Chantiers de construction et travaux de voirie - Discussion générale

C’est remplacé en ce moment par la Stratégie Montréalaise de l’eau.

Ce sont des orientations politiques, sur les moyens de financement, etc… Il ne faut pas penser que cette stratégie est la planification d’entretien des infrastructures. Une nuance à souligner. :slight_smile:

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Je n’ai que trouvé le rapport de consultation, mais aucun document spécifiant la stratégie, avec objectifs et indicateurs.

Aussi, c’est bizarre d’avoir un poste de cheffe de section, Planification stratégique et affaires corporatives au service de l’eau, mais aucun plan stratégique.

Je ne pense pas que c’est encore fait, la consultation vient de se terminer récemment. La stratégie va être montée à partir de cela j’imagine. La cheffe de section s’occupe de cette planification à ce que j’ai compris du document.

C’est normal d’avoir un moment de planification entre l’ancienne et la nouvelle stratégie aussi. Long comment, je ne sais pas, mais ce sont des visées politiques précises sur le long terme à implémenter. Il y a une période d’analyse, de consultation et de rédaction entre ces changements potentiellement importants (genre charger pour l’eau).

J’ai l’impression qu’ici ça concerne surtout un autofinancement des infrastructures de l’eau. L’ancienne stratégie avait aussi cet objectif, avec plus ou moins de réussite…

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Cette photo de la chaussée sur René-Lévesque :open_mouth:

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A quand la réfection de la rue Sherbrooke ? C’est juste rendu dangereux, la cheville m’a tournée 2 fois en 5min


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Chaque arrondissement a un programme de réfection annuelle des trottoirs. Il faudrait voir les priorités de Ville-Marie

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Ce n’est clairement pas la priorité de Ville-Marie :sweat_smile: Ce qui est tout de même surprenant, puisque Sherbrooke est une rue majeure du tourisme au centre-ville, notamment avec la panoplie d’hôtels à proximité et le Quartier des spectacles qui lui est adjacent

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Et c’est dans un secteur habité en majorité par des milliers d’étudiants de l’extérieur, belle carte postale et première impression…

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C’est p-ê ça le problème…
Dans le Sud-Ouest, les réfections de sections de trottoir sont priorisées selon les demandes reçues au 311 ou auprès des élus. Le budget annuel est limité. Alors, il faut bien prioriser. Il faut aussi prendre en compte les travaux à venir. S’il y a réfection complète de la rue à court terme, le trottoir ne sera nivelé qu’avec de l’asphalte pour limiter les risques de blessures.

Dans un secteur peuplé d’étudiants étrangers ou de personnes immigrantes temporaires, il y a probablement moins d’appels de leur part au 311. Sûrement que la majorité d’entre eux ne savent pas qu’ils peuvent signaler ce genre de problème à la Ville. Ce n’est pas toutes les villes qui sont en charge des trottoirs. Par exemple, à New York, chaque propriétaire foncier est responsable de l’entretien du bout de trottoir devant leur bâtiment.

Pour la fonction publique, s’il n’y a pas de demande au 311, il n’y a pas de problème.

Ajout : le programme s’appelle Réfection mineure de trottoir (RMT). Le Sud-Ouest a accordé le contrat au conseil de mai. Le montant du contrat est de 1,45 M$ pour refaire environ 2100 m² de surface de trottoir

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I’ve noticed when I’ve reported potholes using the Montreal app within PSC, and none of them are fixed. Everywhere else, they’ve been filled in, but not there. Could there not being a specific mayor be the reason why these aren’t prioritized?

PSC is part of the Sud-Ouest, not Ville-Marie.
Some potholes are too large or too deep to be fixed with the Python 5000.
They have to be filed manually and then compressed with a small roller.
I saw the team fixing large potholes in Griffintown Monday. And those potholes were reported months ago. So the team will go in PSC eventually.

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De toute façon, Sherbrooke est dû pour un remake complet!

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Tanné de suer à grosses gouttes en passant votre tondeuse ? Vous n’êtes pas seul. Le ministère des Transports (MTQ) teste ces jours-ci une tondeuse entièrement télécommandée pour couper le gazon sur ses terrains difficiles d’accès.

Résumé

Une tondeuse télécommandée au ministère des Transports

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Des employés du MTQ testent des tondeuses téléguidées pour entretenir des zones où il est difficile de manœuvrer, comme cet escarpement le long de la route 138 à LaSalle.

Tanné de suer à grosses gouttes en passant votre tondeuse ? Vous n’êtes pas seul. Le ministère des Transports (MTQ) teste ces jours-ci une tondeuse entièrement télécommandée pour couper le gazon sur ses terrains difficiles d’accès.

Publié hier à 16h13

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Philippe Teisceira-Lessard
Philippe Teisceira-Lessard Équipe d’enquête, La Presse

Objectif : réduire les risques de blessures chez ses employés et minimiser les tâches pénibles.

« Tout ce que tu vois, c’était fait par des gars avec des harnais et un weed eater, malgré la pente », explique Raymond Laplante juste à côté des abords du pont Mercier, à Montréal. Devant lui, une côte abrupte et trouée par des terriers de marmottes.

Manette sur la poitrine, l’homme fait tranquillement monter sa machine sur la butte. L’Agria 9600 (c’est son petit nom) laisse derrière elle un gazon coupé ras.

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Les tondeuses téléguidées permettent aux employés du MTQ de couper la pelouse dans des endroits difficiles d’accès tout en limitant les risques de blessures.

« Je me suis dit : on n’est pas dans les années 1950. On a de la machinerie qui est disponible, pourquoi ne pas l’utiliser ? », a expliqué M. Laplante, qui travaille à mettre en place le projet-pilote depuis deux ans. Lui-même est « venu au monde » avec une manette d’auto téléguidée dans les mains et avoue être « un gamer » fou des manettes dans la vie.

Il a suivi une formation de quatre heures avant de prendre le contrôle de la machine, qui fonctionne à l’essence.

Louis-André Bertrand, du service des communications du Ministère, a souligné que le projet-pilote au centre de service Turcot pourrait améliorer la vie des ouvriers normalement affectés à ces tâches.

« On peut réduire les risques de blessures, les risques de chute, l’épuisement », a-t-il dit, soulignant que le temps très chaud de cet été pouvait être particulièrement pénible. « On ajoute à ça une diminution des risques d’exposition à l’herbe à puce et à la berce du Caucase. »

Le gazon qui couvre les pentes trop abruptes pour y envoyer des travailleurs était jusqu’à maintenant coupé depuis l’accotement de la route avec un « tracteur muni d’un bras articulé ». « Ce type d’opération nécessite la fermeture temporaire d’une voie de circulation », a expliqué M. Bertrand.

Ça va « numéro 1 »

Les doigts posés sur les contrôles, Raymond Laplante continue la démonstration de la tondeuse de l’avenir. Avec ses chenilles, la machine peut gravir des pentes allant jusqu’à 60 degrés d’inclinaison et broie facilement des branches d’un pouce de diamètre.

Cette efficacité a toutefois un coût : 13 500 $ pour cinq semaines de location étalées dans l’été, afin de tester la machine. Celle-ci est fabriquée en Allemagne par une firme spécialisée, a indiqué Dominic Surprenant, de Distribution Équipement TG, le distributeur d’Agria à Montréal.

Ses clients habituels pour ce type d’équipement sont « de gros entrepreneurs dans la coupe de gazon » avec des contrats institutionnels ou commerciaux. « C’est tout le temps dans des pentes qu’on utilise des machines comme ça », a-t-il continué. « Il doit exister 10 000 sortes de machines différentes qui coûtent moins cher et qui sont plus performantes en termes de vitesse sur du terrain plat. »

PHOTO FRANÇOIS ROY, LA PRESSE

Avec ses chenilles, l’Agria 9600 peut tondre de l’herbe et des branches dans toutes sortes de pentes.

En plus des abords du pont Mercier, l’Agria 9600 est aussi utilisée cet été pour entretenir certains secteurs des abords de la route 138 et de l’autoroute 15, à Montréal. Les automobilistes apprécient le spectacle : « On se fait klaxonner, avec le pouce en l’air », a relaté M. Laplante. Tous ces terrains font l’objet de « cinq tontes par année », du printemps à l’automne.

Pour l’instant, le bilan semble positif. « Numéro 1 », assure-t-il. « Ça ne la dérange pas, [une pente de] 55 degrés. Elle ne va pas avoir mal dans le dos, elle ne va pas avoir mal dans les chevilles, elle ne va pas avoir mal dans les épaules. Le risque est beaucoup moins grand de se blesser. »

« C’est un gain de temps, a ajouté Louis-André Bertrand. Ce que faisait une équipe de dix personnes se fait maintenant par une machine avec deux personnes en appui. »

Et la tondeuse spécialisée ne vole l’emploi de personne, assure-t-il. Les travailleurs qui ne sont plus affectés au coupe-bordure sont redéployés vers le nettoyage des graffitis et le reste des tâches d’entretien liées au réseau routier. « On ne manque pas de travail. »

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Pourquoi est-ce nécessaire de couper cette végétation?

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Parce sans entretien elles retiendraient plein de déchets et deviendraient vite de véritables dépotoirs à ciel ouvert.

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Si ce n’était pas nécessaire, j’imagine que le MTQ ne se donnerait pas la peine de le faire.
Une recherche rapide sur Reddit révèle que nous voisins du Sud le font pour des raisons de prévention d’incendie (cigarettes, catalyseurs, voitures en feu), de visibilité (animaux, etc.) et de drainage.

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Entrevue radio avec la directrice du Service de l’eau de Montréal

Un message a été fusionné à un sujet existant : Infrastructures publiques - Actualités

Il n’y a pas juste à Montréal où l’on reprend des travaux “bâclés”. Dans cette banlieue de Montréal, on a rénové toute la rue, les trottoirs et les tuyaux (:yum:). Après avoir recouvert de bitume neuf et tracé les lignes, on s’est rendu compte que la rue était 3 pouces plus basse que le reste de la rue non-refaite. On a donc enlevé tout le bitume neuf et on remonte maintenant les puisards afin d’égaliser le tout. Vive les travaux bien fait, même si ça prend plusieurs essais :sweat_smile:

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Which suburb is this?

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