STM - Discussion générale sur le service et le réseau d'autobus

J’y repense et la désignation ligne fréquente pourrait être utile comme moyen de reconnaître les services de bus de type turn up and go. Par contre le 8 et 9 ne me dissent pas grand chose.

Que pensez-vous du 6, référence à l’ancien réseau 10 MAX? Les OPTC ne l’utilisent pas vraiment présentement. Ils pourraient tous présenter leurs lignes 600 comme lignes qui ont comme objectif de 6 passages minimum durant, par exemple au moins une période de pointe (ou des critères plus stricte comme 6 minimum de 7h à 19h en semaine).

Le 100 ou le 1000 pourraient aussi être une numérotation facilement assimilable pour les usagers. Il n’y a pas énormément de lignes hautes fréquences, hors des express, donc dépendant des critères du réseau, 99 numéros devraient être suffisant pour tous les OPTC.

En alternative, une lettre comme F pourrait donner plus de flexibilité pour le critère du réseau.

Je me demande si on ne devrait pas laisser les suffixes pour les directions (-S, -O, -N, -E) et les préfixes pour les types (Fréquents, express Rapide, Navette/Taxi).

J’aime bien l’approche du RTC de Québec: les bus ont des couleurs différentes selon le niveau de service. Vert pour les métrobus, bleu pour les bus réguliers, rouge pour les express, etc. C’est simple et facile à comprendre.

Ça enlève un peu de flexibilité opérationnelle par contre?

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Oui exact. Ce n’est pas un aussi gros enjeu à Québec où tous les Métrobus sont des articulés et vice-versa.

Les couleurs sont présentement utilisées pour différencier les OPTC. Par exemple la STM est en bleue, EXO en noir, le RTL en rouge, etc.

J’ai pensé à un système (semblable à l’actuel), mais numéroté en fonction des niveaux de service.

  • (1,2, 4 et 5) sont réservé aux navettes métro (interruptions ou quand une station est fermée)
  • 10 à 99 sont réservée aux lignes à fréquences élevées toute la journée (beaubien)
  • 100 à 199 sont réservées au lignes uniquement fréquentes à l’heure de pointe (rosemont, jarry)
  • 200 à 399 sont pour les lignes dites “locales” (ex: villeray, jean-talon ouest)
  • 400 à 499 sont pour les lignes disponible uniquement à l’heure de pointe (couture, christophe-colomb)
  • 500 à 599 sont pour les services de nuit.

Ma logique va comme suit : les numéros les plus simple devraient être attribués aux lignes à plus hautes fréquences. Les lignes aux numérotations simples sont des lignes “inter-quartier”. Ainsi, ces lignes sont plus faciles à “identifier” pour tout le monde.

Pour les lignes locales, on peut se permettre des numéros plus complexes car elles sont souvent utilisé par les citoyens des quartier traversé qui connaissent mieux les lignes de bus de leur environnement immédiat.

J’aime aussi l’idée d’utiliser des suffixes pour indiquer la direction. On aurait par exemple:

  • 39-N et 39-S pour remplacer la 439
  • 239-N et 239-S pour remplacer la 139
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REM : Toujours de la grogne à cause de la refonte des bus à l’IDS

Posted on 31 juillet 2023
Author Carl Sincennes, Initiative de journalisme local


La photo, en haut de cet article, a été prise par Carl Sincennes lors de l’annonce de la refonte de la desserte de bus de l’IDS en avril 2023.

En raison de l’arrivée du REM, la desserte d’autobus de la STM a été complètement refaite à l’Île-des-Sœurs et modifiée à Verdun. Cette nouvelle mouture entre en service dès le 31 juillet. Même s’ils sont nombreux à se réjouir, plusieurs personnes ne décolèrent pas face aux changements.

Plus de transferts pour se rendre au centre-ville à partir de l’Île-des-Soeurs

André Marenger réside dans le complexe Sax, sur le chemin du Golf de l’IDS. Il possède une voiture, mais préfère de loin utiliser le transport en commun, surtout pour se rendre au centre-ville. Il emprunte la 168 Cité-du-Havre qui l’amène en une vingtaine de minutes à la station de métro Square-Victoria.

« Avec le REM, je croyais que ce serait intéressant, mais à la lumière des nouveaux circuits qu’ils ont mis en place, pour moi, c’est une façon de revenir à la voiture. Les nouveaux parcours allongent de beaucoup les transports. C’est vraiment plus compliqué de se déplacer au centre-ville », dit-il.

Selon ses calculs, un trajet actuel de 20 minutes pour se rendre à la Place Ville-Marie prendra un minimum de 30 minutes. Mais, l’enjeu majeur est qu’il impose des transferts. En plus d’aller au centre-ville, il emprunte la 168 pour se rendre directement sur la rue Wellington, dans Griffintown, ou dans le Vieux-Montréal. Mais, il devra maintenant prendre la 172 Du Golf ou la 176 Berlioz qui le conduiront tous les deux à la station IDS du REM pour rejoindre la Gare centrale.

Impossible de revenir de l’IDS à Verdun après 22h40 sans passer par la Gare centrale

Stéphane Germain réside à Verdun, sur la rue Joseph, mais travaille à l’IDS. Avant les changements, il prenait l’autobus 12 Île-des-Sœurs, sur le boulevard Gaétan-Laberge jusqu’à la rue des Sommets pour aller travailler. L’autobus de 23h04, le dernier de la journée, le ramenait chez-lui.

Depuis la refonte des trajets et des horaires, le bus 12 de 23h04 a disparu et le dernier est maintenant à 22h40. Auparavant, s’il le manquait, il devait prendre la 168 Cité-du-Havre qui l’emmenait à la station de métro McGill. Il devait ensuite prendre le métro pour revenir jusqu’à Verdun. La 168 cessera dorénavant son service à 21h. La seule option restante à M. Germain : la 176 Berlioz pour se rendre à la station IDS du REM en direction de la Gare centrale puis le métro pour revenir à Verdun.

« Ça multiplie les correspondances, ça augmente les temps d’attente. Au lieu d’arriver à 23h40 chez-moi, j’arriverais à 0h20, soit 40 minutes de plus. C’est loin d’être pratique. C’est impossible de contenter tout le monde, mais il y a beaucoup de monde qui travaille à cette heure-là », peste-t-il.

M. Germain a déjà fait deux plaintes par téléphone en ce sens et déposera une pétition d’une quinzaine de signatures. Sa gestionnaire écrira également à la STM. La première plainte concernait l’horaire de semaine. La deuxième était pour exprimer son mécontentement par rapport au fait que la 12 serait en service jusqu’à 1h du matin les vendredis et samedis soirs. Selon lui, il est injuste de prioriser les gens qui sortent au détriment des gens qui travaillent.

Il se sent prisonnier de cette situation en raison de son budget serré, puisque ni la voiture, ni le vélo électrique ne sont des options pour lui et qu’il tient vraiment à conserver son emploi.

Stephane Germain a reçu un appel vendredi de la STM. Le bus de 23h04 de la 12 devrait être remis en service à l’hiver. Son retrait dans l’horaire actuelle serait une erreur. Nouvelles d’Ici a demandé une confirmation de ces nouveaux renseignements à la STM.

Peu de plaintes, selon la STM

Questionnée sur la grogne suscitée par la refonte que l’on peut percevoir sur les médias sociaux ou encore dans le courrier de nos lecteurs, Isabelle-Alice Tremblay, aux Affaires publiques de la STM, affirme que le nombre de plaintes reste assez faible. Elle mentionne toutefois que la STM répond aux questions mais pas aux critiques seules.

« Un des principes de base dans la planification d’un réseau de bus, c’est que les bus se rabattent sur un mode lourd. Il faut donner l’accès à un mode lourd au plus de gens possible », explique-t-elle en rappelant que la refonte de tout le réseau de la STM a été amorcée en 2018 avec des consultations publiques.

L’Île-des-Sœurs a même bénéficié d’une séance de travail. La desserte en place à compter du 31 juillet a « été recommandé et approuvé par 70% de la population », affirme Mme Tremblay en ajoutant qu’il faut tenir compte du fait qu’on circule dans un milieu urbain et qu’actuellement les autobus de l’IDS ne sont pas bidirectionnels sur Berlioz. Cet enjeu sera réglé avec la nouvelle desserte.

« Je ne dis pas que pour certains, c’est impossible que le trajet soit un peu plus long, dépendamment d’où on va, mais le REM est très rapide et ça a été conçu pour répondre au plus grand nombre », nuance-t-elle. Isabelle-Alice Tremblay soutient que la STM est à l’écoute de sa clientèle et pourra faire des ajustements, si nécessaire. Certains ont déjà été faits. Le terminus de la 168 au métro McGill a ainsi été maintenu jusqu’à la mise en service de cette station du REM.

Perte de 60 place de stationnement sur rue à l’IDS pour laisser passer les bus


Crédit photo: Arrondissement de Verdun


Crédit photo: Arrondissement de Verdun


Crédit photo: Arrondissement de Verdun

Pour permettre l’aménagement des nouveaux circuits d’autobus, 60 espaces de stationnement (en rouge sur les cartes) ont été retirés sur les rues Berlioz, chemin de la Pointe-Sud et André-Prévost. Le retrait de ces espaces est nécessaire, soit parce que la largeur de la rue est insuffisante, soit parce qu’un arrêt ou un terminus a été ajouté à ces endroits. Les nouveaux panneaux d’interdiction de stationnement ont été installés dans la semaine du 24 juillet et ont pris effet immédiatement. Certains résidents et résidentes s’inquiètent de l’impact de cette diminution importante d’espaces de stationnement dans le secteur de la Pointe sud de l’IDS qui se densifie actuellement avec la construction d’une nouvelle tour d’habitation.

La refonte de la desserte de bus en bref

  • 176 Berlioz : pouvant être empruntée dans les deux sens, elle va relier la station REM Île-des-Sœurs au terminus situé au bout de la rue Berlioz dans le secteur de la Pointe sud.
  • 172 – Du Golf : longeant le chemin du même nom, son point de départ et d’arrivée sera un quai dédié dans le terminus de la station REM Île-des-Sœurs.
  • 21 – Place-du-Commerce : abolie.
  • 178 – Pointe-Nord / Île-des-Sœurs : abolie.
  • 12 – Île-des-Sœurs : lien vers la station de métro de l’Église et bout de la rue Berlioz à la Pointe sud.
  • 168 – Cité-du-Havre : le parcours modifié de cette ligne permettra de desservir la rue Berlioz d’un bout à l’autre et le boulevard Robert-Bourassa dans les deux directions.
  • 74 – Bridge : sera dorénavant aussi en service en soirée et durant les fins de semaine.
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:face_with_peeking_eye: people can no longer store their personal property in public spaces for free?? Crazy…

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Don’t forget the wide driveways located on every property along those streets. Somehow that’s not enough :man_facepalming:

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Peut-être que vous connaissez déjà, mais voici un site web intéressant où on peut avoir plein d’infos sur les bus de la STM:

https://fleetstatsapp.com/

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Files d’attente à l’aéroport La ligne d’autobus 747 est surchargée


PHOTO PATRICK SANFAÇON, LA PRESSE | Autobus de la ligne 747, à l’aéroport international Montréal-Trudeau

Franchir les douanes n’est plus l’épreuve la plus difficile à l’aéroport Montréal-Trudeau : quitter l’endroit est également devenu un défi. Le retour en force des voyageurs surcharge la ligne d’autobus 747, les files d’attente se faisant de plus en plus longues. Consciente du problème, la Société de transport de Montréal (STM) promet de trouver des solutions.

17 septembre 2023 | Publié à 19h00 | HENRI OUELLETTE-VÉZINA | LA PRESSE

« C’est ridicule qu’il n’y ait même pas de machine pour faire de la monnaie. Ni qu’on ne puisse pas acheter les billets sur l’internet », dénonçait récemment l’usagère Marie-Julie Gagnon, dans un gazouillis qui a rapidement été relayé par plusieurs autres.

Sur les réseaux sociaux, des photos montrant de longues queues pour prendre la ligne 747 ont été publiées dans les dernières semaines. Plusieurs usagers ont notamment dénoncé le manque de bornes ou d’espaces pour se procurer un billet, mais aussi le fait que sans billet, il faut payer la somme de 11 $ en « monnaie exacte ». Autrement dit, les billets de banque ne sont pas acceptés, ce qui complique d’autant plus l’accès.

À l’aéroport, il y a actuellement « quatre distributeurs automatiques de titres dans la zone des arrivées internationales », lit-on sur le site de la STM. Ces bornes acceptent le paiement en espèces, mais aussi par carte de débit ou par carte de crédit.

Vers des solutions ?

La STM reconnaît d’emblée qu’un problème existe. Un « groupe de travail » a été mis sur pied cette semaine pour « décortiquer le parcours client à l’aéroport et mettre en place des mesures supplémentaires pour assurer la fluidité » et « bonifier l’expérience », explique la porte-parole de la société, Amélie Régis. « Nous proposerons qu’un employé en expérience client de l’aéroport fasse partie du groupe », dit-elle.

Parmi les « exemples de ce qui pourra être fait à court ou moyen terme », la porte-parole évoque notamment « l’ajout de distributrices de titres, l’ajout d’un terminal de point de vente mobile » ou encore la « vente de titres en concession ». Cela dit, le groupe de travail « aura sans doute d’autres idées et déterminera les actions prioritaires », nuance Mme Régis.

En guise de justification, la STM affirme aussi que l’aéroport de Montréal « a noté une augmentation considérable de son achalandage qui serait 30 % de plus qu’avant la pandémie, ce qui a aussi eu un effet sur l’achalandage de la ligne 747 ».

La hausse est toutefois nettement moins marquée pour l’achalandage du bus que l’affluence générale vers l’aéroport. Si on compare les mois de mai, juin et juillet 2019 à ceux de 2023, la fréquentation de la ligne 747 a en effet connu une augmentation moyenne de 4 % seulement.

Et comme la période estivale chargée en voyages prendra fin bientôt, la société de transport s’attend à ce que l’achalandage de la 747 reparte à la baisse dans les prochaines semaines, ce qui pourrait contribuer à soulager les files d’attente.

Un « besoin pressant »

Chez Trajectoire Québec, un organisme qui défend les droits des usagers en transport collectif, la directrice générale Sarah V. Doyon estime que la situation « démontre à quel point il y a un besoin pressant pour un système de transport structurant et simple reliant l’aéroport au centre-ville ».

« On a très hâte de voir le REM arriver », assure-t-elle. Cela dit, le segment reliant l’aéroport au centre-ville est pour l’instant prévu en 2027, du moins aux dernières nouvelles.

Mme Doyon soutient que ce dossier « montre également l’importance de faciliter l’achat de titres de façon générale ».

Si on avait déjà un système qui permettait d’acheter des billets sur son téléphone, ça réglerait pas mal la question. C’est un exemple de plus illustrant le besoin de moderniser le système. Il y a plusieurs choses en cours et c’est tant mieux, mais il faut accélérer le pas.

Sarah V. Doyon, directrice générale de Trajectoire Québec

Concrètement, en attendant le REM, Trajectoire Québec réclame de « multiplier les bornes, les lieux et les façons de pouvoir se procurer un titre ». « Il faudrait aussi peut-être avoir une communication qui est plus claire, tant pour les Montréalais qui reviennent de voyage que les touristes », soulève Mme Doyon.

Pour les touristes, dit-elle, « ça prendrait surtout des agents d’information dans l’aéroport lui-même », alors que pour les Montréalais, « ça pourrait être de leur proposer d’acheter le billet retour lors de leur venue à l’aéroport pour éviter des problèmes au retour, justement ».

Le service de la ligne 747 est offert 24 heures sur 24, 7 jours sur 7. Il fait la liaison entre l’aéroport et les stations de métro Lionel-Groulx et Berri-UQAM, ainsi que la gare d’autocars au centre-ville de Montréal. Un trajet direct est aussi possible pour aller à la station Lionel-Groulx.

L’ARTM** pourrait pas installer un lecteur de carte de crédit comme il y a sur les bus de Laval, juste sur ses 747 et laisser l’opus pour les autres qui ont des titres ?

Payer en monnaie exact est déjà assez arriérée comme mode payment, encore plus si on accepte pas les billets et encore plus si c’est pas un chiffre rond.

Sérieusement, qui arrive de voyage en se disant : faut pas j’oublie mon 11$ en change… good luck finding it

Oui cette mesure a un coût, mais c’est pas comme si l’antenne YUL du REM allait ouvrir dans 2 mois… faudrait que la STM sorte de 2010…

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J’imagine qu’il faudra voir avec l’ARTM ce qu’elle est prête à faire. C’est elle qui gère l’entièreté de la tarification maintenant.

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Annonce sur les lignes de bus à passages fréquents du réseau de la STM

Le président du conseil d’administration de la Société de transport de Montréal (STM), M. Éric Alan Caldwell, invite les représentants des médias à une annonce portant sur une nouvelle appellation et identité visuelle pour repérer facilement les lignes de bus à passages fréquents du réseau bus de la STM.

Date : Lundi 2 octobre 2023

Heure : 10 h 30 - Séance d’information technique
11 h 00 - Conférence de presse

Lieu : Centre de transport Legendre
55 rue Legendre, Montréal, H2M 1E8
Porte 66
Espaces de stationnement disponibles à l’extérieur

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J’ai pris les navettes entre les centre-villes d’Édimbourg et de Glasgow et leur aéroport respectif. Toutes deux acceptaient le paiement sans contact par carte de crédit ou téléphone. 5.50 £ pour Édimbourg et 10 £ pour Glasgow pour des allers simples. On pouvait aussi acheter des billets aller-retour ou pour la journée. Il suffisait de le mentionner au chauffeur. Toute le monde est monté à bord rapidement.

Le trajet est de 30 minutes pour Édimbourg et 15 minutes pour Glasgow. Les deux autobus ont deux étages.

Pour aller à YUL, 2 bus 747 n’ont pas passé. Une chance que je suis montée à bord au coin de René-Lévesque et Peel, car au Métro Lionel-Groulx, la chauffeure ne prenait plus les gens avec valises car l’autobus était plein!!

À mon retour, vers 21h30, on était moins de 10 en partance de YUL. J’ai dû attendre ma valise assez longtemps. Les gens avaient p-ê pris le bus précédent.

J’avais acheté mes deux OPUS occasionnels une semaine avant pour pas payer avec de l’argent comptant à bord ou faire la file à YUL

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Même dans une petite ville de 150k habitants au centre d’un pays considéré en développement de l’Europe de l’Est, je n’ai pas eu à me soucier du mode de paiement. Le paiement par carte de crédit dans le bus était le standard (et ça me coutait quelque chose comme 0.30$ le passage !)

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Sibiu?

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En plein ça !

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Je peux pas m’empêcher de noter à quel point la fiabilité du réseau de surface est un problème. L’impact que ça a sur sur l’utilisation du réseau est presque aussi négatif que les bus fantômes de Exo.

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Ça fait plusieurs fois que je me fais la réflexion, mais est-ce qu’il y a une raison pour laquelle les bus plus récents (avec les bancs en plastique bleu) n’ont pas de fenêtres qui s’ouvrent? Je trouve toujours que l’air ne circule pas et qu’on suffoque à l’intérieur…

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Ceux avec les fenêtres fixent sont climatisés, normalement la climatisation devrait fonctionner en tout temps en guise de ventilation