Ouvrages d'art - Antenne Aéroport - Discussion

Via les divers médias sociaux du REM: :sunglasses:

https://twitter.com/REMgrandmtl/status/1534233548902875137


image rem_metro

:motorway: La poutre Marie construit présentement la structure aérienne qui surplombe l’A40, en direction du Technoparc. La fin du mois de mai dernier marquait la toute dernière traversée de l’A40 avec une poutre de lancement!


image Réseau express métropolitain - REM

Dernière traversée de l’A40 | La structure aérienne au-dessus de l’A40 est complétée et remplace officiellement le pont ferroviaire démoli en 2018. Elle annonce aussi la fin des traversées de cette autoroute !

Marie n’est pas en vacances pour autant : elle termine présentement sa course dans le secteur du Technoparc 🏙️


Ajout: …et via LinkedIn:

CDPQ Infra CDPQ Infra13,160 followers22h • 22 hours ago

The elevated structure over Highway 40 is completed and marks the end of all A40 crossings for the REM.

A special thanks to the workers who deployed their efforts day and night to reach this milestone!

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elle servait à quoi l’ancienne structure?

L’ancienne structure servait à la voie ferrée du CN qui desservait la zone industrielle au sud de l’A40.

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Tu faisais référence à ça?

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Yup. Merci! Rien de très intéressant, par contre. :joy:

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L’ultime voyage de Marie progresse bien. :sunglasses:

14-06-2022

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Photo des travaux de cette antenne, qui vient tout juste d’être partagée sur le site de NouvLR:

Dernière traversée de l’autoroute 40 - Printemps 2022

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Depuis le stationnement du Novotel il y a quelques minutes. La poutre de lancement devrait traverser le rond-point dans les jours qui suivent.

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Pendant qu’Anne roule toujours sa “bosse” dans Pierrefonds-Roxboro pour encore quelques semaines, Marie semble avoir enfin complété son travail dans le Technoparc. Elle a travaillé fort au cours de ces dernières années ! :sunglasses: :+1:

13-07-2022

Elle a finalement franchi le rond-point, mettant un terme à son ouvrage.

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Le tunnelier du REM franchit la ligne d’arrivée à l’aéroport


PHOTO COURTOISIE

FÉLIX LACERTE-GAUTHIER

Jeudi, 14 juillet 2022 04:00MISE À JOUR Jeudi, 14 juillet 2022 04:00

Après deux ans d’excavation, le tunnelier utilisé dans le cadre des travaux du Réseau express métropolitain (REM) a terminé la construction d’un tunnel de 3 km qui reliera l’aéroport de Montréal au reste du réseau.

La CDPQ Infra, qui gère le projet du REM, en fera officiellement l’annonce jeudi.


PHOTO COURTOISIE

Le tunnelier se situe à 30 mètres sous terre, au niveau de l’entrée de la future station YUL-Aéroport-Montréal-Trudeau qui reste encore à construire.

Selon la CPDQ Infra, c’est la première fois au Québec qu’un tunnelier capable à la fois de creuser le roc et d’assembler les segments des parois de béton est utilisé.

Maintenant terminé, le tunnel devrait ainsi être prêt à accueillir les futurs équipements liés au système, dont les rails et les équipements électromécaniques.


PHOTO COURTOISIE

L’un des défis auquel étaient confrontées les équipes lors de l’excavation était d’éviter tout mouvement de sol en surface, où étaient situées les pistes de décollage et d’atterrissage.

D’une longueur de 155 mètres de long, le tunnelier fore le terrain sur plus de sept mètres de diamètre. La roue de coupe est composée de 47 disques qui mettent une forte pression et permettent d’abattre le terrain.


PHOTO COURTOISIE

Les déblais sont ensuite évacués par une vis sans fin puis sur un tapis roulant. Au bout du tunnelier, ces morceaux sont évacués dans des camions. Par après, l’érecteur pose des voussoirs pour former un anneau entièrement étanche.

Au cours des prochains mois, les équipes procéderont au démantèlement de la structure du tunnelier.

Aéroports de Montréal (ADM) sera pour sa part responsable de construire la station qui mènera jusqu’au tunnel. L’organisation avait toutefois indiqué qu’elle ne serait pas capable de terminer les travaux pour l’inauguration prévue du REM en 2024. Aucune date n’a encore toutefois été avancée pour l’inauguration de la future station de l’aéroport.

https://www.journaldemontreal.com/2022/07/14/le-tunnelier-du-rem-franchit-la-ligne-darrivee-a-laeroport

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Réseau express métropolitain | Le tunnel achevé à l’aéroport, CDPQ Infra veut maintenant « gagner du temps »


PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE
Le chantier de construction de la gare du REM à l’aéroport Montréa-Trudeau

Le tunnel du Réseau express métropolitain (REM) menant à la future station de l’aéroport international Montréal-Trudeau est achevé. CDPQ Infra, qui planche maintenant sur l’installation des rails et d’équipements, espère pouvoir « gagner du temps » sur l’échéancier, déjà repoussé au-delà de la fin 2024.

Publié à 10h23
HENRI OUELLETTE-VÉZINA
LA PRESSE

« On est vraiment à la porte de la station. Et comme le tunnelier qu’on utilisait forait, mais construisait aussi en même temps les parois, on peut dire que c’est vraiment le tunnel en soi qui est complété. C’était la première fois qu’on utilisait ça au Québec », indique le porte-parole de la filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec, Jean-Vincent Lacroix.

Il reste toutefois encore plusieurs étapes avant une éventuelle mise en service. Outre la construction de la station – qui relève d’Aéroports de Montréal (ADM) –, CDPQ Infra devra notamment installer les rails, les systèmes de contrôle, d’alimentation, de communication et divers autres équipements.

Fin mai, La Presse rapportait l’antenne du Réseau express métropolitain (REM) menant à l’aéroport fait face à de nouveaux retards et ne sera pas en service à la fin de 2024 comme prévu. C’est que la station aéroportuaire du REM sera achevée plus tard que prévu. M. Lacroix affirme toutefois que des discussions sont en cours avec ADM afin de réaliser « des activités concomitantes » et de « gagner du temps ».

Il faut définir à partir de quand on est autorisés à venir faire nos travaux, en respectant les travaux qui se font de leur côté. Dans la pratique, si on est capables de venir avant, même si tout n’est pas fini, on va gagner du temps sur l’échéancier.

— Jean-Vincent Lacroix, porte-parole de CDPQ Infra

Un échéancier pour l’aéroport « cet automne »

En juin, CDPQ Infra avait annoncé que la livraison de 18 stations du REM, au centre-ville, dans l’ouest de l’île et dans la couronne nord, devra à nouveau être repoussée. Il faudra attendre jusqu’à la fin de 2024, le chantier étant encore durement touché par la découverte d’explosifs centenaires dans le tunnel du mont Royal en juillet 2020. L’ouverture de l’antenne de la Rive-Sud est toutefois maintenue à l’automne 2022.

Quant au tracé devant relier l’aéroport au centre-ville, Jean-Vincent Lacroix espère toujours pouvoir « confirmer la date de mise en service cet automne ».

« On fera aussi éventuellement une actualisation financière du projet global, mais il y a d’abord des discussions qui doivent avoir lieu avec l’entrepreneur, sur le tunnelier notamment », a précisé le porte-parole, en ajoutant que la pénurie de main-d’œuvre, l’inflation et la guerre en Ukraine touchent directement la chaîne d’approvisionnement. « C’est tout ça qui est en cours d’analyse sur le coût final. »

Règle générale, les travaux avec le tunnelier vers l’aéroport se sont bien déroulés, poursuit-il. Quelques imprévus ont toutefois forcé les équipes – composées d’un peu plus de 100 travailleurs – à s’adapter.

Entre le Technoparc et les pistes d’atterrissage de l’aéroport, notamment, quelques « affaissements en surface » ont eu lieu et ont dû être rapidement retapés, en collaboration avec le ministère de l’Environnement. « On était dans une mixité de sols, avec du sol meuble et du roc, donc il y a eu des enjeux. Les plus gros pépins ont vraiment été au début du chantier. Une fois qu’on a atteint le roc, la cadence s’est vraiment accélérée », note M. Lacroix à ce sujet.

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Dans l’onglet Actualités du REM: :sunglasses:

Le tunnelier Alice a terminé sa course vers l’aéroport

AVANCEMENT DU PROJET | Publiée le 14 juillet 2022

Dans les derniers jours, Alice le tunnelier a terminé sa course en direction de l’aéroport. Retour en photos sur ce jalon majeur du projet et le parcours de ce tunnelier très particulier, pouvant à la fois forer et construire le futur tunnel, une première au Québec!

L’arrivée et l’assemblage du tunnelier – 2019-2020

Le tunnelier a d’abord été assemblé dans son usine d’origine en Ohio, aux États-Unis.

À l’automne 2019, le tunnelier a été livré pièce par pièce, dans le secteur du Technoparc, nécessitant une soixantaine de camions.

Sur l’image ci-dessous, on peut apercevoir la roue de coupe de 7,38 mètres de diamètre.

Le tunnelier a ensuite été assemblé dans le puits de départ, situé au cœur du Technoparc.

Des tests ont par la suite été effectués sur cet équipement spécialisé, puis les équipes se sont préparées aux forages.

Tradition oblige, les travailleur.euses ont installé une statuette de Sainte Barbe, patronne et protectrice des mineurs et des travailleurs en sous-sol.

Le baptême d’Alice – 2019-2020

À l’automne 2019, nos équipes ont organisé un grand concours pour trouver un nom pour le tunnelier. Vous avez proposé plus de 1400 noms! Le nom Alice, en référence à Alice Evelyn Wilson (1881-1964), géologue et paléontologue canadienne, a été retenu par notre comité de sélection interne.

Le départ du tunnelier - 2020

En octobre 2020, Alice a amorcé sa course! Son grand départ a été lancé par les équipes.

L’illustratrice Tania Mignacca a créé une bande dessinée pour l’occasion, avec son personnage vedette Ponto!

Le forage, Alice à l’œuvre – 2020 à 2022

Après son départ, Alice s’est bien sûr mise à forer. Elle s’est occupée de creuser, évacuer et construire.

Creuser : avec sa roue de coupe 7,38 mètres de diamètre, Alice a foré le terrain. Sa roue est composée de 47 disques qui appuient très fort (pression de 25 tonnes sur chaque disque) et permettent d’abattre le terrain.

Évacuer : les déblais sont évacués par une vis sans fin puis sur un tapis roulant. Au bout du tunnelier, ces morceaux sont chargés et débarrassés dans des camions.

Construire : l’érecteur pose des voussoirs pour former un anneau entièrement étanche. Chaque anneau est composé de 7 voussoirs. En tout, 10 115 voussoirs ont été installés par Alice.

Durant son parcours, Alice a dû subir des opérations d’entretien. Une opération délicate d’entretien a été réalisée à la tête de coupe du tunnelier, en 2021. Afin d’effectuer cette opération délicate tout en préservant les milieux humides, les équipes ont procédé à la congélation du sol par de l’azote liquide, injectée en profondeur dans le sol.

Au total, Alice a foré 2,5 km de tunnel, installé 10 115 voussoirs et excavé plus de 10 000 m3 de sol. Merci à la centaine de personnes qui ont travaillé sur cet important chantier!

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Y’as-t-il une chance que le même tunnelier soit réutilisé pour le prolongement de la ligne bleue ?

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Nope.

L’appel de proposition du tunnelier du Prolongement de la ligne bleue - Projet global se termine mardi prochain et…

C’est pour un tunnelier à deux voies… Celui du REM, Alice, c’est une seule Voie.

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Est-ce que ce genre d’équipements est loué ou bien acheté par la CDPQ? Il pourrait peut-être envisageable de l’utiliser pour REM-Rive Sud, s’il y a.

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Malheureusement, CDPQ Infra ne construit rien: c’est le consortium NouvLR qui construit le REM en conséquence du contrat qu’il a conclut avec CDPQ Infra. Non seulement le tunnelier n’est pas à CDPQ Infra, mais la majeure partie de l’expertise en la matière non plus.

Pour construire un éventuel REM Rive-Sud, CDPQ Infra lancera probablement de nouveaux appels de qualification+proposition et de nouveaux joueurs pourront appliquer. Il n’est pas impossible qu’un sous-contractant ou que l’une des entreprises d’un consortium appliquant à ce nouveau contrat soit celle qui est présentement propriétaire du tunnelier Alice, mais il n’y a aucune garantie (ou d’avantage particulier pour nous) que ça arrive.

De toute façon, de ce que j’en sais, on n’achète généralement pas un tunnelier off the shelf: en terme de réutilisation, ce genre de machine est construite sur mesure spécifiquement pour durer pour les 2,5 km prévus au projet.

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Ouain… Va falloir un tunnelier pour endurer le Vieux-Longueuil et le cégep Édouard-Montpetit…

Ça sera pas facile :sweat_smile::wink::ok_hand:

Via la chaîne YT de NouvLR:

NouvLR - Fin du tunnelier

15 juil. 2022

Dans cette vidéo produite par NouvLR, revoyez les moments forts et l’accomplissement réalisé par les équipes sur le terrain.

NouvLR

Il y a également d’autres clips sur l’installation d’un voussoir sur le compte Instagram du REM:

image
https://www.instagram.com/p/CgCPWokL-lE/

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Courte visite du côté du Technoparc St-Laurent. :sunglasses:

26-07-2022

On aperçoit bien la structure aérienne à partir du boul. Hymus en direction Est.

Marie est toujours en attente d’être démontée.

De plus, cela grouille beaucoup moins à l’entrée du tunnel, près de la station Marie-Curie.

Les “restants” des matériaux utilisés lors de la construction du tunnel vers l’Aéroport par Alice.

Petite balade aux abords de l’étang aux Hérons.

La végétation y est toujours florissante. J’y ai même aperçu… un héron. :blush:


En prime, voici quelques clips, dénichés sur YT, qui auraient été filmés en avril dernier du côté de l’Aéroport…, à partir du “trou” (de la station ?) … :grin:

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En complément de mon photo-reportage :sunglasses:, voici un article du JdeM (avec un clip de TVA Nouvelles) sur une visite dans le tunnel.

[EN IMAGES] Descentes au cœur du REM

image
clip de TVA Nouvelles

LE JOURNAL DE MONTREAL | Mercredi, 27 juillet 2022 12:42 | FÉLIX LACERTE-GAUTHIER

À l’approche de la fin des travaux qui permettront de connecter l’aéroport de Montréal au Réseau express métropolitain (REM), nous avons pu descendre au cœur du tunnel nouvellement creusé.

La descente sur le site se fait grâce à une tranchée d’environ 600 mètres, située à 15 mètres de la surface. Tout autour, la CDPQ Infra, responsable du projet, a bâti les infrastructures nécessaires pour fabriquer le béton, traiter les eaux, acheminer les matériaux et évacuer la terre excavée.

Le tunnel lui-même, d’une longueur de 2,5 kilomètres, est situé à 35 mètres de la surface.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

L’excavation et l’assemblage des parois de béton se sont faits à l’aide d’un tunnelier. Selon la CDPQ Infra, il s’agit de la première fois au Québec qu’un tunnelier capable de faire ces deux tâches était utilisé.

«Dans notre cas, on avait deux situations. On avait à la fois du sol meuble et du roc. C’est pour ça qu’on a utilisé une technologie comme celle-là», a expliqué Marc-André Lefebvre, notre guide pour la visite, et directeur des communications NouvLR.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

D’un diamètre d’environ 7,5 mètres, le tunnelier a une tête composée de 47 disques, qui exercent chacun une pression de 25 tonnes pour abattre le terrain. Les déblais sont ensuite évacués par une vis sans fin sur un tapis roulant, jusqu’à la surface.

Près de l’avant, une cabine de pilotage permet d’assurer le bon fonctionnement du tunnelier. «C’est un travail qui demande beaucoup d’expérience. Pour un projet comme celui-là, on doit s’assurer d’aller chercher les meilleurs dans le monde pour s’assurer d’avoir l’expertise nécessaire. Ça a permis d’importer ce savoir au Québec pour former des gens», a révélé M. Lefebvre.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

Le «bouclier», qui représente la partie avant de l’appareil est d’une longueur de 30 mètres et un poids de 430 tonnes. À chaque avancée de 1,5 mètre, les pistons se rétractent afin de pouvoir poser des voussoirs qui soutiendront le tunnel.

Chaque anneau est composé de sept voussoirs, qui permettent de compléter le cercle. Un total de 1045 anneaux sont installés sur les 2,5 kilomètres du tunnel.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

Du béton est ensuite coulé dans l’espace entre le roc et l’anneau afin d’assurer une étanchéité complète. C’est l’un des points sur lesquels il reste encore «beaucoup de travail».

Pendant l’excavation, une centaine de travailleurs se relayaient les trois quarts de travail d’une durée de 12 heures chacun.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

«En plein hiver, il y a des gens qui descendaient ici à la noirceur, qui ressortaient à la noirceur, et qui passaient leur journée dans le tunnel sans ne jamais voir la lumière du jour. C’est un travail extrêmement difficile à faire», a souligné M. Lefebvre.

Lors de notre avancée, le sol était recouvert d’eau. Une situation normale, selon les explications qui nous sont fournies, alors que l’eau des pluies descend par la tranchée vers le tunnel. Une fois les travaux complétés, l’endroit devrait être complètement étanche.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

À terme, un radier, soit une plateforme stable, sera installé légèrement au-dessus du sol pour y poser les rails du REM. Les divers câbles électriques nécessaires pour son bon fonctionnement seront dissimulés en dessous.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

Au cours des prochains mois, les équipes démonteront le tunnelier, qui n’aura servi que pour ce tunnel.

Aéroports de Montréal (ADM) sera pour sa part responsable de construire la station qui mènera jusqu’au tunnel. Aucune date n’a encore été avancée pour l’inauguration de la future station, bien que le REM devrait être inauguré en 2024.


JOËL LEMAY / AGENCE QMI


JOËL LEMAY / AGENCE QMI

https://www.journaldemontreal.com/2022/07/27/en-images-descentes-au-cur-du-rem

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