Transport en commun - Discussion générale

C’est un problème un peu particulier à Toronto qui n’est jamais été bien géré. Steve Munro le suit depuis des décennies. Son exposé le plus exposé le plus récent examine les non-efforts pour les éliminer.

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Super intéressant, merci!!!

Désolé, mais je fais une petite montée de lait ce matin !
Pour le réseau de Transport de Longueuil RTL la semaine de vacances de la construction est aussi la semaine de vacances du transport en commun !

Je ne sais pas comment ça se passe pour les autres réseaux, mais pour l’aglomeration de Longueuil, en ce moment c’est l’apogée des lignes cancelées, des départ annulés et des fréquences réduites à 30 ou plus minutes.

De la Rive-Sud, tu veux te rendre à Montréal ? Bonne chance !

Je soupçonne que le RTL est un «front» pour les concessionnaires automobiles. Le DG du RTL reçoit peut-être une ristourne sur chaque voiture vendu dans la région.

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Probablement causé par une pénurie d’employés, qui ont sans doute pris leurs vacances en même temps? Dans le Roussillon, je n’ai rien remarqué d’anormal, mais c’est difficile de faire pire que un passage aux 2h par direction, en dehors de l’heure de pointe.

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Transport scolaire

Des bris de service guettent plusieurs régions pour la rentrée

PHOTO ÉRICK LABBÉ, ARCHIVES LE SOLEIL

Selon nos informations, la situation serait « particulièrement critique » à Montréal, dans Lanaudière, dans les Laurentides, en Montérégie et en Outaouais.

Le transport scolaire pourrait bien être affecté dans plusieurs régions du Québec en vue de la rentrée, les négociations entre plusieurs transporteurs et centres de services scolaire demeurant toujours au point mort. Si aucune solution n’est identifiée, jusqu’à 300 000 élèves pourraient être pénalisés.

HENRI OUELLETTE-VÉZINA

« Il pourrait y avoir des bris de service du transport scolaire dès la rentrée. Il faudrait alors prévoir d’autres alternatives pour déposer et récupérer vos enfants à l’école, et ce, pour une durée indéterminée. Nous travaillons avec toutes les instances incluses dans les négociations afin d’assurer un transport scolaire pour tous, à temps pour la rentrée », écrit le Centre de services scolaire des Grandes-Seigneuries, situé en Montérégie, dans une lettre envoyée aux parents mercredi dernier.

Dans le nord de Montréal, le Centre de services scolaire de Laval indique aussi que « cette situation pourrait entraîner des répercussions pour la rentrée scolaire », en disant toutefois être « à pied d’œuvre afin de trouver des solutions ».

Selon nos informations, la situation serait « particulièrement critique » à Montréal, dans Lanaudière, dans les Laurentides, en Montérégie et en Outaouais, les négociations ne semblant pas progresser dans plusieurs établissements, la plupart des contrats de travail étant venus à échéance à la fin du mois de juin. D’autres régions auraient toutefois déjà identifié des pistes de solutions.

« Haussez les budgets », demande la FTA

Pour le PDG de la Fédération des transporteurs par autobus (FTA), Luc Lafrance, une entente avec le gouvernement et ses instances est encore possible, pour autant que l’écoute soit au rendez-vous. « On essaie de trouver des voies de passage. Ce qu’on demande au gouvernement, c’est de hausser les budgets pour être capables de continuer nos activités », dit-il.

Son groupe réclame en effet des augmentations de tarifs allant de 20 à 25 %, afin de pallier les nouvelles réalités inflationnistes. Bon an mal an, les transporteurs scolaires déplacent environ 500 000 élèves, matin et soir. La FTA estime « qu’au moins » 60 % de ces jeunes pourraient être « pénalisés » si les négociations n’aboutissent pas, ce qui représente environ 300 000 élèves.

« Les transporteurs scolaires ne sont pas différentes des autres secteurs d’activité : on compose avec une hausse d’au-delà de 50 % du prix du carburant, on manque de main-d’œuvre, et nos postes budgétaires ont explosé au fil des cinq dernières années. Si on veut embaucher de nouveaux chauffeurs, et maintenir ceux qui sont en place, il faut que ça change », dit M. Lafrance, qui estime à environ 1500 le manque en chauffeurs scolaires. Ceux-ci gagnent en moyenne 20 000 $ annuellement.

Québec se veut rassurant

Au cabinet du ministre de l’Éducation, Jean-François Roberge, on se veut rassurant : « On va tout faire pour assurer un transport scolaire à l’ensemble des élèves à la rentrée scolaire », affirme l’attachée de presse du ministre, Audrey Noiseux.

« De nombreux gestes ont été posés, notamment en investissant un montant annuel de 30 millions pour des primes visant l’attraction et la rétention des chauffeurs d’autobus et de berlines », justifie aussi Mme Noiseux, en précisant que « les mesures financières supplémentaires consenties par le gouvernement représentent une hausse de 30,5 % des allocations en transport scolaire, soit plus de 200 millions depuis 2017 »

Le gouvernement souligne enfin que « les discussions se poursuivent avec les transporteurs scolaires », et que « des mesures financières ont été ajoutées afin de tenir compte de chacun des enjeux liés à la négociation ». « On est confiant d’en arriver à une entente », insiste l’attachée de presse.

Dans un communiqué publié jeudi, la Fédération des centres de services scolaire (FCSSQ) note que le programme d’aide financière destiné aux chauffeurs d’autobus « s’élève à plus de 35 millions en 2022-2023 ». « En ce qui concerne l’aide accordée à la transition pour l’électrification, le montant s’élève à plus de 7,7 millions. Enfin, pour tenir compte de la hausse des coûts de fonctionnement, et spécifiquement celle du carburant, une mesure permettant d’isoler le carburant des autres dépenses a été octroyée […], et ce, au moins pour les trois prochaines années », argue-t-on.

La Fédération affirme au passage que « l’indexation associée au carburant s’élève à plus de 38,5 %, alors que celle liée aux autres dépenses est établie en fonction de l’IPC-Québec », qui était de 5,8 % au 31 mai dernier.

« Nous considérons que les dernières propositions gouvernementales qui ont été bonifiées en juin dernier sont intéressantes et que toutes les conditions sont désormais réunies afin de réussir à conclure des ententes négociées », a martelé la PDG de la FCSSQ, Caroline Dupré.

Caisse eyeing other transportation projects once REM launches, CEO says

“Are there discussions involving other projects of this type, both here and internationally? The answer is yes.”

Montreal Gazette | Frédéric Tomesco | Aug 17, 2022

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Construction of the REM along Highway 40 on the West Island in March 2021. PHOTO BY DAVE SIDAWAY /Montreal Gazette

Quebec’s public pension manager is interested in bidding on other transportation projects here and elsewhere once Montreal’s Réseau express métropolitain is up and running, its chief executive said Wednesday.

Although the Caisse de dépôt et placement du Québec’s No. 1 priority in infrastructure is to ensure the light-rail network runs as advertised, the asset manager has already begun talks with unidentified parties regarding potential investments of a similar nature, chief executive Charles Emond said. He specified only that the projects are both in Canada and abroad.

Crews involved in building the REM recently finished electrifying the network’s 16-kilometre branch between downtown Montreal and Brossard. Test runs across the Samuel-De Champlain Bridge — a major project milestone — are now underway, and project promoter CDPQ Infra, the Caisse unit that’s devoted to infrastructure, still expects the section to open this fall.

“I’ve not put an X” on exporting the REM’s model, Emond told reporters during a news conference in Montreal to discuss the Caisse’s first-half results.

“Are there discussions involving other projects of this type, both here and internationally? The answer is yes. These are preliminary talks, but it’s clear that the Caisse is seen as one of the few consolidators that can manage the entirety of a project of this kind. There aren’t a lot.”

A smooth entry into service for the REM will be crucial in solidifying the Caisse’s credentials on the international stage.

“We have to walk before we run,” Emond said. The opening of the REM’s South Shore branch “is an important step that will allow us to demonstrate that we can do this type of project elsewhere in the world. For me, having all resources focused on making this project a success in the next two to three years is the priority.”

Launched in 2016 with much fanfare, the 67-kilometre REM has incurred a series of delays and cost overruns. It has also sparked widespread criticism locally for the construction of massive concrete pylons in its elevated portion.

Problems with the Mount Royal tunnel, coupled with labour shortages and material supply issues, have postponed the opening of most of the light-rail network’s stations to the end of 2024, CDPQ Infra said in June. CDPQ Infra also acknowledged the delay will result in higher costs, and that the most recent estimate of $6.9 billion will not be met.

Asked about finances, Emond said Wednesday that a cost update on the REM would probably have to wait until early 2023. About 74 per cent of the network has been completed, he said.

Several types of projects could be of interest to the Caisse in its search for new infrastructure investments, Emond stressed.

“These aren’t necessarily cut-and-paste projects,” he said. “There’s a wide range of projects, of durable mobility projects that are environmentally responsible. It can range from the REM to other types of transportation. We can be interested in other types of projects. There are maybe four or five projects for which we’ll be in preliminary talks, but these talks can last a while. Often people come to see us.”

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People at Alstom are so petty. They knew she was coming and that her project is dead so they chose pink. Is it low floor too? :joy:

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I mean, that is a tram. Perhaps the Lachine line will be pink after all…?

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Et la mairesse de Longueuil est là aussi. Donc un tramway pour Taschereau :wink:

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Well Alstom are based in Longueil, but I’m surprise Grisé Farand wasn’t with them. As for Taschereau, last I heard CDPQ are confident that their metro is happening.

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Pretty sure that they were confident the REM de l’Est was happening too… You don’t sunk in 100M$, years of studies and tolerating getting dragged in the mud for a simple feasability/implementation study report.

Sure, nothing is guaranteed in these kinds of projects, but apparently the powers that be are favorable to CDPQ’s proposal and the project will be presented a little after the elections. For now at least, the project looks more plausible than the pink line to Lachine :saluting_face:

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Lachine was always part of the Pink line.

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Peut-être une référence à toutes les mutations de la “ligne rose”. Le projet du tram (et de métro léger) vers Lachine précède la proposition de la ligne rose de 2016; cette dernière à aussi connu plusieurs itérations, parfois scindée et n’incluant pas le segment ouest vers Lachine.

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The $800 million federal dollars we gave to La Vieille Capitale for their new transit system is supposed to come back from the Québec government in the form of funding for the Lachine mobility project.

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Ce 800 millions, c’est sous forme de certificat-cadeau échangeable chez Alstom. Depuis le temps la carte a du expirer.

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The map has been updated, at least online, to correct the line around the Lachine Canal:

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4 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Élections provinciales Québec 2022

La STM et les autres transporteurs atteindront-ils leurs objectifs d’achalandage?


Un autobus de la STM.
Photo: Josie Desmarais/Métro

Éric Martel
22 août 2022 à 5h00 3 minutes de lecture

La fréquentation des transports en commun connaît une hausse depuis le printemps sur l’île de Montréal, y compris à la Société de transport de Montréal (STM). La confiance d’atteindre les objectifs de la rentrée varie toutefois grandement d’un transporteur à l’autre.

La fréquentation des transports en commun à Montréal était à 63% du niveau de 2019 en juillet, selon des données obtenues par Métro. Elle était de 62% pour le métro, et de 66% pour le bus de la STM. Le mois de juin a été encore plus faste, avec un niveau de fréquentation à 68%. Sur cette période, le métro a été achalandé à 66% du niveau de 2019, et le bus à 71%.

«Après une croissance lente, mais soutenue depuis janvier environ, nous observons une certaine stabilisation de notre achalandage depuis la fin du printemps», commente le conseiller corporatif de la STM, Philippe Déry.

C’est une excellente nouvelle de voir les clients revenir vers le transport collectif, alors que c’est une solution éprouvée et essentielle dans la lutte aux changements climatiques.

— Philippe Déry, conseiller corporatif de la STM

Dans ce contexte, la STM estime maintenant que «le niveau d’achalandage anticipé pour un jour moyen ouvrable à la fin de l’année se situe entre 70% et 80%». Une cible en deçà de son objectif initial, qui était de 75% à 85%. Une baisse durable de 15% de l’achalandage par rapport au niveau prépandémique est à prévoir pour quelques années selon l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM). Cela se justifie par la croissance du télétravail.

Le train écope, les bus démarrent

Les trains de banlieue connaissent la fréquentation la plus faible depuis le début de la pandémie. En juillet, 29% de l’achalandage de 2019 a été enregistré. Moins de travailleurs se déplacent vers le centre-ville, constate l’organisme exo. En fonction de l’évolution de la situation sanitaire, exo s’attend à retrouver un achalandage général oscillant entre 55% et 75%.

À l’inverse, les autobus d’exo ont connu un achalandage de 63% en juillet. «Il est intéressant de mentionner que nous observons un achalandage plus important pour les lignes locales d’exo par rapport aux lignes à destination du centre-ville de Montréal», souligne le conseiller en relations médias Jean-Maxime St-Hilaire.

À Longueuil, on constate un niveau de fréquentation de 61% pour le mois de juin. Mais le Réseau de transport de Longueuil (RTL) s’attend à une reprise intense à la rentrée scolaire, avec une cible de 85%. «L’achalandage scolaire a été en hausse au RTL au cours des dernières années et malgré la pandémie, en raison des ententes que nous avions développées avec les centres de services scolaires», estime la responsable des communications Marie-Claude Rivet. Le RTL s’attend aussi à un fort retour d’achalandage en raison de l’arrivée du REM.

L’ambition est aussi au rendez-vous au sein de la Société de transport de Laval (STL), où l’on vise un achalandage oscillant entre 80 et 87% d’ici la fin de l’année. En juin, la fréquentation des transports en commun s’est chiffrée à 74% dans la ville.

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:thinking:

Vertiports pour taxis volants | Un projet qui mise sur Québec pour décoller


PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE LILIUM
Illustration d’un projet de vertiport, imaginé par Lilium, concepteur d’aéronefs à décollage vertical établi en Allemagne

Les prototypes de taxis volants se multiplient, mais où pourront-ils décoller et atterrir s’ils sont commercialisés à grande échelle ? VPorts, qui rêve à un réseau de vertiports, espère convaincre Québec de la financer jusqu’à hauteur de 350 millions – une demande que l’entreprise montréalaise tente de tempérer.

Publié à 5h00
Julien Arsenault
LA PRESSE

Neuf mois après sa fondation, l’entreprise concède que son projet soulève de nombreuses questions, explique son président et chef de la direction, Fethi Chebil, en entrevue avec La Presse. Les demandes financières seront ajustées à la taille du réseau, assure cet ancien de l’Organisation de l’aviation civile internationale (OACI).

« Il n’y a pas beaucoup d’entreprises dans ce marché à travers le monde, dit M. Chebil. Nous sommes en train de réaliser des études pour déterminer où nous pourrions [installer] les vertiports. »

VPorts a chiffré ses demandes parce qu’elle vient de s’inscrire au Registre des lobbyistes du Québec. Celles-ci se déclinent en deux volets : un premier de 50 millions pour la mise en place de tout ce qui assurera le fonctionnement du réseau et un autre de 300 millions pour l’aménagement des endroits qui accueilleront d’éventuels aéronefs électriques à décollage vertical (eVTOL).

Beaucoup de questions sont toujours sans réponse. Combien d’endroits seront aménagés ? Se trouveraient-ils dans les grands centres urbains ou à l’extérieur ? M. Chebil n’avait pas les détails, lundi.

Il faut prendre ce chiffre [300 millions] avec un grain de sel. On pense avoir besoin de 50 vertiports au Québec. On estime entre 4 et 6 millions par [site]. Est-ce que l’argent viendra du gouvernement ou des villes ? On ne le sait pas.

— Fethi Chebil, président et chef de la direction de VPorts

La jeune pousse s’implante aussi ailleurs. Au Brésil, elle construira avant d’exploiter, pendant 40 ans, un bâtiment d’environ 55 000 pieds carrés (5100 mètres carrés) à l’aéroport international de São Paulo. Le site, qui ouvrira ses portes vers la fin de 2023, accueillera un vertiport.

Des premiers pas

Selon M. Chebil, l’inscription de VPorts au registre est une étape qui permet de « commencer à discuter avec les gouvernements et répondre à des questions ».

Difficile de dire si un tel projet devrait être appuyé par les fonds publics, reconnaît Mehran Ebrahimi, professeur à l’Université du Québec à Montréal (UQAM) et directeur de l’Observatoire de l’aéronautique et de l’aviation civile. La question est « pertinente », affirme l’expert.

« Si l’on s’attend à ce que cela rapporte quelque chose dans deux ans, c’est un fantasme, estime-t-il. Mais s’il permet au Québec de se positionner dans un mouvement mondial qui prend forme, cela peut s’avérer pertinent. Il est évident que nous n’avons pas encore toutes les réponses. »

D’après son inscription au registre, VPorts cible 14 municipalités – dont Montréal, Québec, Laval, Longueuil, Sherbrooke – où effectuer des démarches.

Sur son site web, l’entreprise dit vouloir aménager son premier vertiport dans la métropole. Lundi, la Ville de Montréal n’avait pas répondu aux questions envoyées la semaine dernière par La Presse.

« Oui, il y a des inquiétudes de la population et c’est normal, c’est quelque chose qu’on ne connaît pas, affirme le dirigeant de l’entreprise. On n’a jamais vu d’appareil voler encore. C’est notre rôle d’expliquer et d’éduquer. »


ILLUSTRATION FOURNIE PAR VPORTS
L’entreprise aménagera un terminal avec un vertiport au Brésil.

Nombre de personnes sont préoccupées par le niveau de bruit des aéronefs électriques à décollage vertical. Il oscille entre 50 et 60 décibels, selon M. Chebib. Selon le ministère de la Santé et des Services sociaux, un niveau de 55 décibels est inférieur à une « conversation normale » (60 dB). Il est légèrement au-delà de ce qui est considéré comme du « dérangement ».

VPorts n’est pas seule à s’intéresser aux vertiports. Vertiko Mobilité, qui s’est associée à Jaunt Air Mobility, voudrait en construire dans le cadre d’un projet de taxis électriques aériens.

Consultez Un réseau de taxis aériens sur la planche à dessin

Beaucoup de projets et de questions

Le créneau des aéronefs à décollage vertical génère beaucoup d’intérêt, même s’il n’est pas synonyme de réussite.

La Vertical Flight Society, une société à but non lucratif fondée en 1943 sous le nom d’American Helicopter Society, dénombre au moins 350 sociétés – des entreprises en démarrage jusqu’aux multinationales – qui se penchent sur plus de 700 concepts d’aéronef à décollage vertical. Au Québec, Jaunt Air Mobility souhaite notamment en assembler en banlieue nord de Montréal.

Ce n’est toutefois pas demain la veille que ces appareils accueilleront des passagers ou qu’ils transporteront des marchandises.

Ils ne sont pas encore assemblés à grande échelle, et la réglementation se fait toujours attendre. Le portrait est moins complexe du côté des vertiports, selon M. Chebib, puisque la certification devrait s’apparenter à ce qui est exigé pour un héliport.

EN SAVOIR PLUS

1500
Même si elle ne compte qu’environ 5 employés, VPorts ambitionne de construire 1500 vertiports à travers le monde d’ici 2045.

SOURCE : VPORTS