Un des meilleurs tarifs dans le coin
10 $ pour nombre d’heures illimité de 16h à 9h le lendemain matin, et pour les samedis et dimanches!!
Avant déménager dans Griffintown, je stationnais là quand j’avais une sortie dans l’Ouest du Vieux-Montréal. Ensuite, je marchais ou prenais un Bixi pour me rendre à destination. Étant juste à côté de la 10 et de la 720/136, c’était rapide pour rentrer à la maison.
Maintenant, je dis à la visite de se stationner là
le stationnement de l’Arbora c’est 8 $ les soirs et les fins de semaine, mais c’est de 17h à 5h du matin en semaine
I get it, si on veux juste se stationner pour 1-2h , c’est pas encourageant de payer 20$ pour le privilège.
Par contre j’avoue que le prix du soir est encourageant. 10$ on “break even” avec le stationnement sur rue en un peu plus de 2h. Pour faire un night out avec les amis c’est vraiment pas cher
C’est aujourd’hui que l’Agence de mobilité durable de Montréal débute le déploiement graduel de la technologie LAPI (lecture automatisée des plaques d’immatriculation) dans les arrondissements d’Outremont et l’ouest du Plateau-Mont-Royal, afin d’améliorer le respect de la réglementation du stationnement à Montréal.
Cette technologie permet, grâce à des caméras et GPS, de lire les plaques d’immatriculation et de valider si le véhicule est en infraction par rapport au règlement en vigueur, à un endroit et à un moment précis, tout en préservant l’anonymat des données.
Faits saillants :
Pour commencer, deux voitures seront équipées dans les prochaines semaines et sillonneront les rues d’Outremont et de l’ouest du Plateau-Mont-Royal pour une phase test.
Les deux véhicules procéderont aux tests pour la surveillance de deux types de règlementation, soit les zones à durée limitée et les zones de permis résidentiels réservées aux résidents (SRRR).
Un déploiement avec 13 véhicules au total est ensuite prévu en 2025, dans ces deux arrondissements.
L’Agence vise un déploiement progressif dans l’ensemble de la Ville par la suite.
La technologie LAPI permettra aussi de récolter des données, notamment pour mesurer l’occupation de la bordure de rue. Ces données pourront servir éventuellement à appuyer la Ville dans le développement de ses projets de mobilité ou de développement urbain.
I wonder if the equipment could be fitted on a bike or cargo-bike to make it more efficient in denser parts of Montreal
The AMD has a team on bikes, even in winter
Nouveau: la patrouille à vélo en mode hiver
Le froid et la neige n’empêcheront pas nos agent-e-s de stationnement d’opter pour des choix de mobilité durable! Notre patrouille à vélo se prépare à passer son premier hiver dans les rues de Montréal en suivant une formation pour maîtriser l’art de la conduite hivernale.
Ses membres recevront également un équipement spécialement adapté à la saison froide pour assurer leur sécurité et les tenir au chaud, peu importe ce que Dame Nature nous réserve!
Les caméras 360° « consumer-grade » qui sont assez petits et/ou pas trop lourds pour mettre sur un vélo n’ont pas de bon qualité de photo. C’est difficile à lire les plaques.
Mais peut-être avec deux caméras normales, un en avant et un en arrière, le qualité serait mieux. Ça dépend aussi si on trait les images centralement ou non. L’ordinateur pour traiter les images peut être lourd aussi, et il y a le problème d’électricité.
L’augmentation dés parcomètres s’explique aussi par le fait que les arrondissements reçoivent maintenant une part des revenus provenant des parcomètres! Avant, 100% allaient à la ville-centre
C’est sûr qu’il y a des revenus supplémentaires a aller chercher avec la tarification des stationnements sur rue, sans pour autant nuire à l’économie locale. Comme Montréal a besoin de beaucoup d’argent pour équilibrer ses budgets, c’est une façon directe de percevoir des sommes, qui autrement seraient perdues pour les finances publiques.
Tarification du stationnement selon le gabarit du véhicule, tarification variable en fonction de la demande, permis de stationnement pour les soins de santé à domicile : la Ville de Québec a révélé mercredi soir quelques-unes des propositions qui pourraient s’insérer dans sa future politique du stationnement.
Un questionnaire en ligne jusqu’au 15 décembre permettra aux citoyens de se prononcer sur les différentes propositions.
Propositions de la politique de stationnement de la Ville
Tolérance zéro pour le stationnement de véhicules sur les trottoirs, dans les voies cyclables ou dans les voies réservées.
Changement de vocation de certains parcs de stationnement municipaux pour en faire des pôles de mobilité durable.
Déploiement de bornes de recharge pour les véhicules électriques dans les parcs de stationnement municipaux.
Évaluer la faisabilité d’introduire une tarification variable en fonction de la demande pour les espaces tarifés (selon le secteur ou selon le moment)
Introduire un principe de tarification progressive pour les permis de stationnement sur rue en fonction du gabarit du véhicule
Évaluer la possibilité de mettre en place un principe de tarification sociale pour les permis de stationnement sur rue pour résidants
Évaluer la possibilité de mettre en place des permis de stationnement pour les soins de santé à domicile dans les quartiers centraux
Je crois qu’il est grand temps de mettre de l’ordre dans la politique de stationnement des villes. Malgré le fait que je sois moi aussi un automobiliste à l’occasion, en déménageant à Québec je me suis assuré de pouvoir utiliser au maximum les transports en commun et la mobilité active, laissant ma voiture pour les déplacements sur de plus longues distances et en dehors des heures de pointe.
Ainsi j’ai acheté un condo avec stationnement intérieur, d’abord pour me faciliter la vie (en hiver notamment) et pour me permettre de profiter d’une plus grande liberté de mouvement en ville. Autrement quel plaisir de marcher dans les belles rues de la ville, tout en m’assurant de me garder en forme au quotidien (et c’est aussi bon pour l’esprit que le corps).
Bien sûr on n’arrivera jamais à plus de discipline dans l’usage des voitures en zones urbaines sans un minimum de coercition. Ici à Québec (ville de chars par excellence) il y a beaucoup d’éducation à faire et des règles à établir pour inciter les gens à changer leur dommageables habitudes. Je supporte donc toutes les mesures proposées basées sur le principe de l’utilisateur-payeur.
Pourtant les saillies de trottoir ne font que renforcer l’application du CSR qui interdit l’arrêt d’un véhicule à 5 m d’une intersection… et je doute que la Ville ait permis à Bixi d’installer de stations dans des places de stationnement réservées aux personnes à mobilité réduite
Pistes cyclables, saillies de trottoir, bornes de recharge pour véhicules électriques, vélos BIXI… De nouveaux aménagements urbains grugent des places de stationnements à Montréal, une situation qui nuit aux personnes à mobilité réduite qui dépendent largement de la voiture pour assurer leurs déplacements.
L’arrondissement de Villeray–Saint-Michel–Parc-Extension a adopté une tarification des vignettes de stationnement basée sur la masse nette des véhicules. Selon mes recherches, c’est déjà le cas dans Ahuntsic-Cartierville, Rosemont–La Petite-Patrie, le Plateau-Mont-Royal, Le Sud-Ouest, Verdun et Mercier–Hochelaga-Maisonneuve. Le grand absent? Ville-Marie, qui est le seul quartier central à part Côte-des-Neiges–NDG qui n’a pas encore fait ce changement.
Prenons l’exemple du Cybertruck de Tesla : 3 000 kg, 5,7 mètres de long (une Toyota Corolla 2024 pèse environ 1 400 kg et mesure 4,6 mètres). Le coût d’une vignette pour un Cybertruck serait :
Plateau-Mont-Royal : 483 $
Mercier–Hochelaga-Maisonneuve : 219 $
Rosemont–La Petite-Patrie : 210 $
Le Sud-Ouest : 205 $
Ahuntsic-Cartierville : 134 $
Verdun : 100 $
Ville-Marie : 64 $ (tarif pour tout véhicule électrique)
Si l’on prend l’exemple d’une Corolla à essence, selon le modèle et le nombre de cylindrées, le coût de la vignette serait de 107 $ ou 161 $. La vignette pour une petite Corolla coûterait donc 2 à 3 fois plus cher que celle d’un immense Cybertruck. Considérant la valeur de l’espace au centre-ville et dans les quartiers environnants, ça me semble très étrange que Ville-Marie n’ait toujours pas suivi l’exemple des autres quartiers centraux en adaptant sa politique.