Toronto: projets et actualités

…Il souligne qu’il ne conseille l’achat sur plan qu’à des clients pour qui le risque pose moins problème et que dans des circonstances particulières. Selon lui, la pratique a effectivement permis à des acheteurs de faire de bons profits rapidement lorsque les conditions du marché y étaient propices. En 2022 par exemple, un rapport de la chambre immobilière de Toronto faisait état d’une augmentation des prix de près de 13 % par rapport à l’année précédente.

L’avocate spécialisée en droit immobilier, Laurence Dutil-Ricard, déconseille ce type de transaction et souligne que les contrats sont souvent rédigés à l’avantage des développeurs.

Selon elle, les modifications qui peuvent être apportées au projet et leurs conséquences sur le prix de l’immeuble peuvent être sous-estimées par les acheteurs et devraient toujours faire l’objet d’une révision légale attentive.

M. Fortin concède qu’il n’avait pas bien évalué les risques avant de se lancer dans l’achat d’une propriété sur plan et croit que ce type de transaction devrait être mieux réglementée pour protéger les acheteurs.

Me Dutil-Ricard souligne que la vente sur plan constitue un moyen pour les développeurs de mitiger le risque financier d’un projet en le partageant avec les futurs propriétaires.

La faiblesse du marché représente aussi un défi pour les développeurs qui comptent sur ces ventes sur plan pour financer une partie de leurs projets et obtenir le financement de grandes institutions.

Dans son rapport, la firme immobilière Urbanation souligne que le nombre d’unités de condominiums neuves invendues en développement (y compris les projets en préconstruction, en construction et récemment achevés) ont atteint un niveau record de 24 277 unités à la fin de 2024. Elle ajoute qu’il pourrait falloir jusqu’à cinq ans pour écouler les stocks actuels si le marché ne connaît pas un rebond significatif.

Résultat : un ralentissement important du nombre de mises en chantier de ce type d’habitations qui pourrait mettre en péril l’objectif annoncé du gouvernement de l’Ontario de construire un million et demi de nouveaux logements d’ici 2031.

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After a very long delay (the original supplier went bankrupt) the glass block panel installation has begun at King - I don’t love the large exhaust vents but as I understand it they’re mainly located on the lower floors near the back of the building.





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« Le Grand Toronto serait probablement le pire marché (de copropriétés) au Canada à l’heure actuelle, compte tenu de la forte demande des investisseurs, qui a maintenant disparu, et de l’offre qui continue d’affluer sur le marché », a déclaré Robert Kavcic, économiste principal à la Banque de Montréal.

« La situation est similaire partout au Canada, dans une certaine mesure, en raison de la très forte croissance démographique », a ajouté M. Kavcic, précisant que « le contexte est beaucoup plus difficile à Toronto ».

À l’autre extrémité du spectre se trouve Montréal, où les ventes de copropriétés ont augmenté de plus de 15 % en mars et de près de 17 % au premier trimestre.

Le prix médian d’une unité, malgré une hausse de 5 % en mars par rapport à l’année dernière, demeure relativement abordable à 420 000 $, comparativement à 682 000 $ dans la région du Grand Toronto.

Selon M. Kavcic, « le marché des copropriétés dans d’autres villes, comme Calgary, se porte également mieux ».

La Chambre immobilière de Calgary a indiqué que les statistiques des ventes effectuées jusqu’à présent en 2025 sont « bien supérieures aux tendances à long terme du premier trimestre ».

La région du Grand Vancouver se situe quelque part entre les deux, selon un rapport publié le mois dernier par Rishi Sondhi, économiste à la TD.

Il a affirmé que le marché des copropriétés de Vancouver ne connaît pas un déséquilibre aussi important entre l’offre et la demande. Il a noté que la construction de copropriétés se porte mieux à Vancouver, puisqu’elle est probablement soutenue par une demande plus résiliente ces dernières années.

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Projet de coopérative d’habitations à Toronto

L’aménagement paysager est le design du studio fondé par Claude Cormier

Designs for a massive new housing development across from Scarborough’s Kennedy GO station look something like a technicolour game of Connect Four.

Hundreds of windows on three different towers are framed in circles of concrete, stained to vivid shades of yellow, orange, blue and red. The towers sit on a wide, interconnected base, which the architects say will be home to gathering spots, community gardens and a blanket of greenery.

It’s an unusual proposal for an unusual building. The design renderings for 2444 Eglinton Ave. East, between Kennedy Road and Midland Avenue, are a blueprint for a massive co-operative housing effort posed to transform a parking lot and autobody shop into a co-op consisting of 612 affordable to market-priced rental units, plus hundreds more market condos.

He wants the project to be beautiful, and believes it will be, with landscape work by Montreal-based firm CCxA — founded by the late Claude Cormier, the designer behind Toronto’s Berczy Park and its whimsical dog fountain. The idea is to have the new street open onto the existing green space trails behind the property, Henriquez said, so it transitions from an “inhospitable” road to a pastoral area.

Rendus par The Mirage Studio

Moi aussi, le projet me fait penser au jeu Connect 4 :thinking:

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J’espère que Carney va dire non à cette lubie…

Ford wants Carney’s support to build tunnel under Highway 401

Ontario Premier Doug Ford’s government is asking Prime Minister Mark Carney to streamline the approval of multiple “priority nation-building projects,” including the Highway 401 tunnel. CBC’s Shawn Jeffords has reaction.

:scream_cat: Il va juste avoir plus de voitures à l’intérieur de Toronto centre. C’est déjà affreux. Les transports en commun ne peuvent même pas circuler. Rendu là, je ne comprends pas. L’Ontario a son troisième lien aussi faut croire. Ça n’a pas de sens que Toronto agrandisse son transport routier, il est déjà saturé! À la place où ils sont, ils vont devoir raser des parties de leur centre-ville pour ajouter des routes et des stationnements. C’est un énorme recul.