Exo - Discussion générale sur le service et le réseau d’autobus

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Un nouveau terminus pour Contrecœur

Le terminus de Contrecœur a eu droit à une cure de jouvence cet été. Les travaux ont permis d’améliorer les installations en plus d’offrir un espace de vie agréable par la valorisation du parc à chien existant.

Nouvelles installations, mêmes lignes

Le nouveau terminus propose aux usagers des lignes 701, 707 et 709 des installations modernes, accessibles et intégrées à leur environnement.

Le terminus Contrecœur à vol d’oiseau

La boucle d’autobus est entièrement pavée et munie de deux quais d’embarquement ainsi que d’un débarcadère pour le transport adapté. Mais ce n’est pas tout, grâce aux travaux :

  • une marquise protège dorénavant les usagers des intempéries;
  • les usagers peuvent maintenant consulter les panneaux à messages variables pour s’informer des prochains passages des autobus;
  • la clientèle bénéficie d’un abri vélo à proximité;
  • le stationnement incitatif est aujourd’hui 100% asphalté et comprend 60 cases de stationnement, dont deux pour personnes à mobilité réduite.

La nouvelle marquise protège les usagers des intempéries

Un ilot de fraîcheur pour tous

Rien n’a été laissé au hasard lors de la planification du terminus. Une attention toute particulière a été portée à la collecte des eaux de drainage, à la plantation et à l’entretien de végétaux pour minimiser les ilots de chaleur. Le parc à chien contribue également à cet objectif en plus de favoriser la vie communautaire.

Le projet, développé en étroite collaboration avec la municipalité et financé par le gouvernement du Québec, a été inauguré officiellement le 25 septembre dernier et promet plusieurs années d’usage dans un lieu de vie des plus accueillants.

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Pourquoi est-ce que la stm peux pas faire de même avec des abris vélos :frowning:

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Je pensais que c’était un peu perdu mais au moins c’est à côté d’une école.

J’aimerais tellement voir se développer des arrêts de bus comme les stations du RTC là où bien entendu l’espace le permettrait… Fermés, chauffés, équipés d’écrans affichant les prochains passages, billetterie automatique et toilettes publiques auto-nettoyantes… Ça changerait de notre simple poteau. :grinning:

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Today is the last day of Terminus Mansfield

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Le Terminus Mansfield mérite des funérailles nationales. Tant d’année de service. Un si beau lieu. J’espère qu’il sera classé patrimoine historique par l’UNESCO.

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Woah woah it’s not dead yet, it’s dying at 23h30, when exo 404 will be the last bus to pick people up from there.

Here’s a very interesting detailed article on the creation and planning of the bus terminal, it should be included on a stone plate over it’s grave:

Reportage vidéo sur le site du Devoir

Ou YouTube

Le service de transport en commun en dehors de Montréal est-il fiable? | Parcours

Oldemar Batista, 17 ans, habite à Repentigny. Entre les retards et les annulations, Oldemar en a marre. Le maire de Repentigny, Nicolas Dufour, déplore lui aussi l’offre de services de sa ville, mais soutient qu’il a les mains liées. Est-ce que la voiture est la seule option? Nous avons suivi Oldemar dans l’un de ses trajets habituels pour comprendre la réalité des usagers


Des bus bondés et des usagers insatisfaits à Repentigny


Jean Balthazard, Le Devoir
Un autobus d’Exo à la gare de Repentigny vu des airs

Jasmine Legendre et Zacharie Goudreault
1 décembre 2023
Transports / Urbanisme

Des voix s’élèvent à Repentigny pour dénoncer un réseau de transport en commun « famélique » dans cette ville de Lanaudière où les citoyens sont nombreux à se tourner vers la voiture après avoir été confrontés à des bus bondés et souvent en retard. Une situation que déplore le maire, Nicolas Dufour, qui réclame une révision du modèle encadrant le transport en commun dans la région de Montréal.

« Les défis sont nombreux parce que le transport en commun, ici à Repentigny, il est famélique », lance l’élu en entrevue au Devoir.

Il faut dire que le manque d’offre de transport en commun ne date pas d’hier à Repentigny. Selon le dernier recensement de Statistique Canada, 87,5 % des résidents de 15 ans et plus de la ville se déplacent en voiture la plupart du temps, tandis que 6,9 % d’entre eux optent plutôt pour le transport en commun.

L’achalandage dans les bus de l’organisme de transport Exo a néanmoins dépassé le niveau d’avant la pandémie, pour se situer à 115 % de ce qu’il était en 2019 dans le secteur L’Assomption, qui comprend Repentigny, a confirmé l’organisme au Devoir. « On est à une période charnière, à une période critique, et il ne faut pas manquer le bateau présentement », relève ainsi l’expert en planification des transports et chargé de cours à l’Université de Montréal Pierre Barrieau, qui plaide pour une augmentation de l’offre de service aux usagers pour répondre à cette demande croissante.

Des citoyens exaspérés

Or, l’offre d’Exo se situe en moyenne à 95 % de ce qu’elle était avant la crise sanitaire dans les municipalités que la société de transport dessert, dans les banlieues nord et sud de la métropole. Le financement limité accordé à la société de transport par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) « ne nous permet pas d’augmenter le service pour l’instant, malgré l’achalandage », explique par courriel le porte-parole Jean-Maxime St-Hilaire.

Le nombre de départs quotidiens des lignes de bus d’Exo en direction de Montréal est ainsi passé de 132 à l’automne 2019 à 117 actuellement. Les bus s’en retrouvent ainsi « plus remplis » qu’auparavant à Repentigny, reconnaît M. St-Hilaire.

En parallèle, l’organisme a reçu 1131 plaintes depuis le début de l’année et 1584 l’an dernier de la part de résidents du secteur L’Assomption, a appris Le Devoir. Une partie importante de ces doléances concerne « la pénurie de chauffeurs », qui mène parfois à « des annulations de départs ou à des retards », relève Exo. « Nous avons justement mis en place plusieurs mesures pour réduire les impacts de la pénurie de main-d’oeuvre cet automne », assure toutefois le porte-parole, au moment où l’exaspération des usagers de l’organisme est palpable.

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Depuis 2018, l’enseignante Macha Daméus se déplaçait cinq jours par semaine en transport en commun pour se rendre à son lieu de travail, à Montréal. Dans les derniers mois, elle a toutefois constaté que les bus étaient plus remplis qu’auparavant, au point où elle devait régulièrement se tenir debout pendant 45 minutes pendant ses trajets jusqu’au travail.

« C’est très lourd. Je suis une enseignante avec mon lunch et mon matériel et je suis entassée debout dans un autobus bondé », lance Mme Daméus, qui est par ailleurs arrivée plusieurs fois en retard au travail en raison du manque de ponctualité des bus d’Exo. « Je me suis dit : “C’est devenu insupportable, je vais m’acheter une voiture” », poursuit la dame de 30 ans, qui a ainsi fait l’acquisition d’une automobile en septembre.

Jasmine Viau a emménagé à Repentigny l’an dernier. Elle entend elle aussi se résigner à acheter une voiture, ses trajets entre la ville de Lanaudière et Montréal, en train de banlieue et en bus, lui causant trop de maux de tête. « Au niveau écologique, le gouvernement essaie de nous réorienter vers le transport en commun, mais ici, ce n’est pas possible », soupire Mme Viau, qui travaille dans le milieu de la construction.

Quand je veux rentrer chez moi, je finis par arriver tard parce que le transport en commun n’est pas fiable

— Oldemar Batista

« Quand je veux rentrer chez moi, je finis par arriver tard parce que le transport en commun n’est pas fiable, soupire également Oldemar Batista, un jeune homme de 17 ans qui réside à Repentigny. Je pense que pour vivre en banlieue, comme à Repentigny, la meilleure solution, c’est d’avoir une voiture. Tu es plus certain d’arriver à l’heure au travail ou à l’école. »

Photo: Jean Balthazard Le DevoirOldemar Batista, un jeune homme de 17 ans qui réside à Repentigny.

« Un foutoir »

Signe de la grogne citoyenne à l’égard du manque de ponctualité et de fréquence des bus d’Exo, « il est rare que dans un conseil municipal, il n’y ait pas de citoyens qui viennent nous voir pour nous parler d’un problème de transport collectif », indique la conseillère stratégique aux affaires publiques et gouvernementales à la Ville de Repentigny, Sofia Benzakour.

« Je trouve ça très décevant de voir qu’on a des gens qui sont prêts à faire l’effort de prendre le transport en commun parce qu’ils sont très conscientisés pour la protection de l’environnement, mais qui ne sont pas capables de le prendre parce que les structures nous bloquent, le financement nous bloque », soupire le maire, Nicolas Dufour. Ce dernier appelle ainsi à une réforme de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), créée en 2017, afin de redonner aux villes de banlieue le pouvoir qu’elles ont perdu d’avoir un certain contrôle sur l’offre de transport en commun sur leur territoire.

« Le transport en commun, depuis 2016-2017, excusez-moi l’expression, mais c’est devenu un foutoir dans la région de Montréal. Il y a beaucoup trop d’acteurs et c’est très complexe », lance l’élu, qui déplore que la Ville ne puisse ainsi avoir une réelle idée des besoins de ses résidents en matière de transports en commun.

En parallèle, Exo mène ces jours-ci une série de consultations publiques en prévision d’une refonte attendue de ses lignes de bus dans plusieurs municipalités de Lanaudière, dont Repentigny. Or, cette révision ne sera mise en oeuvre qu’en 2026.

Entre-temps, au cabinet du maire de Repentigny, on craint que la société de transport décide de réduire son offre de service dans le secteur en raison de sa situation financière précaire. Or, « si on coupe, c’est sûr et certain que [nos résidents] vont retourner dans leur auto solo », prévient M. Dufour.

L’ARTM rappelle pour sa part que son cadre financier pour 2024 devrait permettre « d’assurer les ressources financières régionales nécessaires au maintien du niveau de service qui prévalait en 2023 » dans la grande région de Montréal.

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On voit, entre autres, les effets néfastes du manque de financement dédié à l’amélioration de l’offre de service.

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J’y vois aussi une question d’optimisation de service. Dans le reportage ils parlent de la 400EXO. Elle passe devant mon arrêt de bus (la 186/187 STM). Je dirais que entre 8-9h am tous les autobus de EXO que je vois passer sont au maximum rempli à 50% et souvent moins. S’il y avait des embarquements à Montréal, ça pourrait diminuer pour la STM le cout pour le segment Pointe-aux-Tremble et Honoré-Beaugrand, permettre de déplacer les autobus qui ne sont plus nécessaire vers d’autre secteur de Montréal et justifier que des autobus EXO parte de Repentigny en étant vide sachant qu’ils se rempliront. Je suis conscient que c’est plus facile à dire qu’à faire.

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Ce n’est pas facile, mais maintenant est le temps de proposer ces types de changement. Les sociétés de transports sont tous en mode de refonte.

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Je pense la problème c’est plus tôt. Déjà, entre 8h et 9h c’est déjà presque la fin du période de pointe.

La plupart des départs sont plus tôt.

Terminus Repentigny (direction MTL)

Sherbrooke et Tricentenaire (direction Radisson)

Mais j’avoue que ce serait une bonne idée que les autobus EXO peuvent prendre les personnes sur l’île de Montréal et serait comme un service de bus express.

Par contre, j’imaginerait pour la tarification ce serait plus difficile. Surtout vers la direction des couronnes, comment va le valideur choisir entre charger un Zone À et C, et même si le chauffeur peut le changer, est-ce-que ce serait rapide et simple à faire, et peut être traçable selon l’utilisateur?

Bref, juste penser de l’aspect tarification serait difficile!

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si nous sommes créatifs (dans les limites de notre système obsolète !!), j’imagine qu’un simple bouton suffirait. Ça pourrait alterner entre A B C et D. Une autre solution pourrait être le GPS, mais tous les bus ne disposent pas de cela (fonctionnant).

J’imagine que Sherbrooke Est fait partie des corridors métropolitains que l’ARTM souhaite éventuellement développer.

Logiquement, elle serait identique à la tarification de la 439:

  • les titres tous modes A, AB, ABC, ABCD et bus ABC sont valides pour les déplacements à l’intérieur de la zone A
  • les titres tous modes ABC, ABCD et bus ABC sont valides pour les déplacements en zone C (Repentigny) ou entre les zones A et C (Montréal à Repentigny).

Les cartes OPUS ne permettent pas de charger des titres dont les zones se chevauchent.

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Il y a plusieurs mois, exo annonçait qu’elle allait acheter des bus pour harmoniser sa flotte de bus sur l’ensemble du réseau. Du moment qu’elle devient propriétaire de tous les véhicules en circulation (+ les garages et autres équipements auxiliaires), reste-t-il un quelconque avantage à contracter l’opération des bus à d’autres compagnies? De toute évidence, leurs partenaires n’arrivent pas à retenir la main-d’œuvre nécessaire pour remplir les obligations de leurs contrats. J’ai l’impression qu’un bassin unifié de chauffeurs pourraient plus facilement répondre aux désistements de dernière minute et améliorer la fiabilité du service.

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Petite particularité intéressante dans le secteur Richelain / Roussillon, en dehors des jours feriés, l’horaire est le même qu’à l’habitude sauf pour les lignes liant les quartiers aux REM.

Toutes les lignes qui passent à l’intérieur des quartiers et vont au REM (ne passant par les terminus régionaux) n’ont pas de service jusqu’au 8 janvier.

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I went to Beloeil yesterday and had a chance to try the on-demand service. I think it’s an excellent model that should be expanded to more of the region’s suburbs and small towns, but the execution needs a lot of work.

The first trip I took was just to get a feel for the service, since it was my only option for the second trip I had planned. The app is a bit clunky in some places, but intuitive enough. The booking must be made at least 30 minutes ahead of time, and there’s real-time vehicle tracking.

A nice bonus is that all local service in the area is free, as well as the shuttle routes that run through the Lafontaine tunnel. I took the 200 from Longueuil, but you could go via Radisson and pay $0 for a daytrip to Beloeil, which is a steal considering a 24-hour Zone ABC pass is $16.75

After I booked the trip, two intermediate stops were added, making the route a lot more indirect, but still faster than walking. After I got on, the bus did a loop to pick up the other two passengers and then passed by my original pickup spot to go to my destination, meaning my pickup time could have been later.

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Most of the stops are unmarked, which means passengers don’t always know where to wait and drivers don’t know where to look. The stops that used to have fixed-route service have the old signs with a sticker on top, making for much better visibility. A simple marker like this at all stops would make the experience smoother for everyone.

By far the biggest problem with the service is the driver-side navigation. Exo does not use their own navigation system and did not acquire a purpose-built one either, so the drivers use Google Maps.

For the second trip I took, there was a stop on only one side of the street, since the other side did not have a sidewalk and there was no crossing nearby. Google Maps doesn’t know this though, since it doesn’t have data on these stops or the user’s vehicle type, so it sent the driver down the wrong side of the street. There was no break in traffic I could use to cross, so the bus went right past me. Thinking the pickup would be cancelled, I decided to try to get to the next pickup spot before the bus, since I didn’t have the option of booking again and waiting a half an hour.

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Once I was halfway to the next stop, I checked the app and saw that the bus had crossed the river to turn around and pass by on the correct side. I couldn’t make it back in time, so the driver did cancel the trip, but he let me on at the next stop and was able to drop me off close enough to my destination.

Overall, there’s a lot of potential for this service, but you have to be very attentive to use it right now. If the user and driver experience issues were resolved, it would be way better than a fixed-route service for sure. As far as I could tell, there were 2-3 mini/midibuses running at any given time, and there’s no chance they would have been able to offer door-to-door service like this if they’d been stuck on winding, infrequent routes. As far as frequency goes, it would be nice if the wait time could be brought down to 20 or even 15 minutes, but in my case, it wouldn’t have been an obstacle if the routing didn’t rely on Google Maps.

One thing I’m not sure of is how reliable it would be for commuting. There’s a 10-minute window for the arrival time so I can see it being good for running errands, but if I were transferring to a train or bus to get to work or class, I would consider driving to a park-and-ride.

If they had winter Bixi, that would have been my choice. I saw more people cycling than I expected, so maybe someday.


Speaking of park-and-rides, I took the 520 back to the island. There’s some development coming up around it, but the terminal is in the middle of nowhere on a service road. There’s a nice backlit sign making it visible from a distance, though.

There are no sidewalks in the area, so you have to walk on the shoulder of the road. Judging by the tracks in the snow, I wasn’t the only one getting there on foot.

The bus was the opposite. It was a coach with a lounge area, so I got a first-class ride to Radisson.

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I honestly doubt the cost productivity of these on-demand services. There is a video by Alex Davis, that runs a cost analysis of fixed routings versus on-demand service. I think this makes sense in certain scenarios and places, but I really do believe that fixed route services is the best option on the costs side.

I would really interested in a cost analysis for exo’s scenario in the existing on-demand areas.

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Je pense que ce service est excellent en région rurale. Le 30 minutes d’attente n’est vraiment pas si pire quand on considère que beaucoup de lignes “fréquentes” circulent aux 30 minutes à Montréal même. Si la réservation peut être faite à l’avance (par exemple la veille) cela peut être vraiment intéressant pour des RDV. Faudrait pas avoir trop de détours pour le ramassage de passagers supplémentaires question d’offrir un temps de trajet pas trop long.

Pour une clientèle plus senior, cela peut être un peu plus difficile d’accès si l’utilisation du service “oblige” à avoir à un téléphone intelligent avec des données. J’imagine qu’il est possible de réserver via téléphone mais cela doit être moins intuitif.

Le service peut être utilisé quels jours/plages horaires?

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À partir du sujet du LÉEO

Il m’arrive encore régulièrement de tomber sur des bus complètement plein, tous des 651, probablement l’effet début/fin des cours que tu mentionnais il y a quelques jours sur un autre sujet. Pas plus tard que vendredi, le bus était rempli du fond jusqu’à la ligne jaune du chauffeur, ce qui assez spécial à vivre en banlieue, pour une ligne avec une fréquence aux 20 minutes.

J’imagine que ça en fait l’une des lignes les plus achalandées d’exo, mais, à ton avis, quel serait le palmarès ? Pour moi ça ressemblerait à ça :
1- La 9 Montmorency - Saint-Jérôme
2- La 650/651 Georges-Gagné - Panama / Édouard-Montpetit
3- ??

Quand j’y étais en gros les plus grosses lignes c’étaient (et dans aucun ordre précis sauf la 9):

  • La 9 de Laurentides (et première de très très loin);
  • La 19 de Mascouche;
  • La 400 de l’Assomption;
  • La 8 de Laurentides;
  • La 200 de CITVR

Je doute que ce top 5 ait vraiment changé depuis vu les générateurs d’achalandage desservis par ces lignes. Avant la refonte il y avait aussi la 400/401 de CRC dans le palmarés, mais depuis la refonte je ne saurais dire, surement que la 481 est assez achalandée aussi.

La 650/651 doit être la prochaine en liste vu sa fréquence et les bassins de population qu’elle dessert. Le fait qu’elle dessert le Richelain et le Roussillon est le vrai game-changer ici. Va falloir attendre après une an pour savoir si les usagers ont modifiés leurs déplacements par contre.

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