Dans un sondage Ma Voix Ma STM sur le Plan Stratégique Opérationnel 2030 (PSO30).
Collaborer avec nos partenaires pour la mise en place d’une solution technologique permettant aux utilisateurs d’organiser, de réserver, et de payer un trajet en ayant recours à plusieurs modes de transport depuis une plateforme unique
Something interesting I found, STM made a Threads account (Meta’s competitor to Twitter). None of the other transit agencies have made an account yet (it’s only been available since July 5th at 7pm).
Je suis d’accord avec la cause. Par contre, c’est une faute de ponctuation assez frappante d’écrire le slogan de cete manière. Il n’est pas supposé d’avoir de sujet dans une phrase impérative.
La phrase correcte serait: " Témoins? Agissons!" Mais bon, c’est la ville de Montréal. Ils ont sûrement le droit de faire ce que bon leur semble avec la langue française. On est au Québec après tout.
I personally quite like this change. Well maybe in an other way. But I think it’s great.
Travelling around Montreal I would know directly if a bus passes frequently or not. I wouldn’t have to find the paper schedule or look on internet.
Maybe what I do isn’t that frequent. But I like to just walk around Montreal without too much of a goal, exploring the city. So this would be nice.
Changing the number would mean that you could know just looking at the bus if it’s a frequent line which could be useful?
For me I think I would memorize a lot more easily which are frequent. Particularly because of where I live in the West Island.
10 août 2023 à 16h22 - Mis à jour 10 août 2023 à 18h10 2 minutes de lecture
Les nouveaux tourniquets du métro devaient être installés de juillet 2022 à février 2023, mais des problèmes techniques ont fait en sorte que le projet a dû être mis sur pause. Alors que «37% des équipements ont été transformés, soit l’équivalent de 43% des stations», la STM vise à reprendre le remplacement des tourniquets restants «d’ici la fin de l’année», affirme la conseillère corporative pour la STM Justine Dufour-Lord.
Les nouveaux équipements sont dotés d’une nouvelle technologie qui pourrait, à terme, permettre de payer un accès au métro avec une carte de débit ou de crédit à même les tourniquets. Une bonne idée qui «améliorerait l’attente» et qui «aurait dû être réalisée plus tôt», selon des usagers sondés par Métro alors qu’ils attendaient en file pour se procurer de nouveaux titres de transport à la station Berri-UQAM, l’une des plus achalandées du réseau.
«Les enjeux rencontrés actuellement n’ont pas d’impact sur l’échéancier de déploiement d’une solution de paiement ouvert, projet piloté par l’ARTM de concert avec les opérateurs publics de transport en commun», rassure Mme Dufour-Lord.
Dès que des enjeux de fiabilité des nouveaux équipements du fournisseur Conduent Business Solutions ont été remarqués par la STM l’automne dernier, le déploiement a été suspendu afin de minimiser les impacts sur l’expérience client et les impacts opérationnels pour les équipes d’entretien, explique la conseillère corporative de la STM.
Le président du conseil d’administration de la STM, Éric Alan Caldwell
La Société de transport de Montréal (STM) commence à sortir la tête de l’eau après trois ans de difficultés financières. Le soir et le week-end, l’achalandage est maintenant de retour à pratiquement 100 % du seuil prépandémique, affirme son président.
« Pour moi, c’est un nouveau cycle qui commence. On vient de vivre un cycle infernal où on était tirés par le bas. Là, il faut amorcer un cycle vers le haut », lance Éric Alan Caldwell, en entrevue avec La Presse.
À ce jour, le taux global d’achalandage quotidien par rapport à 2019 est d’environ 77 % en moyenne, dans le métro et les autobus, une hausse d’environ trois points de pourcentage par rapport à mai dernier. Pour tous les observateurs, la principale raison est encore évidente : le télétravail.
Cela dit, en dehors de la semaine et des heures de travail, ça change vite et pour le mieux, selon le président. « Le soir et le week-end en ce moment, donc le plus souvent pour des besoins autres que le travail, on est pas mal revenus à 100 %, note M. Caldwell. Dans l’évènementiel, on le surpasse même parfois. Là-dessus, on est vraiment revenus aux habitudes qu’on avait avant. »
Ultimement, même si les gens prennent moins le transport collectif pour le travail, « leurs habitudes n’ont pas changé pour autant », estime-t-il. « On pensait qu’il y aurait un lissage des heures d’achalandage, mais on constate que non, les gens se déplacent comme avant, avec les mêmes patterns, aux mêmes heures. Et ça, c’est une bonne nouvelle. »
L’élan sur lequel on était, on veut clairement le reprendre. Moi, je suis tanné de revenir en arrière. Là, on commence à reconstruire une offre de service.
Éric Alan Caldwell, directeur général de la STM
95 % de l’offre d’antan
En faisant le point lundi sur son état de service pour la rentrée, la STM en a profité pour confirmer que son offre de service atteindra à l’automne « 95 % du niveau prépandémique », ce qui représente là aussi une augmentation de quelques points de pourcentage par rapport au printemps. Le gros de l’augmentation de fréquence sera fait sur 75 lignes d’autobus à l’automne, soit une hausse globale de 3 %.
Comme prévu, les heureuses élues sont surtout situées sur de grands axes, comme la ligne 18 – Beaubien, qui verra son nombre de voyages augmenter de 30, ou la ligne 24 – Sherbrooke, où on ajoutera jusqu’à 35 trajets chaque jour.
Plus à l’ouest, la 196 – Parc-Industriel-Lachine obtiendra aussi entre 20 et 25 voyages de plus, tandis que pour la ligne 211 – Bord-du-Lac, ce sera jusqu’à 10 trajets supplémentaires. La ligne 470 – Express-Pierrefonds, enfin, aura trois voyages de plus en pointe matinale vers la station Côte-Vertu.
Pour l’instant dans le métro, toutefois, le service demeurera inchangé, la STM ayant préféré investir dans l’ajout de près de 60 ressources en sécurité, dont des constables spéciaux. Quand on lui demande quand ce sera le tour du métro, dont le service n’a pas été augmenté depuis 2019, M. Caldwell reste prudent, mais « optimiste ». « On va y arriver, mais je ne peux pas encore vous dire quand », résume-t-il.
« Dans le métro, on considère encore malgré tout que c’est moins critique que pour l’autobus à l’heure de pointe, puisque le métro a quand même une grande capacité. Il fallait faire un choix », insiste le gestionnaire.
Il faut dire que tout dépendra en grande partie du plan de la ministre des Transports, Geneviève Guilbault. Celle-ci doit en théorie présenter cet automne son plan pour le financement du transport collectif sur cinq ans, après une série de consultations entamées le printemps dernier. La ministre a déjà dit vouloir « rationaliser » les dépenses, sans toutefois s’avancer davantage.
À ce sujet, Éric Alan Caldwell affirme que la direction de la STM travaille toujours « très fort » pour identifier des pistes de réduction des dépenses « récurrentes ». « On en a identifié, mais on n’est pas encore en mesure de faire un point chiffré là-dessus. »
En savoir plus
23 millions
En février, la STM avait annoncé un vaste « plan de réduction des dépenses non récurrentes » d’environ 18 millions pour réduire son trou budgétaire. Ce printemps, l’organisme traînait toujours un manque à gagner d’environ 23 millions, mais celui-ci a depuis été pris en charge par l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM).
PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE
« Un affichage sur les énergies fossiles, à titre personnel, je peux vous dire que ça va à l’encontre de mes valeurs et des ambitions de la société de transport », a expliqué mercredi le président de la STM, Éric Alan Caldwell.
Pressée par des organisations écologistes, la Société de transport de Montréal (STM) songe à interdire l’affichage relié à l’industrie des énergies fossiles dans le métro et les autobus. Une révision du cadre publicitaire est en cours à ce sujet.
Publié à 19h19 Henri Ouellette-Vézina LA PRESSE
« On a pris la décision de réviser le cadre, parce que comme vous, on se questionne. […] Un affichage sur les énergies fossiles, à titre personnel, je peux vous dire que ça va à l’encontre de mes valeurs et des ambitions de la société de transport », a expliqué mercredi le président de la STM, Éric Alan Caldwell.
Il répondait ainsi à plusieurs membres d’organisations écologistes s’étant déplacés au conseil d’administration de l’opérateur pour réclamer des changements.
Plusieurs groupes, dont Greenpeace, Équiterre, l’Association québécoises des médecins pour l’environnement (AQME), demandent en effet à la STM « d’interdire la publicité des industries, produits et services liés aux combustibles fossiles, tels que les services publics d’essence et de gaz ». On demande aussi de mettre fin aux affichages liés « aux véhicules à moteur à combustion interne ».
Les publicités du groupe, dont les six sociétés produisent environ 95 % du pétrole canadien issu des sables bitumineux, faisaient notamment valoir que l’exploitation de ces sables bitumineux sera carboneutre d’ici 2050. Or, selon les groupes écologistes, cette prémisse s’appuie « sur des technologies de capture et de stockage du carbone qui se sont jusqu’à maintenant révélées inefficaces et coûteuses ».
Cette publicité était aussi présente dans certaines installations de la STM, qui soutient l’avoir depuis retirée. « Cette campagne-là, elle est terminée. Il ne devrait plus y avoir d’affiches. […] Ça a suscité des débats et une réflexion », a dit M. Caldwell. Il précise toutefois qu’une révision des normes publicitaires de la STM implique de réaliser des « analyses juridiques », puisque ses annonceurs sont tenus de respecter le Code canadien des normes en publicité.
Depuis plusieurs années, le contenu publicitaire qu’on retrouve dans le métro ou les autobus passe par fournisseur commercial de la STM, Trangesco. Ce dernier n’a toutefois « aucun droit de censure au-delà des règles qui encadrent les publicités au Canada », avait soutenu la société par le passé. Une révision du cadre publicitaire impliquerait donc de revoir certaines juridictions.
« Il y a une évolution du débat public et, je crois, du rôle de la STM dans la société. […] Toutes les autres sociétés de transport au Canada, bref le balisage de ce qui se fait ailleurs, ça fera partie de la réflexion », a mentionné Éric Alan Caldwell.
Il y a une différence entre les énergies fossiles et le marketing mensongeur. Celui sur les sables bitumineux entre plus dans le deuxième cas.
Une société de transport en manque de financement et utilisant elle-même des énergies fossiles pour opérer peut-elle vraiment cracher sur l’industrie pétrolière?!
Juste cette exercice de questionnement est hypocrite et un gaspillage de fonds.