Nouvelles économiques et commerciales

J’ai pris le temps de regarder les données sur l’occupation des locaux commerciaux, et j’aime ça. Il y a une interface web pour visualiser les données sur une carte, on peut aller chercher les données par SDC, par quartier, arrondissement… Très simple à utiliser.

Il y a aussi de l’information intéressante pour tous les locaux, on sait si c’est un RDC, RDC avec escalier, deuxième étage, sous-sol…

Ce n’est pas juste le commerce sur rue, ça compte aussi les commerces à l’intérieur des centres commerciaux.

Au niveau de la méthodologie:

Local commercial. Tout local destiné à la pratique d’une activité économique. Le local est
défini par une inspection visuelle de la rue. À noter, un établissement d’affaires peut
occuper plus d’un local dans plus d’un bâtiment.
Local vacant. La vacance est celle perçue par le consommateur (il n’y a pas d’accès au
local et pas d’activités économiques) et ne tient pas compte d’un éventuel bail.

Ça donne donc un portrait comme perçu par le simple citoyen qui se promène sur une rue. J’ai accès à un commerce? C’est occupé. Ce local est fermé et je ne peux pas y consommer? Vacant.

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Ouverture du T&T Supermarché Sainte-Croix: jeudi, le 15 décembre prochain !

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Montreal, this is the moment we’ve all been waiting for! The first T&T store in Montreal will be opening on Thursday, December 15th, 2022! We are located at 300 Sainte-Croix Avenue, the store size is more than 6,500 square meter, and will become the chain’s largest store in the country!

Mark your calendar, the big day is in countdown!

Montréal, c’est le moment que nous attendions tous ! Le premier magasin T&T à Montréal ouvrira ses portes le jeudi 15 décembre 2022 ! Nous sommes situés au 300 Sainte-Croix Avenue, la taille du magasin est de plus de 6500 mètres carrés, et deviendra la plus grande succursale du pays !

Marquez votre calendrier, le grand jour est proche !

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Le plus grand supermarché T&T s’installe à Montréal


Le tout premier T&T québécois ouvrira ses portes à Montréal, plus précisément à Saint-Laurent.Photo: Gracieuseté de T&T

Arianne Lebreux-Ebacher
2 décembre 2022 à 6h00 - Mis à jour 2 décembre 2022 à 9h19
2 minutes de lecture

Adepte de trouvailles culinaires uniques et gourmandes? La plus importante chaîne de supermarchés asiatiques au Canada installera son premier et son plus grand magasin à Montréal à la mi-décembre. C’est un rendez-vous!

Créée en 1993 en Colombie-Britannique par Cindy Lee, une immigrante d’origine taïwanaise, et acquise par Loblaw en 2009, la chaîne comptait déjà 30 succursales au Canada, mais aucune au Québec. C’est donc le 15 décembre prochain que le tout premier T&T québécois ouvrira ses portes à Montréal, plus précisément à Saint-Laurent, à proximité des autoroutes 15 et 40.

«Depuis que nous avons annoncé nos plans pour le Québec, nous avons reçu de nombreux commentaires positifs. Je tiens à remercier tous les clients qui nous ont partagé leur enthousiasme et qui nous ont fait des suggestions pour l’emplacement de notre nouveau magasin. Ces commentaires venaient confirmer que la population de la grande région de Montréal se déplacerait pour venir nous visiter, d’où l’importance d’avoir un emplacement facile d’accès, à proximité des autoroutes», a déclaré la PDG de T&T, Tina Lee, par voie de communiqué.

Situé dans les locaux d’un ancien Loblaw (justement), ce tout premier T&T québécois sera aussi la plus grande succursale de la marque à ce jour, avec une surface de 6500 mètres carrés.

Dans les rangées, on trouvera des collations asiatiques uniques comme de la crème glacée aux haricots rouges, des croustilles de joues de crevettes et des poudings à la noix de coco, à la mangue, aux litchis ou à la fraise. Il y aura aussi de la viande, des fruits de mer et toutes sortes d’articles d’épicerie.

Des repas chauds seront également disponibles en libre-service, tels que du tofu mapo épicé, du porc aigre-doux et du filet de poisson au Sichuan.

L’ouverture de la succursale québécoise avait initialement été annoncée plus tôt en 2022, mais elle a finalement été repoussée, le site étant utilisé comme lieu de vaccination contre la COVID-19. Pour ce premier magasin montréalais, T&T prévoit employer plus de 300 personnes.

Adresse : 300, avenue Sainte-Croix, Montréal (arrondissement de Saint-Laurent)

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Le taux de chômage à un creux record au Québec

PHOTO SARKA VANCUROVA, ARCHIVES LA PRESSE

Il s’est créé 28 000 emplois au Québec en novembre, et le taux de chômage est descendu à un creux record de 3,8 %.

Publié à 8h38 Mis à jour à 8h40

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Hélène Baril
Hélène Baril La Presse

La hausse des emplois est concentrée dans la région métropolitaine de Montréal, où l’emploi est en hausse de 25 000, selon Statistique Canada. Le taux de chômage de la région de Montréal est resté inchangé à 4,2 % le mois dernier.

Au Canada, l’emploi a augmenté de seulement 10 000 et le taux de chômage a diminué de 0,1 point, à 5,1 %.

L’emploi a augmenté au Québec, mais a reculé dans cinq provinces, y compris en Alberta et en Colombie-Britannique.

Le marché du travail avait surpris le mois précédent, avec une création nette de plus de 100 000 emplois, et la plupart des économistes s’attendaient à un repli en novembre. Le marché du travail se montre donc plus résilient que prévu malgré l’inflation et les hausses de taux d’intérêt.

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That Comic Sans tho :skull:

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Je me souviens d’il y a quelques années quand le Québec avait un des taux de chômage les plus élevé du Canada, quel renversement!

Je suis heureux de voir le chemin parcouru, mais les baisses actuelles ne sont plus d’aussi bonnes nouvelles qu’avant. Elles montrent l’ampleur du défi à relever pour les employeurs et le fardeau que ça impose maintenant à l’économie québécoise.

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Industrie de la construction : changement de garde majeur chez Broccolini

Martin Jolicoeur
Vendredi, 2 décembre 2022 15:24
MISE À JOUR Vendredi, 2 décembre 2022 15:24

Changements majeurs à la direction du Groupe Broccolini. La troisième génération de la famille d’entrepreneurs se prépare en douce à monter en grade et à prendre un contrôle nettement plus affirmé de l’entreprise de construction.

Selon les informations obtenues par Le Journal, les cousins Anthony et Michael Broccolini, tous deux petits-fils du défunt fondateur, Donato Broccolini, décédé au printemps, prendront à compter de juin les deux fonctions les plus importantes de l’organisation.

Ces arrivées à la tête de l’organigramme entraîneront du coup les départs des trois principaux cerveaux de l’organisation des dernières décennies, soit le président et chef de la direction John Broccolini, le président du Groupe Immobilier, Roger Plamondon, et le président du Groupe Construction, Nick Iwanowski.

L’information a été annoncée verbalement la semaine dernière aux quelque 500 employés de l’entreprise, tant de Montréal que de Toronto, au cours du party de Noël de l’organisation. Aucun communiqué officiel de l’organisation n’a encore été diffusé sur le sujet ; la nouvelle a toutefois été confirmée au Journal.

Silence du clan Broccolini

« Je vous le confirme. Après 15 ans chez Broccolini, je quitte l’organisation, nous a confirmé le président de la locomotive du Groupe, sa division immobilière, Roger Plamondon. J’ai encore la santé et le temps de prendre ma retraite. Mes motos m’attendent ; je n’ai pour l’instant qu’un seul projet : celui de prendre la route et de partir en voyage avec mon épouse. »

À compter de juin prochain, ce dernier sera remplacé par Michael Broccolini, fils de Joseph Broccolini, actuel vice-président exécutif de l’entreprise de construction montréalaise. Embauché dans l’entreprise familiale en 2011, Michael Broccolini agit depuis 2013 à titre de vice-président, Développement des affaires et Finance de l’organisation.

Fidèle à sa réputation d’entreprise tenue jalousement privée par ses actionnaires, il nous fut impossible de nous entretenir avec Michael, Joseph, John ou Anthony Broccolini. Toutefois, Roger Plamondon dément toute possibilité qu’il soit victime d’un putsch du clan familial.

Décès de Donato Broccolini

Le décès de Donato Broccolini, 97 ans, décédé en avril dernier après avoir construit cette entreprise, ne serait non plus aucunement lié à ces changements majeurs au sein de l’organisation. « Pas du tout, assure M. Plamondon. Je parlerais plutôt d’un changement de garde planifié, réalisé dans un contexte de continuité. »

Pour sa part, John Broccolini cédera sa place en juin à son fils, Anthony Broccolini. Chez Broccolini depuis 2010, le jeune homme occupe actuellement le poste de chef de l’exploitation de l’entreprise. Nos demandes de parler à John, Anthony et Michael Broccolini sont restées sans réponse.

Enfin, Nick Iwanowski quittera son poste plus tard à la fin de 2023. Le président de la division Construction du groupe sera alors immédiatement remplacé par Mario Garippo, actuel vice-président, construction et comptes nationaux, en poste depuis bientôt deux ans.

https://www.journaldemontreal.com/2022/12/02/industrie-de-la-construction--changement-de-garde-majeur-chez-broccolini

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Caisse de dépôt et placement 100 milliards en actifs québécois d’ici 2026

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

Charles Emond, président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement, lors de la présentation des résultats financiers de l’année 2021, en février dernier

La Caisse de dépôt et placement entend appuyer à fond sur la pédale d’accélérateur pour accroître ses investissements au Québec. L’institution annoncera lundi une nouvelle cible de 100 milliards de dollars en actifs québécois pour 2026, ce qui représenterait une hausse de plus du quart par rapport à aujourd’hui.

Publié à 5h00


Maxime Bergeron
Maxime Bergeron Équipe d’enquête, La Presse

Construction de résidences étudiantes et de logements locatifs, investissements dans des tours de télécommunications, injection de capitaux dans des entreprises d’ici qui veulent acheter à l’étranger : la Caisse envisage plusieurs avenues pour atteindre cet objectif.

« Ce n’est pas un chiffre que je sors de mon chapeau comme ça : ça vient de notre planification stratégique », a assuré en entrevue à La Presse Charles Emond, son président et chef de la direction, qui exposait pour la première fois cette nouvelle cible.

Cette annonce survient alors que la présence de la Caisse dans l’économie du Québec est plus que jamais scrutée à la loupe. Le gestionnaire de fonds de retraite a essuyé des critiques ces derniers temps en raison de la baisse du nombre d’entreprises québécoises dans lesquelles il détient une participation directe ou indirecte. Leur nombre a glissé de 756 à 548 depuis quatre ans.

Le poids relatif des investissements détenus par la Caisse au Québec — 78 milliards — a aussi fléchi par rapport à ses actifs totaux, qui s’élevaient à 392 milliards au 30 juin. Rien n’est faux dans ces chiffres, reconnaît Charles Emond. Mais il estime que d’autres indicateurs permettent de mesurer de façon bien plus concrète la contribution réelle de l’institution à l’économie de la province.

« L’actif de la Caisse par rapport à l’économie, il y a 10 ans, c’était 60 $ par tranche de 1000 $ de produit intérieur brut (PIB), et ce chiffre, il a doublé, souligne-t-il. C’est rendu à 120 $ par tranche de 1000 $ de PIB. »

Des télécoms pour CDPQ Infra

Aucun autre gestionnaire de fonds de retraite ailleurs dans le monde n’investit autant dans son économie locale, fait valoir son dirigeant. Et pour accélérer la cadence d’ici à 2026, la Caisse misera en priorité sur deux classes d’actifs bien tangibles : les infrastructures et l’immobilier. Plusieurs nouveaux secteurs sont à l’étude, confie Charles Emond.

Pour moi, la définition de l’infrastructure, c’est quelque chose qui vient changer la qualité de vie des gens, qui augmente la productivité et donc en ce sens-là, l’infrastructure a une définition plus large que ce que les gens peuvent parfois s’imaginer.

Charles Emond, président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement

Le mandat de sa filiale CDPQ Infra, connue pour son projet du Réseau express métropolitain (REM), pourrait être élargi pour inclure des projets d’autoroutes et de télécommunications, notamment. « Les tours de [téléphonie] cellulaire, il y a quelque chose à faire là, dit M. Emond. Ce sont des actifs, tu les loues et tu connectes les gens encore plus dans certaines régions. »

Charles Emond confirme que l’institution a toujours des discussions avec Québec en vue d’étudier différents projets d’infrastructures — notamment un lien de transport collectif au sud de Montréal.

« C’est un interlocuteur qui a de l’intérêt, le gouvernement du Québec, c’est sûr, parce que dans le fond, c’est comme le REM, s’il voit quelque chose où il pense qu’on peut être utile, on va le considérer, indique-t-il. Des grands projets qui vont amener le Québec ailleurs et où on peut obtenir un rendement qui est excellent pour nos déposants. »

Logements abordables

Dans tous les cas, Charles Emond voit une interconnexion directe entre le segment des infrastructures et celui de l’immobilier. « L’immobilier suit l’infrastructure. Ça converge, ces deux choses-là. »

Par exemple, plus de 5 milliards de dollars en projets immobiliers de toute nature ont déjà été construits par différents promoteurs autour des futures stations du REM depuis quatre ans, relève-t-il, pour un total de 20 millions de pieds carrés. La Caisse pensait que ce chiffre serait atteint en 10 ans.

PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

Plus de 5 milliards de dollars en projets immobiliers ont été construits autour des futures stations du REM. Ci-dessus, la station Du Quartier, à Brossard.

L’institution pourrait élargir ses horizons en immobilier et investir davantage dans certains segments où elle est moins présente aujourd’hui au Québec avec sa filiale Ivanhoé Cambridge.

« On peut faire plein de sortes de choses au niveau des complexes multi-usages avec nos centres commerciaux, même faire des logements abordables avec une définition d’abordabilité où il y a un rendement à faire pour nous, explique Charles Emond. Les résidences étudiantes sont une classe d’actifs qui est extrêmement intéressante pour nous mondialement, mais Montréal, c’est aussi une ville universitaire extraordinaire. Est-ce qu’il y a un potentiel de projets signature ? »

350 acquisitions hors Québec

Si la perte de sièges sociaux québécois comme celui de Rona a fait la manchette ces dernières années, Charles Emond rappelle que de nombreuses entreprises québécoises ont aussi fait des emplettes à l’étranger. Des sociétés dont la Caisse est actionnaire, comme Demers Ambulance, CAE, Cogeco, KDC et Previan, ont ainsi réalisé 350 acquisitions hors de la province depuis cinq ans. Une par semaine, en moyenne.

« Les entreprises du Québec qui achètent des entreprises à l’international, ça, c’est le coup de circuit chaque fois, parce que tu coches plein de cases », dit-il.

L’entreprise ici se renforce. L’entreprise ici devient plus grosse, elle est plus difficile à avaler pour un concurrent un jour. Elle s’exporte à l’étranger. Tu exportes le Québec et tu importes les rendements.

Charles Emond, président et chef de la direction de la Caisse de dépôt et placement

La Caisse entend maintenir et même accroître autant que possible sa présence au capital de grandes et petites entreprises québécoises — une stratégie qui contribuera à les prémunir contre des tentatives de rachat étrangères, croit son président.

« Il ne faut pas oublier que parfois, la meilleure défensive, c’est l’offensive, dit-il. Quand la société performe bien, quand la société grossit, on va être là. Puis quand, dans le passé, il y a eu des situations plus délicates, par exemple quand SNC-Lavalin a vécu une période de grande vulnérabilité, alors encore là, on avait des choses à faire. On était là, on est resté présent. »

Vigie « détaillée » des sièges sociaux

Charles Emond révèle que les équipes de la Caisse mènent une « vigie extrêmement détaillée », avec un plan stratégique précis, pour protéger chaque siège social d’importance de Québec inc. Entre 75 et 100 entreprises se trouvent sur cette liste, a-t-on appris.

« On prévoit des années à l’avance quels sont les enjeux et on travaille déjà là-dessus avec des sociétés, explique-t-il. Est-ce que l’actionnariat est faible ? Est-ce que la performance est plus faible ? Est-ce que dans le secteur, il y a un joueur qui est en train d’émerger dans le monde qui est un acquéreur ? Est-ce qu’il y a des pilules empoisonnées ? Est-ce qu’il y a un régime de gouvernance ? »

La Caisse a par ailleurs adopté une nouvelle stratégie pour faire davantage de « maillages » entre des entreprises dans lesquelles elle détient une participation, souligne Charles Emond. L’institution a contribué à réaliser l’an dernier 40 de ces « ventes croisées », qui ont profité à certaines sociétés québécoises comme Lion Électrique et Plusgrade.

REM : les gens veulent « le voir »

Malgré les retards et certains dépassements de coûts, le président de la Caisse de dépôt se dit absolument fier du REM, un réseau de train léger automatisé de 67 kilomètres dont la première branche entre la Rive-Sud et le centre-ville doit entrer en service le printemps prochain. Charles Emond croit que l’opinion publique changera pour le mieux une fois que le service sera bel et bien lancé. « Je pense qu’il peut y avoir un pivot. Comme disait Yvon Deschamps, les gens ne veulent plus le savoir, ils veulent le voir, ils veulent le vivre. » Il assure par ailleurs n’entretenir aucune rancœur par rapport à la mort du « REM de l’Est », la deuxième phase du REM que le gouvernement du Québec avait demandé à la Caisse de développer. Québec a retiré le dossier des mains de l’institution en mai dernier en raison d’une opposition trop importante des citoyens et de la Ville de Montréal par rapport à certains aspects du tracé. « Il n’y a pas d’amertume. Ils ont décidé pour d’autres considérations qu’ils préféraient ne pas avoir la structure aérienne, et c’est vraiment leur prérogative. » La Caisse a reçu un chèque de 100 millions de Québec pour rembourser tout le travail de planification effectué par CDPQ Infra dans ce dossier.

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-Economic news, but it’s been confirmed we are getting a tax cut and will be reflected in the next budget.

$7.4B total cost, from the generations fund over 4 years.

Savings

$20,000 income = $10 savings
$40,000 = $210
$60,000 = $420
$90,000+ = $760

There is also an indexation of taxes/benefits, 6.44% for Quebec (6.3% for Canada)

QC: Ministère des Finances | Home page

Canada: https://www.canada.ca/en/revenue-agency/services/tax/individuals/frequently-asked-questions-individuals/adjustment-personal-income-tax-benefit-amounts.html

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CDPQ completes acquisition of leasing company Akiem

12 December 2022

EUROPE: Canadian pension and insurance investor CDPQ has completed the acquisition of locomotive leasing company Akiem from SNCF Group and DWS.

Exclusive negotiations with CDPQ began in August following a competitive auction. Closing of the transaction was announced on December 9 following staff consultations and regulatory approvals, in particular from the French competition authority.

Akiem was founded by SNCF in 2008 as the French rail sector opened up to competition, and infrastructure investor DWS acquired a 50% stake in 2016. It now has 250 employees, with its headquarters in France and eight European offices. It has more than 600 locomotives and 46 passenger trains leased to over 80 customers in 21 countries, with 2021 revenue of nearly €220m and EBITDA of around €150m.

‘Akiem’s size and positioning across the entire value chain, including maintenance, give it a significant competitive edge’, said Emmanuel Jaclot, Executive Vice-President & Head of Infrastructure at CDPQ. ‘With three quarters of its fleet already operating on electricity, Akiem offers a sustainable response to the challenges of decarbonising transport — a solution that appealed to us from the start.’

Akiem CEO Fabien Rochefort said ‘we intend to pursue our growth strategy and will continue to innovate to strengthen the quality and performance of our freight and passenger solutions’.

The French national railway’s Deputy CEO for Financial Strategy Laurent Trevisani said the sale was ‘fully in line with SNCF Group’s strategy to become a world leader in sustainable mobility for passengers and goods’. It would contribute €800m to the reduction of debt, and finance rail activities including ‘our two strategic assets, Keolis and Geodis, which are growth drivers of the group’.

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Un bureau d’ONU-Habitat s’installe à Montréal

Un sixième bureau de l’ONU à Montréal


PHOTO LUDOVIC MARIN, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE

Montréal accueillera un nouveau bureau d’ONU-Habitat, un programme des Nations unies visant à « soutenir le développement durable des établissements humains et des villes », a-t-on annoncé en marge de la COP15, lundi.

Publié à 16h30
Frédérik-Xavier Duhamel
LA PRESSE

L’équipe de la métropole québécoise sera responsable du « programme mondial pour des villes vertes, résilientes et durables », indique un communiqué de Montréal International. Elle aura pour mission d’élaborer « des recommandations de politiques et de gestes concrets en matière de développement urbain durable ».

« Ce bureau aidera Montréal et le Canada à développer des solutions concrètes pour rendre les villes plus vertes, résilientes, durables et prêtes à saisir les occasions liées à l’économie de demain », a déclaré la ministre fédérale Pascale St-Onge, responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec, citée dans le communiqué.

« Montréal a été sélectionnée en raison de ses écosystèmes de pointe en développement durable et en intelligence artificielle, de même que ses institutions académiques et son bassin d’organisations internationales », précise-t-on. Des « pistes de collaboration » ont été établies avec des chercheurs de l’Université McGill, de l’Université Concordia et de l’Institut québécois d’intelligence artificielle, le MILA.

Déjà, en octobre, ONU-Habitat et le MILA ont lancé un « livre blanc collaboratif » sur la façon dont l’intelligence artificielle peut « soutenir le développement de villes et d’établissements humains durables sur les plans social et écologique ».

Le siège d’ONU-Habitat est situé à Nairobi, au Kenya, et l’agence, établie en 1978, est active dans 90 pays. L’équipe de Montréal travaillera de près avec celles de Barcelone, en Espagne, et de Hambourg, en Allemagne.

Ce bureau vient s’ajouter à ceux de l’Organisation de l’aviation civile internationale, du Secrétariat de la convention sur la diversité biologique, de l’Agence des Nations unies pour les réfugiés, de l’Institut de statistique de l’UNESCO et du Fonds multilatéral pour l’application du Protocole de Montréal.

« Ce sixième bureau de l’ONU à Montréal permettra de faire rayonner l’expertise montréalaise en matière d’habitation et de développement de quartiers exemplaires », a déclaré la mairesse Valérie Plante, également citée dans le communiqué. « À Montréal et partout dans le monde, on doit densifier les milieux urbains de façon intelligente en faisant une plus grande place à la nature », a-t-elle fait valoir.

Les détails, incluant le lieu précis du nouveau bureau et le nombre de personnes qui vont y travailler, restent à déterminer.

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Ouverture dans 2 jours… :confetti_ball:

Mais je suis tout de même passé faire un petit tour ce soir, il y avait bcp… bcp… de monde qui poursuivrait les derniers préparatifs (il y avait plusieurs dizaines de véhicules, plaquées de l’Ontario, stationnées devant le supermarché, lors de mon passage ce soir).

13-12-2022

Une tente est installée pour recevoir et protéger les nouveaux clients de la future neige…

Et des sacs cadeaux semblent avoir été préparés…

Non, ce n’est pas encore ouvert. :shopping_cart:

Mais il y a tout de même du monde à l’intérieur…

Et cela me paraît bien joli.

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Groupe ADF Ajouts de contrats de 228 millions, mais retrait au carnet de commandes

PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE

La semaine dernière, Groupe ADF rapportait que son troisième trimestre de l’exercice en cours avait pris fin avec un résultat net de 2,91 millions, comparativement à 2,788 millions pour la période correspondante de l’exercice 2021.

(Terrebonne) Le fabricant québécois de structures en acier Groupe ADF annonce mercredi la signature d’une série de nouveaux contrats majeurs dans les secteurs industriel, de transport et d’infrastructures publiques, totalisant 228 millions.

Publié à 7h43

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La Presse Canadienne

L’entreprise établie à Terrebonne, dans Lanaudière, précise que ces commandes portent notamment sur des travaux d’ingénierie et de design, de fabrication et de revêtement industriel, de même que sur la livraison de différentes structures d’acier et composantes lourdes en acier pour des nouveaux projets de construction aux États-Unis et dans la grande région de Montréal.

Les travaux de fabrication prévus pour la réalisation de ces nouveaux contrats devraient débuter dans les prochaines semaines et s’échelonner jusqu’à la fin de 2023. Les usines que Groupe ADF possède à Terrebonne et à Great Falls, dans l’État du Montana, bénéficieront de ces contrats majeurs.

Par ailleurs, Groupe ADF retire de son carnet de commandes un projet estimé à 131 millions dans le sud-est des États-Unis conclu en juin 2019. Les travaux devaient commencer au début de 2020, mais le projet a été retardé par la pandémie de COVID-19.

Groupe ADF ajoute que dès que les propriétaires confirmeront le redémarrage de leur projet, il le réintègrera dans son carnet de commandes.

La compagnie assure que ce retrait du projet n’aura aucun impact sur ses résultats financiers.

La semaine dernière, Groupe ADF rapportait que son troisième trimestre de l’exercice en cours avait pris fin avec un résultat net de 2,91 millions, comparativement à 2,788 millions pour la période correspondante de l’exercice 2021.

Entreprise citée dans cette dépêche : Groupe ADF (TSX : DRX)

VinFast ouvre son premier magasin au Québec

PHOTO FOURNIE PAR VINFAST

Le magasin de VinFast situé à Laval est le deuxième à ouvrir au Canada.

Le jeune constructeur vietnamien VinFast a récemment inauguré son tout premier magasin sur le sol québécois, situé au Carrefour Laval.

Publié hier à 11h45

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Charles René

Charles René La Presse

S’inspirant de Tesla sur la chose, VinFast a l’intention de vendre ses véhicules directement à sa clientèle sans l’intermédiaire de concessionnaires. D’autres marques songent à faire de même au moyen de leurs sites internet.

Pour le moment, le constructeur vietnamien prépare l’arrivée de deux modèles, le VUS compact VF 8 et le VUS intermédiaire VF 9. Le VF 8 avance une autonomie oscillant entre 420 et 471 km (cycle de mesure européen) et des puissances de 349 ch et 402 selon les livrées. Son prix de départ est fixé à 54 990 $. Le VF 9 peut quant à lui parcourir entre 423 km et 594 km (cycle de mesure européen) et est passablement plus coûteux à 103 790 $ comme facture de départ. Il dispose de 402 ch pour se mouvoir. Précisons que les deux modèles ont des configurations à deux moteurs de série, pour le rouage intégral.

Le magasin VinFast situé à Laval est le deuxième à s’établir au pays après celui de Toronto. On vise l’ouverture de six autres emplacements d’ici la fin de l’année au Canada pour appuyer l’arrivée des premiers VF 8. Les VF 9 commandés devraient parvenir au pays au début de 2023, avance-t-on.

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Production de sirop d’érable Une sucrée de belle année !

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

En plus des conditions climatiques favorables du printemps 2022, les améliorations technologiques et la main-d’œuvre de plus en plus spécialisée ont contribué à l’obtention de rendements exceptionnels cette année.

L’année 2022 a largement dépassé les attentes des acériculteurs avec une production record de sirop d’érable au Québec et dans l’ensemble du pays. Dans la province, il s’est produit une quantité totale de 15,9 millions de gallons, selon Statistique Canada.

Publié à 6h00

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Nathaëlle Morissette
Nathaëlle Morissette La Presse

Cette « performance » permettra de renflouer la réserve stratégique de sirop d’érable dans laquelle on a dû puiser en 2021 pour répondre à la demande.

En ce qui concerne l’emballage, l’industrie se prépare déjà pour la saison à venir. La production québécoise de boîtes de conserve pour contenir le sirop est déjà bien entamée afin d’éviter que les acériculteurs et les transformateurs ne subissent une pénurie de contenants, comme ce fut le cas au printemps dernier.

Hausse marquée de la production

Ainsi, en 2022, la production québécoise de sirop a connu une hausse de 59,1 %, par rapport à 2021, année marquée par « une saison des sucres écourtée [en raison] des températures printanières chaudes », rappelle Statistique Canada.

Cette année toutefois, le vent a tourné.

On n’a jamais eu un rendement à cette hauteur-là. La saison a été plus longue, le taux de sucre était là, le volume d’eau était là, tous les astres étaient alignés pour que l’on fasse une saison record.

Luc Goulet, président des Producteurs et productrices acéricoles du Québec (PPAQ)

Les améliorations technologiques et la main-d’œuvre de plus en plus spécialisée ont également contribué à l’obtention de rendements exceptionnels, selon M. Goulet.

Pas de prédictions pour 2023

Le président des PPAQ a bien du mal à faire des prédictions pour la prochaine saison des sucres. Il souligne toutefois que sept millions de nouvelles entailles ont été octroyées et seront faites d’ici 2024. En ce qui concerne l’approvisionnement en boîtes de conserve, M. Goulet assure que « les quantités sont déjà là ».

« La conjoncture des conteneurs a compliqué l’approvisionnement l’an dernier », rappelle-t-il. Les boîtes de conserve lithographiées – imprimées – destinées au sirop d’érable sont majoritairement produites en Asie.

Pour répondre à une partie de la demande, l’entreprise québécoise Idéal Canne, située à La Guadeloupe en Beauce, s’est lancée dans la production de boîtes de conserve destinées à ce marché. Près de 10 millions de contenants auront été produits d’ici la fin de l’année par l’entreprise. Pour 2023, ce seront 15 millions de boîtes qui sortiront de l’usine d’Idéal Canne.

Et la production est déjà bien entamée, assure le président de l’entreprise, Erick Vachon. « On est trois, quatre mois en avance sur la saison des sucres, indique-t-il. Il ne manquera pas de cannes au Québec. »

BMR, qui vend des boîtes de conserve et d’autres produits destinés à l’acériculture, assure également qu’il n’y aura pas de pénurie d’équipement cette année. « BMR a depuis l’an dernier identifié de nouveaux fournisseurs et de nouvelles gammes de produits destinés aux producteurs acéricoles, ce qui nous a permis de renflouer nos entrepôts et ainsi d’être en excellente posture pour assurer un approvisionnement constant au niveau de la vaste majorité des articles recherchés, a assuré le directeur des communications de l’entreprise, Kaven Delarosbil, dans un courriel envoyé à La Presse. Par conséquent, nous n’anticipons pas de pénurie au niveau des produits acéricoles pour la saison 2022-2023. »

Production acéricole – quelques chiffres

Production (2022) :

  • 15,9 millions de gallons au Québec, une hausse de 59,1 % par rapport à 2021

  • 17,4 millions de gallons au Canada, une hausse de 53,8 % par rapport à 2021

  • Le Québec est à l’origine de 90 % de la production canadienne

  • Nombre d’acériculteurs québécois : 13 300

SOURCES : Statistique Canada et les Producteurs et productrices acéricoles du Québec

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Au sujet du plus grand supermarché T&T du Canada

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Je viens de passer dans le coin: le parking est rempli ! :shopping_cart: :shopping_cart:

Ce n’est que le 1er jour… mais c’est à croire que T&T devrait organiser des navettes vers les stations Du Collège (et/ou Côte-Vertu) de la ligne Orange et éventuellement Côte-de-Liesse du REM (à la fin 2024)… :crazy_face:


Communiqué de presse:

Short clip de MtlBLOG:

Tellement!
Je hais conduire dans ce coin là de la ville, c’est plein de stroads