Je m’excuse mais elle a tout à fait raison. Et non seulement de l’actualité mais de la couverture des arts et spectacles. Dommage car lorsque j’entends ou je lis des actualités américaines, je change de poste de radio ou je tourne de page. On dirait que les médias ne sont pas dans le même monde que celui ou je vis, soit Montréal.
À chaque fois que Guillaume Lavoie parle avec Luc Ferrandez à la radio, je perçois une vague antipathie. Est-ce juste une impression?
Je suis encore au RSS du journal Métro et il y a cette nouvelle!
médias sociaux et IA ![]()
Les citoyens et les représentants des médias sont cordialement invités à une conférence de presse annonçant la reprise officielle des activités du Journal Métro et de Métro Québec.
Lors de l’événement, les représentants de Métro présenteront un nouveau modèle de production de l’information qui mise sur l’intelligence artificielle, les réseaux sociaux et, bien entendu, la rigueur de nos journalistes.
Seront présents :
- Pierre-Antoine Fradet, président et directeur général;
- Olivier Robichaud, rédacteur en chef.
Date : 1er octobre 2025Heure : 10 heures
Lieu : Maison du développement durable, salle du Parc – 50, rue Sainte-Catherine Ouest, Montréal (Québec)Pour toute question ou pour demander une entrevue, contactez Olivier Robichaud à l’adresse orobichaud@journalmetro.com.
Ajout : Le Devoir a + d’info sur cette renaissance
Deux ans après être disparus du paysage médiatique québécois pour cause de faillite, le journal montréalais gratuit Métro et sa filiale dans la Capitale, Métro Québec, annoncent leur retour.
Les détails de cette « reprise officielle des activités » prévoyant un « nouveau modèle de production de l’information qui mise sur l’intelligence artificielle, les réseaux sociaux et […] la rigueur de nos journalistes » seront dévoilés lors d’une conférence de presse mercredi à 10 h à la Maison du développement durable, en présence du rédacteur en chef, Olivier Robichaud et du président et directeur général, Pierre-Antoine Fradet.
À la suite de la faillite du Journal Métro à l’automne 2023, Pierre-Antoine Fradet, p.-d.g. de l’entreprise montréalaise Atedra, spécialisée dans la gestion de données et le marketing numérique, avait fait l’acquisition du nom et de la propriété intellectuelle de Métro, média en ligne et imprimé, fondé en 2001 et distribué gratuitement dans les stations de métro de la STM.
@vincemtl : avec leurs histoires de médias sociaux… à surveiller si le contenu du forum ne sera pas repris en verbatim!
Ouais, le mélange “IA” et “réseaux sociaux” me fait ressentir une certaine réserve. ![]()
I am getting tired of AI being everywhere. We definitely don’t need hallucinating news and excessive GHG emissions to generate those news articles.
This is the second Canadian news outlet that I know of that will openly use AI, after Courrier Laval News.
Plus d’information sur leur modèle d’affaires
Nous sommes fiers d’annoncer que le Journal Métro relance ses activités journalistiques et publicitaires dès aujourd’hui, tant à Montréal qu’à Québec.
Le Journal Métro a toujours été au cœur de la vie démocratique et de la vie urbaine à Montréal. Il s’est aussi taillé une place de choix pour l’information de quartier à Québec. Dès aujourd’hui, les citoyens de ces deux villes peuvent à nouveau consulter les nouvelles de Métro sur les sites web journalmetro.com et metroquebec.com.
Les comptes de réseaux sociaux de Métro ont aussi été réactivés. L’application mobile et les infolettres seront réactivées prochainement.
Le Corriere Italiano sera relancé à une date ultérieure.
Un nouveau modèle pour l’information
La relance du Journal Métro est possible grâce à une nouvelle approche quant à la diffusion de l’information sur les différentes plateformes numériques.
Une nouvelle approche pour les réseaux sociaux
Métro misera davantage sur ses réseaux sociaux pour diffuser l’information. Les sites web demeureront bien entendu notre principal véhicule pour l’information, mais nos journalistes seront davantage présents sur YouTube, TikTok, X, LinkedIn, Facebook et Instagram afin de connecter directement avec nos lecteurs en fournissant des informations pertinentes en temps opportun.
L’approche préconisée par Métro s’inspire du modèle social first journalism (ou « journalisme social » en français), sans toutefois réduire la pertinence des sites web.
Plusieurs textes et images générés par “IA”. Un rappel que ces outils ne sont pas bons pour confirmer la véracité d’une information. Je suis d’avis que la photo d’un article doit refléter autant la réalité que le texte.
Je suis déçu de l’approche.
Les Montréalais ont une sale gueule.
Blague à part, des resucées IA de communiqués de presse, cela ne fait pas des textes très engageants à lire.
On dirait qu’ils ont recussité le journal Métro pour faire un “get rich quick scheme” qu’on voit beaucoup dans les tutoriels sur YouTube
Nous avons le plaisir d’annoncer que nous sommes – à notre connaissance – la première salle de presse d’une grande ville canadienne à utiliser l’intelligence artificielle pour générer directement une partie du contenu, qui sera toujours vérifié avant, pendant et après par des journalistes. Bien plus qu’une aide à la rédaction, notre nouvel outil, baptisé « Moteur IA », est désormais utilisé par Métro pour générer automatiquement des textes simples à partir de communiqués de presse ou d’informations tirées de sites web externes.
La Presse Canadienne a sont site web déjà, merci
Radio-Canada a dévoilé lundi l’identité de la successeure de Luce Julien à la direction générale de l’Information. La journaliste, ex-rédactrice en chef du magazine Châtelaine et, depuis 2018, première directrice aux magazines et à l’information numérique du diffuseur public Crystelle Crépeau entrera en poste le 1er décembre.
« Crystelle Crépeau est intimement liée à l’innovation numérique en information à Radio-Canada. Cette expertise, combinée à sa vision stratégique et à son leadership, en fait la personne toute désignée pour diriger la grande équipe de l’Information », a commenté par communiqué de presse Dany Meloul, vice-présidente principale de Radio-Canada.
Quelqu’un connait Montréal Minute ? J’ai découvert ce média via un message de SameGuy.
Je n’en avais jamais entendu parler. Il semble avoir un unique auteur, Brin Troussier, une personne qui ne semble pas avoir d’autre existence que sur ce site web. Très curieux.
L’admin du domaine a une adresse dans le Massachusetts ![]()
That’s domain privacy. The owner’s name and address are withheld.
en écho à Véronique Hivon, chronique d’Alain Rayes dans La Presse
Moins de président Trump, plus de démocratie ici
Lorsque Véronique Hivon a publié un message la semaine dernière, il a trouvé un écho bien au-delà des réseaux sociaux.
Elle a écrit sur X : « Suis-je la seule à ressentir un malaise de plus en plus grand face à la couverture quasi en continu de l’actualité américaine, y compris souvent totalement de l’ordre de la politique intérieure ? Serions-nous devenus le 51ᵉ État de notre propre gré ? De toute évidence, quelque chose m’échappe ! »
Cette interrogation traduit une inquiétude grandissante et un ressentiment de plus en plus présent dans l’opinion publique : l’impression que Donald Trump occupe une place démesurée dans notre espace médiatique.
Le problème n’est donc pas de couvrir les États-Unis, mais plutôt la place qu’on accorde au président du pays. Parce que la tarte médiatique, elle, ne s’agrandit pas.
Chaque minute consacrée aux frasques de Trump est une minute de moins pour parler de nos hôpitaux, de nos écoles, de nos communautés autochtones ou de nos propres enjeux, choix et débats démocratiques.
Selon Influence Communication, Donald Trump a représenté 10,6 % de la couverture médiatique au Québec, soit beaucoup plus que n’importe qui. Ce chiffre est vertigineux quand on réalise que notre premier ministre fédéral, Mark Carney, ne franchit même pas la barre des 2 %.
Ceci semble être une bonne nouvelle pour la démocratie au niveau municipal, et pour nous autres ici assoiffé(e)s d’information et d’indices divers.
Documentalistes Canada, un projet dans le cadre duquel des citoyen·nes sont formé·es pour couvrir des assemblées publiques, a récemment lancé sa branche montréalaise. Les notes issues de cette initiative seront publiées sur le site de Pivot.
Des conseils d’arrondissements aux commissions permanentes, les « documentalistes », spécialement formé·es pour ce faire, porteront un œil attentif à ces réunions où les élu·es décident de l’avenir de Montréal. Ils et elles partageront des comptes rendus contenant des informations pertinentes, digestibles et factuelles, en travaillant main dans la main avec des journalistes professionnel·les qui vérifieront les faits rapportés.
Le tout sera publié sur notre site ainsi sur la page « Montréal » de Documentalistes Canada. Des guides pratiques de fondement à la démarche et d’autres ressources sont disponibles sur le site internet pour quiconque souhaite les utiliser.
Ceci semble alors avoir été un des premiers comptes rendus a être publiés:
Il y a Nouvelles d’ici, un média qui couvre le Grand Sud-Ouest (Lachine, LaSalle, Verdun et Le Sud-Ouest) qui a une initiative de journalisme citoyen
Il y a plusieurs personnes qui contribuent au contenu
Quand Trump a gagné les élections l’an dernier, je me rappelle qu’un de mes amis m’a dit qu’outre toutes les attaques contre l’état de droit et les minorités, ce qu’il redoutait le plus c’était d’avoir à entendre parler de Trump 24/7 pendant 4 ans après l’accalmie de la présidence de Biden. Il occupe vraiment tout l’espace.
Décès d’un des photographes de La Presse
La Presse | Le regard d’Olivier Jean s’éteint
Le photojournaliste de La Presse Olivier Jean est mort à l’âge de 48 ans. Figure respectée du milieu, il laisse le souvenir d’un professionnel d’un immense talent et d’un collègue d’une grande humanité.
Olivier Jean travaillait à La Presse depuis 2013. Avant de se joindre à l’équipe, il avait amorcé sa carrière au Journal de Montréal en 1999, puis œuvré pour l’agence Reuters et divers magazines. En plus de 25 ans de métier, il a couvert de nombreux moments marquants de l’actualité québécoise : les manifestations étudiantes de 2012, le déraillement de Lac-Mégantic, l’incendie de L’Isle-Verte, l’attentat de la grande mosquée de Québec et la pandémie de COVID-19, notamment.
Au-delà des grands évènements, il s’intéressait surtout aux gens. Ces dernières années, il s’était particulièrement consacré à documenter la vie dans les communautés autochtones et inuites. Son regard, à la fois lucide et bienveillant, faisait ressortir la dignité et la lumière même dans les réalités les plus dures.
Son talent a été largement reconnu à l’extérieur de la salle de rédaction. Olivier Jean a remporté à plusieurs reprises le prix Antoine-Desilets de la Fédération professionnelle des journalistes du Québec, ainsi que le prix de la photo de sport de l’année au Concours canadien de journalisme, en avril dernier, pour son cliché montrant un moment de joie entre Andre De Grasse et Aaron Brown aux Jeux olympiques de Paris.
PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE
Cette photo d’Olivier Jean a remporté le prix de la photo de sport de l’année au Concours canadien de journalisme.



