Montréal : Ville de savoir (enseignement supérieur)

Apprendre une langue c’est aussi beaucoup si tu a la volonté de l’apprendre.

Et aussi ya le fait que plusieurs étudiants étrangers ou encore des travailleur temporaire qui sont ici et qui savent qu’ils ne pourront pas obtenir la residence permanente en restant au Québec. Alors a quoi bon apprendre le francais si tu sais que forcement tu rne pourra pas rester au Québec.
C’est peine perdu pour eux et je comprend tres bien ca. Il ya meme des personnes dont la langue maternelle est le francais qui sont parti pour d’autres provinces car ils n’arrivent pas a regler leur situation ici. C’est completement loufoque quand on regarde cela.

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I can’t wait for Montreal to fall out of the top 10 best student cities in the world (a place it has been for the last decade, including 1st) and to have Legault call a press conference wondering why this is. By far the worst Quebec Premier in decades.

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Legault ne se rend pas compte que avoir une ville avec 4 universités avec 2 langues majeur que sont l’anglais et le francais c’est quelque chose de presque unique. Peut etre que ca existe ailleurs mais de la taille et importance de ce que l’on a j’en douterai fort.

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Là est le nœud du problème selon moi. Pourquoi tant de francophones ont déserté la ville pour s’établir en banlieue ?

Je sais, il y a pleins de raisons, comme le prix des maisons, avoir sa cour arrière, fuir l’insécurité etc.
Mais encore…

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Rajoute le teletravail. Durant la pandémie Montréal a perdu 45000 habitants.

https://www.journaldemontreal.com/2022/01/13/montreal-perd-ses-habitants-au-profit-des-regions

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En effet l’apprentissage d’une langue n’est pas une simple question de moyens financiers. Il y a des contraintes de temps et d’organisation tant pour les apprenants, les formateurs et l’établissement, et l’arrimage avec la formation principale. Pascal Déry et la CAQ ne peuvent pas simplement dire de mettre l’argent et l’objectif sera atteint. Dans certains programmes de 1er cycle suivant un modèle d’éducation libéral, il a possiblement une certaine marge de manœuvre, mais alors on oublie les cheminements coopératifs et honor, les programmes aux cheminements plus restrictifs comme génie, les études post-baccalauréat.


Quebec songe aussi à accorder aux candidats Suisses les mêmes frais de scolarité que les étudiants québécois.

Québec songe à réduire leur facture des étudiants provenant de la France et de la Belgique


Le gouvernement Legault se donne comme objectif d’attirer plus d’étudiants francophones afin de protéger la langue française. La baisse des droits de scolarité pour les Français et les Belges est considérée comme un moyen d’y parvenir, tout comme la francisation des étudiants venant d’autres provinces canadiennes et de l’étranger. PHOTO MARTIN CHAMBERLAND, ARCHIVES LA PRESSE

(Québec) Le gouvernement Legault envisage de réduire considérablement les droits de scolarité des étudiants français et belges afin d’attirer plus de francophones au Québec, a appris La Presse.

Tommy Chouinard

À l’heure actuelle, ces étudiants paient des droits de scolarité de 9000 $ par année, ce qui correspond au tarif imposé pour le moment aux étudiants venant des autres provinces canadiennes.

Le scénario sur la table à Québec vise à leur faire payer les mêmes frais que les étudiants québécois : 2880 $ par année. Ce serait une baisse de près de 70 %.

Cette mesure est envisagée dans le cadre de la préparation de la nouvelle politique de financement des universités, un dossier piloté par la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry.

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Québec reviendrait à la situation d’avant 2015, année où le gouvernement Couillard avait décidé de tripler les droits de scolarité des étudiants français en leur imposant le « tarif canadien ». L’augmentation s’inscrivait dans le cadre des efforts pour retrouver l’équilibre budgétaire.

Aujourd’hui, le gouvernement Legault se donne comme objectif d’attirer plus d’étudiants francophones afin de protéger la langue française. La baisse des droits de scolarité pour les étudiants de la France et de la Belgique est considérée comme un moyen d’y parvenir. Les ententes avec les deux pays doivent justement être renégociées bientôt.

Selon les plus récentes statistiques disponibles, 16 000 étudiants français fréquentaient une université québécoise en 2019-2020, ce qui représentait alors le tiers de tous les étudiants étrangers. Ils étaient la moitié moins (environ 8000) dix ans plus tôt.

Québec songe également à négocier un accord avec la Suisse pour que les étudiants francophones de ce pays paient eux aussi les mêmes droits de scolarité que les étudiants québécois.

Si le gouvernement Legault veut attirer plus d’étudiants francophones, c’est aussi pour les retenir ici après leur diplomation.

Il a en effet ouvert les vannes de l’immigration pour les étudiants francophones de l’étranger diplômés au Québec. Il prévoit en admettre 6500 l’an prochain dans le volet Diplômés du Québec du Programme de l’expérience québécoise – c’est en plus de la cible de 50 000 nouveaux arrivants qu’il veut accueillir. Il pourrait accepter encore davantage de diplômés puisqu’il n’y a aucun plafond. Du reste, Québec a admis près de 9000 étudiants étrangers diplômés ici en 2021 et 10 700 autres en 2022 avec ce programme d’immigration.

Un taux de francisation à 80 %

La décision au sujet de la facture des étudiants français, belges et suisses ne sera pas prise à court terme. Le dossier des autres étudiants étrangers et de ceux d’autres provinces canadiennes est plus chaud. Et il y a du nouveau.

Le gouvernement Legault veut imposer aux universités anglophones de franciser au moins 80 % de leurs étudiants venant d’autres provinces canadiennes et de l’étranger, a appris La Presse.

C’est deux fois plus que ce que les universités McGill et Concordia se sont dites capables de faire.

Selon nos informations, il s’agit d’une intention de Pascale Déry que le Conseil des ministres doit entériner ce mercredi lors de sa réunion hebdomadaire.

À cette même occasion, et comme La Presse le révélait le 29 novembre, le gouvernement doit prendre la décision d’augmenter de 33 % – au lieu de doubler – les droits de scolarité des étudiants venant des autres provinces canadiennes à compter de la rentrée 2024.

Le tarif doit passer de 9000 $ à 12 000 $ par année. Québec envisageait au départ de le faire passer à 17 000 $. Les sommes supplémentaires récoltées – quelques dizaines de millions – seront redistribuées aux universités francophones.

L’université Bishop’s, à Sherbrooke, sera exemptée de cette mesure d’une certaine façon, indique-t-on en coulisses.

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

La ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry

Le gouvernement ira de l’avant comme prévu avec la nouvelle tarification pour les étudiants étrangers. Il fixera un tarif plancher à 20 000 $ pour ces étudiants, somme sur laquelle il percevra 3000 $. Les fonds amassés serviront là encore à augmenter le financement des universités francophones.

Au cabinet de la ministre Déry, « on ne confirme rien pour l’instant ». On ajoute qu’une annonce sera faite d’ici la fin de la semaine.

Pour tenter de convaincre le gouvernement de reculer sur la hausse des droits de scolarité, les universités McGill et Concordia lui avaient proposé un plan visant à franciser au moins 40 % de leurs étudiants non francophones venant du reste du Canada et de l’étranger, notamment avec l’instauration de cours obligatoires. Elles avaient suggéré que ces étudiants « atteignent un niveau de français 6 de l’Échelle québécoise ». Le niveau 6 est le stade intermédiaire de connaissance du français dans l’échelle comprenant 12 niveaux.

Or, la ministre Déry veut que le plan soit plus ambitieux. Elle compte leur demander de s’assurer qu’au moins 80 % de leurs étudiants aient, d’ici la fin de leur formation, une connaissance du français équivalente au niveau 6, selon nos informations. Le plan de francisation devrait être mis en œuvre à la rentrée de 2025, souhaite Québec.

Le gouvernement pourrait donner un coup de pouce financier aux universités anglophones afin de leur permettre d’atteindre la cible. Mais il pourrait y avoir des pénalités si l’objectif n’est pas atteint.


McGill catastrophée, la ministre contredite

En marge de la réunion hebdomadaire du conseil des ministres à Québec, la ministre Pascale Déry a refusé de commenter le dossier, préférant attendre l’annonce officielle.

Au sujet d’une baisse des droits de scolarité pour les étudiants de la France, de la Belgique et de la Suisse, elle a affirmé que le gouvernement « n’est pas rendu là du tout ». « Ça ne fait pas partie des moyens envisagés », a-t-elle ajouté mercredi.

Or un document de son propre ministère affirme exactement le contraire. Il concerne la révision de la politique de financement des universités et porte le slogan caquiste « Votre gouvernement ».

Dans la section intitulée « Nouvelle tarification des étudiants » internationaux et Canadiens non résidents du Québec (CNRQ), on détaille les « mesures possibles » qui sont envisagées par le gouvernement :

  • baisser les droits de scolarité des étudiants de 1er cycle et de 2e cycle professionnel originaires de la France et de la Communauté française de Belgique au tarif québécois ;
  • négocier une entente avec la Suisse permettant aux étudiants suisses francophones de débourser les mêmes droits de scolarité que les étudiants québécois ;
  • octroyer des exemptions des droits de scolarité supplémentaires aux étudiants CNRQ francophones ;
  • octroyer de nouvelles exemptions des droits de scolarité supplémentaires aux établissements universitaires francophones ;
  • mettre en place des mesures visant à recruter, à diplômer et à retenir les étudiants internationaux dans les programmes offerts en français, notamment en lien avec l’Opération main-d’œuvre et la vitalité des régions ;
  • soutenir des initiatives visant la francisation des étudiants internationaux qui fréquentent une université anglophone, en collaboration avec Francisation Québec.

Ces « mesures concrètes » sont considérées comme des moyens de « soutenir la francisation ». Les « objectifs de la politique de financement » en lien avec la nouvelle tarification sont de « promouvoir la langue française » et « dans une moindre mesure, répondre aux enjeux de main-d’œuvre et contribuer au développement économique, social, culturel et durable du Québec ».

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Quel désastre franchement ce gouvernement… qu’ils se cassent bientôt!

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Peu importe l’opinion, qu’elle soit positive ou négative, essayons de mettre un peu d’effort dans nos interventions.

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Si l’argent du contribuable québécois est investi dans une université anglophone, ce dernier s’attend que ça va rapporter sur le long terme. On veut que ces étudiants s’établissent ici après leurs études. Le problème qu’on a c’est des gens qui on rien a foutre de notre culture et déguerpissent dès qu’ils finissent leur études. Pourquoi on veut franciser des immigrants et non les étudiants étrangers? Je vois les actions du gouvernement d’un oeil positif, il écoute sa population qui un ras-le-bol de se faire écœurer par ces institutions qui font aucun effort pour contribuer au rayonnement de la culture québécoise.

Le but de la CAQ est louable pour la francisation. Mais si le bordel pour obtenir sa residence permanente n’est pas réglé a quoi bon c’est un coup d’épée dans l’eau.

Les suisses vont venir étudier ici a rabais et par la suite aller dans une autre province là ou c’est plus simple et rapide d’obtenir sa résidence permanente.

L’hypothèse initiale était que la structure des frais de scolarité devait changer parce que les étudiants d’autres provinces et de l’étranger étudiaient ici puis partaient vivre ailleurs. Alors, si c’est le cas, on va payer des centaines de millions de dollars d’impôts pour que les Ontariens, les riches qui décident quand même de venir, atteignent un niveau intermédiaire de français ? Toute cette affaire est hautement idéologique et mal pensée.

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Si on donne la possibilité aux éudiants de rester ici avec un travail qui les attends il vont rester.

Et si tu comme tu dit ils en ont rien a foutre de notre culture. Alors pourquoi les Quebecois eux meme consomme de moins en moins la culture d’ici.

J’écoute la radio et les oreilles me font mal a écouter le simili francais que l’on parle. Comment veut on que les gens apprennent le francais si on ne la parlent pas de la bonne facon avec les bonnes regles grammatical et on prononce aussi incorrectement.si dans dans ton cours de francais on t’apprend a parler de telle maniere mais que les Quebecois ne parlent parlent pas selon les regles de base du francais que l’on apprend tu finit par décrocher . J’écoute parler des africains et même si le francais n’est pas leur langue maternelle il le parlent mieux que beaucoup de Québecois .

Ont veut que les étudiants étrangers reste ici apres leur études mais ironiquement on leur compliquent la vie par la suite pour obtenir leur residences permanente.

De mon coté avec mon travail je fréquent beaucoup d’indiens et de pakistanais et je leur apprend des notions de base du francais. Je leur fait écouter des chansons en francais ils adorent par contre je suis obligé d’aller piger des vieilles chansons car ce qui se produit maintenant en francais ce n’est pas tres bon.

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Votre mépris de la langue québécoise fait peur. Avec votre logique les Algériens, Tunisiens, Marocains, Libyens etc parlent pas le vrai Arabe.

Pour en rajouter, je fais parti de ces fameux africains, c’est une minorité qui sait parler avec le ‘’ bon français ‘’ .

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En vertu des nouvelles règles édictées par la ministre de l’Enseignement supérieur, Pascale Déry, le tarif minimal des étudiants canadiens non résidents du Québec, qui devait passer de 9000 $ à 17 000 $ par année, sera finalement établi à 12 000 $.

En y réfléchissant avec plus de sang-froid, les mesures visant la langue française ne seront peut-être pas aussi catastrophiques qu’on le suggérait. Pour les étudiants canadiens hors Québec, les données du recensement récent (2021) montrent que 482 769 étudient dans des programmes d’immersion française. Il s’agit d’un bassin de recrutement naturel pour les universités anglophones du Québec. Au-delà de cela, ces craintes sous-estiment le niveau de français de nombreux étudiants des programmes réguliers. Je suis anglophone du système scolaire régulier de l’Ontario, et j’ai suivi des cours de français avancés tout au long de mes études secondaires. D’après mon expérience, il ne serait pas si difficile pour la plupart des étudiants, comme moi, d’atteindre un niveau de français intermédiaire. Beaucoup ont été choqués par le fait que cette nouvelle politique s’appliquerait également aux étudiants internationaux. Toutefois, leur nombre est beaucoup plus faible au niveau du premier cycle.

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C’est peut-être un cas de changer de poste, et voter avec son audimat. Certaines chaînes ont un ton plus formel. Tous les animateurs sont différents à la radio, on choisit celui qui nous plaît.

Cependant, je ne pense pas qu’il faut tomber dans l’exagération que les particularités du français au Québec sont nécessairement indésirables, plutôt qu’une distinction linguistique. Il y a mal parler, et il y a une langue qui change par sa culture et son histoire. Le français, comme toutes les langues, n’a pas à être rigide et une langue transportée à travers le monde sera bien normalement diversifiée. Il y a bien sûr une ligne à tracer sur la qualité de la langue et on peut avoir un débat sur la qualité de l’enseigement du français, mais cette ligne est bien après les particularités locales (et on retrouve de ces particularités à l’intérieur même du Québec d’ailleurs).

Je pense juste que c’est une nuance importante sur la question.

Je ne suis pas un grand connaisseur et consommateur de musique francophone en général (par rapport à d’autres), mais j’aime bien la musique, et je suis fortement en désaccord. Il existe des tonnes d’artistes francophones actifs au Québec qui sont fantastiques. Si tu veux des suggestions, on peut partir un sujet dans les discussions générales sur des recommandations en musique. On s’éloigne un peu de l’enseignement supérieur :wink:

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100% valide.

Dans l’idéal oui, et de plus je dirai qu’il devrait en être de même aussi de nos étudiant résidents du Québec, pas seulement les étudiants canadiens non-québécois et les étudiants étrangers. Ou on pourrait pousser plus loin; plusieurs voudraient que les francophones restent en masse dans le centre de la métropole par exemple. Ou d’autres valorise beaucoup que les membres des services de police à travers la province vivent à relative proximité des communautés qu’elles plutôt qu’à plusieurs dizaines de kilomètres de celle-ci. Mais bon, les citoyens canadiens et les résidents permanents ont le droit d’habiter et de chercher du travail n’importe où au Canada. On coerce on encourage? On avilisse ou on valorise?

La CAQ a le mérite d’avoir approcher la défi, mais dans démarche elle attribue à tort des maux aux établissements anglophones, leurs effectifs et potentiel candidats, et n’offre pas de solution convaincante du coté francophone de la problématique (sauf pour un groupe très circonscrit de la francophonie).

C’est une caractérisation vraisemblable de certaines personnes, une autre très probable et vécue c’est qu’il est difficile qu’il n’y parait pour des étudiants provenant de l’extérieur de s’intégrer socialement, culturellement et économiquement au Québec et qu’ils doivent analyser où peuvent-il mieux débuter en force leur vie de jeune professionnel. On doit se questionner alors pourquoi des étudiants francophones ou francophiles étrangers font le choix de repartir. On projette le pire sur eux, mais est-ce qu’on offre le mieux?

On ne souhaite pas seulement les franciser, mais les initié à la culture québécoise les intégrer à notre société. Il y toute sortes d’arrivants, des raisons de séjours différentes, et des contraintes propres. Je reviens avec la question de l’arrimage de ces objectifs à la raison principale de séjour dans le cas des étudiants étrangers, qui est la formation universitaire dans un domaine précis; ça ne demande pas simplement de l’argent même toute un appareil de planification, d’organisation et un investissement supplémentaire en temps. Est-ce que ça c’est bien compris chez la CAQ? Ce n’est certainement pas clair de côté.

C’est faux. Ces institution sont des acteurs de première ordre de la promotion du Québec culturel et académique. Les acculer au rôle d’ennemi intérieur est malhonnête. Si on souhaite qu’elles participent plus activement dans la santé du français, c’est valide, mais les orientations qui ont d’abord été divulguées étaient présentées comme une cure au financement des universités francophones. Là on a une irrésolution de ce coté là, et le tout prend plus des airs de politique revancharde et pas trop réfléchie.

Et je vais le répéter, parce que ça mérite d’être redit: la culture Québécoise n’est pas uniquement que francophone, mais si

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Suivant cette pensée est-ce que Concordia, McGill et Bishop devraient dans ce cas ajouter “French 11” ou “French 12” comme préalable pour les étudiants canadiens non-québécois? Parce qu’une charge supplémentaire de 18 crédits dans un programme ce n’est pas rien.

Avec les changements de Déry et la CAQ, est-ce que des candidats qui aurait un score 4 ou plus en “AP French” ou une attestation d’un niveau B2 (CECRL) ou supérieur devraient être exemptés du tarif gonflé, ou devraient-il encore avoir à prouver leur francitude?

Je suppose que ces étudiants peuvent passer un test pour être exemptés du fardeau des cours supplémentaires une fois qu’ils ont atteint le niveau 5. Donc, la plupart des étudiants canadiens qui parlent déjà français n’auraient pas à suivre de nombreux cours supplémentaires. Le vrai problème, c’est la hausse catastrophique des frais de scolarité qui rend l’université québécoise non compétitive.