Les trains SJ sont aussi immense (8+ wagons) mais ils sont seulement plein pour quelques trajets en heure de pointe direction pointe. Ce serait très bien que exo achète des trains plus petits comme des Stadler flirt pour rouler en période hors pointe. Ça permet d’économiser sur le personnel et le diesel.
De plus, les trains SJ roule à moitié vide entre LL et parc, même en heure de pointe.
Pour la ligne St Jérôme, à défaut de démolir le Home Dépôt Sauve pour refaire une connexion avec les voies du CN et ainsi profiter des infrastructures de transfert de la station REM Côte de Liesse, j’espère que Exo regarde au moins pour une gare sur la ligne existante vis à vis REM Canora, cela augmenterait l’achalandage à faible coût pour les gens ne voulant pas faire le tour de la montagne.
Peut-être qu’ll devrait juste arrêter de ce rendre directement au CV. et utiliser le temps gagné à augmenter le fréquences entre SJ et Parc.
Question en retard.Dans revenus c’est juste les contributions des usagés ou on inclut les subventions de villes et gouvernements.
as t’il posibility que saint-jerome qui est HORD du territoire de la CMM/ARTM mais qui percois zone C en soit la cause?
la vrais question est comment saint-jerome n’est pas Zone D.
Je dirais plutôt entre Vendôme et LL. Même si la gare parc est très achalandée, de nombreux passagers, surtout étudiants, continuent jusqu’à M-O ou Vendôme. LL est effectivement beaucoup moins achalandée.
Nous savons enfin le fond de la pensée de la ministre…
Charles Lecavalier La Presse
Publié à 16h18
« Gérer le transport collectif et les sociétés de transports, ce n’est pas une mission de l’État », a affirmé la ministre des Transports Geneviève Guilbault lors de l’étude des crédits budgétaires de son ministère.
Elle répondait aux questions du député de Québec solidaire Etienne Grandmont, qui lui demandait pourquoi elle ne considérait pas que le réseau autoroutier était en « déficit ». « Généralement, le réseau routier au Québec ne génère pas d’argent. Est-ce que vous parlez d’un déficit quand on parle des routes ou c’est juste réservé pour le transport collectif ? », s’est demandé Etienne Grandmont, député de Québec solidaire
« Un déficit basé sur quoi ? Un déficit c’est basé sur des dépenses et des revenus dans une organisation […]. Les routes, c’est nous qui les gérons. Je ne suis certaines que la comparaison tienne », a répondu Mme Guilbault. Les routes, « c’est une mission de l’État », a-t-elle rétorqué.
La question du déficit d’exploitation des sociétés de Transport a été au centre des échanges durant ces travaux de reddition de compte.
Cette semaine, les maires du Grand Montréal ont indiqué qu’ils pourraient imposer jusqu’à 228 $ en taxe par auto sur tout le territoire métropolitain dès l’an prochain pour renflouer les transports en commun, qui fait face à un déficit de près d’un demi-milliard, ou couper dans les services.
Questionnée par le libéral Monsef Derraji, elle a souligné que l’an dernier, le gouvernement Legault a comblé 70 % du déficit des sociétés de transports de la CMM. « On est plus que généreux. Mais ça ne peut pas durer éternellement », a-t-elle dit.
Il faut trouver d’autres solutions que de juste transférer un déficit au gouvernement, déficit sur lequel le gouvernement n’a aucun contrôle direct parce qu’on n’est absolument pas impliqué dans la gestion des sociétés de transport.
Geneviève Guilbault, ministre des Transports et de la Mobilité durable
Elle n’a pas voulu dire si elle préférait une hausse des taxes d’immatriculation ou une réduction des services pour les citoyens de la CMM. Mais elle a martelé que « le transport collectif sur un territoire donné est d’abord et avant tout la responsabilité des élus et des gestionnaires du territoire donné, et non pas de l’ensemble des 9 millions de Québécois ».
« Nous, on n’a pas le luxe de refiler notre déficit ailleurs. Chacun, comme j’aime bien dire, doit gérer sa fougère et trouver ses propres solutions. Ce n’est pas réaliste de penser qu’on peut juste transférer un déficit systématiquement au gouvernement », a dit la ministre des Transports et de la mobilité durable.
Elle a été également questionnée par le PLQ et Québec solidaire sur le déficit du maintien d’actif du transport collectif.
M. Derraji s’est inquiété du délabrement du métro de Montréal dont certains tunnels et stations sont en piètre état. Le gouvernement du Québec utilise une échelle de A, en très bon état, à E, en très mauvais état.
« On n’est pas gestionnaire du parc d’infrastructure de la STM. Quand il me parle de tunnel qui a un “D” ou un “E”, je lui rappelle que j’ai 31 000 km de route à entretenir pour lesquels il y en a pas mal aussi qui sont dans le “C”, de “D” et de “E”. Alors, chacun ses problèmes », a-t-elle lancé.
Mais pourtant, a plaidé le péquiste Joël Arseneau, le gouvernement a une politique de mobilité durable où il s’est engagé à augmenter l’offre de service.
« Le défi est de taille », a dit Mme Guilbault. Elle a maintenu que le gouvernement Legault donne des sommes records en transport collectif, et que les villes devraient optimiser leurs services. Elle attend d’ailleurs en septembre les résultats d’un audit qu’elle a commandé auprès des sociétés de transport.
Elle a souligné que l’an dernier, Montréal avait menacé de fermer le métro le soir. « 230 postes de moins à la STM plus tard, le métro roule toujours », a-t-elle ajouté.
Peut-on officiellement renommer le MTQ, le ministère de la voirie? On a confirmation de sa ministre qu’il ne fait rien d’autre.
Ministere de la voirie qui sert à une proportion bien restreinte de la population.*
Le gouvernement et son “nombre de pont par millions” devrait verifier le nombre de personnes par km utilisé par année entre un tunnel du metro de montreal et une route provinciale en région…
On va voir quelles sont les infrastructures qui profitent véritablement aux québécois.
Je suis enragé. Je ne peux pas croire qu’elle a vraiment dit ça. À quoi bon sert le “mobilité durable” dans le nom de son ministère? Quel est le capital politique et l’objectif d’une telle déclaration?
Je suis en bonne santé, pourquoi je paierais les soins de ceux qui en ont besoin? Je n’ai pas d’auto, pourquoi l’une des principales utilisations de mes impots servirait à payer des routes que je n’utilise pas?
Vraiment, ce gouvernement me dégoute, j’étais prêt parfois à comprendre leurs idées, mais là non. Le Québec n’a pas à vivre une dépendance à l’automobile, le Québec n’a pas à être une terre d’autoroutes. D’ailleurs c’est bien ironique qu’elle dise que le rôle de l’état ce n’est pas de s’occuper du transport collectif, mais des routes, puisque historiquement, c’est le transport collectif que le gouvernement a d’abord pris en charge et développé. Ce n’est qu’avec la popularisation de l’auto que le gouvernement a commencé à entretenir les routes.
Honnêtement c’est un gouvernement de Mononcle directement des années 60. Il est grand temps que cela change, il s’enfonce de plus en plus. son 2ème mandats est littéralement désastreux.
J’ai tellement hâte que la CAQ disparaissent de la carte politique du Québec
Bof la plupart iront au Parti Québécois et chez les conservateurs, et peut-être même chez les libéraux, ils ne disparaîtront pas complètement.
Donc par la bande il faut absolument avoir une voiture à batterie pour faire le changement. Parce que la mission du gouvernement est l’auto solo et non pas la réduction du nombre de voiture.
J’aimerais beaucoup que mes taxes servent a autre choses que du bitume
Elle est où la case à cocher dans mes impôts pour ne pas payer les services de la Gaspésie et de la Côte-Nord?
Ce sont les véhicules électriques voyons ! Y’a RIEN de plus durable que ça !
/s
Propos complètement ahurissants… Et qui expliquent pourquoi on se retrouve dans cette situation. Elle se vante que son gouvernement n’a jamais autant investi dans le transport en commun et en même temps le transport en commun n’a jamais été en aussi mauvais état. C’est vraiment une insulte à notre intelligence collective.
Il ne faut pas être de mauvaise foi non plus, ces deux affirmations ne sont pas nécessairement incompatibles.
Les besoins sont plus grand et avec le jeu de l’inflation, c’est facile de dire qu’on à jamais investi autant de millions dans le transport en commun. C’est pourquoi il ne faut pas entrer dans le jeu de demander des montants, ce qu’on veut c’est des infras. et des services.
Il faudrait probablement appliquer toutes les propositions des dernières années en même temps : Plus de financement public, plus de taxes sur l’immatriculation, augmentation de la taxes sur l’essence, etc.
