Toronto: projets et actualités

Wow, the quality is amazing, this might be my new favourite tallest building in Canada!

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Great shot - looks a few years old (no Canada House, TD Terrace, Sugar Wharf yet) - will have to make my way to the island to get some updated skyline shots!

Here’s a lesser seen skyline view from the Casa Loma tower this summer

06142024-121 by Matthew McQuilkin, on Flickr

A nice north view shot, also from late in the summer

Imgur

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Some pics of the very over budget and very behind schedule new St Lawrence Market North building - still though, it is a nice addition to the area. The building houses a market space on the ground floor which the Antique / Variety markets will relocate to from the temporary South Market building (tent), with municipal court spaces above. There is also a through connection to St Lawrence Hall to the north

St. Lawrence Market North by Marcanadian, on Flickr




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27 décembre 2024 • IKEA Toronto Downtown


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While you’re there, have them convince to open one downtown, merci

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Je vais négocier ça en boulettes.

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4 décembre 1982 :rofl:

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27-28 décembre 2024
Jours 1 et 2. À mon avis, la qualité architecturale des projets à Toronto est plus élevée qu’à Montréal.









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Ya beaucoup plus d’argent a Toronto qu’a Montréal ca explique beaucoup de chose.

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28-29 décembre 2024
Quelques chantiers de la ligne Ontario, 15,6 km de métro automatisé.

Station Exhibition

Station King/Bathurst



Station Queen/Spadina




Station Osgoode


Station Queen


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30-31 décembre 2024
Quelques autres chantiers de la ligne Ontario. Mise à jour finale pour tout ce qui touche à ligne Ontario puisque je monte à bord du train vers Vancouver demain. Ne vous inquiétez pas, j’ai encore quelques photos à partager!

Station Corktown


Station Thorncliffe Park

Station Science Centre
Cette station est également une station du SLR Eglinton Crosstown.








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Résumé

Toronto a-t-elle besoin de tours ultra-hautes?

9 tours de plus de 300 mètres sont prévus à Toronto, mais certains ont des sentiments mitigés à leur égard.

Toronto a le plus de tours ultra-hautes dans le pays.

Photo : Radio-Canada / Camile Gauthier

Publié à 5 h 43 HNE

Toronto est en tête du pays dans sa construction de gratte-ciel ultra-haut. Neuf tours du genre sont en cours de développement. Mais ce genre de logement répond-il aux besoins de la population? La question divise.

Le Conseil des grands immeubles et de l’habitat urbain qualifie une tour ultra-haute d’un bâtiment de 300 mètres en hauteur ou plus.

À Toronto, la tour la plus élevée en voie de construction est la tout Commerce Court 3, d’une hauteur de 376.6 mètres, située au 25 rue King Ouest. La tour la plus élevée actuellement en construction est la tour SkyTower de 346.7 mètres et de 105 étages située au 1 rue Yonge.

Deux autres tours sont également en voie de construction, les tours Concord Sky au 385 rue Yonge et The One au 1 rue Bloor Ouest.

Isaac Work, coordinateur des données au Conseil des grands immeubles et de l’habitat urbain, se réjouit des projets.

Le conseil est très enthousiaste à l’idée de voir ce niveau de développement à Toronto. La métropole dépasse la majorité des grosses villes dans sa construction d’immeubles de grande hauteur, affirme-t-il.

L’écrivain et ancien architecte, Lloyd Alter, s’oppose à la construction de tours ultra-hautes.

Photo : Radio-Canada / Soumis par Lloyd Alter

Mais le besoin de construire des tours ultra-hautes à Toronto ne fait pas l’unanimité.

Lloyd Alter, un écrivain et ancien architecte et promoteur immobilier, n’y voit aucun atout.

Selon lui, les bâtiments détruisent le paysage urbain des espaces qu’ils occupent en raison de leur grande empreinte au sol et du vent qui s’accumule au pied de l’édifice.

Certaines des tours peuvent aussi être chères à construire et à opérer en raison des coûts élevés des matériaux. Les temps d’attentes pour les ascenseurs sont aussi laborieux par moment.

Ces tours ultra-hautes créent un grand désagrément , affirme M. Alter.

Celui qui est aussi professeur d’architecture d’intérieur à l’Université métropolitaine de Toronto, l’abordabilité demeure toutefois le plus grand défaut de ce genre de logement.

Selon lui, certaines des tours se vendent à 1500 $ le pied carré. C’est un prix que peu de résidents pourront assumer, selon lui.

Ce sont clairement des logements réservés à des personnes très riches et il s’agit probablement de résidences secondaires.

Une citation de Lloyd Alter, écrivain et ancien architecte et promoteur immobilier

Le besoin d’augmenter l’offre de logements

Anson Kwok, le vice-président des ventes et du marketing de Pinnacle International, le promoteur de la tour Commerce Court 3, croit que les tours ultra-hautes profitent de l’infrastructure de la ville.

Photo : Radio-Canada / Soumis par Anson Kwok

Anson Kwok est le vice-président des ventes et du marketing de Pinnacle International, le promoteur de la tour Commerce Court 3.

Les gratte-ciel ultra-hauts sont, de son point de vue, la nouvelle génération de bâtiments à Toronto.

Ça ajoute quelque chose d’unique à la ligne d’horizon de la ville. C’est excitant , souligne-t-il.

M. Kwok croit d’ailleurs que la construction des tours ultra-hautes est une des meilleures façons d’accroître l’offre de logements en ville.

Toutes les formes de logements se veulent et les gens doivent être ouverts pour déménager dans différents endroits, dans différents types d’unités.

Une citation de Anson Kwok, vice-président des ventes et du marketing de Pinnacle International

Il ajoute que la majorité des tours ultra-hautes à Toronto se trouvent à proximité du transport en commun. C’est ainsi qu’elles profitent de l’infrastructure déjà en place.

À titre d’exemple, les résidents de la tour Commerce Court 3 auront accès à l’autoroute Gardiner, la gare Union et l’aéroport Billy Bishop. Ils pourront aussi se rendre à pied au quartier financier.

Nous essayons d’utiliser tous ces atouts au centre-ville pour plus facilement faire bouger les gens.

Une citation de Anson Kwok, vice-président des ventes et du marketing de Pinnacle International

À lire aussi :

Densifier les quartiers résidentiels de Toronto?

Mais pour certains Torontois, la solution à la crise du logement est loin d’être les tours ultra-hautes. Selon Lloyd Alter, la clé serait de changer certains règlements de zonage.

Il fait référence à la une ceinture jaune, soit le regroupement des quartiers résidentiels couvrant environ trois quarts de la superficie de la ville dans lesquels on impose des restrictions sévères au développement.

En général, dans cette zone, il n’est pas permis de construire autre chose que des maisons unifamiliales sur de grands terrains.

Un règlement que déplore Lloyd Alter.

Nous devons modifier notre zonage afin de pouvoir construire plus de logements là où nous ne pouvons pas le faire aujourd’hui , inculque-t-il, en citant comme exemple la construction d’immeubles de quatre à huit étages le long des rues Dundas et Saint Clair.

L’architecte Mitchell May croit que la construction d’immeubles de taille moyenne dans les quartiers résidentiels de Toronto pourrait être difficile.

Photo : Radio-Canada / Soumis par Mitchell May

L’architecte Mitchell May abonde dans le même sens. Il rappelle que bien des résidents dans ces quartiers résidentiels veulent éviter la construction de ce genre de logements.

Les propriétaires de Toronto ne veulent pas que cela se produise. C’est pourquoi cela ne s’est pas encore fait. Mais ces changements permettraient à plus de gens de s’installer dans ces quartiers, qui deviendraient plus actifs, plus animés.

Une citation de Mitchell May, architecte à Gaiaimo architects

Une offre de logements diversifiée requise

Kyle Knoeck, directeur du zonage pour la division de l’urbanisme de la ville de Toronto, défend la construction de tours ultra-hautes.

Photo : Radio-Canada / Soumis par Kyle Knoeck

De son côté, Kyle Knoeck, directeur du zonage pour la division de l’urbanisme de la ville de Toronto, maintient que la Ville a besoin d’une gamme variée d’options de logement pour répondre aux besoins de sa population diversifiée, y compris des ménages non familiaux.

Les gratte-ciel ultra-haut font partie du tissu urbain et ont un rôle à jouer dans l’avenir de la ville, tout comme les immeubles de taille moyenne , dit-il.

Il rappelle que la ville s’efforce déjà de réformer les règlements de zonage afin de permettre un plus grand nombre de logements de moyenne et de faible hauteur dans les quartiers résidentiels, notamment en autorisant les minimaisons en fond de cour et les pavillons de jardins.

Les tours ultra-hautes ne reflètent pas nécessairement la demande de logements abordables, mais plutôt la demande des investisseurs. Toronto doit répondre à la demande de logement en construisant aussi des logements à loyer indexé sur le revenu.

Une citation de Kyle Knoeck, directeur du zonage pour la division de l’urbanisme de la ville de Toronto

D’ailleurs, le conseil municipal vient d’annoncer un nouveau programme d’incitations pour ce genre de logements locatifs.

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Et surtout un état d’esprit beaucoup plus positif envers les promoteurs avec peut être moins de contingences de toutes sortes mettant à l’épreuve la patience de ceux-ci et tenant compte que leur solidité financière ne leur permettant pas d’attendre des années avant d’avoir une réponse s’ils doivent se lancer dans l’aventure ou non. À vouloir tout bien contrôler, on finit avec des miettes et des design moches après 10 ans de pertes de temps en discussions et remises en question existentielles…

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