Nouvelles économiques et commerciales

Leur dernier magasin était celui de Montréal, sur Sherbrooke
Escada Shuts Remaining Canadian Store and Exits Market After Decades (retail-insider.com)

Construction navale Groupe Océan met la main sur le chantier maritime Verreault

SITE WEB GROUPE OCÉAN

Groupe Océan exploite déjà des chantiers, comme celui de L’Isle-aux-Coudres.

L’industrie québécoise de la construction navale se consolide avec l’acquisition du chantier maritime Verreault par Groupe Océan, qui accroît son empreinte dans ce créneau.

Publié à 11h14

Partager

Julien Arsenault

Julien Arsenault La Presse

Annoncée mercredi, la transaction, dont le montant n’a pas été précisé, permet à Groupe Océan, qui compte la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) et le Fonds de solidarité FTQ parmi ses actionnaires, de mettre la main sur les installations gaspésiennes de Verreault – une entreprise familiale fondée en 1956.

« Combiner notre expertise à celle du chantier maritime Verreault concrétise notre volonté d’augmenter notre offre de services au bénéfice de nos clients », a souligné le président et chef de la direction de Groupe Océan, Jacques Tanguay, dans un communiqué.

L’entreprise, qui se spécialise dans la construction et la réparation navale, le remorquage portuaire ainsi que le dragage, exploite déjà des chantiers à L’Isle-aux-Coudres ainsi qu’à Québec, où se trouve son siège social.

Elle estime que cette acquisition lui permettra de se positionner « encore plus avantageusement » pour des projets de « plus grande envergure », notamment ceux de la Stratégie nationale de construction navale du gouvernement fédéral.

Groupe Océan compte plus de 1000 employés. En plus du Québec, elle est présente en Ontario, en Alberta, en Colombie-Britannique ainsi que dans les Caraïbes.

L’ouverture du premier Supermarché T&T au Québec (dans l’ancien Loblaws sur l’avanue Sainte-Croix, entre les rues Hodge et Dion, dans Saint-Laurent) est prévue bientôt. :smile:

05-10-2022

Aucune idée du moment de l’ouverture de ce supermarché (on préserve la surprise sur leur page FB):

image T&T Supermarket 大統華超級市場

3 oct. - Bonjour ! Je veux juste offrir à nos amis de Montréal une surprise pour les encourager du lundi bleu. Regardez, T&T Supermarché est en place 🙂 Restez connectés, on arrive très vite à vous !

#tntsupermarket #tntmontreal

9 « J'aime »

Un vent d’air frais pour Sorel-Tracy

PHOTO RYAN REMIORZ, LA PRESSE CANADIENNE

L’usine de Rio Tinto Fer et Titane à Sorel-Tracy

Jean-Philippe Décarie

Jean-Philippe Décarie La Presse

Ç’a été un mardi après-midi hors de l’ordinaire à Sorel-Tracy, alors que l’entreprise Rio Tinto Fer et Titane a annoncé un investissement commun avec le gouvernement fédéral de 737 millions sur huit ans pour accélérer la décarbonation de ses activités industrielles et la transformation de métaux critiques au Québec. Un investissement majeur dans l’économie du XXIe siècle.

Publié à 6h30

Partager

Une annonce de cette envergure, dans un secteur aussi critique que celui des mines et métaux, il n’en pleut pas des tonnes au Québec. On souhaiterait pourtant que des initiatives semblables se multiplient sur tout le territoire et dans tous les secteurs d’activité.

Imaginez si la multinationale Glencore décidait elle aussi d’ouvrir de façon aussi importante ses coffres milliardaires pour redonner une qualité de vie acceptable aux citoyens de Rouyn-Noranda…

C’était donc jour de célébrations à Sorel-Tracy, comme en a témoigné la présence du premier ministre Justin Trudeau et de son ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne, qui sont venus confirmer une contribution fédérale de 220 millions au vaste chantier dans lequel s’est engagée Rio Tinto Fer et Titane (RTFT).

Le PDG de la multinationale Rio Tinto, le Danois Jakob Strausholm, s’était lui aussi déplacé pour l’évènement qu’il a qualifié d’historique pour l’usine de transformation de Sorel-Tracy. Le PDG n’avait que de bons mots pour l’équipe du Centre de technologie de RTFT qui a réussi au fil des ans à obtenir le maximum possible du minerai récolté.

En plus des 220 millions du fédéral, puisés dans le Fonds stratégique pour l’innovation, RTFT injectera 517 millions au cours des huit prochaines années dans la décarbonation de ses processus de transformation et dans de nouvelles productions de minéraux critiques.

Outre la poudre de titane, qui sert notamment à la fabrication de peintures, l’usine de Sorel-Tracy fabrique du titane métal – destiné au marché de l’aéronautique et de l’automobile – et de l’acier.

Depuis deux ans, le Centre de technologie et de minéraux critiques de RTFT a réussi à produire dans une usine pilote du scandium, un minerai critique, à partir des résidus de la transformation du titane. Le scandium permet d’augmenter la résistance de certains métaux, dont l’aluminium, et sert aussi à la fabrication de piles combustibles.

C’est un minerai critique très convoité par l’industrie aérospatiale et automobile parce qu’il réduit le poids de leurs produits et augmente leur résistance mécanique et thermique, m’avait déjà expliqué Stéphane Leblanc, ex-directeur exécutif de RTFT, qui vient tout juste de prendre sa retraite.

Fait à signaler, RTFT est le seul producteur de scandium en Amérique et son usine-pilote est capable de produire 3 tonnes de ce minerai critique. Avec les investissements annoncés mardi, on vise à quadrupler la production dans les prochaines années.

Usine-pilote et lithium

Les trois quarts de milliard qui seront investis au cours des huit prochaines années vont aussi permettre de réduire de moitié les gaz à effet de serre générés par RTFT d’ici 2030 et d’atteindre le cap net zéro neutralité carbone d’ici 2050.

Dès l’an prochain, RTFT amorcera la production de titane dans une usine-pilote où seront transformées 40 000 tonnes d’ilménite avec un nouveau procédé où on éliminera l’utilisation du gaz naturel.

« Une fois pleinement opérationnel, le projet BlueSmelting va nous permettre de réduire de 670 000 tonnes nos émissions de CO2, l’équivalent de retirer 145 000 automobiles de la circulation », m’a expliqué Didier Arseguel, vice-président Technologies chez RTFT.

Parallèlement à ces initiatives, RTFT vient tout juste de mettre en activité une autre usine-pilote où le groupe de recherche a été en mesure de mettre au point un nouveau procédé de concentration de spodumène qui offre des teneurs en lithium nettement plus élevées que la moyenne de l’industrie.

Ce nouveau procédé n’utilise pas de produits chimiques et va bientôt tester des minerais du producteur local Sayona.

Ce n’est pas pour rien que le PDG de Rio Tinto a fait mardi le déplacement de Londres à Sorel-Tracy. L’expertise québécoise en matière d’innovation et de réduction des gaz à effet de serre est la plus importante du groupe dans le monde.

Il y a le Centre de technologie et de minéraux critiques Rio Tinto Fer et Titane qui propose des solutions révolutionnaires et il y a la technologie développée par Elysis au Saguenay, une coentreprise détenue par Rio Tinto et Alcoa, qui permettra d’ici deux ans la production commerciale d’aluminium complètement vert.

Le mouvement de décarbonation de l’économie part de loin et si ses débuts ont été lents et chaotiques, il commence à prendre bonne allure et à donner des résultats qui nous permettent d’espérer y croire.

2 « J'aime »

Un article optimiste sur le commerce de détail à Montréal, le retour de l’achalandage, les ventes, l’activité sur le marché locatif commercial. On y parle entres autres du Royalmount:

Over 200,000 square feet of retail space has been pre-leased since Q4 2021. The project will likely satisfy shoppers’ appetites, as 50 per cent of the pre-leased space will be occupied by new-to-market, best-in-class global brands.

Et du centre-ville:

The improvement of the retail situation in downtown Montreal cannot be overstated. Most businesses in the central business district have experienced rebounding sales thanks to a pronounced increase in foot traffic from residents, office workers, and tourists

1 « J'aime »

Je n’ai pas trouvé le fil de la nouvelle usine de Molson à Longueuil, mais selon ce reportage le déménagement est complété et la nouvelle usine est opérationnelle

2 « J'aime »

Visite de l’usine à Longueuil Le nouveau brassin de Molson Coors

Mercredi, Molson Coors a invité les médias à découvrir sa brasserie de Longueuil, construite au coût de 525 millions. L’usine brassicole se démarque par l’automatisation des procédés et la minimisation, dans la mesure du possible, de son empreinte environnementale. Tour du propriétaire en photos.

Publié à 8h00

Partager

André Dubuc

André Dubuc La Presse

Martin Chamberland

Martin Chamberland La Presse

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Fred Landtmeters, patron de Molson Coors Canada, et Tim Crease, directeur général de la brasserie de Longueuil

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

La brasserie est divisée en trois sections : le brassage, l’embouteillage et la distribution. Valérie Fraser, maître brasseuse de l’usine longueuilloise depuis septembre 2020, regarde par le hublot de la cuve de brassage où tous les ingrédients sont brassés et portés à ébullition. Le quart du personnel d’usine est féminin. À Longueuil, le premier brassin a été produit en août 2021. Une bière comme la Molson Export prend six heures à produire.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

L’usine de Longueuil brasse les bières pour le marché québécois essentiellement. Mais elle a aussi un mandat national pour des produits de spécialité comme les bières Mad Jack et Blue Moon. La brasserie compte 36 cuves de fermentation en acier inoxydable d’une capacité de 9 millions de litres et 16 cuves de maturation d’une capacité de 2 millions de litres.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Les opérations de brassage sont suivies à la trace par le centre de contrôle pour assurer la qualité et l’homogénéité de la boisson.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

L’embouteilleuse tourne à 1000 bouteilles à la minute. Hautement automatisées, les opérations d’embouteillage et d’emballage requièrent les services d’un maximum de 15 travailleurs seulement par quart de travail pour trois chaînes de production : une pour la bouteille, une pour la canette et la dernière pour la bière en fût.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Une des nouveautés de l’usine par rapport à celle du Vieux-Montréal est la présence d’une emballeuse automatique de fabrication allemande qui met en caisse les bouteilles en limitant au minimum les interventions humaines.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

La nouvelle brasserie compte 420 travailleurs, répartis moitié-moitié entre la production et la distribution.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Le directeur principal de la distribution pour le marché du Québec, Maxime Couture. L’entrepôt est maintenant intégré à la brasserie. Le centre de distribution de la rue Dickson, à Montréal, fermera dans les prochaines semaines.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Le centre de préparation de commandes du Grand Montréal, entièrement robotisé comme chez Amazon. Une palette entière composée d’un seul produit entre dans l’enclos pour se faire « dépalettiser » selon les besoins des clients. Une palette de produits dépareillés ressort de l’enclos en fonction de chacune des commandes.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, LA PRESSE

Les chariots élévateurs à fourche chargent les commandes par l’un des 20 quais de chargement destinés à l’expédition. Sept portes additionnelles peuvent recevoir des livraisons.

3 « J'aime »

Une nouvelle SQDC ouvre dans le Mile-End, au 5060 Saint-Laurent (un bel édifice):

Article du journal Métro:

L’Arrondissement n’a eu aucun écho de mécontentement citoyen

Effectivement, surtout que personne le savait. :stuck_out_tongue:

1 « J'aime »

Je suis toujours surpris qu’il n’y ait toujours aucune succursale de la SQDC dans Hochelaga - les plus proches sont soit au métro Papineau ou Langelier…

1 « J'aime »

Surtout qu’on en ouvre 2 en même temps sur le Plateau, franchement pas loin l’une de l’autre! Ça fait un certain débalancement d’un quartier à l’autre.

1 « J'aime »

Non lié à une nouvelle économique ou commerciale, mais il y a présentement un important incendie à l’usine d’Owens-Illinois à PSC.


Caméra SDC

https://twitter.com/Le_Berger/status/1581011434183741441

https://twitter.com/richardtenzer/status/1581009232869982208

1 « J'aime »

Il y a un Marché Goodfood installé au RDC du bâtiment Paco Corp sur la rue Wellington juste à côté du viaduc Smith dans Griffintown… (C’est celui qu’on voit dans les photos de La Presse). Le va-et-vient des livreurs indépendants causaient bien des désagréments et enjeux de sécurité dans le secteur.

Goodfood a des ennuis financiers et laisse tomber la livraison rapide


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE
Marché Goodfood avait annoncé en novembre dernier le lancement de son service de livraison rapide de produits d’épicerie et de solutions de repas sur demande.

Marché Goodfood a des ennuis financiers et met fin à son service rapide de livraison d’épicerie, une initiative lancée il y a moins d’un an qui devait incarner l’avenir de l’entreprise montréalaise.

Publié à 9h36
Richard Dufour

Cette décision entraîne la fermeture de tous les microcentres de distribution de l’entreprise.

« Les investissements continus en matière d’exploitation qui seraient requis pour que les livraisons en 30 minutes atteignent un niveau de rentabilité attrayant nécessiteraient des dépenses en immobilisations additionnelles considérables et une hausse significative des charges d’exploitation », explique la direction par communiqué.


PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, LA PRESSE
Un centre de distribution de Goodfood

Une charge pouvant dépasser les 50 millions de dollars sera ainsi inscrite dans les états financiers.

Goodfood recentrera désormais ses activités autour des paniers-repas et des produits complémentaires. L’entreprise fondée en 2014 s’étant d’abord fait connaître pour ses repas prêts à cuisiner a par ailleurs manqué à un engagement financier cet été. La situation a mené Marché Goodfood à conclure une entente avec ses prêteurs limitant la disponibilité d’une partie de ses facilités de crédit.

En date du début septembre, l’entreprise disposait de 38 millions en trésorerie et soutient qu’elle tente actuellement de conclure un arrangement révisé de ses facilités de crédit. La direction précise toutefois que rien ne garantit qu’un tel arrangement sera mis en place et qu’il le sera en temps opportun.

Marché Goodfood avait annoncé en novembre dernier le lancement de son service de livraison rapide de produits d’épicerie et de solutions de repas sur demande. Au printemps, le cofondateur et PDG, Jonathan Ferrari, disait à La Presse qu’il misait sur son nouveau service permettant la livraison en 30 minutes pour permettre à Goodfood de renouer avec la croissance.

Cette mise à jour de la situation financière et de la stratégie est qualifiée de « préoccupante » par l’analyste Michael Glen, de la firme Raymond James.

Cet expert souligne que Goodfood a dépensé plus de 120 millions depuis un peu plus d’un an essentiellement pour développer un service de livraison d’épicerie. « Ça s’est avéré une initiative extrêmement coûteuse », dit-il.

Michael Glen s’attend à ce que Goodfood ait besoin de financement l’an prochain et qu’il pourrait être difficile pour l’entreprise d’émettre des actions pour trouver des liquidités. « L’entreprise aura un défi de taille à relever afin d’y parvenir en raison des conditions de marché et de ce qui vient de se passer avec le service de livraison sur demande. »

Le service de livraison rapide sur demande était offert à Toronto, Montréal et Ottawa à l’aide de huit microcentres de distribution dans ces trois villes et la stratégie était d’étendre ce service à la grandeur du Canada. Goodfood avait précédemment indiqué qu’elle prévoyait ouvrir jusqu’à 20 microcentres de distribution.

Le contexte actuel et la forte inflation affectent assurément les activités et la demande pour les produits de Goodfood alors que les consommateurs se tournent de plus en plus vers des produits moins dispendieux.

Marché Goodfood prévoit par ailleurs que ses ventes nettes du quatrième trimestre devraient se situer entre 50 et 51 millions et que la perte d’exploitation ajustée se situera entre 2 et 4 millions pour ce trimestre. Dégager un bénéfice d’exploitation ajusté durant la première moitié de l’exercice financier 2023 demeure toujours l’objectif de la direction.

Après avoir atteint un sommet de 13 $ en janvier l’an passé, l’action de Marché Goodfood a glissé sous la barre des 1 $ dans les dernières semaines à la Bourse de Toronto.

Reportage au Téléjournal sur les pilotes du fleuve Saint-Laurent

Pour celles et ceux qui ne le savent pas, dès qu’un navire entre dans le fleuve Saint-Laurent, un pilote de la Corporation des Pilotes du St-Laurent prend les commandes du navire pour le mener à bon port. Ces pilotes se relaient entre les différents segments entre Les Escoumins et Kingston. Ils naviguent le même segment durant toute leur carrière.

Ils jouent un rôle majeur dans l’économie du Québec.

Toutes les 40 minutes, un pilote du Saint-Laurent embarque à bord d’un navire de commerce qui transite entre Montréal et Québec. 230 pilotes sont chargés de guider les embarcations dans la voie maritime : une des plus dangereuses au monde.

Un métier essentiel à l’économie du Québec, qui est payant, mais qui vient avec son lot de contraintes et de stress. Catherine François nous amène à bord d’un porte-conteneur qui sillonne le fleuve.

Le reportage de Catherine François au #TJ18H

3 « J'aime »
2 « J'aime »

Un message a été fusionné à un sujet existant : Publisac

Lowe’s vend Rona à une firme d’investissement new-yorkaise


PHOTO ERICK LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL

Le quincailler américain Lowe’s vend ses activités canadiennes (Rona, Réno-Dépôt et Dick’s Lumber) à une firme d’investissement new-yorkaise pour 400 millions US et un montant fondé sur le rendement.

3 novembre 2022 | Publié à 16h44 | RICHARD DUFOUR | LA PRESSE

L’acquéreur est Sycamore Partners, une firme spécialisée dans le commerce de détail, la consommation et la distribution qui s’associe à des équipes de direction pour améliorer la rentabilité et la valeur de leur entreprise.

Les activités canadiennes vendues par Lowe’s comptent 450 magasins corporatifs et magasins affiliés indépendants.

Lowe’s avait payé 3,2 milliards dollars CAN en 2016 pour acheter Rona.

3 « J'aime »

J’avais également observé cette immense enseigne sur Décarie hier. :sunglasses:

On devrait connaître la date d’ouverture de ce nouveau supermarché la semaine prochaine.

Asian Grocery Store T&T’s Montreal Opening Is Finally Coming Up

An announcement is coming soon!

MTLBlog | Nov. 8th 2022 | Thomas MacDonald, Senior Editor


T&T Montreal sign. Right: Billboard teasing the opening of T&T Montreal.

Canada’s largest Asian supermarket chain, T&T, has been quietly readying its first-ever Quebec location. T&T Montreal was originally scheduled to open in the spring of 2022, but saw its open date postponed to make way for a vaccination clinic at its planned location. The company has been tight-lipped about its schedule since then. But that’s about to change.

Highway-side T&T billboards promising an “opening soon” have begun to pop up in the city. On Instagram, the company finally confirmed its set to reveal an opening date in the week of November 14.

image

The announcement will follow months of teasing eager Montrealers. The first store signs went up in October. And over the summer CEO Tina Lee shared small peeks at construction and hiring updates to her personal account.

A particularly intriguing June 22 post showed Lee standing next to Montreal celebrity chef Antonio Park inside the under-construction grocery store.

image

The T&T Montreal management team, meanwhile, underwent training in the first week of July.

image

Lee also described the store’s offering in a January 2022 interview with MTL Blog. Montreal customers can expect a snack aisle, in-store bakery, hot food stations, fresh seafood, and locally rare produce.

At 6,500 square metres, T&T Montreal will be the biggest in Canada. It’s set to open at 300, avenue Sainte-Croix near the interchange between Highways 15 and 40 in the borough of Saint-Laurent.

T&T already counts 29 stores spread across British Columbia, Alberta and Ontario.

7 « J'aime »

Le Québec bat les prédictions

PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE

En 2021, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % selon les chiffres officiels de Statistique Canada sur le produit intérieur brut, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance annuelle.

Francis Vailles

Francis Vailles La Presse

Je sais, certains me trouvent chauvin ou jovialiste, mais que voulez-vous, quand ce sont les chiffres officiels qui parlent, je n’y peux rien.

Publié à 6h30

Partager

Et ces chiffres, ils contredisent ce que plusieurs disaient de l’économie du Québec ces dernières années, soit qu’elle progresserait moins vite qu’ailleurs, pour diverses raisons.

Mardi, Statistique Canada a publié ses chiffres officiels de 2021 sur le produit intérieur brut (PIB), le taux d’épargne des ménages, les investissements dans le logement, les déficits publics, etc., tirés des comptes économiques provinciaux.

Premier élément décortiqué : le niveau de vie, défini comme le PIB par habitant1.

En 2021, donc, le niveau de vie des Québécois a crû de 5,7 % — net de l’inflation –, ce qui nous situe au deuxième rang canadien pour la croissance, derrière l’Île-du-Prince-Édouard. La Colombie-Britannique est à 5,2 %, l’Ontario à 4,6 %, et la moyenne canadienne à 4,4 %.

Mieux encore : ce PIB par habitant du Québec a crû plus vite que la moyenne canadienne chaque année depuis sept ans, soit depuis 2015 (et depuis 2016 par rapport à l’Ontario).

Oui, mais la pandémie ? D’accord, la COVID-19 a chambardé les données de 2020 et 2021, mais à long terme, la tendance du Québec se maintient. Ainsi, la croissance de notre niveau de vie arrive au troisième rang des provinces sur cinq ans et au troisième rang également sur dix ans, derrière la Colombie-Britannique, mais devant l’Ontario et l’Alberta (au dixième et dernier rang).

En chiffres absolus, le PIB du Québec par habitant demeure nettement moins élevé qu’en Alberta ou à Terre-Neuve-et-Labrador, où le pétrole fait gonfler la taille de l’économie. Les avancées récentes situent néanmoins les Québécois au cinquième rang à ce chapitre (47 772 $ par habitant, en dollars de 2012).

Nous continuons à être devancés, cela dit, par des provinces comparables comme l’Ontario (54 413 $) et la Colombie-Britannique (54 227 $), respectivement de 13,9 % et 13,5 %, qu’il faut rattraper.

Le PIB par habitant est loin d’être parfait. Il ne dit rien de la répartition de la richesse, par exemple. Et sa composition peut rendre boiteuse la comparaison des chiffres absolus entre les régions, d’où l’intérêt de se concentrer sur sa croissance.

Un autre indicateur phare permet d’apprécier la progression du Québec, soit le taux d’épargne des ménages ou, autrement dit, ce que les Québécois parviennent à mettre de côté une fois les dépenses et impôts payés.

En 2021, les Québécois avaient un taux d’épargne de 14,6 %, soit le plus haut taux d’épargne des 10 provinces. L’aide gouvernementale liée à la pandémie est un facteur majeur de la hausse de ce taux d’épargne. Ce taux reculera en 2022 et au cours des prochaines années.

Il reste que depuis sept ans, les Québécois ont eu un taux d’épargne plus élevé que l’Ontario, la Colombie-Britannique et la moyenne canadienne. Cet écart contraste avec la période 1981-2002, où le Québec était nettement en dessous de l’Ontario.

Ces données passées ne disent rien sur l’avenir. Le Québec sera durement confronté au vieillissement de la population et à la pénurie de main-d’œuvre, entre autres, ce qui fera pression sur sa croissance. En attendant, notre PIB par habitant en croissance permet au gouvernement d’empocher plus de recettes pour payer nos services publics.

Consultez le bulletin publié par Statistique Canada

Les « moins pires » banques vertes

Par ailleurs, dans le contexte de la COP27, l’organisation World Benchmarking Alliance (WBA) vient de publier le classement de 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

PHOTO CHRIS HELGREN, ARCHIVES REUTERS

La Banque de Montréal (BMO) a pris le 1er rang du classement des 400 institutions financières dans le monde en ce qui concerne leur préoccupation pour le développement durable.

Résultat ? La Banque de Montréal (BMO) et la Caisse de dépôt et placement du Québec font partie des 30 meilleures institutions à cet égard, selon la WBA. La BMO finit au 1er rang, la Caisse au 26e rang.

Le classement mesure la qualité de la gouvernance et de la stratégie des institutions, leur respect des capacités de la planète et leur adhésion aux conventions sociales.

Cette bonne nouvelle relative cache un aspect bien moins reluisant, soit la proportion minuscule d’institutions qui obtiennent ce qu’on pourrait appeler la note de passage de 50 sur 100.

La BMO a une note de 52,5 sur 100 et la Caisse, de 32,5. Parmi les autres institutions financières canadiennes, la Banque Nationale a été classée au 73e rang (22,9 sur 100), la Banque Royale au 107e rang, (19 sur 100) et le Mouvement Desjardins au 165e rang (13,8 sur 100).

Sur les 400 institutions, 84 obtiennent des notes de 2 ou moins sur 100…

La WBA note d’ailleurs que seulement 37 % des principales institutions ont publié des objectifs de carboneutralité à long terme et 2 %, des objectifs intermédiaires.

Consultez le classement complet de l’organisation World Benchmarking Alliance

  1. Statistique Canada publie le PIB réel par province, que j’ai divisé par le nombre d’habitants pour obtenir le niveau de vie et sa croissance.
    Le Québec bat les prédictions | La Presse
2 « J'aime »

La Ville a mis en ligne les données ouvertes sur le taux d’occupation des locaux commerciaux

L’enquête terrain des locaux commerciaux vise à élaborer un portrait du commerce de rue sur le territoire de l’agglomération de Montréal afin de répertorier les locaux destinés à la pratique d’une activité économique (excluant les activités industrielles et institutionnelles).

Ce jeu de données permet notamment de mesurer le statut d’occupation des locaux commerciaux, de suivre l’évolution du commerce de rue ainsi que de produire diverses analyses et cartes thématiques.

https://donnees.montreal.ca/ville-de-montreal/locaux-commerciaux

Des données intéressantes en complémentarité des décomptes faits par @vincemtl, @jacouzi et les autres.

6 « J'aime »