Un message a été scindé en un nouveau sujet : Agrandissement de l’Atelier Youville
Qu’est-ce qui vous ferait retourner dans le métro? La STM veut savoir
Photo: Josie Desmarais/Métro
Alors que Québec lève une à une les mesures sanitaires, la Société de Transports de Montréal (STM) lance une campagne pour ramener sa clientèle vers les transports en commun et les accompagner dans ses préparatifs liés à un retour en bus, métro et transport adapté après deux ans de pandémie.
Actuellement, l’achalandage dans le réseau régulier de la STM est de 59% par rapport à une période similaire avant la pandémie.
Plus spécifiquement, les usagers du métro sont revenus à 56%, tandis que ceux des autobus sont à 61% des niveaux pré-pandémiques. Quant à l’achalandage dans le réseau de transport adapté, il est à 66%.
Comme c’était le cas le mois passé, la STM estime que l’achalandage devrait atteindre 75% à 85% du niveau pré-pandémie à l’automne.
Le président du conseil d’administration de la STM, Éric Alan Caldwell, rappelle que la pandémie a eu un impact majeur sur l’achalandage de la STM. «Ainsi, le retour progressif à la vie normale, avec la levée des mesures sanitaires, jumelé à la hausse du coût de la vie et des prix, constituent le moment opportun pour relancer le transport collectif et rappeler son importance pour faciliter les déplacements à Montréal», a-t-il affirmé.
«On se reconnecte»
Afin de continuer sur cette lancée, la STM incite les usagers à se «reconnecter» avec leur réseau de transport par le biais d’une campagne lancée aujourd’hui pour une durée de huit semaines.
Avec la campagne «On se reconnecte», la STM fait valoir que la meilleure façon de se reconnecter avec ses amis, ses collègues ou ses proches, c’est avec le métro et l’autobus.
Divisée en trois volets, la campagne «mise sur une approche 360 afin de répondre aux différents besoins des clients, des employés, des grands employeurs et générateurs de déplacements», indique-t-on.
Deuxième campagne lancée par le gouvernement
Vendredi, le gouvernement du Québec a aussi lancé une campagne de sensibilisation visant à ramener les gens dans les transports en commun.
Appelée «[Re]montez à bord de votre transport collectif», elle met en lumière des passagers qui soulignent les avantages que chacun d’entre eux tire du transport collectif.
La campagne se déploie à la télévision, à la radio, en affichage routier et sur le Web, dans les régions de Montréal et de Québec, ainsi que dans les villes de Sherbrooke, de Gatineau, de Trois-Rivières et de Saguenay.
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First of all make it fun get rid of the cheese ads and put fun ones like London and Paris
Il y a 55 ans, la ligne jaune était inaugurée
Article dans les archives de Radio-Canada :
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Complètement hallucinant de voir l’état des travaux en janvier 67, alors qu’on ouvre la ligne avec succès à la fin-mars et l’Expo universelle deux semaines plus tard.
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En lien avec cet anniversaire (vu sur la page FB de la STM):
STM - Mouvement collectif est avec Ville de Montréal et Ville de Longueuil.
[Quiz historique] 
Voici quatre affirmations en lien avec les 55 ans de la mise en service de la ligne jaune le 1er avril 1967 
Trois sont vraies 
et l’une est fausse 
. Pouvez-vous deviner laquelle?
La ligne jaune a été le premier tunnel creusé sous le fleuve.
La ligne jaune devait se terminer à Saint-Lambert.
La station Berri-UQAM (Berri-de-Montigny) détient le record de la station la plus achalandée dans une année.
Le point le plus profond du réseau se trouve sur la ligne jaune.
Restez à l’affût pour la bonne réponse et les détails historiques!
Archives de la STM - Extrait d’une des premières cartes de la ligne jaune, 1963
Voici la réponse partagée par la STM 
:
Bravo si vous avez identifié l’affirmation comme étant celle qui est fausse! 
C’est plutôt la station Île-Sainte-Hélène (aujourd’hui Jean-Drapeau) qui détient ce record d’achalandage, avec plus de 20 millions d’entrées en 1967, année de l’Expo. Pour vous donner une idée, la station Berri-UQAM est celle qui s’est approchée le plus près de cette marque, avec 13 millions d’entrées en 2011.
La ligne jaune a effectivement été le premier tunnel CREUSÉ sous le fleuve. Le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, réalisé à la même époque et inauguré le 11 mars 1967, a plutôt été déposé au fond du fleuve, et non creusé!
La ligne jaune devait à l’origine se terminer à Saint-Lambert. Il était question d’aménager le terminus de la ligne jaune non loin d’où se trouve présentement le Collège Champlain. La municipalité a toutefois refusé d’accueillir le terminus, qui a finalement été construit à Longueuil, de l’autre côté du pont Jacques-Cartier! ¬
Parlant de changement de plans, vous avez peut-être remarqué sur la carte qu’on aperçoit une station prévue sur l’île Notre-Dame. Rapidement, les ingénieurs ont compris qu’il serait impossible de construire cette station, en raison de l’espace insuffisant pour faire passer le tunnel sous la Voie maritime du Saint-Laurent.
Le point le plus profond est bien situé sur la ligne jaune, puisqu’elle passe sous le fleuve. Détail intéressant : l’endroit exact qui est le plus profond n’est pas situé sous le fleuve proprement dit, mais bien dans le Vieux-Montréal, sous la rue Bonsecours! À cet endroit, le radier (plancher) du tunnel se trouve à 55 m de la surface.
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Thales receives contract extension for Montreal metro network
Railway Technology | April 6, 2022
The contract extension will allow Thales to supply its technology to 16 stations.
The new technology will help improve Montreal network operations. Credit: Thales.
French company Thales has secured a contract extension from Canadian public transport agency Société de transport de Montréal (STM) to deliver new computer-based interlocking systems to a further eight metro stations.
Through the extension of the contract, the company will provide its technology to 16 stations or depots.
The upgrades will be completed across all lines of the rapid transit system in Montreal.
Montreal network operations are said to improve with the deployment of Thales’ new technology, thereby benefitting around a million passenger trips per weekday.
Thales technology is expected to enhance the existing infrastructure in addition to supporting future network developments.
In 2018, Thales secured the original contract for replacement of the signalling equipment across eight stations and garages.
It will enable STM to maintain service quality by upgrading its existing infrastructure.
“This project aims to improve the technological infrastructure of the Montreal metro while accommodating future network developments,” said Thales.
Thales Urban Rail Signalling vice president and managing director Alcino De Sousa said: “This contract extension solidifies our strong working relationship with the STM and demonstrates our commitment to supporting the ambitions for Montreal’s metro through our technology solutions.
“Our strong local presence in Quebec will ensure long-term support for the STM and the passengers they serve.”
Last month, Thales won a contract from rail operator Prasarana Malaysia for the development of a new integrated control centre (ICC) in Taman Ikan Emas, Malaysia.
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Un record (peut-être) en vue… 
Vu sur la page FB de la STM (j’aime beaucoup la terminologie “En coulisses” 
, employée pour qualifier cet article… 
):
[En coulisses] Avez-vous déjà croisé ce type d’échafaudage quai à quai, comme à la station Pie-IX, en vous demandant ce qui s’y passait et pourquoi le train ralentissait parfois? 
On vous présente les travaux de canalisation des eaux dans la voûte!
Il est normal que l’eau cherche à s’infiltrer dans tous les types d’installation souterraines, incluant les stations de métro. Ces travaux visent donc à pérenniser les infrastructures qui servent à canaliser l’eau qui s’infiltre dans les voûtes des stations du réseau.
Pour ce faire, on fixe des goulottes à la voûte, afin de drainer l’eau vers un système de tuyauterie, dissimulé derrière les finis muraux et en dessous des quais, puis vers une fosse de pompage.
Ensuite, l’eau est expulsée de la station.
Cela permet de conserver la station au sec et d’éviter les inconvénients reliés aux infiltrations.
Qu’est-ce qu’une voûte, qu’est-ce qu’une goulotte? Parcourez les photos pour tout savoir! 
[En coulisses] Puisque les travaux de canalisation des eaux dans la voûte causent de la poussière et du bruit, nos maçons et plombiers travaillent essentiellement en fin de soirée et pendant la nuit. Lorsqu’ils sont à l’œuvre, le train doit ralentir lors de son entrée en station. Par mesure de sécurité, sa vitesse est réduite à 32 km/h, au lieu des 72 km/h habituels.
[En coulisses] Qu’est-ce qu’une voûte? 
La voûte désigne le plafond arqué qui surplombe la voie, dans le tunnel, et les quais, à l’intérieur de la station.
[En coulisses] Qu’est-ce qu’une goulotte?
Une goulotte est un conduit installé aux joints de construction de la voûte. On compte en moyenne 16 à 18 goulottes par station, selon l’architecture de celle-ci. Ce dispositif fait partie intégrante du système de drainage, permettant de canaliser les eaux vers l’extérieur de la station.
Old news I guess, but The Gazette just picked up the story
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Montreal shelves plans for métro safety barriers, Blue Line improvements
It’s unknown what will happen to roughly $800 million promised by the province.
Jason Magder • Montreal Gazette
Apr 26, 2022 • 43 minutes ago • 4 minute read
Platform screen doors are visible at Westminster underground station in London. A project to install similar safety equipment at 13 Montreal métro stations has been shelved due to budget cuts prompted by the pandemic. PHOTO BY LEON NEAL /Getty Images files
A project to build barrier doors on several stations of the métro’s Orange Line has been shelved, despite roughly $200 million in provincial funds promised for that project.
The barriers, also known as platform screen doors, consist of panels that block off access to the track, with doors that line up with the doors of incoming trains. They have been installed in the subway systems of several major cities, notably Paris, Hong Kong, London, Tokyo and Singapore, and they prevent people from jumping or being pushed onto the track, or from objects falling. The city’s new Réseau express métropolitain will be equipped with the barriers in all of its 26 stations when it launches starting this year.
In 2018, the city’s transit agency put out a call for tenders to install the barriers in 13 stations. Then in 2019, the city announced it reached a deal with the province to pay for at least 13 of those barriers. In the deal, which was announced with much fanfare at City Hall, the province pledged a total of $800 million for various transit projects, $200 million of which would pay for the barriers. The Société de transport de Montréal had estimated that equipping each station would cost between $10 and $15 million, so the $200 million would have paid for all 13 stations.
However, the project was quietly shelved by the STM in December, spokesperson Philippe Déry explained. It was left out of a new capital expenditure budget unveiled at the end of last year that covers the years 2022 to 2031.
“In the context of financial difficulties linked to the pandemic, the STM made the necessary efforts to reduce its debt, so we reduced our expenses by more than $2 billion over 10 years. To do that, we revised some projects and cancelled others,” Déry said.
The previous capital budget had planned for $568.1 million to be spent by the year 2030 to install the barriers. Another plan to install the barriers in the five new stations on the extended Blue Line has also been cancelled because of cost overruns on that project, Déry said. However, the stations will be built with the barriers in mind, so that will save on costs when they are eventually installed.
A 2016 UQAM research project analyzing suicides on the métro determined roughly 16 people per year jump in front of trains. The city’s opposition also noted that incidents disrupting métro service for five minutes or more were on the rise in 2022, and many of those interruptions are caused by fallen objects, or people jumping or being pushed onto the tracks.
Last week, a 39-year-old woman in Toronto’s Bloor-Yonge subway station was injured after she was pushed onto a track, and a woman in New York died in February after she was pushed onto the tracks on that city’s subway system. In the wake of her death, the MTA announced it would launch a pilot project to equip three stations with the barriers.
At the Villa-Maria métro station Monday, most riders who spoke to a journalist said they believed the STM erred in cancelling the project.
“To lose more than one life is much more expensive,” said Notre-Dame-de-Grâce resident Sharon McLaughlin. “Life is more valuable than any money. To lose one life is more expensive than filling a hole in the city budget.”
Reacting to the news of the project’s cancellation, the city’s opposition said it once again shows that Montreal Mayor Valérie Plante is mismanaging the public transit file.
“If we want to bring ridership back to pre-pandemic levels, we have to improve the level of service, and involves reducing the number of interruptions in the métro,” Christine Black, the opposition spokesperson on public transit issues, said in a statement.
Black said she’s also concerned about the overall $800 million in funds that was promised to the city by the province. That money was earmarked for future projects after the city turned over $800 million in federal funds for which it was eligible. The federal money was given to Quebec City to pay for its tramway. In exchange, the province promised the city $800 million funding over a period of several years. In addition to the barriers, the money was to pay for studies into a tramway in Lachine, and improvements to the Blue Line extension project.
The money has not disappeared, said Marikym Gaudreault, a spokesperson for Plante.
“According to the spirit of the agreement with the government, the sum dedicated to that project will be attributed to another project in the metropolis,” Gaudreault said. “It should be noted that the objective of the agreement was to secure funds in the government’s Plan québécois des infrastructures, (a document that outlines the province’s long-term infrastructure funding commitments). One thing is clear; we don’t lack projects to use these funds.”
Le Journal métro a repris la nouvelle de la Gazette
Suicides: la STM suspend le projet de portes palières dans le métro
Photo: Istock/Warchi
Fanny Forest
26 avril 2022 à 10h19 - Mis à jour 26 avril 2022 à 10h43 3 minutes de lecture
La Société de transport de Montréal (STM) mettra finalement de côté son projet d’installation de portes palières sur la ligne orange du réseau de métro. Évalués à plusieurs millions de dollars, ces dispositifs avaient notamment pour objectif de réduire les risques de tentatives de suicide.
La nouvelle, qui a d’abord été rapporté par Montreal Gazette, a ensuite été confirmé par Métro.
Contactée par Métro, Amélie Régis, conseillère corporative en affaires publiques de la STM, a expliqué que «le contexte financier difficile lié à la pandémie» a contraint la STM de suspendre le projet, malgré les quelque 200 millions promis par le gouvernement du Québec pour sa réalisation.
«Le projet était en phase planification et le montant concernait la phase de réalisation», soutient Amélie Régis. Le projet, qui prévoyait l’installation de portes palières dans 13 stations, a donc été mis sur la glace tout juste avant son entrée en phase de réalisation. La STM avait estimé que l’équipement de chaque station coûterait entre 10 et 15 millions de dollars.
Déjà implantées ailleurs dans le monde, notamment à Paris, Londres et Tokyo, les portes palières sont généralement vitrées et ne s’ouvrent pas tant qu’un train n’est pas en arrêt complet sur les rails. Elles permettent ainsi de prévenir des suicides, les chutes accidentelles ainsi que la perte d’objets sur les voies.
Une baisse d’achalandage marquée dans le métro
La baisse d’achalandage explique également la décision de la STM de mettre le projet des portes «antisuicides» sur la glace, selon Amélie Régis. «Avec la diminution de l’achalandage, ce projet n’était plus considéré prioritaire pour le moment», a-t-elle soutenu.
En mars 2022, l’achalandage dans le réseau régulier de la STM avait en effet diminué de 59% par rapport à une période similaire prépandémique.
La STM prévoit toutefois que l’achalandage devrait atteindre 75% à 85% du niveau prépandémique à l’automne prochain.
Les portes palières du REM, uniques en Amérique
Le nouveau Réseau express métropolitain (REM) de la Ville sera donc le seul réseau montréalais à utiliser des portes palières dans l’ensemble de ses 26 stations, lors de son lancement à compter de cette année. Il s’agirait d’ailleurs d’une première pour un métro léger en Amérique du Nord.
«Personne ne pourra échapper d’objets sur les voies. Et comme les gens ne pourront accéder aux rails, on vient aussi garantir la sécurité du réseau. Il y a beaucoup de bénéfices», avait expliqué à Métro Jean-Vincent Lacroix, porte-parole du REM, en 2019. «À Montréal, on en voulait pour assurer la fiabilité du service», a-t-il ajouté. Ces portes permettront en effet de minimiser les interruptions de service sur le réseau.
Coming from the same opposition that was calling for service reduction at the height of the pandemic, this is rich!
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Pas de portes palières, mais un projet-pilote d’ici la fin de l’année pour permettre les chiens 
Le métro accueillera les chiens, mais n’aura pas de portes palières
PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE
Le conseil municipal de Montréal a adopté à l’unanimité, mardi, une motion demandant à la STM « de tester un projet-pilote autorisant, selon des balises visant la bonne cohabitation avec l’ensemble de ses clients, la présence des chiens dans le métro d’ici la fin de l’année, afin d’évaluer la possible cohabitation dans le réseau de la STM ».
D’ici la fin de l’année, les chiens en laisse seront acceptés dans le métro de Montréal, dans le cadre d’un projet-pilote. Par contre, la Société de transport de Montréal (STM) abandonne le projet d’installation de portes palières, dites « antisuicides », sur les quais du métro, en raison des difficultés financières causées par la pandémie.
Publié à 16h26
Isabelle Ducas
La Presse
Le conseil municipal de Montréal a adopté à l’unanimité, mardi, une motion demandant à la STM « de tester un projet-pilote autorisant, selon des balises visant la bonne cohabitation avec l’ensemble de ses clients, la présence des chiens dans le métro d’ici la fin de l’année, afin d’évaluer la possible cohabitation dans le réseau de la STM ».
Ce projet doit s’accompagner d’une campagne de communication et de sensibilisation auprès de la population.
C’est l’opposition à l’hôtel de ville qui a d’abord proposé d’accepter les chiens à bord des transports en commun. Des conseillers du parti Ensemble Montréal avaient tenu une conférence de presse pour annoncer leur projet il y a quelques semaines.
L’administration Plante s’est ralliée à cette proposition, en suggérant de commencer par un projet-pilote.
« Il faut avancer de façon prudente et mesurée », a souligné le conseiller municipal Éric Alan Caldwell, président du conseil d’administration de la STM. « Ce qui doit nous guider dans les prochaines étapes, c’est la bonne cohabitation. On veut que les gens reviennent dans les transports en commun. »
Le suivi qui sera fait au projet-pilote permettra de tirer des conclusions pour la suite, note M. Caldwell.
La Presse avait sollicité l’opinion de ses lecteurs sur cette question le 12 avril. Résultat : près des trois quarts des quelque 300 répondants ne voulaient pas de chiens dans les autobus et dans le métro. Plusieurs citaient des allergies aux animaux ou des craintes de morsures pour expliquer leur opposition.
Selon le chef du parti Ensemble Montréal, Aref Salem, qui a déposé la motion, la STM aura le temps de chercher des solutions à ces problèmes.
Il a fait remarquer que près de 17 000 Montréalais ont signé la pétition « Fido veut prendre le métro » et que de nombreuses familles ont adopté des animaux pendant la pandémie.
Manque de budget pour les portes « antisuicides »
Dans un autre dossier, la STM abandonne son projet, étudié depuis près de quatre ans, d’installer des portes palières sur des quais de métro de la ligne orange.
On envisageait d’équiper les 13 stations situées sur le segment entre Crémazie et Bonaventure de ces portes vitrées qui s’ouvrent automatiquement lorsqu’une rame de métro s’arrête en gare, et qui permettent d’isoler physiquement les voies ferrées des quais.
Le coût de ce projet était estimé à 200 millions.
On a décidé de retirer le projet de notre programme d’investissement pour les 10 prochaines années, parce que la pandémie a amené des grands changements dans les besoins de mobilité, dans l’achalandage, ce qui a mis évidemment de la pression sur nos finances, donc on a revu la priorisation de nos grands projets, et le projet des portes palières a été retiré de notre programme d’investissement pour le moment.
— Philippe Déry, porte-parole de la STM
Les études et analyses réalisées en lien avec l’implantation de ces équipements pourront servir dans l’avenir, ajoute-t-il.
Les futures stations du prolongement de la ligne bleue seront conçues pour recevoir éventuellement ces portes sur leurs quais, précise M. Déry.
Les portes palières sont souvent appelées « antisuicides » parce qu’elles empêchent toute intrusion devant les rames du métro. Elles évitent aussi que des objets se retrouvent sur les rails. Leur installation est de plus en plus généralisée dans les réseaux de transport souterrains, un peu partout dans le monde.
Elles sont de plus obligatoires sur tous les systèmes de transport automatisés, sans conducteur. Toutes les gares du futur Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec, en construction, seront d’ailleurs dotées de portes palières.
Au cours de la réunion du conseil municipal, le chef de l’opposition, Aref Salem, a dénoncé l’abandon du projet de portes palières, en soulignant que, chaque année, 16 personnes mettaient fin à leurs jours en se jetant devant le métro à Montréal, selon une étude de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) menée en 2016. Les interruptions de service causées par des objets échappés sur la voie sont aussi de plus en plus fréquentes, a-t-il déploré.
« On a dû faire un choix, mais ce n’est pas un projet qui tombe, c’est un projet qui va être étiré dans le temps », a répondu la mairesse de Montréal, Valérie Plante. Elle a souligné que son administration avait décidé de maintenir le même niveau de service des transports en commun pendant la pandémie, pour continuer de servir les usagers ayant besoin de se déplacer, mais que ce choix avait un coût.
Portes palières reportées à 2031 ? En espérant que ce sera la bonne…
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Il faut pas lire ça comme disant “ça va être fait en 2031”. C’est juste que le plan décennal de la STM va jusqu’à cette année là et les portes palières n’y figure pas.
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Ca fait un meilleur titre 
All for them clicks.
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Le meilleur titre était celui du Journal Métro 
Sur la page FB de la STM:
[Quiz historique] Êtes-vous en mesure de nommer (sans recherche) les trois stations de métro qui fêtent leurs 15 ans d’inauguration cette semaine?
: l’une des trois stations pendant sa construction
PVI: La photo correspond à la station Cartier. 
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[Art dans le métro] La #STM installe une première œuvre à la station Préfontaine. La sculpture Relier de l’artiste Catherine Sylvain fera même l’objet d’une capsule de @LaFab. À surveiller. Une nouvelle œuvre d’art fait son apparition à la station Préfontaine | Société de transport de Montréal
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