Si le Bloc rentre avec force dans les 78 circonscriptions, les Conservateurs sont presque assuré d’avoir la balance du pouvoir. Donc, d’avoir le Bloc “majoritaire” comme tu dis serais à peu près la pire chose qui peut arriver pour les transports en commun.
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c’est un meme, et ça implique généralement une majorité dans toutes les provinces 
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Au profit d’une longue marche de santé de chez moi (rue Murray) à la tête des ponts à Ste-Foy, j’ai pris quelques clichés du gros chantier sur le boulevard Laurier à la limite de l’échangeur du pont Pierre-Laporte.
On voit l’énorme tranchée où on a déplacé les infrastructures souterraines dans le but de libérer le parcours des deux voies nécessaires pour le tramway au centre du boul. Laurier. À la fin du site du chantier on voit la bande médiane verte qui est elle-même libre de toute infrastructure depuis son aménagement il y a plusieurs années. Plus loin sur Renée-Lévesque cette tâche est déjà accomplie, pareil dans le quartier St-Rock à l’est. À noter qu’il y aura 3 stations souterraines au coeur même du c-v voisinage de la cité parlementaire et en bas de la falaise.
Donc le chantier se poursuit (bien qu’en pause pour les vacances) en attendant les autres étapes de son développement. Après mes 10km de marche je suis rentré en Métrobus (ligne 801) qui m’a déposé à 5 minutes de la maison. Les Métrobus sont des bus articulés qui couvrent des routes à très haute fréquence (10 ou 15 minutes selon la ligne) et quadrillent toute la ville centre de l’est à l’ouest.
Donc très rapide avec voie dédiées un peu comme le SRB à Montréal. Bien sûr le tramway ajoutera davantage de mobilité et rejoindra la plupart des quartiers centraux en traversant complètement Québec. D’autres lignes pourront éventuellement s’ajouter avec les années. La plus proche future station se trouve à deux coins de rue de chez moi.
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J’ai devancé l’article du Soleil d’aujourd’hui où je réalise par cet article que le chantier à la tête des ponts est à re planifier à cause du scandaleux retard de plus d’un an imposé inutilement par la CAQ et les nuisances considérables qui en découlent. Un gouvernement responsable est là pour régler les problèmes de mobilité avec célérité, pas les entraver pour une politique à courte vue. Surtout que les dépenses auront substantiellement augmentées durant ce délai ultra mal avisé.
La CAQ est devenue un boulet pour la région de Québec et nous saurons quoi faire aux prochaines élections pour nous en débarrasser 
La machine du tramway se remet en marche. Avec le feu vert du gouvernement, la Ville de Québec se prépare à relancer un chantier majeur sur le boulevard Laurier en août 2025, a appris Le Soleil.
Résumé
Un chantier majeur pour le tramway sur le boulevard Laurier
Par Émilie Pelletier, Le Soleil
31 juillet 2024 à 04h00|
Mis à jour le31 juillet 2024 à 06h24
Déjà sous pression de travaux préparatoires du tramway depuis mai 2022, le boulevard Laurier sera le théâtre d’une nouvelle phase, à être lancée à l’été 2025 et pour une durée qui reste à déterminer. (Jocelyn Riendeau/Le Soleil)
La machine du tramway se remet en marche. Avec le feu vert du gouvernement, la Ville de Québec se prépare à relancer un chantier majeur sur le boulevard Laurier en août 2025, a appris Le Soleil.
La pause du projet de tramway est bel et bien terminée. Moins d’un an après son interruption surprise par le gouvernement Legault, le mégaprojet est fin prêt à être remis sur les rails.
Et pour preuve, la Ville de Québec se relance en appel d’offres pour trouver des partenaires afin de déployer des chantiers majeurs le long du tracé désigné pour le tramway. L’administration municipale veut notamment compléter des travaux préparatoires déjà entamés, mais qui n’avaient pu être complétés en raison de la suspension décrétée en novembre 2023.
En 2024, la Ville estimait à 31 millions de dollars les investissements à injecter pour compléter quatre chantiers, pour lesquels elle avait reçu l’autorisation explicite du gouvernement du Québec.
Parmi eux, le boulevard Laurier, sur lequel les interventions en cours avaient pu continuer, jugées essentielles par le ministère des Transports.
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Le boulevard Laurier, un autre grand chantier préparatoire pour le tramway
Déjà sous pression de travaux préparatoires du tramway depuis mai 2022, cette artère névralgique sera le théâtre d’une nouvelle phase, à être lancée à l’été 2025 et pour une durée qui reste à déterminer.
Évalué à 70 millions de dollars, le chantier se déploiera sur une distance d’environ 1,7 km, de la route de l’Église à l’avenue des Sciences Humaines, révèle un appel d’offres public publié ces derniers jours.
Dans le document, Québec dévoile être à la recherche d’un fournisseur de services professionnels pour l’aiguiller sur son projet lié aux infrastructures municipales, comme les réseaux techniques urbains, les égouts et l’aqueduc. Après avoir fait compléter tous les documents nécessaires à la complète réalisation du projet, la Ville lancera un nouvel appel d’offres en mai prochain pour passer en mode construction.
On sait d’ores et déjà que la poursuite de la relocalisation de réseaux techniques urbains hors de la future plateforme du tramway, la réfection complète des réseaux d’eau potable et d’égout, la réfection de la voirie et d’autres aménagements font partie des travaux d’infrastructures planifiés.
«Cette étape s’inscrit dans la poursuite des travaux amorcés depuis 2021 visant à réaménager le boulevard Laurier, permettant à terme de livrer la vision d’aménagement de l’ensemble du secteur de Sainte-Foy et d’être prêt à accueillir le projet de tramway», explique la Ville.
Pour faire place aux rails, l’important boulevard devra aussi être élargi par endroits.
Trafic, arbres, et «contraintes» nombreuses
Situé aux portes de Québec, le boulevard Laurier est considéré comme un «lien stratégique» pour l’entrée en ville.
Le futur fournisseur est avisé que plusieurs contraintes devront être prises en compte dans l’élaboration du projet, notamment les traversées piétonnes «fortement sollicitées», des projets immobiliers en construction et à venir de même que le maintien de la fluidité aux intersections du boulevard Laurier avec la route de l’Église et l’autoroute Robert-Bourassa, qui constituent des «carrefours importants en termes de circulation».
Il y a fort à parier que la circulation sera impactée, mais la Ville demande de limiter autant que possible les inconvénients pour les usagers de la route.
«Considérant le caractère stratégique du boulevard Laurier, qui constitue un des principaux pôles de déplacement, la conception des réseaux souterrains doit être élaborée de façon à minimiser les entraves sur les déplacements et optimiser les infrastructures temporaires à construire pour les différents usagers pendant le chantier», est-il réclamé.
Les travaux auront toutefois «des impacts importants sur les infrastructures existantes du RTC», avise-t-on, alors que plusieurs arrêts d’autobus doivent être retirés et démolis dans le cadre des travaux d’infrastructures municipales. Ultimement, «les voies réservées et les arrêts actuels seront retirés et seront remplacés par le système de tramway. […] Également, la démolition de la station tempérée Beneva, localisée du côté sud du boulevard fait partie intégrante des travaux projetés», détaille Québec.
La protection des arbres figure également parmi les contraintes «prioritaires». «Le fournisseur doit s’efforcer de conserver et de maintenir la canopée et limiter l’abattage d’arbres lors de la conception», prévient-on.
Situé aux portes de Québec, le boulevard Laurier est considéré comme un «lien stratégique» pour l’entrée en ville. (Caroline Grégoire/Le Soleil)
«Lien stratégique» en transformation
Même si des travaux pour le transformer sont en cours depuis 2021, le boulevard Laurier n’a pas encore terminé sa métamorphose.
La patience des usagers sera de mise, puisqu’au terme des présents travaux, la Ville de Québec projette encore d’autres phases à venir.
«À la suite des présents travaux d’infrastructures municipales, une autre phase de travaux sera réalisée dans le contexte de l’implantation d’un système de tramway. À la suite de cette phase, des travaux de parachèvement de surface seront également requis», anticipe-t-on.
Avec le chantier du ministère des Transports en cours à la tête des ponts, la Ville rêve d’une «signature distinctive d’entrée de ville, moderne et attrayante», en passant par le boulevard Laurier.
Il y a fort à parier que la circulation sera impactée, mais la Ville demande de limiter autant que possible les inconvénients pour les usagers de la route. (Caroline Grégoire/Le Soleil)
Par ailleurs, sur les autres chantiers qui pourraient bientôt apparaître dans les quartiers longeant le tramway, la Ville de Québec se fait discrète, s’en remettant plutôt à ses partenaires, le ministère des Transports et CDPQ Infra.
Le gouvernement du Québec a fait part, en juin, de son intention d’aller de l’avant avec la première étape du Plan CITÉ déposé par CDPQ Infra, en autorisant la poursuite du projet de tramway, entre les pôles Le Gendre et Charlesbourg.
Comme un comité de transition formé des trois partenaires y travaille, Québec plaide qu’il est «trop tôt» pour s’avancer sur les échéanciers de réalisation à venir.
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Le chantier du tramway se remet en marche à Québec. La Ville entend redémarrer en août 2025 les importants travaux du boulevard Laurier que le gouvernement avait mis entre parenthèses en novembre dernier.
Quelques travaux essentiels avaient pu se poursuivre malgré la pause décidée il y a huit mois par le premier ministre François Legault et sa ministre des Transports, Geneviève Guilbault. Depuis le printemps, cependant, la suspension des travaux avait fait taire la machinerie qui s’activait à plusieurs endroits du tracé auparavant.
Dans un appel d’offres diffusé la semaine dernière et d’abord relevé par Le Soleil, la Ville relance la machine. Elle cherche un partenaire capable de l’orienter dans l’aménagement du boulevard et le déplacement de ses réseaux souterrains, rendu nécessaire pour éviter que ceux-ci croisent la route du tramway à venir.
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Juste de même, on est rendu au troisième appel d’offres pour le même projet. J’espère que la ville a aussi reçu le feu vert pour en être le principal maître d’œuvre.
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Parfois j’ai cette drôle de pensée; l’échec du tramway à Québec, c’est aussi un peu l’échec de Gérald Tremblay.
Si son administration avait réalisé la ligne Côte-des-Neiges, aujourd’hui on aurait la moitié des gens de Québec sur Laurier avec leur propre pelle en train de creuser eux même pour accélérer le chantier.
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Les villes n’ont pas les compétences pour réaliser un projet majeur d’infrastructure ($50M et plus pour un projet qui n’est pas routier).
C’est injuste de blâmer une administration pour ne pas avoir réalisé un projet dont le sort dépendait principalement de la volonté du gouvernement provincial.
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Dans la foulée de la reprise accélérée des chantiers du tramway, deux stations-service promises à la démolition tomberont dès cette semaine sous le pic des démolisseurs.
Résumé
Démolition imminente de deux stations-service pour le tramway
Par Émilie Pelletier, Le Soleil
5 août 2024 à 05h00
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L’ancienne station-service du 900, boulevard René-Lévesque Ouest sera détruite en prévision du projet de tramway. (Caroline Grégoire/Le Soleil)
Dans la foulée de la reprise accélérée des chantiers du tramway, deux stations-service promises à la démolition tomberont dès cette semaine sous le pic des démolisseurs.
Les quartiers le long du tracé du futur tramway de Québec se remettent tranquillement à grouiller de chantiers.
Selon des informations obtenues par Le Soleil, le Bureau de projet planifie de faire tomber dès cette semaine deux stations-service acquises par la Ville de Québec afin d’utiliser les terrains pour le mégaprojet de tramway.
La première, située sur le boulevard Laurier près de la route de l’Église, avait fait l’objet d’une acquisition totale, pour faire place aux rails à proximité du futur pôle d’échanges de Sainte-Foy.
L’ancien Petro-Canada fermé en 2023, à l’intersection du boulevard René-Lévesque Ouest et de l’avenue Belvédère, doit quant à lui laisser sa place à une éventuelle station de surface pour les passagers du tramway.
En attendant le début officiel du chantier, les espaces laissés vacants pourront accueillir un «aménagement temporaire, si la Ville le souhaite», selon nos informations.
D’autres démolitions dans les cartons
La démolition de ces deux anciens postes d’essence était connue et prévue. Les travaux et le budget associé avaient été autorisés par le ministère des Transports en décembre dernier, malgré la suspension du mégaprojet de six mois ordonnée par le gouvernement du Québec un mois auparavant.
Placardé et laissé à l’abandon depuis sa fermeture, l’ancien poste d’essence du 2940, boulevard Laurier sera bientôt démoli dans le cadre du projet de tramway. (Caroline Grégoire/Le Soleil)
Des activités jugées essentielles, entre autres pour réduire le risque de «sécurité publique» de bâtiments laissés vacants, comme de potentiels dégâts d’eau ou incendies.
Depuis leur fermeture respective, les deux sites sont déjà la cible de nombreux graffitis, a constaté Le Soleil lors de son passage, vendredi.
En avril, avant même la confirmation de la relance du projet du tramway par CDPQ Infra, la Ville de Québec avait ainsi enclenché un processus d’appel d’offres pour trouver un soumissionnaire responsable de réaliser ces travaux.
Son mandat prévoyait également la disparition de deux résidences à l’Îlot Landry, dans le secteur Sainte-Foy. Ces travaux se mettront eux aussi en branle ces prochains jours, pour laisser la Ville aménager ces terrains ultérieurement en un «espace vert» en bordure de la rue Landry. Une nouvelle aire de stationnement souterraine y apparaîtra aussi pour compenser en partie des cases de stationnements supprimées en raison du tramway.
Des propriétaires voisins des maisons à démolir devraient être informés dans un avis du moment précis du chantier de démolition.
Sur les rails
Comme le rapportait Le Soleil plus tôt cette semaine, la machine du tramway est bel et bien repartie, après la pause imposée en novembre 2023. Le rapport de la filiale de la Caisse de dépôt et placement, déposé en juin, recommandait l’implantation d’un tramway entre les pôles Le Gendre et Charlesbourg.
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Un chantier majeur pour le tramway sur le boulevard Laurier
Forte du feu vert du gouvernement, la Ville de Québec relance donc des appels d’offres destinés, à terme, à mettre sur les rails son réseau de transport structurant.
Notamment, un chantier de 70 millions de dollars se déploiera dès août 2025 sur le boulevard Laurier, entre la route de l’Église et l’avenue des Sciences Humaines.
Le boulevard Laurier sera le théâtre d’un nouveau chantier à compter d’août 2025. (Caroline Grégoire/Le Soleil)
D’après ce qu’il a été possible d’apprendre, d’autres appels d’offres à publier en août suivront, comme celui pour des services de conception d’infrastructures municipales et un autre pour la décontamination du terrain de la station-service du boulevard Laurier après sa démolition.
Questionnée la semaine dernière sur les autres chantiers qui pourraient bientôt apparaître dans les quartiers longeant le tramway, la Ville de Québec est demeurée discrète, s’en remettant plutôt à ses partenaires, le ministère des Transports et CDPQ Infra.
Comme un comité de transition formé des trois partenaires y travaille, Québec plaide qu’il est «trop tôt» pour s’avancer sur les échéanciers de réalisation à venir. La prochaine rencontre du trio apparaîtrait au calendrier le 21 août.
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Je reposte l’image de l’article le soleil parce que je trouve la vitesse qu’avance le chantier la tête des ponts et le projet SRB de l’avenue des hôtels très impressionnant. On voit déjà le corridor du tunnel bus et le debut des nouveaux bretelles au sud. J’ai hâte de voir plus de photo comme ça.
Aussi, beaucoup de monde ici parle de construire en “tranchée couverte”. Voilà un super exemple de cette méthode de construction en vrai.
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Tranchée ouverte = cut and cover?
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Oui
J’aime l’idée qu’on redéveloppe une expertise en TEC (SRB, Métro, REM, etc…) qui facilitera les futurs projets à Montréal et Québec, et peut-être même d’autres villes (Brossard? Sherbrooke?).
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Le meilleur moyen de développer une plus grande expertise et de permettre à plus de villes ( même les petites villes) sera de choisir un prochain gouvernement qui s’investira résolument vers les TEC, la seule réponse qui pourra aider à inverser les tendances négatives en environnement.
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Sans être anti-TC, les priorités du PCC et du PQ semblent être ailleurs.
Au contraire je dirais que le TEC est une des priorités du PQ, bien mieux que la CAQ à ce niveau! Pour le PCC le constat est moins positif.
Je suis d’accord d’un certain angle. Toutefois pour chaque fois qu’on blâme le municipal pour ne pas pouvoir réaliser X gros projet de transport (gros projet = 250M$ et +), on doit blâmer le provincial 5 fois. Après tout, c’est Québec qui donne l’argent et c’est généralement celui qui se retient. La CAQ a pour avantage d’être transparente dans le fait qu’elle méprise complètement le transport collectif.
Le tramway de Québec était presque lancé si ce n’était pas pour que Legault demande une révision du tracé. Avant bien sûr de mettre le projet sur pause pour des raisons politiques. Pendant tout ce temps, les coût vont augmenter et on verra probablement la ministre des transports blâmer les retards et les dépassements de coût sur les OPTC.
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Le PCC est anti-TC de la même manière que le ciel est bleu.
Ça réaction par rapport au tramway et au TGF en dit beaucoup. Étant un parti populiste et considérant que le citoyen ordinaire est peu informé sur les enjeux de mobilité, les conservateurs actuels seront fondamentalement contre tout investissement en TC.
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Le PQ avait fait de belles promesses en TeC en 2021.
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Bienvenue.
Oui, le TEC est une priorité du PQ dans le même sens que les questions linguistiques sont une priorité pour Projet Montréal. Pour le PQ la mobilité durable est loin d’être au premier rang de ses priorités quoi.
Notez populiste, c’est ce qui déterminera l’attitude des TC du gouvernement PCC. On le voit dans d’autre provinces menées par des élues à tendance populiste, la longueur d’avance qu’ils ont en investissements et planification des TC est embarrassant pour le Québec. On le voit même dans les pays scandinaves, malgré le virage populiste. Si la base y est favorable, les populistes sont bien enclins à investir en TC.
Mots clés; promesses électorales.
Est-ce ça occupait une partie plus significative de leur plateforme que pour les autres partis? Est-ce que depuis le PQ s’est approprié le sujet? Quels ont été leurs propos sur le transport et la mobilité durable, autre que critiquer la CAQ? Est-ce que leur appui timide au tramway depuis, et leur rejet en bloc du REM vous inspirent totalement confiance au niveau de leur futurs engagements en TC?
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