C’est présent depuis des années si je ne m’abuse, ça et d’autres comme le Go Habs Go ou Joyeuses fêtes sont très communs comme messages. Et ce n’est pas si rare que ça! De mémoire j’en vois au moins une fois par mois minimum, comme quoi! 
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À Montréal, la réduction de l’achalandage a entraîné des réductions de service sur des lignes d’autobus importantes.
Certaines lignes d’autobus importantes de la Société de transport de Montréal (STM) ont connu une réduction de service pouvant atteindre jusqu’à 34 % entre 2019 et 2024 quant au nombre de trajets quotidiens. La pandémie et le télétravail ont eu un effet durable sur les déplacements, reléguant presque la « classe sardine » aux oubliettes. Presque, parce que, pour certaines lignes d’autobus, l’entassement est bien réel pour les usagers.
Sur la ligne de l’autobus 105, qui emprunte la rue Sherbrooke de la station de métro Vendôme jusqu’à la gare Montréal-Ouest, le nombre de départs quotidiens en direction ouest n’a cessé de chuter entre 2017 et 2024, passant de 185 trajets en moyenne à 123 en 2024, soit une baisse de 33,5 %. En direction est, la réduction a atteint un peu plus de 28 %.
La pandémie de COVID-19, le télétravail qui perdure et les compressions budgétaires ont forcé la STM à revoir ses horaires.
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C’est une spirale infernale… Moins de service, moins de clientèle. Je ne prends plus de chance de prendre un bus qui passera peut-être à l’heure et qui plus est aux 30 minutes.
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La fréquence des bus n’est vraiment plus ce qu’elle était. Aussitôt que j’ai la possibilité de faire un chemin à pied, je ne regarde plus les horaires de bus, même si ma destination est quand même loin. Plusieurs lignes ne servent presque plus à rien parce qu’elles ne passent simplement jamais. La 71 dans Griffintown passe en avant d’un des endroits où je travaille et c’est pratiquement impossible de l’attraper.
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Vient prendre la 197 Rosemont le weekend ou en dehors des pointes. C’est aberrant d’avoir un service atroce sur un gros axe de déplacement.
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Je peux pas parler pour les autres mais depuis le 24 mars la 121 ouest a deux autobus supplémentaire entre 12:00 et 14:00 la situation est pas mal confortable mais toujours le yoyo à l’heure de pointe avec des bus qui se suiv
Certaines lignes auront des répartitions de charge meilleures après le REM. Par exemple du nord de Côte des Neiges à McGill ça sera plus rapide par la 165 nord et non la sud. 121 va être mieux réparti avec Montpellier, 51 le REM passe en plein milieu, plus de monde au métro Parc ou dans le 92 vers Canora va aider le 80. Peut-être pas moins de passagers mais des trajets plus courts, moins encombrés.
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Idem pour moi surtout en été ou avec une station Bixi pas loin. Faudrait que la météo soit extrême pour que je me donne la peine d’attendre.
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Durant les weekends, on a littéralement abandonné le métro et le bus au profit de Bixi. Je me rappelles quand le métro avait une fréquence de 5 minutes les weekends et on a maintenant du 7-8 minutes un samedi après-midi…I meannn. Et on ne parle pas des bus. Bref, on s’est rendu compte que c’était juste plus rapide et économique de se rendre à vélo vers nos destinations, pour le moment. Si jamais on fini par s’enlever les doigts de notre nez, en tant que société, et qu’on améliore le TeC, on va retourner vers le ce mode de transport plus souvent…mais pour l’instant…c’est difficile de prendre cette option. Et je reste dans Rosemont, comme j’ai mentionné plus haut… imagine…
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Beaucoup plus de gens ont une auto également dans Rosemont. Sur Beaubien comme sur Rosemont, c’est toujours “jam pack” durant les heures de pointe près de Papineau.
Les gens préfère l’automobile en ville. Si seulement on optait pour des moyens comme par exemple interdire la circulation automobile sur le boulevard Rosemont, on obtiendrait une meilleure rapidité pour la 197 dans cet axe et peut-être que le bus sera de nouveau attrayant pour les usagers. Si on ne fait rien pour implanter ce genre d’interdictions, c’est le réseau de bus qui souffrira.
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J’observe le nouveau Rosemont depuis un but. J’ai travaillé au Loblaws Angus pas trop longtemps après son ouverture. Dans le temps où il n’y avait presque rien de construit. J’ai vu plein de condos pousser et pleins de nouvelles routes, mais zéro amélioration du service de transport en commun. Vraiment zéro pi une barre. Je ne pense pas que le monde de Rosemont préfèrent réellement leurs voitures. Plusieurs d’entre eux n’ont simplement pas le choix s’ils ne veulent pas avoir des trajets qui prennent des heures. Pour rajouter l’insulte à l’injure, plusieurs des développements (les plus vieux au moins) du quartier Angus ont beaucoup de stationnement intérieur et les rues sont pleines de voitures stationnées. La 25 qui passe dans le quartier et qui amène de Préfontaine au quartier industriel de Rosemont, ne roule toujours que la semaine aux heures de pointes. Alors, comment on peut développer l’habitude de prendre le transport en commun?
Le seul point positif côté transport du quartier, c’est qu’il est très agréable à emprunter à vélo. À certaines heures, il n’est pas rare que tous les vélos roulaient dans le milieu de la rue parce qu’il n’avait plus de voiture. Mais bon, c’est très “ableist” comme vision du transport. Quand tous les nouveaux buildings vont être construits, j’ai l’impression que la situation va devenir urgente.
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Le vélo aide certainement à circuler plus rapidement en ville. Sauf qu’ici on parle d’une certaine clientèle et non de l’ensemble des citoyens et ctoyennes qui ont une épicerie à transporter ou des enfants à accompagner. Certaines personnes sont à mobilité réduite aussi.
Je suis un usager de la STM depuis déjà 30 ans. Je dois croire que la job de conducteur d’autobus est plus difficile qu’on le croit. Et aujourd’hui, je monte chaque jour dans le bus en disant un beau “Bonjour” au conducteur et en pensant surtout à leur patience envers les usagers qui a évolué au cours des années.
Dans les années 90, le parcours en bus était autre chose qu’aujourd’hui. Je ne dis pas c’était mieux, au contraire. Les chauffeurs de bus appliquaient beaucoup plus “à la lettre” les titres de passages que les usagers donnaient.
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Pas de carte étudiante STCUM, pas de bus. Même si t’avais déjà jeté ton dollar dans le récipient.
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Il était trois heures avant le minuit du prochain mois et que t’avais le malheur d’avoir changé trop tôt ta carte mensuelle dans ton range-passe, certains chauffeurs pouvaient te refuser l’entrée, même si ta carte du mois en cours était juste en dessous (je le sais, ça m’est arrivé).
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Le chauffeur n’était pas dans le bus à la station de métro et les usagers embarquent quand même? Certains chauffeurs arrivaient et lancaient à voie haute dans le bus “Ceux qui n’ont pas payé, sortez de l’autobus.” Il faisait le tour en marchant dans le bus en dévisageant tous les usagers et partait après.
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Il n’y avait pas vraiment d’inspecteurs pour valider les titres de transport dans les bus en 1995. Le chauffeur devait régler le conflit avec la personne qui ne voulait pas payer son titre correctement.
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Les bus des années 90 n’était pas à plancher bas comme aujourd’hui. Les personnes à mobilité réduite ou les femmes avec des poussettes pour bébés n’entraient pas aussi facilement dans les bus. En fait, l’entrée était assez étroite pour monter dans le bus.
Par contre, les autobus étaient vraiment fréquents à l’époque. Plus qu’en 2010 jusqu’à aujourd’hui. Et l’autobus des années 90 était un moyen de transport beaucoup plus rapide que les bus d’aujourd’hui. Mais à part ça, ce n’était pas mieux dans le temps, je pense. Chaque époque ses qualités et ses défauts.
Du côté de Tétreaultville, où j’habite, la 28 Honoré-Beaugrand est aux 30 minutes hors pointe. Il faut vraiment prévoir nos déplacements, sinon on marche. Et depuis Ontario (où je suis) c’est une bonne vingtaine de minutes jusqu’à la station.
Je me suis rendue au centre-ville dimanche, et entre le temps d’attente de l’autobus et le métro avec sa fréquence de 8 minutes, le trajet m’a prit au moins le double de ce qu’il aurait été en auto. Dire que c’était une ligne 10 minutes lorsque je suis arrivée dans le quartier…
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Je te confirme que j’ai un enfant de 2 ans et je fais souvent l’épicerie avec lui à vélo. Le plus difficile à gérer, c’est la partie enfant à l’épicerie, et non vélo avec enfant ou vélo avec épicerie!
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Nouveau sondage sur la refonte de l’automne passé
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Le service de bus le week end a été complètement démoli au fil des ans. On avait des 121 au 6 minutes et moins le samedi de 11h à 14h et même le dimanche en début d’après midi il y a une vingtaine d’année. La semaine d’autres lignes ont été rajoutées comme 41 et 54 toute la journée mais le week-end c’est une perte nette de service.
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Vraiment ! Mais même la semaine, c’est 30 minutes hors pointe, ce qui est effarant pour une ligne directe au métro 
Le REM a vraiment fait des bons calculs de fréquence et de capacité qui sont très publics et transparents. La STM devrait faire pareil pour les bus
C’est fréquence de +8 minutes la fin de semaine commence à être problématique alors que le métro n’a jamais été aussi plébiscité hors semaine/hors pointe…
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J’habite dans Pointe-Aux-Trembles. J’ai pris quelques fois la 28 dans Tétraultville et comme tu dis le service est désuet, en plus de tous les détours à cause des “one way” dans le secteur.
À quand un SRB sur Roi-René/Ray-Lawson qui prendrait en charge toutes les lignes express en plus de celles qu’on a mentionnées (448, 449, 85, 28)?
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Voilà. On est de retour vers la classe-sardine de plus en plus. Bref, un bon service au 5 minutes ne serait pas de trop. C’était vraiment génial quand ça l’était. On avait droit enfin à un service de qualité durant les weekends.
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