différente de la forêt publique. « C’est une bonne nouvelle, parce que les gens prennent justement des décisions différentes, ce qui fait que notre forêt est plus diversifiée qu’on le pensait. »

Inventaire en cours

Afin de pousser la recherche, l’équipe dresse actuellement un inventaire des arbres dans un rayon de 200 mètres autour de 25 « placettes » ciblées partout dans la ville. Pour cela, ils ont besoin de la collaboration des résidants de ces secteurs, qui recevront un dépliant informatif les invitant à faire l’inventaire des arbres qui se trouvent sur leur terrain.

Cette connaissance-là est fondamentale pour qu’on puisse aller de l’avant et faire des gestes concrets pour augmenter notre forêt urbaine en quantité et en qualité. Idéalement, les gens devraient ne pas planter la même chose que leurs voisins et que la municipalité.

— Alain Paquette, professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM

Le chercheur refuse cependant de nommer des espèces. « Les gens qui s’occupent d’aménagement paysager savent qu’il ne faut pas répondre à cette question-là parce que dans les jours et les semaines qui suivent, les ventes de cette espèce explosent et ça va un peu à l’encontre de ce qu’on essaie de faire. On veut augmenter la diversité, on ne veut pas que les gens se lancent sur la dernière nouveauté. »


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Ici, on peut découvrir une vingtaine d’espèces d’arbres.


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Des espèces moins connues, mais adaptées au milieu urbain

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
De quoi s’inspirer pour ses propres espaces verts

Pour s’inspirer, il invite les gens à visiter la forêt urbaine IDENT-CITÉ, inaugurée en 2015 tout près du parc Maurice-Richard et de l’avenue Park Stanley, dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. Aux abords d’un sentier en forme de spirale, le public peut découvrir une vingtaine d’espèces d’arbres, moins connues, mais toutes adaptées au milieu urbain, dont certaines à faible ou moyen déploiement pour les petits espaces.

Consultez le site de la Chaire de recherche sur la forêt urbaine de l’UQAM

EN SAVOIR PLUS

8 %

Proportion du territoire de l’agglomération de Montréal occupée par des parcs et espaces verts (2016)

SOURCE : PLAN STRATÉGIQUE MONTRÉAL 2030

14

Nombre de microforêts qui seront aménagées à Montréal dans le cadre du premier budget participatif de la Ville

SOURCE : VILLE DE MONTRÉAL

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Est-ce qu’il serait possible de réaménager certains bassins de rétention en parc tout en conservation leur fonction? Cet espace sur du Trianon est bien triste.

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Sur le compte Facebook de Claude Deschênes, les terrains de volleyball de plage au Square Saint-Patrick dans Pointe-Saint-Charles sont ouverts au public

Moins d’un an après le début des travaux, les trois nouveaux terrains de volleyball de plage du square Saint-Patrick, dans l’Arrondissement du Sud-Ouest, sont terminés et prêts à être utilisés.
L’accès est libre cette saison. En 2024, il faudra réserver son terrain d’avance.
https://montreal.ca/lieux/square-saint-patrick

La butte avec les oiseaux sur les poteaux de bois ont été installés lors de la phase 1 des travaux du parc

J’aime l’idées des billot de bois comme poteaux pour les filets

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Une opération pour consolider les sentiers officiels au parc Thomas-Chapais

Mis à jour le 11 août 2023
Temps de lecture : 2 min

Constatant la grande quantité de sentiers non officiels qui ont été créés au boisé du parc Thomas-Chapais ces dernières années, MHM entreprendra à l’été 2023 une opération de consolidation des sentiers officiels dans l’objectif de limiter le piétinement dans les zones boisées.

D’une superficie de 15,2 hectares, le parc Thomas-Chapais compte parmi les boisés les plus précieux de l’est de Montréal. Avec quelque 11 000 arbres, ce parc est un lieu de grande biodiversité indigène tant floristique (végétaux) qu’ornithologique (oiseaux) (source : Comité citoyen du parc Thomas-Chapais).

Malheureusement, les nombreux sentiers non officiels qui s’y sont créés ces dernières années portent atteinte à l’intégrité de ce riche milieu naturel. Le piétinement hors du réseau de sentiers officiels, fortement observé lors d’une étude d’impact de la fréquentation, crée des conditions dans lesquelles plusieurs végétaux n’arrivent pas à survivre et à se réétablir. Cette situation a également été constatée dans le secteur du milieu humide situé dans la portion nord du parc.

Consolider le réseau de sentiers officiels

C’est dans ce contexte que l’arrondissement de MHM entreprendra dès l’été 2023 une importante opération de consolidation des sentiers officiels traversant le parc. Soulignons que ce projet est rendu possible grâce à une aide financière de la Fondation de la faune du Québec de 100 000 $ et de son partenaire, Hydro-Québec, dans le cadre du Programme Hydro-Québec pour la mise en valeur des milieux naturels.

Cette opération vise à :

  • fermer certains sentiers non officiels du parc
  • délimiter et protéger le milieu humide
  • optimiser la circulation dans le boisé
  • éduquer et sensibiliser la population

Coup d’oeil sur l’opération de consolidation

Interventions planifiées en 2023

Des travaux légers seront réalisés en août et septembre 2023 pour fermer les sentiers non officiels. Ces derniers seront bloqués de différentes façons : installation de cordes, de piquets et de panneaux de sensibilisation. La plantation de végétaux et l’ajout de barrières physiques comme des rondins sont des activités prévues pour 2024.

Le parc demeura accessible durant toute la durée des travaux.

Des interventions additionnelles sont prévues en 2024 pour la mise en valeur du boisé.

Plan climat MHM

Ce projet concorde avec les orientations du Plan climat MHM, notamment l’action 9 du chantier B « Biodiversité et verdissement » : produire et mettre en œuvre une stratégie de protection et d’enrichissement de la biodiversité dans nos milieux naturels et nos espaces verts.

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Parc Lucia-Kowaluk

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Nouvelle toponymie pour cette promenade en bordure du fleuve à LaSalle

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Prendre soin des poumons verts de nos villes

PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE

Le parc Frédéric-Back

L’été est une période tant attendue. Mais cette saison marque un changement important.

Mis à jour le 29 août

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Kelly Martin

Kelly Martin Urgentologue à l’Hôpital de Montréal pour enfants et au site Glen du Centre hospitalier de l’Université McGill; et plus de 30 autres signataires*

Même si nous sommes conscients de la crise climatique, jamais ses effets n’auront autant affecté notre quotidien que lors des derniers mois. Alors que plus de 1 million d’hectares de forêts ont brûlé au Québec et plus de 10 millions dans tout le Canada⁠1, nous avons vécu des périodes de pollution atmosphérique grave, qui augmentent la mortalité, empêchent nos enfants de jouer à l’extérieur et les adultes d’accomplir leurs tâches quotidiennes en toute sécurité.

Nous avons aussi connu des vagues de chaleur avec des températures extrêmes et nous avons vu l’Europe, les États-Unis et le reste du monde souffrir d’épisodes prolongés de chaleur extrême que nous n’avions jamais connus auparavant. Juillet 2023 est le mois le plus chaud depuis au moins 120 000 ans !

En tant que scientifiques et professionnelles et professionnels de la santé, il est de notre devoir de sonner l’alarme. Nous sommes préoccupés par les effets de la crise climatique sur la santé de nos enfants, de la population et des nombreuses espèces vivantes auxquelles nous sommes connectés et dont nous sommes dépendants.

Les meilleurs climatiseurs et filtres à air…

Dans un tel contexte, les forêts urbaines figurent parmi les solutions les plus intéressantes pour s’adapter à ces changements extrêmes. Elles ont de multiples avantages dont celui, majeur, de procurer un rafraîchissement particulièrement important en période de canicule alors que les risques sur la santé sont les plus élevés.

Le développement urbain est toutefois associé à une diminution des zones boisées et une augmentation des surfaces minéralisées qui emmagasinent la chaleur.

Plusieurs études montrent que les températures des îlots de chaleur créés dans les villes peuvent être considérablement plus élevées que celles des zones boisées environnantes⁠2. Le gouvernement du Québec a cartographié les îlots de chaleur les plus importants. Ceux-ci se retrouvent dans les centres-villes, les immenses stationnements des centres commerciaux, le long des autoroutes, et dans les quartiers les plus défavorisés, où vivent les personnes les plus à risque de développer des problèmes de santé liés à l’exposition environnementale⁠.

Il est donc crucial d’agir sur ce front puisque les vagues de chaleur affectent notre santé à toutes et à tous. Les preuves sont accablantes. La vague de chaleur de 2021 en Colombie-Britannique a causé 660 décès en une semaine et on estime que cette province connaîtra 1370 décès chaque année à cause de la chaleur extrême d’ici 2030⁠3. Les vagues de chaleur contribuent directement à l’augmentation des hospitalisations des enfants pour des maladies respiratoires, y compris l’asthme, et augmentent la mortalité et la morbidité cardiaque et respiratoire chez les adultes. On estime également que le risque de décès augmente de 1 à 3 % lorsque la température augmente d’un degré⁠4. En 2010, une augmentation de la mortalité de 33 % en raison des vagues de chaleur au Québec et une augmentation marquée des hospitalisations et des visites aux urgences ont été constatés⁠5.

En plus d’être des climatiseurs naturels, les forêts urbaines sont également des filtres antipollution. Leur rôle pour améliorer la qualité de l’air est connu, même s’il reste beaucoup à faire pour en comprendre les mécanismes et le quantifier. Les feuilles des arbres absorbent les polluants gazeux et interceptent les particules – la principale source de pollution de l’air⁠6.

… qui sauvent des vies !

On ne peut se passer de cette solution, car si les vagues de chaleur constituent un enjeu, il en est de même de la pollution de l’air, principalement due aux particules fines de plus en plus présentes dans l’air que l’on respire. Cela provoque déjà 15 300 décès prématurés chaque année au Canada et 4000 décès prématurés au Quebec⁠7. Cette mortalité et cette morbidité seront considérablement aggravées par les particules qui résultent des incendies de forêt et des vagues de chaleur extrême.

Les arbres peuvent grandement aider à réduire ces causes de décès⁠8, comme on a malheureusement pu le démontrer après la perte massive des arbres là où l’agrile du frêne a commencé ses ravages⁠9. L’effet des arbres et de la forêt urbaine va même bien au-delà, y compris sur la santé mentale, le bien-être et la cohésion sociale⁠10.

Il est nécessaire de redoubler nos efforts à Montréal

Montréal, en collaboration avec les partenaires de la société civile, investit déjà des énergies et des sommes importantes pour augmenter la place des arbres dans la ville. Elle a réussi l’exploit notable de ne pas en perdre malgré la crise majeure de l’agrile du frêne. Ses effectifs en personnel consacré à la forêt urbaine ainsi que ses budgets ont fortement augmenté au cours des dernières années ; on ne peut que s’en réjouir. Mais il faut être encore plus ambitieux et mettre les bouchées doubles face aux changements globaux, qui n’affectent d’ailleurs pas uniquement la population, mais les arbres aussi ! Il faut recréer des forêts résilientes, et saisir chaque occasion de redonner de l’espace à la nature, essentielle à notre survie.

Et lorsque l’on pense à la forêt en ville, le mont Royal est un incontournable. Dans la continuité des annonces lors de la COP15, Montréal a une belle occasion d’aller encore plus loin dans ses actions de protection de la montagne en augmentant les surfaces végétalisées et en renforçant la résilience de la forêt, en collaboration avec l’ensemble des partenaires institutionnels et de la société civile.

Nous n’attendons ni plus ni moins que des gestes forts qui constitueront un legs pour les générations futures et mettront la métropole au premier plan des villes vertes du monde. Il en va de notre santé et de celle de nos écosystèmes.

1. Lisez « How Canada’s Record Wildfires Got So Bad, So Fast (en anglais, avec abonnement)

2. Lisez « Mesures de lutte contre les îlots de chaleur urbains »

3. Lisez « Extreme Heat and Human Mortality : A Review of Heat-Related Deaths in B. C. in Summer 2021 » (en anglais)

  1. « Heat-related mortality : a review and exploration of heterogeneity », Hajat, S., & Kosatky, T., Demiol Community Health, 2010

5. Consultez Vague de chaleur – été 2018 à Montréal

  1. « Les espaces verts urbains et la santé », Institut national de santé publique du Québec, Vida, S., 2011

7. Consultez « Les impacts sur la santé de la pollution de l’air au Canada : Estimation de la morbidité et des décès prématurés – rapport 2021 »

  1. « Verdir les villes pour la santé de la population », INSPQ, mars 2017

  2. « The Relationship Between Trees and Human Health : Evidence from the Spread of the Emerald Ash Borer », Donovan GH, Butry DT, Michael YL, Prestemon JP, Liebhold AM, Gatzilois D, Mao MY, American Journal of Preventive Medicine, 2013

  3. « Health benefits of green spaces in the living environment : A systematic review of epidemiological studies », van den Berg M, Wendel-Vos W, van Poppel M, Kemper H, van Mechelen W, Maas J., Urban Forestry & Urban Greening, 2015

  • Cosignataires : Tanya Handa, professeure, Université du Québec à Montréal ; Philippe Gachon, professeur, Université du Québec à Montréal ; Alain Paquette, professeur, Université du Québec à Montréal ; Bernard Paquito, professeur agrégé, Université du Québec à Montréal ; Thi Thanh Hiên Pham, professeure agrégée, Université du Québec à Montréal ; Carly Ziter, professeure adjointe de biologie, Université Concordia ; Maxime Fortin Faubert, chercheur postdoctoral, Fondation David Suzuki ; Lyndia Dernis, médecin, membre de l’Association québécoise des médecins pour l’environnement (AQME) et CAPE ; Patricia Clermont, coordonnatrice, AQME ; Linda Marie Ofiara, MD FRCPC, pneumologue, Centre universitaire de santé McGill ; Dr Bryan Ross, clinicien-chercheur, pneumologue, professeur adjoint, RI-MUHC, MUHC, Université McGill ; Kevin Schwartzman, pneumologue, professeur titulaire de médecine, Université McGill ; Vincent Généreux, médecin (anesthésiologiste), hôpital Pierre-Boucher ; Nathalie Robitaille, directrice générale, synergie santé environnement ; Dominique Gravel, professeur titulaire, Université de Sherbrooke ; Claudel Pétrin-Desrosiers, médecin, présidente de l’AQME ; Deborah Assayag, professeure adjointe, Université McGill ; Ilan Azuelos, pneumologue, Université McGill ; Barry Rabinovitch, Doctor, MUHC ; Pierre Ernst, professeur titulaire et pneumologue, Université McGill ; Andrew Gonzalez, professeur, chercheur, Université McGill ; Marcel Baltzan, spécialiste des maladies respiratoires, Centre hospitalier de St. Mary ; Carmela Pepe, pneumologue, Hôpital général juif ; Sylvia Wood, directrice de science et recherche, Habitat ; Sushmita, Pamidi, médecin, pneumologue, McGill (CUSM) ; Jérôme Dupras, professeur titulaire, Université du Québec en Outaouais ; Janie Houle, professeure titulaire, Université du Québec à Montréal ; Isabelle Laforest-Lapointe, professeure adjointe, Université de Sherbrooke ; Marco Festa-Bianchet, directeur, département de biologie, Université de Sherbrooke ; Salman Qureshi, médecin, pneumologue, Centre Universitaire de santé McGill ; Marc Bélisle, professeur titulaire, Université de Sherbrooke ; Catherine Potvin, professeure, Université McGill ; Matthew Barbour, professeur adjoint, Université de Sherbrooke
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Square Saint-Patrick : Le Sud-Ouest inaugure ses premiers terrains de volleyball de plage sur les berges du canal de Lachine

Publié le 1 septembre 2023 à 14 h 46
Source : Le Sud-Ouest

Montréal, le 1er septembre 2023 — C’est dans un décor exceptionnel dans le quartier Pointe-Saint-Charles, à la croisée de Griffintown, à deux pas du centre-ville et juste à côté de la piste du canal de Lachine, que s’est déroulée, le 31 août dernier, l’inauguration des premiers terrains de volleyball de plage de l’Arrondissement du Sud-Ouest. Pour l’occasion, le club de volleyball Everton a animé des joutes avec les participantes et participants.

Les trois terrains de volleyball de plage complètent merveilleusement bien les aménagements réalisés en 2017 au square Saint-Patrick, soit l’esplanade et la zone de détente. L’ancien stationnement a finalement trouvé une véritable vocation, passant d’un îlot de chaleur sans âme à un nouveau terrain sportif qui promet d’être animé. En effet, le volleyball de plage attire de plus en plus d’adeptes, jeunes et moins jeunes, des débutant(e)s aux plus aguerri(e)s. Nous espérons que la présence de ces terrains tout neufs permettra à celles et ceux qui les fréquenteront de passer un bel été dans le Sud-Ouest!

Benoit Dorais

Maire de l’arrondissement du Sud-Ouest et vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal.

  • Les travaux, un investissement de 1,13 M$, ont bénéficié d’une aide financière de la Ville centre dans le cadre du Programme des installations sportives extérieures (PISE);
  • Les travaux se sont échelonnés de septembre 2022 à juillet 2023;
  • Les nouveaux aménagements du square Saint-Patrick consistent en :
    • trois terrains de volleyball de plage;
    • une estrade naturelle pour assister aux joutes;
    • un brumisateur et une fontaine à boire pour se rafraîchir;
    • des chaises longues et des tables à pique-nique dont plusieurs sont accessibles universellement;
    • de l’éclairage sportif pour les joutes en soirée;
    • une vingtaine d’arbres et plusieurs végétaux rustiques, nécessitant peu d’entretien, pour bonifier la biodiversité;
    • des sentiers pavés pour mieux se déplacer d’une section à l’autre du parc;
    • des sols perméables (gazon et sable) permettant d’absorber les eaux de pluie sur le site.
  • Les terrains de volleyball sont en libre-service. Toutes les informations sont disponibles sur notre site Internet.

Pas dans les photos du communiqué :

Le brumisateur

Les supports à vélo géants qui permettent d’attacher les deux roues!

La fontaine qui permet de rincer le sable de ses pieds. Il faut garder la main sur le bouton


Il y aura aussi une station Bixi électrifiée!

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Le lieu de concertation citoyenne du parc Lucia-Kowaluk est bétonné avec les motifs en forme d’oiseaux dans le béton.

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Au parc des Faubourgs dans Ville-Marie

Une première microforêt dans Ville-Marie

Mis à jour le 28 septembre 2023
Temps de lecture : 2 min

Reconnu pour sa densité urbaine, Ville-Marie multiplie les efforts de verdissement et de déminéralisation pour protéger et valoriser la biodiversité. La plus récente initiative est la création de la première microforêt de Ville-Marie, au parc des Faubourgs.

Le territoire de l’arrondissement étant plutôt urbain et très dense, il n’était pas particulièrement facile de trouver un terrain pouvant accueillir une microforêt. En effet, il fallait trouver une zone assez grande, libre (sans mobilier urbain existant) et qui ne ferait pas l’objet de travaux quelconque dans les années à venir. Il s’avère que le parc des Faubourgs répondait à tous ces critères!

La portion sud-est a été choisie de par sa proximité avec la sortie du pont Jacques-Cartier. À cet endroit, la microforêt agira comme un écran entre le parc et la rue, où la circulation automobile est plutôt importante. Cette dernière sera d’ailleurs une bonne source de nourriture pour les arbres, qui absorbent le CO2 de l’atmosphère.

Un laboratoire forestier en pleine ville

D’une superficie d’environ 500 m2, la microforêt des Faubourgs est composée de différentes essences d’arbres, dont l’érable à sucre, le micocoulier occidental, l’amélanchier du Canada, le tilleul d’Amérique, le hêtre à grandes feuilles ou l’hamamelis de Virginie. Ces variétés, que l’on sait capables de résister au climat québécois, ont été plantées très près les unes des autres, soit environ trois à cinq arbres par mètre carré.

Une telle densité créera une sorte de compétition entre les arbres, qui auront besoin de grandir vite pour maintenir l’accès à leur nourriture, soit la lumière du soleil, le CO2 dans l’air et les nutriments dans le sol. Au fil des ans, la croissance de ces jeunes arbres sera mesurée afin de tirer des apprentissages sur le comportement d’une forêt en milieu urbain.

Une photo rapprochée d'un jeune arbre
Un jeune arbre fraîchement planté

Une petite forêt au grand potentiel

Même si la plantation de la microforêt a été faite au début du mois de septembre, le travail ne s’arrête pas là. Pendant les premières années, le périmètre sera protégé par une clôture, et nos équipes assureront un bon entretien de la zone pour donner aux arbres tout le soutien dont ils ont besoin pour bien se développer.

La première microforêt de Ville-Marie protègera la biodiversité à plusieurs niveaux. En plus de la purification de l’air et de la réduction des îlots de chaleur, les oiseaux, les mammifères et les insectes pollinisateurs pourront s’y réfugier pour se mettre à l’abri, pour se nourrir et pour se reproduire! Vous pourrez observer la création de ce petit écosystème particulier dès votre prochaine visite au parc des Faubourgs.

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Une vidéo explicative du fonctionnement d’un parc-éponge

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Des photos du “Chemin des tortues”, un beau petit projet de revalorisation de trois terrains négligés aux abords d’un corridor scolaire qui a le malheur de devoir traverser la métropolitaine. Ils en ont fait un sentier ludique qui permet aux écoliers de prendre un chemin plus sécuritaire et un peu moins désagréable. Au sol ils ont gravé des tortues dessinées par les enfants de l’école à côté.


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Si on compare à ce que c’était avant le contraste est assez remarquable:

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Actuellement c’est juste un espace gazonné, mais les abords de l’usine de filtration Atwater le long de la rue Dupuis seront verdis et transformés en parc avec l’ajout de mobilier (bancs, tables, supports à vélos) et l’aménagement d’un parc à chiens

Le parc à chien sera dans la première section à gauche de l’image
Un espace de détente sera aménagé dans la section du milieu avec jardin de pluie
L’espace à droite sera un terrain de jeux libres.
Il y aura une halte vélo dans le coin

Source : Conseil d’arrondissement du 2023-10-10, point 40.09

Actuellement, il n’y a qu’une rangée d’arbres le long de la rue Dupuis

À noter que l’usine est dans l’arrondissement du Sud-Ouest, mais les maisons des alentours sont à Verdun. Les rues Dupuis et Joseph sont les limites entre les deux arrondissements.

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C’est un bel aménagement pour ce petit bout de terrain que j’ai découvert cet été en utilisant la piste cyclable. Par contre, j’ai aussi remarqué qu’il y avait de beaux grands terrains qui me semblaient sous utilisés et qui sont situés juste au nord. Savons nous s’il y a quelque chose de prévu sur ces terrains ?