Chantiers de construction et travaux de voirie - Discussion générale

Il y a une séance d’info le 25 mars sur la transformation du boul. Gouin Est dans Ahuntsic-Cartierville en rue partagée

En 2023, une première phase de travaux a été réalisée, rendant les aménagements permanents de la rue partagée sur le boulevard Gouin Est entre l’avenue De Lorimier et la rue des Prairies. Pour la deuxième phase du projet, une nouvelle section sera aménagée de façon permanente allant de la rue des Prairies jusqu’à l’est de l’îlot de Martigny.

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La prolifération des nids-de-poule est plus que jamais un enjeu dans la métropole. Plus de 2300 trous dans la chaussée ont été répertoriés en janvier et en février, un sommet depuis 2019. La Ville affirme toutefois avoir déjà repris leur colmatage en raison des conditions météorologiques favorables.

Résumé

Réseau routier Un sommet en cinq ans pour les nids-de-poule à Montréal

PHOTO PATRICK SANFAÇON, ARCHIVES LA PRESSE

Quelque 2328 signalements pour des nids-de-poule ont en effet été faits au 311 entre le 1er janvier et le 28 février dernier, montrent des données de l’administration municipale rendues publiques vendredi.

La prolifération des nids-de-poule est plus que jamais un enjeu dans la métropole. Plus de 2300 trous dans la chaussée ont été répertoriés en janvier et en février, un sommet depuis 2019. La Ville affirme toutefois avoir déjà repris leur colmatage en raison des conditions météorologiques favorables.

Publié hier à 11h38

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Henri Ouellette-Vézina
Henri Ouellette-Vézina La Presse

Quelque 2328 signalements pour des nids-de-poule ont en effet été faits au 311 entre le 1er janvier et le 28 février dernier, montrent des données de l’administration municipale rendues publiques vendredi.

En 2023, ce chiffre était d’à peine 1412 durant la même période. L’année précédente, c’était 1776. Et en 2021, en pleine pandémie de COVID-19, un creux historique de 507 nids-de-poule avait été signalé. En 2020, on en avait enregistré 1788, alors qu’en 2019, on en avait compté 3669.

Montréal rappelle à ce sujet que le nombre de signalements ne reflète pas nécessairement le nombre de trous sur la chaussée, puisque plusieurs signalements peuvent avoir été faits pour un même nid-de-poule.

N’empêche, tout n’est pas noir. D’après le porte-parole administratif Hugo Bourgouin, 75,3 % du réseau artériel « a été jugé très bon, bon ou moyen lors de la dernière auscultation » de 2020, comparativement à 61,5 % deux années auparavant.

Si on exclut le « moyen », environ 54 % des artères sont en bon ou en très bon état. Il s’agit d’une hausse marquée par rapport à 2015, alors qu’à peine 21 % des artères obtenaient une telle cote. Cependant, comme le rapportait La Presse précédemment, les améliorations tardent davantage dans les rues locales. La proportion de ces rues en mauvais ou très mauvais état est passée de 30 % à 37 % entre 2010 et 2022.

Selon la responsable de l’eau, Maja Vodanovic, la situation serait attribuable au fait que les budgets locaux n’ont pas augmenté depuis les fusions, ce qui est nettement insuffisant avec les coûts d’aujourd’hui. « Juste à Lachine, on a 3,7 millions pour faire nos rues, entretenir nos bâtiments et nos parcs. C’est comme impossible. Ça n’a jamais été révisé et c’est nettement insuffisant », avait-elle dit.

841 millions d’ici 2033

« Nous ne ménageons aucun effort pour prévenir les nids-de-poule à long terme », assure néanmoins M. Bourgouin, qui rappelle que la Ville a prévu investir 841 millions dans les programmes de planage-revêtement, en vertu de son Programme décennal d’immobilisations (PDI) 2024-2033 déposé en novembre.

Depuis lundi dernier, des conditions météorologiques très favorables, sans neige, mais surtout au-dessus du point de congélation, ont permis la reprise du colmatage mécanisé à l’aide d’appareils Python 5000. Des opérations se déroulent actuellement « jour et nuit », assure Hugo Bourgouin.

Il précise que tout cela « s’ajoute au colmatage manuel fait par les équipes des arrondissements ». La Ville réitère son invitation aux citoyens à signaler les nids-de-poule en appelant au 311 ou en utilisant l’application Montréal Service aux citoyens. Celle-ci permet notamment la prise de photo, la géolocalisation et un suivi personnalisé auprès de la personne ayant fait le signalement.

Chez CAA-Québec, le porte-parole David Marcille déplore que les nids-de-poule coûtent de plus en plus cher aux automobilistes. « Depuis 2020, les coûts de réparation qui y sont liés ont augmenté d’environ 20 à 35 % selon ce qu’on calcule. La facture est donc vraiment refilée aux automobilistes », dit-il.

Le cœur du problème, ajoute M. Marcille, est que le Québec « est pris dans un cercle vicieux, avec des infrastructures vieilles de 40 ans en moyenne ». « On est en rattrapage après des années de négligence, donc on investit des sommes astronomiques en réparation, mais c’est de l’entretien préventif qu’il faudrait faire. »

Dans l’opposition, on condamne le « laisser aller de l’administration Plante qui a coupé plus de 100 millions de dollars dans son budget pour réparer les rues locales au cours des dernières années, alors que le coût des matériaux de construction a explosé ». « On sait que les épisodes de gel et de dégel sont plus fréquents et que ça engendre une hausse des nids-de-poule. Pourquoi le budget pour la réparation des rues locales n’a-t-il pas été bonifié en conséquence ? », s’interroge le chef d’Ensemble Montréal, Aref Salem.

En savoir plus

  • 20 milliards
    CAA-Québec estime qu’il faudrait dépenser dès maintenant 20 milliards pour remettre en état le réseau routier au Québec. Dans la prochaine décennie, les investissements au Plan québécois des infrastructures (PQI) sont de l’ordre de 31,5 milliards dans le réseau routier. Environ 77 % de cette somme ira au maintien et 23 % à la bonification des routes.
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Si on exclut le « moyen », environ 54 % des artères sont en bon ou en très bon état. Il s’agit d’une hausse marquée par rapport à 2015, alors qu’à peine 21 % des artères obtenaient une telle cote.

Les rues défoncées marquent toujours plus l’imaginaire que ceux en bon état qu’on ne remarque pas. Mais faut quand même souligner que la situation de la chaussée s’est pas mal améliorée en bout de ligne.

Le niveau d’investissement a explosé durant les dernières années. La dette de la ville est toujours haute avec cela, mais j’espère qu’on ne baissera pas les efforts d’investissement et recommencer à accumuler un déficit d’entretien. Parce que c’est une double dette qu’on accumule avec le report des travaux, sauf à retardement.

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La rue Notre-Dame Est, il y a des bouts qui sont franchement humiliant.

I just wish the city would maintain existing roads more, adding sealant between cracks, instead of waiting until there is a pothole to fill it in. There’s a case where on a street I pass the crack in the middle is getting larger and larger, when I report it they say it’s not large enough to fix, but sealant would be perfect in that case.

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Je pense pas qu’ils savent c’est quoi du scellant. Ils ont refait l’asphalte sur Ste-Catherine Est à l’automne, pour finalement recreuser à la hauteur de parthenais et re-asphalter… sans sceller le joint ou rien. Donc on a une belle craque qui n’attend qu’à prendre de l’expansion, et je doute que ce soit une exception!

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Personnellement, je trouve que ça se remarque, que l’état général des rues importantes est de mieux en mieux. Par contre, les rues qui sont en mauvais état sont si défoncées qu’on a tout de même l’impression que ça n’évolue pas tant que ça. Il me semble aussi avoir lu que les rues résidentielles n’étaient pas tellement mieux avec le temps.

Je pense que les villes en général ont oublié c’était quoi. Pourtant, il y a plusieurs années, il me semble que c’était une pratique courante. Je me demande pourquoi maintenant on attend trop longtemps avant d’agir. Au final, ça doit coûter bien plus cher que le scellement.

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Travaux à venir sur Ontario entre mars et août 2024

  • Phase 1 - Entre les rues Clark et De Bullion : début mars à fin mai
  • Phase 2 - Entre les rues De Bullion et Sanguinet : début juin à fin août
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Est-ce qu’il va avoir verdissement et élargissement des trottoirs ou c’est juste du souterrain ?

Pour une période de travaux aussi courte, je crois que ça va etre du chemisage ou gainage des conduits existants

Ça permet de prolonger leur durée de vie de 20-25 ans (ou même 40) ans sans excaver la rue au complet pour les remplacer

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Dommage, Ontario a grandement besoin d’amour sur ce tronçon là !

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Il y a des travaux de près de 20 M$ à venir sur le pont de la Concorde

Au point 20.022 (dossier 1247000001) du comité exécutif du 13 mars

Objet : Accorder un contrat à Pomerleau inc. pour divers travaux de réfection du pont de la Concorde (81-05086) (projet 20-06) situé au-dessus du fleuve Saint-Laurent, dans l’arrondissement Ville-Marie - Dépense totale de 19 656 284,89$ (Travaux: 16 385 655,80$ + contingences: 2 457 848,37$ + incidences: 812 780,72$), taxes incluses. Appel d’offres public 440730 (8 soumissionnaires)

Description
Accorder un contrat de construction à Pomerleau inc., pour la réalisation de divers travaux de réfection du pont de la Concorde (81-05086) (projet 20-06) situé au-dessus du fleuve Saint-Laurent. Il est prévu que les travaux commencent en avril 2024 et se terminent en novembre 2025. Une pause hivernale est prévue au contrat pour les mois de décembre 2024 à mars 2025, inclusivement.

Les travaux consistent, sans s’y limiter, en :

  • l’enlèvement de l’enrobé et de la membrane d’étanchéité existant de la dalle du tablier du pont de la Concorde,
  • la réfection de l’ensemble du tablier en acier,
  • la pose de la membrane d’étanchéité et la pose de l’enrobé,
  • la pose de consoles pour des nouveaux lampadaires,
  • la réfection de divers travaux de charpente métallique,
  • le maintien de la circulation durant les travaux,
  • les travaux de marquage et de signalisation temporaire et permanente.

[…]
JUSTIFICATION
La réalisation du projet de réfection de diverses structures de l’avenue Pierre-Dupuy est essentielle pour assurer le maintien des ouvrages et la sécurité des usagers. Le projet permettra de prévenir l’aggravation des dommages ou autres défauts qui pourraient entraîner la fermeture partielle ou complète du lien. Les travaux permettront également d’améliorer le confort et la sécurité du transport actif sur les ponts par une meilleur qualité de la surface de roulement.

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Comme mentionné dans le fil de l’école secondaire de Montréal-Nord

Il y a réménagement des boul. Maurice-Duplessis et Albert-Hudon dans le secteur

Maurice-Duplessis aura des pistes unidirectionnelles protégées

Maurice-Duplessis

Albert-Hudon

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Il y a actuellement des travaux de chemisage des conduits sur la rue Vinet dans la Petite-Bourgogne

C’était à l’étape d’injection de vapeur pour faire adhérer la membrane au conduit

L’excavation est minime. L’intersection est barrée à la circulation automobile, mais il y a plein de place pour passer à vélo

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Deux appels d’offres de reconstruiction/réhabilitation d’aqueducs ce matin :

  • Rue Aylmer : SEAO no 464410 : Travaux d’égout et de conduite d’eau secondaire, de voirie, d’éclairage et d’utilités publiques (CSEM, Bell, Hydro-Québec) dans la rue Aylmer, de la rue Milton à la rue Prince-Arthur Ouest dans l’arrondissement du Plateau-Mont-Royal
  • Rues de Longueuil et Saint-Maurice : SEAO no 462910 : Travaux d’égout (réhabilitation), de voirie (reconstruction et réhabilitation), d’éclairage et d’utilités publiques (Bell) dans les rues De Longueuil et Saint-Maurice dans l’arrondissement de Ville-Marie
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Pour la rue de Longueuil, je me demande ce qu’on va faire des vieux pavés encore présent sous l’asphalte

Séance d’info sur le réaménagement de la rue Boucher

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Donc on refait encore une rue, mais encore une fois, aucun enfouissement et on va installer les plantations sous les fils ? Dans 15ans on va devoir élaguer…à quand la ville va forcer la CSEM à enfouir. Je sais que c’est couteux, mais on va jamais rouvrir la rue

Pourquoi ne pas avoir mis les plantations sur le côté sans poteaux ? Ça aurait pu donner l’occasion future d’enfouir les fils.

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J’aurais aimé savoir aussi pourquoi les plantations sont sous les poteaux. Il y a fort probablement une raison technique, mais ça aurait été bien de la mentionner.

Cependant, les plantations sont approuvées par Hydro-Québec pour le type de fils présent, donc ça ne devrait pas causer problème avec ceux-ci.

Pour l’enfouissement, ça demanderait un véritable mandat d’Hydro-Québec imposé, probablement bien justifié par la résilience du réseau électrique. Vu le coût, ce serait un projet de société qui dépasse la ville. Mais tant qu’on ne fait pas ce choix, on ne verra pas l’enfouissement sur les rues non-prioritaires par les critères de la CSEM. En attendant, les rues vont être refaites quand même.

En dehors des fils électriques, c’est un beau projet pour la rue, c’est un endroit extrêmement minéralisé, et complètement inadéquat au niveau des trottoirs. C’était déneigé à la pelle à certains endroits trop étroits, ça montre comment l’endroit n’est pas accessible…

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Les maires de l’Ouest de l’île veulent un élargissement du corridor Jacques-Viger, car il y a trop de trafic qui ralentit les véhicules d’urgence…

Bottausci also said it’s not just a traffic nightmare — it’s putting lives on the line.

That’s why there is a renewed push to expand the Jacques-Bizard corridor.

For the past four decades there have been discussions to build a boulevard from Shakespeare Street in Dollard-des-Ormeaux, all the way to Highway 40.

It would culminate in an underpass right next to the new Pointe-Claire Réseau Express Métropolitain (REM) station.