il y a tellement de potentiel à Rimouski juste avec les terrains de stationnement
Siège social d’Ultium Cam : entre Québec et Corée du Sud
Les employés d’Ultium Cam, un gros acteur de la filière batterie à Bécancour, occupent dorénavant un imposant centre administratif voisin de l’usine de cathodes. Ses dimensions ont été prévues pour que le personnel puisse y être doublé l’an prochain.
L’architecture extérieure du bâtiment est d’inspiration typiquement sud-coréenne. Avec sa large corniche, le siège social d’Ultium Cam à Bécancour a littéralement l’apparence d’un temple asiatique.
Pour plus de détails, vous pouvez cunsultez notre article web : Siège social d’Ultium Cam : entre Québec et Corée du Sud | Radio-Canada
Des Trifluviennes et Trifluviens contre un projet d’Unitaînés
L’excuse est la coupe d’arbres… probablement que ces personnes ne se sont jamais soucié des arbres avant l’annonce de ce projet
Le projet de changement de zonage au parc Girard pour y construire des logements sociaux ne passera pas comme une lettre à la poste. Plusieurs citoyens se sont présentés, mardi soir, à la séance du conseil municipal de Trois-Rivières pour demander aux élus de ne pas aller de l’avant.
«En modifiant le zonage du parc Girard, on permet la construction d’un immeuble à logements sociaux. Plusieurs arbres, voire des dizaines d’arbres matures et centenaires, devront être coupés pour faire place à du béton. Dans un contexte où les changements climatiques sont de plus en plus préoccupants, en quoi cette action de la Ville va être en cohérence avec sa politique environnementale?» a demandé Gabrielle Groulx.
«Ma crainte, c’est d’ouvrir une brèche. Il y a des arbres, c’est rendu une forêt», a plaidé Benoit Poitras, qui a précisé qu’un comité de citoyens a été créé.
Rappelons que la Ville souhaite modifier le zonage pour qu’éventuellement, soit construit un immeuble de logements sociaux dans la partie nord du parc Girard. Incapable, l’an dernier, de soumettre sa candidature à temps pour accueillir un immeuble Unitaînés du Groupe Maurice faute de terrain disponible, la Ville a entrepris d’identifier des emplacements pour un tel projet. Selon elle, cette section du parc Girard représente la meilleure localisation.
Si le projet Unitaînés se concrétise, un immeuble d’une centaine de logements, répartis sur six étages, sera construit. Sinon, un autre projet de logements sociaux pourrait être réalisé. La Ville assure que le jardin communautaire ne sera pas touché et qu’un maximum d’arbres sera conservé.
Palais de justice | Saint-Hyacinthe
Provencher_Roy | Groupe A / Annexe U | GLCRM Architectes, architectes en consortium
Très dans l’air du temps, anonymisation et perte d’identité collective.
À titre de rappel, l’ancien qui a été démoli.
Effectivement, encore une autre boîte carrée, dépourvue d’âme et incapable de susciter la moindre émotion, et que, désormais, on retrouve partout ! Ce qui est d’autant plus regrettable, c’est que les architectes avaient pourtant une excellente source d’inspiration : le bâtiment d’origine. Mais au lieu de puiser dans son caractère, son histoire ou ses détails uniques, ils ont choisi la voie de la facilité, celle de la standardisation sans âme.
Les modulaires sont arrivés sur le chantier d’UTILE à Rimouski!
Une grande étape pour UTILE à Rimouski!
Ça y est, notre chantier a officiellement démarré! Les premiers blocs de préfabriqué sont arrivés sur le site, et la construction commence à prendre forme peu à peu.
On tient à remercier chaleureusement nos partenaires pour leur engagement :
Merci à Construction Longer, notre partenaire en charge des travaux de construction, pour leur expertise et leur professionnalisme sur le terrain
Merci à gbi, la firme d’ingénierie, pour leur précieuse collaboration et leur savoir-faire technique, essentiels au succès de ce projet
Merci à Blouin Beauchamp Architectes qui a su donner vie à notre vision en créant des plans à la fois esthétiques et fonctionnels
Merci à Les Industries Bonneville pour leur travail minutieux et de grande qualité sur les modules préfabriqués qui prennent maintenant vie sur le chantier
On a hâte de partager avec vous la suite de cette aventure!
Capital social d’investissement immobilier (CSII)
Ville de Rimouski
Société d’habitation du Québec (SHQ)
Fonds CLÉ
Résumé
Logement et développement au cœur des priorités de Rimouski
Par Johanne Fournier, Collaboration spéciale
28 janvier 2025 à 04h00|
Mis à jour le28 janvier 2025 à 06h21
La Ville de Rimouski a adopté son plan d’action 2025.
Parmi 90 actions à réaliser cette année, le logement et le développement économique figurent en tête de liste des priorités que s’est données le conseil municipal de Rimouski en adoptant son plan d’action 2025 lors de la séance régulière de lundi.
Avec 809 unités résidentielles déjà mises en chantier, auxquelles le Groupe Angus de Montréal en ajoutera 328 autres dès que le terrain sera décontaminé, il s’agit d’un résultat record pour la Ville de Rimouski. Ses actions, qui consistent notamment à accompagner les promoteurs, s’inscrivent dans son plan de lutte contre la pénurie de logements.
Pour favoriser la création d’unités résidentielles, la Ville a réduit de 50 % les délais d’analyse des demandes pour les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble (PPCMOI). «La lutte contre la pénurie de logements est un travail de tous nos services, fait valoir le directeur général de la Ville de Rimouski, Marco Desbiens. C’est la recette du succès.»
Création d’un centre d’hébergement pour personnes itinérantes
Annoncée l’été dernier, la création d’un centre d’hébergement d’urgence pour les personnes vivant en situation d’itinérance est aussi un dossier clé pour l’administration municipale et ses partenaires. C’est d’ailleurs un projet dont est particulièrement fière la directrice générale adjointe, Pascale Rioux.
L’ouverture du centre, qui pourra recevoir de 12 à 16 personnes, est prévue l’été prochain. Les personnes itinérantes pourront être accueillies dans un bâtiment appartenant à la Ville de Rimouski. «Cet hiver, le bâtiment sera mis aux normes pour qu’il soit conforme à une habitation du type de celle qui est visée», précise le maire Guy Caron.
En vertu d’une entente, le ministère de la Santé et des Services sociaux fournira une enveloppe annuelle récurrente de 327 000 dollars qui permettra l’embauche de ressources. Le lieu ne sera pas ouvert 24 heures par jour. Il s’agira d’un centre d’hébergement d’urgence pour la nuit.
Nouvelle organisation de développement économique
Le conseil municipal souhaite qu’une nouvelle organisation vouée au développement économique puisse voir le jour d’ici quelques mois. «Il y a des éléments qui vont être opérationnels dès le printemps, dont un bureau d’information touristique, prévoit déjà Guy Caron. En ce qui a trait à ce qui sera l’outil de développement économique, on y travaille présentement pour qu’il soit opérationnel à la fin du printemps ou au début de l’été.»
Le directeur général Marco Desbiens, le maire Guy Caron et la directrice adjointe Pascale Rioux ont présenté le plan d’action 2025 de la Ville de Rimouski.
Croulant sous des dettes de plus de 2 millions de dollars, l’organisme qui avait pour mission d’assurer le leadership en matière de développement industriel, commercial et touristique de la ville de Rimouski, soit la Société de promotion économique de Rimouski (SOPER), a déclaré faillite le 5 décembre. L’organisme était présidé par le maire Caron. L’ancienne directrice générale de la SOPER a été embauchée par la Ville de Rimouski à titre de conseillère stratégique à la direction générale. Marina Soubirou a pour mission de faire des recommandations, en collaboration avec les gens d’affaires de Rimouski.
«Il y a trois possibilités, décrit Guy Caron. Ça pourrait être un organisme sans but lucratif, ça pourrait aussi être un hybride entre la Ville, la MRC et un organisme sans but lucratif ou ça pourrait être un service de la Ville qui ferait du développement économique. On regarde ce qui se passe dans différentes villes, particulièrement celles de la grosseur de Rimouski, et dans des MRC de la grosseur de Rimouski-Neigette, pour voir les modèles qui sont utilisés. Chaque ville a son propre modèle qui correspond à ses propres besoins.
Autres priorités
Lors de sa campagne électorale de 2021, Guy Caron avait promis de revitaliser le centre-ville de Rimouski et de mettre en place un pôle culturel. Les élus ont franchi une étape importante dans ce dossier avec l’acquisition du presbytère Saint-Germain, situé à côté de la cathédrale. «Il servira à réunir et à centraliser l’ensemble des bureaux administratifs des organismes culturels de Rimouski», explique M. Caron. Le réaménagement de la place des Anciens-Combattants s’inscrira aussi dans la foulée de cette démarche phare.
Acquis par la Ville de Rimouski, le presbytère Saint-Germain deviendra un pôle culturel, une fois les rénovations complétées. (Johanne Fournier/Collaboration spéciale)
Par ailleurs, la Ville poursuivra ses actions environnementales. Après l’adoption de sa première politique de l’arbre en septembre, dont l’un des grands objectifs est de planter 10 000 arbres d’ici dix ans, elle entend rédiger un plan d’action qui définira les objectifs à atteindre. De plus, Rimouski collaborera avec la MRC de Rimouski-Neigette dans l’élaboration d’un plan climat dans le but d’identifier les gestes à poser pour réduire les émissions de gaz à effet de serre et pour une meilleure adaptation aux changements climatiques.
Il va sans dire que la Coupe Memorial, qui se tiendra du 22 mai au 1er juin dans la capitale du Bas-Saint-Laurent, occupe une place prépondérante pour l’administration municipale. D’ailleurs, le Colisée Financière Sun Life a subi une cure de rajeunissement en prévision de l’événement, dont les retombées économiques attendues sont estimées à 20 millions de dollars. Les travaux de mise à niveau et de réaménagement des installations ont coûté 4 millions de dollars à la Ville de Rimouski.
La Ville poursuivra également la révision de son plan d’urbanisme, qui date de 2014. L’adoption du nouveau plan est prévue en 2026. Les principaux projets à surveiller cette année sont le projet urbain du secteur de Rimouski-Est, la réduction des risques liés à l’érosion des berges, la réfection du réseau routier et l’implantation de mesures de mobilité durable. Pour Marco Desbiens, 2025 devrait marquer une année charnière pour le développement du secteur de Rimouski-Est, dont les travaux sont attendus depuis longtemps.
Le Massif reporte son spectacle L’Oiseau mécanique à l’été 2026
Ce spectacle, qui consiste à assister à plusieurs projections visuelles et sonores à bord d’un télésiège, a été présenté en 2023 et en 2024.
Photo : Jean-Sébastien Chartier-Plante
Radio-Canada
Publié hier à 17 h 29 HNE
Écouter l’article | 2 minutes
La version audio de cet article est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Le Massif de Charlevoix souhaite retravailler le spectacle L’Oiseau mécanique, présenté l’été depuis 2023, dans le but d’offrir une nouvelle version à l’été 2026. Il ne sera donc pas présenté en 2025.
Après mûre réflexion et en concertation avec l’équipe créative de l’Atelier Occhio, nous avons pris la décision de reporter la présentation de l’activité nocturne à l’été 2026 afin de permettre à ce projet de prendre une dimension encore plus ambitieuse. L’Oiseau mécanique sera ainsi transformé en une expérience renouvelée des plus excitantes qui vous captivera et vous émerveillera comme jamais, ont expliqué les organisateurs vendredi.
L’équipe dit travailler à trouver de nouveaux partenaires pour contribuer à cette refonte. Nous revisitons tous les aspects de notre modèle d’affaires afin d’offrir une cuvée 2026 qui sera hors de l’ordinaire […].
Une citation de Le Massif de Charlevoix
Ce spectacle, qui consiste notamment à assister à plusieurs projections visuelles et sonores à bord d’un télésiège, a été présenté en 2023 et en 2024.
Ils veulent construire un stationnement étagé de 250 places; il y a encore des villes qui font ça?
Ce n’est pas ça qui ramène du monde dans les centre-villes.
Drummondville c’est le genre de ville où il faut quand même du stationnement. Si ils veulent densifier sur toutes les stationnements de surface, il faudrait remplacer quelques uns. C’est pas comme s’il y a un métro a Drummond.
Quand je retourne chez moi en Ontario, j’utilise mon char pour aller au centre ville. C’est 10 minutes en auto, 45 minutes en bus et 1h 10 de marche
Drummondville, comme plusieurs petites villes au Québec, est rendu presque 100% suburbaine et dépend entièrement de l’automobile.
A mon avis, c’est quelque chose à changer et non à intégrer dans un nouveau quartier. Les structures de stationnement pour voitures sont parmi les pires verrues urbaines, et leur présence décourage la marche et le tourisme.
L’Université Laval s’installe dans les locaux de Beneva sur le boulevard Laurier
Les facultés de sciences de la santé sont à l’étroit dans le pavillon Ferdinand-Vandry de l’Université Laval. (Photo d’archives)
Photo : Radio-Canada
Publié à 17 h 14 HAE
Dès l’automne prochain, des cours de sciences de la santé seront donnés dans les locaux de la compagnie Beneva au 2505, boulevard Laurier, dans l’immeuble situé en face du campus universitaire.
L’Université Laval indique que le pavillon Ferdinand-Vandry, qui loge les facultés de médecine, de pharmacie et de sciences infirmières, ne répond plus à la demande.
Depuis les travaux d’agrandissement réalisés en 2007, les cohortes des trois facultés ont augmenté de plus de 40 % en effectifs, souligne le porte-parole Simon La Terreur. La taille des cohortes de certains programmes de ces trois facultés excède la capacité du plus grand amphithéâtre du pavillon.
Les nouveaux espaces loués chez Beneva, qui représentent 2125 mètres carrés, pourront accueillir environ 600 personnes. Des travaux ont été amorcés pour l’aménagement de six salles de classe, de quatre laboratoires d’enseignement, d’une salle multifonctionnelle et de sept bureaux.
L’Université Laval a signé un bail de neuf ans pour la location des lieux. Simon La Terreur précise que ce projet a été rendu possible grâce au financement du gouvernement provincial.
Avec des informations d’Anne-Sophie Roy
C’est moi où la gare n’a qu’une seule voie? Sérieux, au minimum, ils devraient planifier pour deux. Si on décide un jour de mettre en place un système de transport digne de ce nom au Québec, ils vont se mordre les doigts de s’être laissé aussi peu d’espace.
Un autre parc aquatique pour la grande région de Montréal…