Le groupe d’étudiant de ce programme est venu nous rencontrer, moi et ma collègue conseillère d’arrondissement Céline-Audrey Beauregard (qui a elle même étudié dans ce programme), à Verdun pour une discussion sur le cheminement des projets de mobilité active à la Ville. On a eu des discussions très intéressantes! Enjeux de mise en place et de priorisation des axes, comment ces enjeux sont abordés avec les équipes de l’arrondissement, financement des projets, cheminement à l’intérieur de l’administration municipale, etc. Les sujets ne manquaient pas! Un beau groupe d’étudiants très allumés.
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Chronique de Jean-François Nadeau dans Le Devoir
Dans le confort de leurs autos, ils sont nombreux ceux qui croient, sans se donner la peine d’éprouver le contraire par la pratique, qu’il est impossible de se déplacer convenablement autrement qu’ils ne le font. De quoi susciter en eux un curieux mépris.
Prenez le cas de Mario Dumont, figure de proue de l’empire médiatique Québecor. Cet ancien chef de l’ADQ, ce parti aujourd’hui fondu avec celui de François Legault, ne croit pas un instant aux études démontrant les bénéfices sociaux globaux du vélo. Et comment Mario Dumont remet-il en cause les analyses d’experts comme Catherine Morency, titulaire de la Chaire Mobilité de Polytechnique Montréal ? En bredouillant une suite d’objections attachées aux seuls nuages de ses impressions. Pour lui, affirmer que les pistes cyclables permettent de désengorger les villes au point de profiter aux automobiles est de la pure bêtise. C’est tout. Les gens qui affirment le contraire, dit Mario Dumont, « doivent mettre au plus vite leur diplôme dans des déchiqueteuses ». Chemin faisant, Mario Dumont décrète, sans se gêner, que ces gens-là « sont des clowns ».
Aux États-Unis, le président Trump vient de s’employer, selon son mode opératoire habituel, à dénigrer Pete Buttigieg, l’ancien secrétaire aux Transports. Que reproche le président à cet homme qui, entre autres choses, a constaté le retard des États-Unis en matière de protection des piétons et des cyclistes ? Tout simplement ceci : « Il se rend au travail à vélo. » Un vrai crime, sans doute. Et Trump d’insister : « Il prend un vélo pour aller au travail, vous vous imaginez ? Il est à la tête du plus grand système aérien du monde et il prend un vélo pour aller au travail. » À entendre Trump et ses semblables, si vous vous déplacez à vélo, vous êtes tout simplement un abruti. À croire que la haine du vélo est devenue, pour certains, un marqueur d’identité.
Maintenir son équilibre, ne pas perdre pied au milieu d’une société qui déraille, cela relève désormais de la prouesse.
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Un excellent article.
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Souvent, on pense que promenade en nature doit nécessairement rimer avec voiture. Mais il est possible de vivre des expériences dépaysantes à seulement quelques coups de pédale de Montréal.
Pour une personne n’ayant jamais fait de grandes sorties à vélo auparavant, Jean-François Rheault, le PDG de Vélo Québec, recommande trois balades en particulier.
Lorsqu’on prévoit passer plusieurs jours à vélo, Jean-François Rheault recommande de bien planifier son trajet, notamment pour manger et dormir. Le site de la Route verte2, par exemple, permet de vérifier les différents services disponibles sur son trajet et de voir quelles portions sont sur des pistes cyclables ou des routes peu achalandées.
Comme l’illustrent les différentes balades suggérées plus haut, il est possible de combiner plusieurs moyens de transport pour s’éloigner de Montréal, souligne Jean-François Rheault. « C’est souvent quelque chose qu’on n’exploite pas assez », note-t-il.
Des supports à vélo sont par exemple disponibles à l’avant de certains bus d’exo et sur huit lignes de la Société de transport de Montréal (STM).
L’été, les vélos sont acceptés en tout temps dans le métro et dans le Réseau express métropolitain (REM). Le reste de l’année, ils ne sont cependant pas tolérés pendant les heures de pointe. Les trains d’exo, quant à eux, acceptent les vélos toute l’année, même aux heures de pointe.
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Dommage, ils ont oublié de parler des navettes en bus qui partent de Montréal vers des destinations de SEPAQ.
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Dossier en 3 articles de La Presse :
Avec Léo, une nouvelle option d’autopartage qui vient d’arriver à Montréal, les transports en commun qui continuent de s’implanter partout (ou qui essaient de le faire !) et la valorisation du transport actif, certaines personnes décident de larguer leur voiture pour de bon. Elles nous racontent pourquoi et comment cela affecte leurs finances, leur santé et leur humeur.
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J’aurai pu témoigner : Sans auto depuis 2018, 3 enfants et ma mère qui habite chez nous (84 ans).
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il me semble avoir vu des supports à vélo (pas les épingles à couche de Michel Dallaire) additionnels l’an dernier
Ajout : j’ai trouvé
Je ne sais pas si les supports additionnels sont une initiative de l’arrondissement ou de la SDC, mais il faudrait définitivement en rajouter, surtout avec la grève de la STM
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Bonjour les ami·e·s,
Qqn connaît-il un magasin qui prête des sièges de vélo? Je veux en acheter un, mais c’est difficile de choisir sans les emprunter!
Je cherche une siège plus large que la défaut (15cm+) mais qui n’est pas conçue pour une position 90°. J’avais de la difficulté d’en trouver un aux magasins que j’ai visité!
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Je sais que Cycloflex sur Saint-Denis le fait pour ses sièges Brooks…tu parles à Jean-François, tu lui diras que Jacques t’a référé.
Ses sièges coutent 200$+…
Brooks n’est pas un option, parce que ses sièges sont fait de cuir. 
Tu peux regarder les modèles Cambium de Brooks. Ils ne sont pas en cuir.
Il y en a chez CL Cyle! Je ne sais pas s’ils les font essayer par contre. Je suis intéressé par ce modèle pour mes voyages de bikepacking
Clairement un record du meilleur LUNDI à vie et de loin sur le REV Saint-Denis!
(j’ai comparé juste avec les lundis de l’année 2024).
Hier 10175 passages!
À titre comparatif:
Moyenne des lundis du 3-juin au 30-sept 2024 : 6772 passages (x 1.5)
3 lundis Max de 2024 : 8919, 8613, 8222 (x 1.18 de le moyenne des 3 max)
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