Tramway de Québec

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Juste pourquoi "mentir"pour une si petite différence de chiffre. 36 vs 40

Tramway : Marchand met une croix sur la saison de construction 2024

Une rue éventrée par une pelle mécanique.

Juin est un mois nécessaire à l’avancement des projets d’infrastructures, ce qui fait dire à Bruno Marchand que tout progrès en ce qui concerne le tramway est déjà exclu pour l’été 2024.

Photo : Radio-Canada / Guylaine Bussière

Publié hier à 15 h 01 HNE

Le maire Marchand prévient que la saison de construction 2024 ne permettra pas de faire avancer le projet de tramway à Québec, présentement à l’étude au gouvernement.

La ministre des Transports a confirmé mercredi que la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ) doit terminer son mandat pour l’analyse d’un projet de transports structurants à Québec quelque part en juin, soit en pleine saison de la construction.

Cette période est nécessaire à l’avancement des projets d’infrastructures, ce qui fait dire à Bruno Marchand que tout progrès du tramway est déjà exclu pour l’été 2024.

La saison de construction pour faire avancer le projet, c’est sûr que l’été 2024 n’en sera pas.

Une citation de Bruno Marchand, maire de Québec

Je n’ai pas de boule de cristal, mais je ne vois pas comment on peut utiliser la saison de construction de l’année prochaine sans avoir lancé d’appels d’offres. Ces appels d’offres, on doit les faires des mois avant, a indiqué Bruno Marchand, jeudi. C’est sûr qu’il n’y aura pas de nouveaux travaux pour le projet autrement que ceux qui pourraient être réalisés et ce que le gouvernement va nous permettre de faire dans ce qui était prévu, a précisé le maire de Québec.

Gros plan latéral du maire Bruno Marchand.

Le maire de Québec Bruno Marchand

Photo : Radio-Canada

Une incertitude qui comporte des risques

C’est pourquoi Bruno Marchand demande davantage de précisions de la part du gouvernement au-delà du mandat de la CDPQ. Le maire avance que, si les délais s’étirent au-delà de fin juin et si un processus plus long est lancé, la Ville aura des décisions à prendre concernant des travaux en cours et des expropriations, notamment.

Plus on tarde, plus ça a des effets sur les décisions à prendre et plus ça nous fait prendre des décisions différentes. J’ai encore cette crainte-là. Si on reporte et reporte indûment, il y a un paquet de choses qui vont s’étioler.

Il s’inquiète notamment de l’avenir du bureau de projet. Si les 6 mois deviennent 9, 12 ou 15 mois, à un moment donné […] on ne pourra pas demander au bureau d’attendre indéfiniment. C’est la même affaire avec les contrats qu’on a signés. Le risque, si on retarde, c’est de tirer dans le pied du projet.

Plus on va retarder, plus on pourrait regarder le projet mourir de sa belle mort, et nous, ce n’est pas ça qu’on veut.

Une citation de Bruno Marchand, maire de Québec

Près de 530 millions de dollars ont été dépensés ou engagés par le bureau de projet du tramway jusqu’à maintenant.

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Des partis d’opposition s’inquiètent de la mort du projet de tramway

Une esquisse montre le tramway circuler sur le boulevard René-Lévesque près de l'avenue Painchaud et de l'avenue Maguire, à l'automne.

L’une des esquisses du projet de tramway.

Photo : Ville de Québec

Publié hier à 14 h 48 HNE

Joignant leur voix à celle du maire Bruno Marchand, Québec solidaire et le Parti libéral du Québec craignent eux aussi la mort du projet de tramway en raison du délai de six mois imposé par le gouvernement Legault à CDPQ Infra pour proposer le meilleur projet de transport structurant.

Le chef intérimaire du Parti libéral du Québec et chef de l’opposition officielle, Marc Tanguay, dit avoir discuté du tramway cette semaine avec M. Marchand et pense que le développement de la Capitale-Nationale souffrira de nouveaux délais dans le projet.

M. Tanguay en point de presse à l'Assemblée nationale.

Le chef par intérim du PLQ, Marc Tanguay.

Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel

La CAQ, [ils] sont comme un gros cône orange pour le Québec […] Il ne se passe rien, ils regardent grossir les problèmes, puis ils se déclarent satisfaits. Ça arrête pas de bien aller, a déclaré M. Tanguay, en point de presse vendredi.

Le député solidaire de Taschereau et porte-parole du deuxième groupe d’opposition en matière de transports et de mobilité durable, Étienne Grandmont, quant à lui n’est pas surpris.

L’annonce de la ministre des Transports Geneviève Guilbault de ne réclamer le dépôt du rapport de CDPQ Infra qu’au mois de juin est reçue comme une énième mesure dilatoire, a-t-il commenté dans les couloirs de l’Assemblée nationale. La ministre ralentit volontairement le projet de tramway et c’est la même chose depuis 5 ans, a martelé M. Grandmont.

Un homme en conférence de presse à l'Assemblée nationale

Étienne Grandmont croit que le projet de tramway n’est pas mort.

Photo : Radio-Canada

Le député solidaire estime par ailleurs que la CAQ a peu de respect pour la Ville de Québec et pour les investisseurs du projet de tramway. Je pense qu’on en avait pour 1,8 milliard. Des projets privés, des projets sociaux, des projets à but non lucratif, a énuméré M. Grandmont. Toutefois, il croit fermement que le projet de tramway n’est pas mort.

À lire aussi :

Le gouvernement campe sur ses positions

Interrogée vendredi sur la question, la ministre Guilbault a réitéré son intention de repousser l’échéance au mois de juin. Cette semaine, on est dans la phase de démarrage de tout ça, d’organisation du travail, de transmission des documents, a-t-elle déclaré. Et de trancher : on vise juin pour le dépôt du rapport.

Une femme parle au micro à l'Assemblée nationale.

La ministre Guilbault réitère l’intention du gouvernement de fixer l’échéance à l’été 2024.

Photo : Radio-Canada

De son côté, le ministre responsable de la région de la Capitale-Nationale, Jonathan Julien, a dit vouloir attendre les résultats de la démarche qu’il qualifie de constructive pour la mobilité.

La CAQ a décidé de retirer le projet de tramway des mains de la Ville de Québec pour le confier à CDPQ Infra. La décision a été annoncée au maire de Québec, lors de sa rencontre avec le premier ministre François Legault notamment, début novembre.

Avec les informations de Pierre-Alexandre Bolduc et Olivier Lemieux

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Nouvelle vidéo de @reecemartin sur le tramway de Québec

Quebec City’s Tram Just Got a Lot Worse

The Quebec City tram is a much needed and very exciting project, but massive cost increases are going to derail things before rails are even laid! Find out more in today’s video.

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Les conséquences de la mise sur pause du projet deviennent de plus en plus importantes…

Québec a dû rassurer les fournisseurs du tramway

Par Émilie Pelletier, Le Soleil

7 décembre 2023

Un chantier du tramway, sur le boulevard Laurier|800x0

Un chantier du tramway, sur le boulevard Laurier (Erick Labbé/Le Soleil)

Lorsque le tramway a été placé sous respirateur artificiel, la Ville de Québec a été forcée de rassurer ses fournisseurs. Comme un patient à l’article de la mort qu’il faut stabiliser avant de lui prodiguer les bons soins.


Une vague d’appels a en effet frappé de plein fouet le Service des approvisionnements, au lendemain de la mise sur pause du tramway par le gouvernement Legault, en novembre dernier.

Le téléphone «a failli exploser», avait rapporté le maire de Québec, après ce revirement de scénario.

«Le plus difficile pour les fournisseurs, c’est de ne pas savoir», a confirmé jeudi le directeur des approvisionnements à la Ville de Québec, David Drouin.

Quelle sera la suite ? Est-ce que le travail réalisé ou à venir sera payé ? Est-ce que les équipes doivent être démobilisées ? Autant de questions soulevées par l’incertitude entourant la suite du projet de tramway, déjà bien entamé.

«L’important, comme à l’hôpital, c’était de stabiliser le patient et par la suite, lui prodiguer les bons traitements. C’est ce qu’on a fait. On a sécurisé les fournisseurs», décrit M. Drouin.

«Il y a le projet de tramway, mais il y a d’autres projets aussi. Ces fournisseurs-là, j’en ai besoin.»

— David Drouin, directeur du Service des approvisionnements

Pour éviter que la panique ne gagne les troupes, les équipes municipales ont dû se montrer rassurantes, en donnant la commande de suspendre les activités et autres travaux en cours, avant de fournir des «indications claires», sous recommandation du gouvernement du Québec.

«Petit à petit, on est en train de faire le nécessaire pour s’assurer qu’on conserve une bonne relation avec eux», exprime le fonctionnaire.

Québec attractive auprès des fournisseurs

Responsable de l’ensemble de l’acquisition de bien et de services, David Drouin pointe le souci constant de «conserver l’attractivité de la Ville de Québec auprès de ses fournisseurs».

Afin de dénicher les meilleurs prix dans ses achats, «on a besoin de concurrence. Il faut travailler pour augmenter la concurrence dans nos appels d’offres. Si on veut contrôler les coûts de la Ville, il faut créer un sentiment de compétition. Si les fournisseurs ne sentent pas la compétition, les coûts vont augmenter».

«Pièce maîtresse» de sa dernière année, le Service des approvisionnements a pu obtenir de nouveaux pouvoirs lui permettant d’octroyer des contrats et de payer plus rapidement ses fournisseurs.

Dans un contexte d’économie «fragile», «plus on donne de contrats et qu’on fait des paiements rapidement, plus on favorise l’économie locale et [on s’assure d’avoir] des fournisseurs heureux, qui veulent faire affaire avec la Ville», analyse M. Drouin.

Québec veut demeurer attractive pour susciter la concurrence dans ses appels d’offres. (Erick Labbé/Le Soleil)

Si la pandémie a fait «très mal», avec un nombre de soumissionnaires en baisse, la situation tend à se résorber grâce à un certain «redressement des marchés» dans les chaînes d’approvisionnement, observe-t-on.

L’économie ralentit et moins de projets publics sont mis en branle, les candidats sont donc plus nombreux pour décrocher des contrats. Résultat : de façon générale, «l’impact est à la diminution des coûts», note M. Drouin.

N’empêche, certains secteurs forcent encore la Ville à puiser dans ses poches pour assumer des coûts en augmentation, comme le déneigement, pour lequel une majorité de contrats ont été renouvelés cette année.

Par ailleurs, la Ville dit entretenir un souci pour l’approvisionnement local, un «pilier important» de ses grands principes. Déjà presque 70 % des achats sont réalisés dans l’agglomération de Québec.

«Un bon marché local, nous allons en profiter tout un chacun. Nous allons faire tout le nécessaire pour assurer que les fournisseurs de l’agglomération de Québec aient leur mot à dire dans les acquisitions», défend le directeur des approvisionnements.

LES APPROVISIONNEMENTS DE LA VILLE DE QUÉBEC EN BREF

  • 914 appels d’offres et dossiers dérogatoires
  • 703 sommaires
  • 52 000 bons de commande approuvés pour un total de 945 millions $ avant taxes
  • Plus de 26 000 transactions approuvées par carte d’achat
  • 23,9 millions $ de valeur moyenne de l’inventaire

Des centaines de millions $ «gaspillés» si le tramway meurt, regrette Marchand

Par Émilie Pelletier, Le Soleil

7 décembre 2023

Bruno Marchand|800x0

Bruno Marchand (Yan Doublet/Le Soleil)

Si le tramway déraille avant même d’avoir pris la route à l’issue d’une analyse «zéro» nécessaire, les centaines de millions $ déjà investis auront été «gaspillés», déplore le maire de Québec.


«Je pense qu’avoir investi presque un milliard $ dans un projet, il y a quelque chose d’insensé si ce n’est pas pour donner des résultats, pour démontrer que la valeur de l’argent qu’on a investi amène une plus-value», a tranché Bruno Marchand, en marge de l’analyse détaillée du budget qui s’amorce jeudi à l’hôtel de ville de Québec.

Ses propos faisaient écho à ce qu’avait déclaré un peu plus tôt le ministre responsable de la Capitale-Nationale, à moins d’un kilomètre de là, dans les couloirs de l’Assemblée nationale. Ne s’affichant pas inquiet des sommes dépensées à ce jour pour le projet de tramway, actuellement mis au rancart, Jonatan Julien a plutôt laissé entendre que l’argent n’aura pas été investi en vain. «Il y a beaucoup d’investissements qui étaient nécessaires en aménagement de toute façon», a-t-il défendu.

«Il y a des choses là-dedans dont on va bénéficier même s’il n’y avait pas de projet, mais ce n’est pas vrai que c’est pour 100 %», a répliqué le maire Marchand.

«Si on arrivait au final à avoir dépensé des centaines de millions $ pour rien, je pense que ce serait un gaspillage.»

— Bruno Marchand

Lors de la présentation du budget 2024 de la Ville de Québec, mercredi, on apprenait qu’au moins 613 millions $ auront été dépensés pour mettre le tramway sur les rails d’ici au 31 décembre.

Et ces coûts continueront de courir, alors que l’administration Marchand a prévu des dépenses supplémentaires pouvant atteindre 310 millions $ en 2024, en fonction des travaux qui seront ou non autorisés par le gouvernement du Québec. Ainsi, tramway ou non, les fonds publics dépensés pourraient frôler le milliard $ à la fin de la prochaine année.

Aurait-il été moins coûteux de continuer les processus en cours plutôt que de les interrompre et de s’exposer à des poursuites? Sans en avoir la certitude, le maire affirme que «c’est sûr que de remettre en question, ce n’est pas quelque chose de simple et qui n’a pas de coûts, qui se fait sans effet».

«Mettre ça sur arrêt, ce n’est pas juste de fermer un interrupteur et dire on attend, on ne rallumera quand on voudra. C’est très complexe.»

— Bruno Marchand

«Zéro besoin» de la CDPQ

Pour lui, toutes les analyses avaient déjà été faites et la décision du gouvernement du Québec de confier l’étude du mégaprojet à la branche de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ Infra) n’était pas nécessaire.

«On n’avait zéro besoin d’aller chercher un avis extérieur», a-t-il déclaré.

Surtout que cette organisation poursuit l’objectif premier de faire du profit. S’il est jugé qu’un projet de transport structurant ne serait pas rentable, Bruno Marchand craint qu’il puisse être tout simplement abandonné.

Pourtant, souligne-t-il, plusieurs autres projets publics n’engendrent pas de rentabilité. «Quand on a agrandi l’autoroute Henri-IV, à coup de 300 millions $, est-ce qu’on a eu de la rentabilité? […] La réponse est non.»

Oppositions veulent des réponses

Pour une troisième journée consécutive, les oppositions sont revenues à la charge avec la demande de voir le directeur du Bureau de projet du tramway devant eux afin de répondre à leurs questions. Les séances du comité plénier sur l’étude du budget municipal s’ouvraient jeudi à l’hôtel de ville.

Chef de l’opposition officielle, Claude Villeneuve a promis de répéter cette demande chaque jour jusqu’à ce que la réponse obtenue soit positive.

Compte tenu de l’incertitude qui flotte au-dessus du mégaprojet, le maire Marchand a déjà refusé d’acquiescer à cette requête.

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Des travaux préparatoires du tramway : pour quoi?

Les travaux préparatoires du tramway achèvent sur la 3e Avenue, dans Limoilou. Après des mois de dérangement, les commerçants se demandent si ça aura valu le coup.

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Les plans de CDPQ ont fuités. La société prévoit intégrer le tramway à son projet de TGx. :laughing:

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Dans le Soleil:

Le mandat de la filiale infrastructures de la Caisse de dépôt et placement du Québec est officiellement lancé, six semaines après le retrait de la gestion du projet de tramway des mains de la Ville de Québec et de son maire Bruno Marchand, a appris Le Soleil.

[…]

Malgré les délais, l’échéancier fixé en juin demeure, comme prescrit par le gouvernement du Québec. «CDPQ Infra vise juin 2024 pour déposer les résultats d’analyse et ses recommandations».

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Nous rappelons que l’objectif est de recommander le ou les meilleurs modes de transport pour la Communauté métropolitaine de Québec

Plus je lis entre les lignes, moins je crois que CDPQi veut réaliser quoi que ce soit au delà du rapport.

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Ah yes, une étude. Vraiment ce que Québec a de besoin.

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J’ai été encouragé par François Legault qui disait que lorsque la caisse allait remettre son rapport, qu’ils allaient « foncer ». (Source: Infoman)

Je l’aime vraiment Infoman. Avec sa renommé, il réussi à avoir accès à des personnalités publiques comme peu d’autres journalistes. Il a son coté satyrique, mais les sujets dont il parle sont pertinent, et parfois, il réussi à avoir des réponses franche à des questions importante.

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Reste à voir comment il justifiera l’arrêt si le rapport recommande le tramway…
On s’entend que des rapports, on en a vu en masse sur le bureau de Marchand lors d’Infoman ! Contrairement à ceux sur le 3e lien !
Comme Legault a aussi dit, faut écouter la population, et s’il croit qu’il est plus payant pour lui de scraper le projet, j’ai comme l’impression qu’il va le faire…

Je ne pense pas que c’est un signe encourageant ni décourageant.

C’est sûr que François Legault ne dira jamais à Infoman qu’ils vont tabletter le futur rapport de la Caisse :grimacing: et il est connu pour faire des promesses dans le vide juste pour plaire…

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Je pense que le rapport ira plus loin que de juste dire que le tramway est le bon mode (ce qui semble assez incontournable rendu là)

La Caisse peut aussi proposer un modèle financier différent et des manières de faire dégonfler la facture. Même si elle ne participe pas financièrement.

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J’ai entendu quelqu’un (qui n’est pas lié au projet) avancer l’idée d’un pont à péage et je trouve que ça l’a du sens.

Selon moi, ils mettraient un mode lourd dessus (un tramway j’imagine) pour s’assurer du financement fédéral.

Une pierre deux coups pour la CAQ qui réaliserait un troisième lien et une version 2.0 du projet de tramway.

D’après moi ce sera difficile de lier les 2 modes (autos et rail) dans le même projet et on l’a vu avec la première mouture.

Pour qu’un tramway inter-rive soit un succès, il faut je pense relier directement les 2 centre-villes. Ce qui implique de rendre archi-compliqué les connexions autoroutières du projet.

Si on veut simplifier la portion autoroutière du projet, on déplace le lien à l’est ou à l’ouest des centre-villes… ce qui rend moins attrayant le tramway pour les utilisateurs.

Au niveau des coûts, je pense qu’il n’y a aucun gain à jumeler les 2 modes. Ça demande des tunnels gigantesques pour intégrer les 2, alors aussi bien créer des tunnels ou des ponts séparés.

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La première mouture se faisait dans une optique de tunnel. Peut-être qu’avec un pont ce sera différent… À suivre en juin!

À voir les impacts du pont Jacques-Cartier sur Centre-Sud et le secteur Charles-Lemoyne de Longueuil, je doute qu’un tel troisième lien n’ait ps d’impacts catastrophiques sur le centre-ville de Québec.

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