1, Van Horne - 7 étages

Hé Boboy… :roll_eyes:

Je veux bien comprendre les arguments “partage” et “coopération” du collectif Mile End Ensemble dénonçant le projet de Rester Management …, mais aucun logement ne peut/pourra être construit à côté de voies ferrées ! :unamused:

Projection pour dénoncer le projet de reconversion du 1, Van Horne


La projection a été organisée par Le Sémaphore, organisation spécialisée dans la projection nocturne de lumière et de visuels. | Photo: Capture d’écran / Twitter

Journal Métro | LE PLATEAU-MONT-ROYAL | David Beauchamp | 17 février 2023 à 14h57

Une projection sur le bâtiment historique du 1, avenue Van Horne a eu lieu dans la nuit de mercredi pour dénoncer le projet de reconversion de l’entrepôt. Le bâtiment pourrait devenir un hôtel et des espaces de travail, comme le propose Rester Management. Le projet a largement été dénoncé lors d’une consultation publique.

Une mobilisation communautaire s’est organisée pour dénoncer le projet, ce qui a culminé en la projection par l’organisation Le Sémaphore de messages faisant écho aux doléances des citoyens du Mile End. On a pu lire sur le bâtiment les messages «logements sociaux», «nous sommes là» et «ateliers d’artistes», notamment.

«La projection a rendu visibles sur le bâtiment les désaccords face au projet, commente la cofondatrice et membre de Mile End Ensemble, Stéphanie Bourbeau. Ce qu’on veut, c’est un projet qui mise sur le partage et la coopération comme le Bâtiment 7, où il y aurait des ateliers de réparation de vélo, des cours de poterie et où le vivre-ensemble serait un principe moteur dans une perspective municipaliste et écologique. Ce projet doit être revu.»

Plus de 4000 personnes ont répondu à la consultation publique de la Ville concernant le projet du 1, avenue Van Horne. «Bien que la valeur patrimoniale du bâtiment était priorisée par la Ville, les gens ont davantage commenté sur les impacts sociaux et communautaires que la reconversion pourrait engendrer, considérés comme plus importants, rapporte Mme Bourbeau. Ce projet n’a pas l’acceptabilité sociale et contribuerait à l’embourgeoisement du quartier en plus de ne pas répondre aux besoins du quartier.»


Autre projection durant la même soirée. Photo: Capture d’écran / Twitter

Invitations lancées

Le 15 mars, une soirée sera organisée par Mile End Ensemble et d’autres organismes communautaires au Théâtre Rialto, dans le Mile End. Le promoteur du projet a été invité à cette soirée musicale pour qu’il rencontre les citoyens du quartier en vue d’entamer un dialogue.

«S’il nous avait rencontrés dès le début, il aurait su il y a longtemps que son projet ne nous convenait pas, tranche Mme Bourbeau. On veut que le promoteur rencontre les gens qui sont attachés au quartier et qui l’habitent pour qu’un dialogue soit possible.»

En plus du promoteur immobilier, des élus des différents paliers gouvernementaux ont aussi été invités, tout comme la Corporation de développement communautaire (CDC) Plateau-Mont-Royal et Héritage Montréal. Face à l’engouement que les projections ont suscité sur les réseaux sociaux, Mme Bourbeau souligne que d’autres projections du genre pourraient avoir lieu, notamment au mois de juin, où une fête communautaire sera organisée au 1, avenue Van Horne.

1 « J'aime »

Ça me fait penser un peu au projet de la Canada Malting

Le promoteur privé présente un projet qui comprend du logement social, mais les organismes insistent qu’il faut 100% de logement social pour que ce soit acceptable et n’arrive pas à expliquer comment le projet sera financé. C’est rendu 455 k$ par porte construire du logement social… Québec en finance 95 k$ et n’a pas changé ce montant depuis des années malgré l’inflation et les coûts de construction de plus en plus élevés.

Pendant que ça tourne en rond, le bâtiment se dégrade de plus en plus… et p-ê que rien ne pourra être présérvé d’ici la première pelletée de terre…

12 « J'aime »

C’est simple, il n’y a pas de conséquence pour ces déclarations vides de responsabilité. Je peux en pratique me plaindre contre le projet parce que le soleil se lève le matin.

Pour Van Horne ou la Malting, si la question, référendaire ou non, était du genre:

Le promoteur a proposé un projet. Suite à cette proposition valide d’un point de vue légal, vous voulez en tant que citoyen:

  • Accepter la prémisse de base le promotteur aille de l’avant avec le projet (ajustements mineures possibles selon les consultations)
  • Refuser le projet du promoteur. Acheter le terrain et développer un projet, social ou autre. Les coûts seront facturés au prorata de la valeur du terrain des citoyens consultés et tiendra compte de sa proximité avec l’édifice en question.

Je suis pas mal sûr que les objections vide de sens se taieraient un peu plus.

10 « J'aime »

Héritage Montréal préoccupé par le projet de reconversion sur Van Horne


L’entrepôt Van Horne est un bâtiment unique à Montréal situé à la jonction du Plateau-Mont-Royal et de Rosemont. Son château d’eau et sa forme sont deux de ses traits distinctifs.
Photo: Capture d’écran, Youtube - Héritage Montréal

David Beauchamp
26 février 2023 à 13h14 4 minutes de lecture

En réaction au projet de reconversion de l’entrepôt du 1, avenue Van Horne en un ensemble d’hôtel, de commerces et de bureaux, la société Héritage Montréal a envoyé une lettre à quelques élus municipaux le 13 février, lettre dans laquelle elle questionne la viabilité et la compatibilité d’une vocation hôtelière pour cet édifice iconique.

L’absence d’études sur la faisabilité économique du projet laisse planer le pire, selon Héritage Montréal, qui se préoccupe du sort du bâtiment depuis plusieurs années.

Un risque collectif

«L’aspect de l’identité et de l’intégrité du bâtiment est important pour nous, explique à Métro l’architecte émérite et directeur des politiques pour Héritage Montréal, Dinu Bumbaru. À la base, le 1, Van Horne est un entrepôt, donc le modèle des lofts industriels proposé ne fonctionne pas avec ce bâtiment. Ce que l’on craint, c’est que ce projet autorisé par la Ville ne se concrétise pas et qu’il soit abandonné en cours de route, faute de moyens financiers, laissant ensuite le bâtiment à l’état d’épave et que l’on perde pour rien. Que le promoteur ait un risque financier, c’est une chose, mais là, les risques impliquent la collectivité parce que c’est un édifice patrimonial.»

La forme autant que l’emplacement extraordinaires du bâtiment rendent sa conversion complexe, nécessitant beaucoup de réflexion et d’expertise. Or, M. Bumbaru doute de la solidité du projet et souligne que le promoteur à sa source n’est pas spécialisé en conversion de bâtiments patrimoniaux, soulevant des risques supplémentaires à ce niveau.

On ne peut pas prendre une recette ready-mix et l’appliquer à des bâtiments comme celui-là et espérer que ça fonctionne. Les propositions de fenestrations allant du plancher au plafond viendraient changer complètement la texture du bâtiment, et l’installation de serres sur le toit viendraient limiter l’accès au toit et château d’eau au lieu d’en bonifier l’accessibilité. On se réjouit d’un potentiel accès au toit du bâtiment pour des visiteurs spécialisés, mais un hôtel n’est tout simplement pas adapté à l’édifice.

Dinu Bumbaru, architecte émérite et directeur des politiques pour Héritage Montréal

Une discussion élargie

Une consultation publique a pris fin récemment concernant ce projet, consultation au cours de laquelle plus de 10 000 personnes ont fait part de leurs craintes quant à l’embourgeoisement qu’un tel projet pourrait générer, accompagné de la dénaturation du quartier. Ces appréhensions sont partagées par Héritage Montréal et Dinu Bumbaru, qui considèrent qu’une réflexion plus large est nécessaire quant à son intégration dans les arrondissements du Plateau-Mont-Royal et de Rosemont-La Petite-Patrie, où plusieurs jeunes et familles seront affectés.

«Enfin, outre les difficultés pour le projet lui-même, on peut aussi souligner l’impact probable d’une transformation drastique des lieux sur l’appropriation existante des espaces riverains. La Ville gagnerait à mener une réflexion plus large sur l’intégration du projet dans son environnement, incluant le projet de transformation du site de l’ancien magasin Millions de tapis et tuiles, avenue Bernard, acquis récemment par la Ville», peut-on lire dans la lettre envoyée par Héritage Montréal aux quelques élus municipaux.

La conseillère de la Ville pour le district du Mile-End et présidente du comité consultatif d’urbanisme du Plateau-Mont-Royal, Marie Plourde, dit accueillir avec beaucoup d’intérêt les commentaires et préoccupations d’Héritage Montréal ainsi que les 10 000 réponses reçues lors de la consultation publique optionnelle, qui témoignent d’un engagement citoyen important quant à l’avenir du bâtiment. «Dans l’attente des résultats du sondage qui permettront de poursuivre l’étude du dossier, nous continuerons d’observer un processus exemplaire et rigoureux à la hauteur d’un site aussi sensible», ajoute-t-elle.

Ce n’est pas la première fois qu’Héritage Montréal fait part de ses préoccupations face à des projets concernant le 1, avenue Van Horne. En 2013, un projet de redéveloppement mixte, commercial et résidentiel, où les façades auraient été presque entièrement vitrées, avait été proposé. Le projet ne s’est finalement pas concrétisé en raison de l’intervention d’Héritage Montréal, qui a placé l’entrepôt Van Horne sur sa liste des 10 sites à surveiller pour l’année suivante.

Patrimonial, touchez pas!

10 ans plus tard, toujours rien.

2 « J'aime »

That’s what happens. I’d rather have zoning rules and regulations that actually mean something than arbitrary “heritage” labels that lead to stagnation and decay. Again, like what Marc Auger points out about HSR, everybody with an opinion isn’t ready — or doesn’t have the means — to pony up. The groups that want it to be an artist’s commune or whatever sure don’t appear to be ready to buy it from a for-profit developer and renovate it. I’m still waiting for the Canada Malting NGO to show how they intend to pay for the property and redevelop that site.

4 « J'aime »

C’est tellement du mauvais journalisme (et de mauvaise foi) :joy:

10 000 participants = 10 000 personnes qui ont des craintes sur l’embourgeoisement?!

Il n’y a plus de limite.

2 « J'aime »

We should implement a regulation to make any group blocking a project for unmeasurable arbitrary reasons to pay the building’s land tax going forward, valued at the blocked project’s target value, until the next project shows up.

7 « J'aime »

I agree, and it’s something I hope to see addressed as the “Cadillac-Fairview v Ville de Pointe-Claire et al” case moves forward.

1 « J'aime »

J’ai fais un peu de travail dans le domaine du patrimoine dans plusieurs autres pays, notamment Hong Kong, Singapour et Angleterre. En comparaison, je trouve qu’on est un peu en retard ici au Québec. D’abord il y a étonnement peu de protection pour les édifices patrimoniales, comme on voit dans le cas de la maison ancestrale du 18e siècle qui risque d’être démolie à Laval. Et en plus on a une culture ancrée dans les années 60 ou 70 qui voit un bâtiment patrimonial comme un objet à préserver dans l’ambre. Ce qui se passe ailleurs est plus axé sur la “adaptive reuse” (réutilisation adaptative?), souvent très créative, comme dans le cas du Tate Modern à Londres ou Tai Kwun à Hong Kong (tout les deux projets de Herzog & de Meuron). Il y a bien sûr de beaux exemples ici, comme la bibliothèque Maisonneuve ou la proposition pour le Centre Phi. Mais j’ai l’impression que cette nouvelle approche n’est pas tellement répandue dans les organismes comme Héritage Montréal et dans le grand public.

Tout ça pour dire qu’il y a beaucoup de monde ici qui seraient très content de voir l’entrepôt Van Horne rester abandonné pour qu’il ne se transforme pas en quelque chose de plus contemporain.

5 « J'aime »

On parle de 10 000 personnes consulté, désolé mais BS… dans un vidéo du conseil il y a quelqu’un qui a posé la question sur comment l’arrondissement s’assurait que personne ne pouvait aller sur le site et voter plusieurs fois, l’homme en question l’a fait 4 fois pour testé… donc on recueil des opinions, mais si on a 10fois la même de la personne, cette opinion la n’est pas 10fois plus importante qu’une autre…

3 « J'aime »

Je ne pense pas avoir vu passé cette lettre d’opinion, en faveur du projet:

Texte intégral

Francisco Toro

23 février 2023

L’auteur est fondateur de Vive la ruelle et directeur de contenu du Group of Fifty. Il collabore également au Washington Post.

Récemment, un groupe de citoyens montréalais s’est mis à projeter ses priorités sur les vieux murs abandonnés du 1, avenue Van Horne, futur site d’un nouveau développement touristique très décrié, mais aussi très mal compris. « Logements sociaux », pouvait-on lire sur le bâtiment. « Plus de social, moins de luxe », lisait-on encore.

L’entrepôt surplombé d’un château d’eau s’avère une toile de projection irrésistible pour afficher nos visions de l’avenir tranchées. Ce que la projection montre, cependant, c’est à quel point la vision des protestataires est étroite, restreinte, défensive, pour ne pas dire craintive. Ils y défendent ce qu’ils estiment nécessaire, tandis que tout ce qui est différent est rejeté sur-le-champ.

On s’accorde tous sur le fait que Montréal a besoin de plus de logements, et de tous les types. Cela n’est pas ce qui est en cause ici. Ce qu’il faut se demander, c’est plutôt si Montréal peut être une ville capable de marcher et de mâcher de la gomme en même temps, en poursuivant de concert un éventail d’objectifs de développement complémentaires. Ignorer le tourisme en refusant d’en faire une de nos priorités fait preuve de la plus grande myopie.

Pas moins de 57 000 Montréalais travaillent directement dans l’industrie du tourisme, et quelque 150 000 autres doivent indirectement leur subsistance à nos visiteurs. Onze millions de personnes visitaient notre ville chaque année avant la pandémie, un chiffre que nous atteindrons probablement à nouveau.

Ces visiteurs rapportaient 4,6 milliards de dollars chaque année, faisant du tourisme l’un des secteurs économiques les plus importants de la ville. Et contrairement à ce que beaucoup imaginent, la plupart de ces visiteurs — 51 % ! — venaient du Québec même. Parmi les autres, 21 % provenaient du reste du Canada, 15 % des États-Unis et 14 % d’outre-mer.

Bon nombre de ces touristes finiront par séjourner au centre-ville ou près du Vieux-Port, concentrant les retombées économiques dans ces zones déjà très fréquentées. Ceux qui cherchent à séjourner dans des quartiers moins centraux n’ont guère de choix. Il y a quelques années encore, ils auraient pu choisir un Airbnb excentré, mais la décision de Québec de les supprimer dans le but d’amener plus de logements sur le marché de la location a asséché les Airbnb des arrondissements périphériques.

Dans Rosemont–La Petite-Patrie, où je vis, il est presque impossible pour un visiteur de trouver à se loger. Il y a très peu d’hôtels et presque aucun Airbnb. De nombreux visiteurs aimeraient venir dans ces quartiers et y dépenser leurs dollars — dynamisant ainsi les petites entreprises, les restaurants et les cafés du coin, qui en ont bien besoin. Mais il n’y a tout simplement pas d’offre d’hébergement ici. Ces visiteurs finissent donc par se rendre au centre-ville, au profit des chaînes de restaurants et des magasins des mégacorporations.

Ceci explique pourquoi j’étais si ravi d’entendre que le 1, avenue Van Horne allait devenir un nouvel ensemble hôtelier de luxe. Situé juste au-delà de la ligne d’arrondissement de Rosemont–La Petite-Patrie dans un site industriel désaffecté, l’endroit est peu approprié pour des appartements. Le site est en revanche idéal pour apporter une diversité nécessaire à l’offre touristique montréalaise.

Pour les militants du logement social, hélas, tout bâtiment qui n’est pas un ensemble de logements sociaux est considéré comme une menace. Constatant, à juste titre, un besoin pressant de nouveaux logements dans la ville, ils concluent, à tort, qu’on n’a besoin de rien d’autre !

Capable de mobiliser beaucoup de rage (mais moins de propositions), ce groupe de citoyens risque fort de gagner sa campagne contre le développement touristique du 1, avenue Van Horne. On peut parier que le comité consultatif d’urbanisme cédera à sa colère et refusera d’accorder le permis de construire l’hôtel. Le site restera là, pour tomber lentement en désuétude. En résultera de la pollution visuelle qui ne générera aucun impact positif pour personne.

Montréal a besoin de nouveaux logements — beaucoup de nouveaux logements. Mais elle a aussi besoin de tant d’autres choses ! Une métropole complexe et évolutive comme la nôtre ne peut se contenter d’une priorité. Nous avons besoin de logements, oui, mais aussi d’emplois qui vont permettre aux gens de se payer un logement. Nous avons besoin d’une vie de rue animée incitant les gens à venir ici. Nous avons besoin d’une vision pour créer une ville de classe mondiale qui répond à tous les besoins de ses habitants : le logement, au premier chef, mais bien plus encore.

Car il ne s’agit pas seulement de faire des économies. En ce qui me concerne, j’aime vivre dans une ville aussi cool que Montréal que des gens du monde entier ont hâte de venir visiter. Quand mes amis viennent ici, ils sont étonnés de voir à quel point cette ville est dynamique, sidérés par les festivals d’été et les ruelles en vie, par l’art public et par l’ambiance créative qui y règne.

Montréal ne serait pas la même sans ses visiteurs. Nous avons besoin que les touristes viennent nous visiter, et quand ils viennent, nous avons intérêt à leur offrir un logement mémorable dans un endroit étonnant, comme dans un bâtiment emblématique loin d’un centre-ville surchargé de touristes. Un endroit, en d’autres termes, qui ressemble beaucoup au 1, avenue Van Horne.

15 « J'aime »

Ce mur restera aveugle même si l’édifice devient un hôtel. Je crois que cela assure une dominance de son passé industriel dans le paysage.

9 « J'aime »

That picture makes the area look so welcoming, and worthy of maintaining the status quo… :man_facepalming:t2:

7 « J'aime »

Il faut nuancer que le développement du secteur en avant-plan sur la photo ne dépend pas du 1 Van Horne. L’énorme palissade (effectivement peu invitante) est là pour la construction du Centre Bellechasse, et tout le secteur sera redéveloppé en fonction de son ouverture, c’est déjà prévu.

Avec un PPU intéressant, je doute que le centre de rénovation (le commerce dans l’ensemble d’édifices sur la photo, derrière la palissade) reste là pour l’éternité, comme plusieurs édifices industriels du secteur en général.

3 « J'aime »

Lol, oui, je faisais une blague. :wink:

2 « J'aime »

Si jamais il y a des gens curieux sur les plans potentiels du secteur, @Alex514 avait ressorti des informations ici:

Le plan sera sûrement mis-à-jour quand on sera rendu à son implémentation (ouverture du nouveau centre de maintenance et fermeture de l’ancien), mais ça donne une idée de l’orientation!

6 « J'aime »

Je pense que nous sommes d’accord sur plus de quelques points, plus haut dans ce fil.

J’avais mentionné le lot avec le centre de rénovation quelque part, mais je ne le trouve pas dans ce fil. Il y avait une autre proposition pour une propriété à proximité, mais maintenant je ne trouve pas non plus de fil la mentionnant.

The “promenade plantée” idea could be so much more. Right now the viaduct is basically a highway shortcut between the two neighbourhoods that is used mostly by outsiders trying to cut through the heart of the city. Wouldn’t it be wonderful to eliminate it as a car and truck freeway, and turn it in to some sort of High Line?

7 « J'aime »

Il y a aussi le Canadian Tire (et quelques édifices adjacents en mauvais état) qui est un site parfait pour un beau développement. Les terrains à l’ouest de Saint-Laurent aussi, plusieurs de ces édifices sont actuellement vacants:

Bref, un PPU pourrait être un brin plus large sans problème!

Par le temps que ce quartier soit revitalisé, il sera aussi temps de reconstruire le viaduc, ou très proche. Les dernières rénovations ont prolongé sa vie utile d’une décennie je crois. J’espère aussi qu’on en profitera pour faire un ouvrage phare. Juste le potentiel des vues en vaut la peine.

5 « J'aime »