Faut surtout considérer les coûts d’opérations vs le loyer. À Griffintown, particulièrement en ce moment, il est définitivement moins “risqué” et plus rentable (au pied carré) d’ouvrir un gym, barbier, soins divers, que d’investir dans de l’inventaire (périssable ou saisonnier).
Tout celà est bien évidemment toujours rattrapé par la loi de l’offre et la demande, il y aura saturation et changement d’habitudes, à un moment donné.
Oui bien sur, tout cela s’équilibrera un jour. Le quartier est encore tout jeune, à peine à l’adolescence, alors il est normal d’y avoir beaucoup de changements, autant au niveau commercial que résidentiel.
Un autre gym a ouvert ses portes: Wayne Club Athlétique., situé au 1708 A Rue Notre-Dame O (à côté du restaurant Grinder)
Sept ans après la complétion du projet, le RDC du Yoo a enfin trouvé preneur!
Dans les données ouvertes :
Permis de transformation octoyé le 21 décembre 2023 pour le 1130, rue Ottawa
Réaménagement intérieur du RDC et de la mezzanine pour un usage restaurant. Pas de travaux de structure. Pas de travaux extérieurs.
Photo du 17 mai que j’ai oubliée de publier. Première fois que je voyais les portes ouvertes
En Googlant l’adresse, un restaurant grec/méditerranéen
Dans le registraire des entreprises
Excellente nouvelle, et il était temps. Et un restaurant grec en plus, ca va vraiment bonifier l’offre du secteur immédiat bien qu’il y ait déjà un resto grec coin Guy et William. Par contre j’entrevois quelques conflits à cet endroit entre piétons, cyclistes, voitures, stationnements et pompiers. La cohabitation ne sera pas toujours facile.
des gens ont tiré des coups de feu sur le resto Palma ce matin vers 5h
Nous sommes des citoyens du Griffintown | Avez-vous entendu les 6 coups de feu ce matin | Facebook
Quel dommage. Malheureusement sans affirmer quoi que ce soit, on peut se douter que le crime organisé ait des ramifications derrières certains commerces ou propriétaires. On connait ce genre de phénomène dans le secteur St-Léonard notamment. Ce qui montre bien qu’en dépit de la qualité de la table offerte au Palma, l’endroit ne semble pas à l’abri du trafic de protection ou de toute autre malversation. On en saura peut-être plus avec l’enquête.
Une chose demeure, c’est une tache qui assombrit la réputation du quartier, en espérant que les autorités interviennent rapidement pour corriger le tir au sens propre et figuré.
J’ai visité le Avril dans Griffintown pour la première fois il y a quelques jours et je le préfère de loin au Avril au Centre-ville. Le Avril du Centre-ville fait plus « épicerie santé où tout coûte trop cher » (penser Rachelle Béry), tandis que le Avril dans Griffintown fait plus « épicerie de quartier un peu chère ». Je ne sais pas c’est quoi exactement la différence. La sélection des produits? La taille du magasin?
On apprend de ses erreurs 
le avril au Humaniti était le premier à Montréal, le premier autant au coeur d’une zone urbaine et le premier de ce type (petite surface). Au départ, je pense que le Avril devait être presque exclusivement axé sur la partie bistro, pas sur la partie épicerie. Les allés sont super larges et pas très hautes, donc la quantité et la variété de produits est faible, ce qui donne cet impression d’épicerie de luxe santé trop cher.
À celui de Griffintown, je pense que la section épicerie a été largement mieux pensée pour optimiser la sélection des produits.
La superficie du Humaniti aussi est plus difficile à aménager étant longue, étroite et sur plusieurs niveaux.
J’aime bien l’offre bistro d’Avril.
C’est moins cher que les sandwicheries et cafés du quartier si on veut un lunch rapide.
Il y a aussi un comptoir de gelato et sorbets! Et c’est une bonne option pour les pâtisseries qui sont toutes sans gluten. Il y a des gâteaux complets.
Et tout est bio et/ou local
Pour la section épicerie, j’ai remarqué les prix de certains produits sont moins élevés sur Lufa, surtout quand ils sont en spéciaux!
Le café Dispatch a ouvert une succursale temporaire dans l’Espace Rodier!
Il y a du café et des viennoiseries, et quelques produits avec leur logo. Il y a quelques tables et chaises pour boire son café et manger sur place
Source : J'aime Griffintown
https://dispatchcoffee.ca/fr-CA/pages/locations-and-services
Le bâtiment triangulaire (ancien Lachine Rapids Hydraulic & Land Company/Kander Paper), Le Petit Dep, l’espace de coworking et le studio Magenta appartiennent tous à la même personne. À sa manière, elle transforme aussi Griffintown
Article sur ce « musée » à égoportraits dans La Presse
Ces lieux hyper colorés qui accueillent les adeptes d’égoportraits se considèrent comme des musées, même si l’idée est d’en repartir avec des souvenirs… de son propre visage.
L’expression anglaise selfie museum s’est imposée, malgré l’absence de tableaux accrochés aux murs, de sculptures et d’artéfacts. Elle est reprise un peu partout dans le monde, dans d’autres langues. Certains diront qu’il s’agit plutôt de royaumes pour les narcissiques, au même titre que Facebook, Instagram et TikTok.
Le concept : on déambule dans des corridors pour découvrir une succession d’univers qui promettent de faire un tabac sur Instagram. Dans ces cubicules, l’éclairage est très flatteur et des trépieds pour les téléphones évitent parfois aux photographes de tendre le bras.
Rien de vraiment nouveau sous le soleil, ce phénomène me fait penser aux petites cabines photographiques automatiques où on prenait des photos de soi, seul ou avec d’autres. Au début dans mon enfance c’était des photos en noir et blanc, puis la couleur s’est invitée. J’ai d’ailleurs encore ces petits clichés qui montrent l’évolution de ma propre image avec les années.
Aujourd’hui en plus des selfies pris par son propre téléphone, on a désormais des entreprises qui se spécialisent dans le domaine. A l’époque les photomaton se trouvaient un peu partout dans certains centres commerciaux, pour ma part c’est à la Place Ville-Marie que je me faisait tirer le portrait.
Un article dans le Journal de Montréal aussi, avec plusieurs photos, dont une du décor de La p’tite vie
S’asseoir dans le frigo de La p’tite vie , patauger dans une piscine de poutine, se fondre dans une immensité étoilée ou jouer aux échecs contre soi-même: toutes ces choses sont possibles et surtout photographiables dans un nouveau photo-musée de Montréal qui a donné carte blanche à une conceptrice de décors de cinéma pour créer des salles ultra-photogéniques.
Après avoir travaillé au tournage du film Mayday avec Ryan Reynolds et Kenneth Branagh ce printemps, la directrice artistique et décoratrice Léa Valérie Létourneau a gardé certains de ses artisans en ville quelques semaines de plus, le temps de travailler à un autre projet: la création d’un photo-musée.
Le Musée Imaginarium à Griffintown attire l’attention du promeneur par une murale signée Dan Buller (qui a fait la magnifique murale du restaurant Beauty’s sur Le Plateau) et Edward Maloney.
Un 4e resto viet depuis ce printemps après les ouvertures du Sue, Chom Chom et Ozen 
Au RDC du Wellington, un café-épicerie s’installe dans les locaux laissés vacants après les fermetures du Café et Dépanneur GH
C’est le même principe que Sue sur Peel… je me demande si ce n’est pas une autre aventure de Claude Lachance …
Il y a un compte Instagram
Adresse officielle : 159, rue Murray
Ajout : J’ai regardé dans le registre des entreprises, le propriétaire a un nom vietnamien.
Le nom de l’entreprise, Café Viet inc. a été enregistré le 22 mars 2024.
Au plateau ils ont les restaurants de tacos a Griffintown c ‘est les resto viet…
à Saint-Henri aussi, c’est plein de places à tacos juste sur Notre-Dame…
Dans Griffintown, on a eu la vague pizzérias. La New Yorkaise et Moretti avaient ouvert la même année. Et les proprio du Fugazzi avaient visité le local maintenant occupé par Orange Theory avant d’ouvrir le resto à PSC la même année. On avait déjà le Zibo et Industria qui offraient de la pizza sur leur menu.
Il y a aussi les sandwichs italiens Mano Cornuto/Figa, Pronto et le Marinelli qui est sur la rue Queen était supposé ouvrir un café/épicerie sur la promenade Smith dans l’Hexagone. Il y avait même des affiches dans la vitrine, mais le projet ne s’est jamais concrétisé et on a des bureaux à la place… donc pas d’utilisation de la terrasse.
Il y a aussi 3 places de thés aux perles qui ont ouvert la même année : Presotea, Boba Boba et Pamai. Il ne reste que le Presotea
Ce qu’on a pas dans le secteur, c’est un resto coréen! Il y a juste Les Crazy Chickens sur Notre-Dame dans la Petite Bourgone qui offre du poulet frit coréen. Si on veut manger un bibimpap, un BBQ coréen ou du japchae, il faut aller dans le quartier chinois ou dans le secteur de l’université Concondia. Les organisateurs du festival Pocha m’ont dit qu’ils feront le message aux marchands et restaurateurs présents au festival 
