Ailleurs au Québec - Projets et actualités

ce serait le projet annoncé en février dernier

La première phase de construction, qui compterait entre 300 et 320 logements sur le terrain du boulevard René-Lepage Est, comprend la construction de deux immeubles d’une hauteur maximale de 36 mètres. Dans la seconde phase, sur la rue Saint-Germain, on prévoit faire sortir de terre les 200 unités restantes, réparties dans trois immeubles d’une hauteur d’au plus 33 mètres.

Cette dernière étape commencerait au quatrième trimestre de 2026, peut-on lire dans le document déposé sur le registre des appels d’offres publics.

Plus important encore, ces centaines d’unités, composées d’une à trois chambres, seront entièrement abordables, promet l’entreprise. Celle-ci bénéficiera d’un congé de taxes foncières, gracieuseté du Plan de lutte contre la pénurie de logements de la Ville de Rimouski.

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Reportage de Radio-Canada Bas-Saint-Laurent

La Société de développement Angus reçoit 64,3 millions de dollars du gouvernement du Québec pour construire 324 logements à Rimouski. Cette somme fait partie des 193 millions de dollars que la Société a reçus de Québec plus tôt ce mois-ci. Il s’agit de la première phase du projet rimouskois du promoteur montréalais, qui compte construire 200 autres logements sur les terrains de l’ancien garage municipal et de l’ancien Cooprix, dans le district Saint-Germain.


La première phase sera aménagée sur le site de l’ancien Cooprix.
Photo : Radio-Canada / Jean-Luc Blanchet


Une carte montrant les deux lots visés pour le lotissement résidentiel d’Angus.
Photo : Radio-Canada / Gabriel Rochette-Bériault

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29 août 2024 • Saint-Donat

Une petite visite de quelques projets en construction, de terrains intéressants à vendre et de terrains avec du potentiel.

Projets en construction

Résidence du parc naturel habité - Phase II


Belvédère des Monts

En attente de conclusion du contrat

Parc de planches à roulettes au parc Désormeaux

Terrains à vendre

Intersection Principale et Saint-Donat

À proximité de l’intersection Principale et Saint-Paul

341 Principale

Intersection des Érables et Nadon (à proximité du Belvédère des Monts)

Terrains avec du potentiel

À proximité de l’intersection Allard et des Érables

Intersection Principale et du Lac

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21 septembre 2024 • Saint-Donat

Mise à jour du mois de septembre.

Résidence du parc naturel habité - Phase II


Belvédère des Monts

281 du Lac

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Illustration de l’édifice où se trouvera l’École de la transition énergétique. L’établissement scolaire sera construit dans le parc industriel de Bécancour, près des entreprises qui sont en train de voir le jour dans ce domaine.
Photo : École de transition énergétique


Autre illustration de l’École de la transition énergétique. L’établissement, qui comptera des salles de classe, des laboratoires et des ateliers spécialisés, pourra accueillir 300 étudiants.
Photo : École de transition énergétique de Bécancour

Alors que l’entreprise suédoise Northvolt connaît des ennuis financiers et annonce des suppressions d’emplois, le gouvernement du Québec tarde à approuver le projet d’école de la batterie électrique, qui a pris du retard.

Le directeur général du Cégep de Drummondville, Pierre Leblanc, qui pilote le projet, attend depuis deux ans l’autorisation du gouvernement Legault pour que l’école de la batterie voie le jour à Bécancour, dans le Centre-du-Québec. Au départ, il espérait que l’établissement ouvrirait ses portes en 2025 pour répondre aux besoins de main-d’œuvre des entreprises de la filière batterie, dont Northvolt.

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Un projet sur l’île Beau Séjour près de Chandler déploré

La construction d’une passerelle pour désenclaver l’île Beau Séjour, entre autres, ne fait pas l’unanimité auprès de citoyens de Chandler.

Le projet de 6M$ a comme objectif de mieux protéger l’île et de promouvoir l’histoire de ce site patrimonial, selon la Corporation du Bourg de Pabos. Le reportage de Martin Toulgoat.

Pour lire l’article : Le projet de développement de l’île Beau Séjour critiqué | Radio-Canada

Futur campus de Université du Québec en Abitibi-Témiscamingue, à Mont-Laurier.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Ottawa-Gatineau: Projets et actualités

Sur la page FB de Kollectif

La Ville de Saint-Colomban a dévoilé le projet lauréat de son tout premier concours d’architecture, dans lequel les équipes pluridisciplinaires devaient imaginer la nouvelle bibliothèque de la ville.

Architecture: Agence Spatiale + BGLA

Architecture de paysage : OPTION aménagement

Ingénierie : PARALLÈLE 54 / AMBIONER

Détails ici : Salle de presse - Ville de Saint-Colomban (Site officiel)

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Au Téléjournal

Il y a un projet de près de 1000 logements avec espaces commerciaux en suspend.

Saint-Hyacinthe suspend un développement immobilier près de l’usine d’épuration des eaux

La Ville de Saint-Hyacinthe a décidé de suspendre le développement immobilier autour de son usine d’épuration des eaux.

Ses émanations de sulfure d’hydrogène, qui provoquent de mauvaises odeurs, sont 10 fois plus élevées que le seuil maximal établi par le ministère de l’Environnement, ce qui peut notamment provoquer des maux de ventre et de maux de tête. Environ 700 personnes habitent le secteur touché et la Ville a attendu près de deux ans avant de leur donner l’heure juste.

Le reportage d’Olivier Bachand

Le promoteur immobilier, Groupe RObin, poursuit la Ville

Reprochant à la Ville de Saint-Hyacinthe de freiner le lancement d’une nouvelle phase du Projet M, le Groupe Robin réclame 7 332 969 $ à la Ville qui a imposé un gel sur le développement immobilier tant que l’usine d’épuration ne sera pas mise aux normes.

Déposée tout d’abord en décembre 2023 et exposée dans notre édition du 23 mai, la poursuite du Groupe Robin a été mise à jour la semaine dernière. Elle souhaite obtenir une injonction permanente pour obliger la Ville à moderniser la station d’épuration dans les six mois suivant une ordonnance de la Cour supérieure. Le promoteur vise maintenant un dédommagement de 7,3 M$, ce qui représente le préjudice financier si le projet est reporté de plus de cinq ans. Selon les dernières informations partagées par la Ville, les travaux pour la station d’épuration pourraient commencer en 2025 et se terminer en 2027.

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Un message a été fusionné à un sujet existant : Ville de Québec et région de la Capitale - Projets immobiliers

À la toute fin du reportage… :thinking:

Ottawa souhaite travailler avec le Gouvernement du Québec afin de confier le tramway à CDPQ Infra et confirmer un budget final, d’ici le 15 décembre.

à L’Assomption


Les plans de la future place Karl-Tremblay ont été dévoilés mercredi à L’Assomption.
Photo : Courtoisie

Les plans de la future place Karl-Tremblay ont été dévoilés mercredi à L’Assomption, la ville où habitait le chanteur des Cowboys Fringants, qui s’est éteint il y a près d’un an.

La Ville de L’Assomption travaillait déjà sur un projet de place publique près du Théâtre Hector-Charland depuis cinq ans.

https://www.journaldemontreal.com/2024/11/06/lassomption-construira-un-lieu-commemoratif-pour-karl-tremblay

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Résumé

Le Massif de Charlevoix ouvert à la vente d’actifs

Par Félix Lajoie, Le Soleil

22 novembre 2024 à 19h56

La station de ski Le Massif de Charlevoix cherche davantage que de nouveaux investissements, a appris Le Soleil. (Pierre Lahoud)

Le Massif de Charlevoix n’est pas simplement à la recherche de financements afin d’appuyer ses projets de croissance. L’entreprise a mandaté, ces derniers mois, une division de la CIBC pour dénicher un partenaire qui pourrait acquérir la montagne, en partie ou même en totalité, a appris Le Soleil.


Depuis près d’un an que Le Groupe Le Massif et son président fondateur Daniel Gauthier affirment publiquement être à la recherche de nouveaux «partenaires stratégiques» pour continuer le développement de la montagne avec un projet de 400 millions de dollars.

Selon un document obtenu par Le Soleil, la direction a mandaté en décembre 2023 le groupe des fusions et acquisitions du département Marché des Capitaux de la Banque CIBC.

Dans cette missive, la banque indique qu’elle «met en marché une opportunité d’acquisition» pour la montagne quatre saisons.

«Les investissements significatifs dans les infrastructures» de la montagne, la présence d’un «hôtel de renommée internationale» [Club Med], 400 acres de pistes, ainsi que la proximité avec une ville d’un million d’habitants sont énumérés comme arguments de vente dans le document.

La CIBC vante aussi des «opportunités tangibles de développements immobiliers sur 40 millions de pieds carrés de terrain.»

«Pas à vendre»

Le Groupe Le Massif a transmis vendredi une déclaration écrite en réponse aux questions du Soleil, et soutient «que le Massif de Charlevoix n’est pas à vendre.»

«Depuis décembre 2023, le Massif de Charlevoix est en quête d’un investisseur stratégique – un partenaire actif dans le domaine récréotouristique ou du ski – pour accompagner une nouvelle phase de développement», indique la déclaration.

«Cette démarche stratégique n’a jamais signifié une intention de vendre l’entreprise, et cette réalité demeure inchangée», poursuit-elle.

Selon le Groupe Le Massif, les démarches avec la CIBC «n’ont pas porté fruit», et la haute direction de la montagne «a repris le flambeau en septembre dernier pour poursuivre activement cette recherche.»

Le gouvernement éponge des dettes

Mercredi, la Gazette officielle du Québec annonçait que le ministère de l’Économie transformait les «prêts totalisant un montant de 36 325 000 $» octroyés en 2017 en «parts privilégiées» dans le Groupe Le Massif, pour un «montant maximal de 36 000 000 $.»

Selon une source bien au fait du dossier, le gouvernement aurait ainsi réduit la dette de la station afin de relancer le processus de vente et attirer les acheteurs potentiels.

Le cabinet de la ministre de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie, Christine Fréchette, a nié vouloir faciliter une possible vente.

«Les activités récréotouristiques offertes par le Massif de Charlevoix sont importantes pour la région. Nous avons simplement restructuré notre investissement afin de poursuivre notre accompagnement avec le groupe», a réagi le cabinet.

D’après des demandes d’accès à l’information effectuées par Le Soleil lors de l’été 2024, les gouvernements québécois et canadiens ont alloué 198 882 547 $ au Groupe Le Massif et aux différentes entités qui forment le projet récréotouristique depuis 2007.


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Les propriétaires de l’Hôtel Rimouski construiront un nouveau centre des congrès dès le printemps 2025. Grâce à ce projet évalué à 40 millions de dollars, le Groupe Blouin prévoit des retombées économiques additionnelles de plus de 4 millions de dollars et la création d’une trentaine d’emplois directs et indirects.

Les propriétaires de l’Hôtel Rimouski et le maire Guy Caron ont présenté mardi les détails du projet qui fera passer la superficie totale du Centre des congrès de 1 800 à 2 800 mètres carrés (20 000 à 30 000 pieds carrés).

Une nouvelle aile, qui sera construite au sud du bâtiment actuel, permettra d’augmenter la capacité d’accueil de 550 places supplémentaires, pour un total de 1500 personnes.

Le projet, qui devrait s’achever au début de 2026, prévoit aussi l’ajout de 39 chambres.

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Génial, belle utilisation des terrains en rive, qui sont souvent sous-exploités dans le villes du Québec. On tourne souvent le dos au fleuve et aux rivières plutôt que de profiter de leur présence.

Maintenant si Rimouski pouvait faciliter davantage l’accès au fleuve à partir de son centre, ça serait génial. La promenade est jolie, mais c’est compliqué d’y accéder et on y a le sentiment de longer une autoroute.

Voici la vue là où sera construit ce projet :

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Magnifique projet! Ça fait du bien