Station YUL-Aéroport-Montréal-Trudeau

Ça va finir quand cette saga??

Il y aura fort probablement des élections fédérales cette année, ce sera alors le meilleur moment de faire pression sur le fédéral pour qu’il règle cet important dossier avant le scrutin. Étant dans une situation minoritaire, Trudeau aura besoin de séduire les québécois s’il veut retourner à la majorité. Il faudra donc qu’il garantisse les sommes nécessaires pour que les travaux se mettent en branle. Ce sera la seule façon de convaincre la communauté d’affaires, le gouvernement provincial et les québécois que cette saga est terminée.

Je doute que ça devienne un enjeux électoral vs la pandémie et l’économie en général
.
D’un autre côté Freelance va lancer un méga projet de relance de + 100 milliards. Les infrastructures devraient en représenter une bonne partie mais il faut prioriser des projets qui sont prêts à construire et non à l’étape de discussion ou planification. La station REM de YUL est ^prête à construire donc serait une bonne candidate.

Tant qu’à creuser un tunnel potentiellement inutile vers une gare incertaine en ce moment, on aurait pu donner à Alice une direction différente… Comme sous René-Lévesque. :stuck_out_tongue:

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Je suis confiant que ça va se résoudre.
Imaginez, le cas contraire un instant, comment on aurait l’air fou :

On a une gare déjà construite sous l’aéroport, mais qui est dans le mauvais sens d’un nouveau tunnel construit à grand frais qui n’aboutit nulle part!

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Réaction de la mairesse Plante:

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:man_facepalming:t2:

« Quitte à payer », Québec doit s’assurer que le REM se rende à Dorval, dit Anglade

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Qui paiera la station du REM à Montréal-Trudeau ? | PHOTO : RADIO-CANADA/CHARLES CONTANT

Radio-Canada | Jérôme Labbé | Publié à 18 h 29

Le gouvernement Legault devrait accepter de fournir sa part d’effort financièrement pour aider Aéroports de Montréal (ADM) à financer sa station du Réseau express métropolitain (REM), selon la chef du Parti libéral du Québec, Dominique Anglade.

C’est que la pandémie a plombé les revenus d’ADM qui a indiqué en juin dernier qu’il ne lui serait pas possible d’allonger les 600 millions de dollars prévus pour Dorval.

Depuis, Ottawa et Québec se renvoient le problème. Et tout porte à croire que le projet pourrait être mis en veilleuse, comme le rapportait La Presse mardi matin.

Dans sa mise à jour économique du 30 novembre dernier, le fédéral a annoncé la création d’un programme pour aider financièrement les aéroports canadiens. Mais son enveloppe de 500 millions de dollars ne sera pas suffisante pour combler seule le manque à gagner des autorités aéroportuaires de Montréal.

Le gouvernement Legault, de son côté, s’est montré disposé à venir en aide à ADM avant de se retirer brusquement du dossier, en arguant que les aéroports sont des infrastructures de compétence fédérale.


Selon Dominique Anglade, le gouvernement Legault doit revenir à la table des négociations avec Ottawa et ADM pour s’assurer que la station Montréal-Trudeau du REM soit construite. | PHOTO : RADIO-CANADA / SYLVAIN ROY ROUSSEL

Pour la chef de l’opposition officielle à Québec, Dominique Anglade, la situation actuelle est inacceptable.

Il est invraisemblable pour moi – invraisemblable – qu’on ait un REM qui ne se rende pas jusqu’à l’aéroport, a-t-elle insisté mardi lors d’un point de presse virtuel. Ce serait une aberration que de se retrouver dans cette situation-là. Et oui, le gouvernement du Québec a une responsabilité par rapport à ça, et il faut qu’il soit à la table.

Moi, si j’étais au gouvernement et qu’il fallait que je décide si j’allais de l’avant ou pas, ça ferait partie de mes priorités, a poursuivi la chef libérale. Quitte à payer une partie! Ça fait partie des négociations qu’ils ont à faire. Mais on ne peut pas laisser aller cette situation de cette manière-là.

Le REM, sans arrivée à l’aéroport, ça n’a pas de sens.

Dominique Anglade, chef de l’opposition officielle à Québec

La station Montréal-Trudeau du REM est la seule à ne pas relever du bureau de projet de CDPQ Infra. Le gouvernement Legault ne peut donc pas exiger de la Caisse de dépôt et placement du Québec qu’elle avance les sommes nécessaires à sa construction.


La future station du REM nécessitera d’excaver 1 million de mètres cubes de roc sur 35 mètres de profondeur. | PHOTO : AÉROPORTS DE MONTRÉAL

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Le nouvel échangeur Dorval était déjà dans les plans en 1996… La fameuse gare souterraine sous Dorval qui ne sert à rien; ce n’est pas nouveau quand on songe à la gare souterraine sous l’aéroport de Mirabel depuis les années 70; et qui a forcé l’expropriation de 3000 familles pour la construction de celui-ci.

Alors bon, on n’est plus à un gâchis prêt quand il s’agit de nos installations aéroportuaires.

Incertitude entourant la station du REM à Montréal-Trudeau Le ministre Alghabra en quête d’une solution


PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE | Malgré les perches tendues par le gouvernement Trudeau au cours des derniers mois, le financement du projet de 600 millions de dollars est toujours loin d’être bouclé.

(Ottawa) Conscient de l’importance de la station du Réseau express métropolitain (REM) à l’aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau pour la région de Montréal, le ministre des Transports, Omar Alghabra, compte faire le point sur le financement de ce projet avec la présidente du conseil d’administration d’Aéroports de Montréal (ADM), Danielle Laberge, au cours des prochains jours.

Publié le 28 janvier 2021 à 5h00 | JOËL-DENIS BELLAVANCE | LA PRESSE

Le bureau de M. Alghabra a confirmé à La Presse qu’une telle rencontre est en tête de la liste de ses priorités pour les dossiers touchant les transports en commun au Québec en raison du refus du gouvernement Legault de participer au financement d’une partie des coûts de construction du projet.


PHOTO JUSTIN TANG, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE | Omar Alghabra, ministre fédéral des Transports, lors d’une séance de la Chambre des communes, à Ottawa

Dans l’intervalle, des ministres du cabinet de Justin Trudeau — la ministre du Développement économique, Mélanie Joly, le ministre de l’Innovation, des Sciences et de l’Industrie, François-Philippe Champagne, et le lieutenant politique du premier ministre, Pablo Rodriguez, entre autres — multiplient les appels et les pourparlers avec leurs homologues du gouvernement Legault dans l’espoir de les ramener à la table des négociations.

Malgré les perches tendues par le gouvernement Trudeau au cours des derniers mois, le financement du projet de 600 millions de dollars est toujours loin d’être bouclé. Et ADM, qui devait au départ assumer les coûts de construction, évoque la possibilité de mettre sur la glace cette portion du projet indéfiniment.

Dénouer l’« impasse »

« Notre gouvernement est d’avis que la station du REM à l’aéroport Montréal-Trudeau est absolument essentielle pour le projet en entier. […] Nous allons devoir travailler avec nos partenaires pour s’assurer que ce projet puisse se réaliser. Dans les prochains jours, le ministre compte également discuter du projet avec la présidente du conseil d’administration de l’aéroport », a indiqué l’attachée de presse du ministre Alghabra, Allison Saint-Jean, dans un courriel à La Presse.

Elle a rappelé que la ministre des Finances Chrystia Freeland avait annoncé, dans sa mise à jour économique de novembre dernier, une enveloppe de 500 millions sur deux ans pour financer des projets de ce type dans les grands aéroports canadiens.

« Nous sommes convaincus que ce projet va bien au-delà des besoins de l’aéroport et sera bénéfique pour l’ensemble de la grande région de Montréal et son réseau de transports en commun. C’est pourquoi le gouvernement fédéral a la ferme intention de s’impliquer dans le dossier et nous serons prêts à faire partie de la solution et faire notre juste part », a ajouté Mme Saint-Jean.

Au départ, les coûts de construction de cette station devaient être assumés par ADM, mais l’organisme a vu ses revenus chuter de manière brutale à cause de l’effondrement du trafic aérien depuis le début de la pandémie. ADM réclame d’Ottawa et de Québec un prêt remboursable pour mener à bien les travaux. Le gouvernement Legault s’était dit prêt à participer au montage financier, mais il a mis fin aux pourparlers de manière inopinée en affirmant que l’aéroport est une infrastructure fédérale et qu’il incombe à Ottawa de payer la facture.

« Force est d’admettre que nous nous trouvons dans une impasse. Nous ne souhaitons pas avoir à nous rendre à un point où nous aurons à suspendre le projet de façon indéfinie », a indiqué cette semaine Anne-Sophie Hamel, porte-parole d’ADM.

Station du REM à Montréal-Trudeau | Refuser de jouer dans le même vieux film

DÉBATS

Le scénario va comme suit. Première scène : un projet de train rapide, le Réseau express métropolitain (REM), doit relier le centre-ville de Montréal à l’aéroport international. Il suscite l’enthousiasme de tous.

Publié le 29 janvier 2021 à 5h00 | LAURA-JULIE PERREAULT | LA PRESSE

Mais voilà, dans la deuxième scène, ça se corse. Les diverses instances impliquées ne s’entendent pas sur qui doit signer les chèques. Ça tergiverse. Le tout met le projet en péril.

Ce scénario vous dit quelque chose ? C’est celui qui est en train de se dérouler sous nos yeux. Afin de réaliser la station du REM à l’aéroport Trudeau, Aéroports de Montréal (ADM), qui gère l’infrastructure, demande aux gouvernements de lui consentir des prêts de 600 millions. Prêts qui seront remboursés plus tard, quand le trafic aérien se sera rétabli après la fin de la pandémie. Là, on est au milieu de la scène où les prêteurs potentiels – Québec, Ottawa et la Banque de l’infrastructure du Canada (BIC) – se renvoient la balle.

Un mauvais remake

Le hic, c’est que ce bras de fer auquel nous assistons est un remake d’un autre film des années 1970. Les deux premières scènes sont les mêmes. Un seul protagoniste a changé. L’aéroport ne s’appelait pas Trudeau, mais Mirabel. Même le nom du réseau de train était le même, le REM. Ça ne s’invente pas.

Et vous connaissez la fin de ce film ? Les diverses autorités ne se sont pas entendues et le train n’a jamais vu le jour.

L’aéroport de Mirabel a souffert de son manque de liaison avec le cœur de la métropole. Et cette lacune a contribué à ce que trois décennies plus tard, un des aéroports les plus d’avant-garde de la planète a été mis sur la voie de service, puis carrément abandonné.

Alors, plus de quatre décennies plus tard, on n’a pas du tout envie de revivre la même fin catastrophe. Les conséquences sont trop graves pour toutes les parties impliquées. Et doit-on rappeler que le REM actuel a d’abord été conçu pour relier l’ensemble de la région métropolitaine à l’aéroport ?

Revoir le scénario

Comment réécrit-on le scénario ? Chaque acteur va devoir faire son bout, à commencer par les gens de l’ADM. Comment un projet de gare a-t-il pu passer de 250 millions à 600 millions en moins de deux ans ? Quand on leur pose la question, on se fait dire que le budget actuel comprend non seulement la station, mais aussi tout ce qui l’accompagne : la liaison avec l’aéroport, les stationnements, etc.

Ça reste pas mal flou et pour aller chercher l’adhésion de tout le monde, ADM va d’abord devoir présenter un projet solide, transparent et justifier la facture « balloune ». Déjà, la Banque de l’infrastructure du Canada se montrerait plus attentive.

Le gouvernement fédéral, de son côté, devra être plus clair quant à ses intentions. Il y a moins de trois mois, on s’attendait à ce qu’Ottawa devienne le seul prêteur d’ADM.

Puis, à la mise à jour économique de Chrystia Freeland, on a appris qu’une somme de 500 millions serait accordée à l’ensemble des aéroports du pays. Une partie ira à l’aéroport de Montréal, mais on ignore le manque à gagner exact. Selon diverses sources, il oscillerait entre 60 et 400 millions. Il y a là toute une marge.

Finalement, Québec devra aussi se montrer de bonne foi. Répéter ad nauseam que l’aéroport est une infrastructure fédérale n’aidera personne. Parce que si la station ne voit pas le jour, ce sont d’abord et avant tout les Québécois qui seront affectés par l’absence d’un accès rapide à l’aéroport, mais aussi parce que le REM – cet immense projet de métro léger orchestré par la Caisse de dépôt et placement du Québec – perdra des revenus.

Espérons que tout ce beau monde fera de son mieux pour remplacer la fin en queue de poisson du train de l’aéroport de Mirabel par une fin joyeuse. En pleine pandémie, ça ferait le plus grand bien.

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Aye… Ça ne sent (vraiment) pas très bon. :pray:
Maudite COVID !!! :face_with_symbols_over_mouth:

Gare du REM à Montréal-Trudeau : « on est dans une impasse »

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L’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau connaît une importante diminution de l’achalandage en raison de la pandémie de COVID-19. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

Radio-Canada | 14 h 46 | Mis à jour à 14 h 52

Aéroports de Montréal (ADM) estime ses pertes à 500 millions de dollars pour l’année 2020 et, avec la suspension des vols vers des destinations soleil populaires pour trois mois, 2021 ne s’annonce pas mieux. Un coup dur pour ses commerces, mais aussi pour la construction de nouvelles infrastructures, dont la station du Réseau express métropolitain (REM), qui pourrait être reportée.

Le projet d’une nouvelle aérogare a déjà été reporté. Si l’aéroport Pierre-Elliott-Trudeau connaît des pertes aussi importantes en 2021 qu’en 2020, il devra aussi faire une croix, à court terme, sur la construction d’une station du REMRéseau express métropolitain, dont les travaux sont évalués à 600 millions de dollars.

Je dirais qu’actuellement, on est dans une impasse, lance Anne-Sophie Hamel, directrice des relations médias d’Aéroports de Montréal. Je pense qu’impasse, c’est le bon mot.

Tous les projets qui sont jugés non essentiels pour le maintien de la sécurité et de l’intégrité de nos installations sont mis sur la glace actuellement, poursuit-elle.


Des projets d’infrastructures doivent être mis sur la glace en raison des pertes financières causées par la pandémie de COVID-19 à l’aéroport Montréal-Trudeau. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

Ottawa a déjà annoncé qu’il aidera financièrement l’aéroport Montréal-Trudeau pour la station du REMRéseau express métropolitain, mais aucune confirmation d’un montant n’a été faite à ce jour.

Québec s’est retiré du projet en novembre. L’aéroport étant une entité fédérale, nous nous attendons à une participation de la part [d’Ottawa], répond par écrit le cabinet du ministre des Transports du Québec, François Bonnardel.

Nous souhaitons que le REMRéseau express métropolitain se rende à l’aéroport, ajoute-t-il. Nous croyons également que l’ADMAéroports de Montréal pourrait faire des efforts supplémentaires afin d’optimiser les coûts du projet.

On a regardé différents scénarios, [mais] aucun de ceux qui n’impliquent pas le gouvernement du Québec ne fait que la station pourrait se faire, alors on espère que la décision va être reconsidérée.

Anne-Sophie Hamel, directrice des relations médias d’Aéroports de Montréal

Des milliers de pertes d’emploi

L’aéroport Pierre-Elliot-Trudeau est vide, probablement plus vide qu’il ne l’a jamais été. En janvier, seulement 5500 passagers, en moyenne, y ont transité chaque jour. Et ce nombre devrait encore diminuer étant donné les 12 départs hebdomadaires vers le Sud qui viennent d’être annulés en raison des nouvelles mesures d’Ottawa.

On est à peu près dans du 85 % à 90 %, 95 % même de perte de passagers, déclare Anne-Sophie Hamel.


Selon les relations médias d’Aéroports de Montréal, l’achalandage aurait diminué d’environ 90 %. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

Un des rares endroits achalandés est la clinique de dépistage de la COVID-19 qui offre, pour 149 $, un résultat en 15 minutes. Elle se situe là où se trouvaient deux comptoirs de restauration, fermés pour de bon.

Actuellement, seulement le quart des commerces de l’aéroport demeurent ouverts, souvent à temps partiel.

Si l’aéroport a perdu 90 % de ses passagers, moi, j’ai perdu 90 % de mon chiffre d’affaires, déclare Lancelot Voute, qui gère 14 restaurants de l’aéroport. Seulement deux d’entre eux sont ouverts, et il a dû mettre à pied plus de 200 employés.

Ça a été émotionnellement très difficile parce qu’on était une grande famille, dit-il.


Les quelques restaurants encore ouverts de l’aéroport Montréal-Trudeau sont vides. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

En temps normal, la communauté aéroportuaire, donc les gens qui travaillent à YUL dans l’aérogare, c’est environ 14 000 employés, explique Anne-Sophie Hamel. Actuellement, on est peut-être autour de 5000 employés.

Sur le tarmac, par exemple, l’aéroport enregistre actuellement une centaine de mouvements aériens par jour, alors qu’il y en avait au moins 500 en 2019.

Cela signifie que l’entreprise NewRest, qui fournit la nourriture et les boissons pour les avions d’Air Canada et de plusieurs compagnies internationales, a beaucoup moins de travail qu’avant.


La société Aéroports de Montréal enregistre actuellement une centaine de mouvements aériens par jour, alors qu’il y en avait au moins 500 en 2019. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

On produit dans cette usine en général entre 5500 et 6000 plateaux par jour, assure le directeur général de NewRest au Canada, Olivier Mauricette. Aujourd’hui, on est à 600 plateaux par jour. Imaginez l’impact sur le chiffre d’affaires.


Il ne reste plus que quelques employés dans l’usine de NewRest d’Aéroports de Montréal. | PHOTO : RADIO-CANADA / JEAN-SÉBASTIEN CLOUTIER

D’après le reportage de Jean-Sébastien Cloutier

Ça n’aurait pas de bon sens que le fédéral ne paie pas la station, ça ne pourrait qu’aider l’aéroport dans le futur.

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Je ne suis pas inquiet pour le fédéral.

Ma théorie personnelle c’est que le plan d’aide à l’industrie incluera des provisions pour les aéroports. Garanties, de prêt, financement des projets d’infrastructures, report de loyer.

Je vois difficilement pourquoi le fédéral ne voudrait pas que la station à YUL se concrétise alors qu’il a lui-même participé au montage financier (via la BIC) pour plus de 1,2 milliards dans le projet, en bonne partie pour qu’il se rende à l’aéroport nommé à la mémoire du père du premier ministre actuel.

Tout ça est un jeu. La station se fera. Mon feeling.

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J’ai aucun doute qu’elle se fera. Ça semble toutefois être plus un jeu de négociation entre le provincial et le fédéral que d’autres choses…

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Moi aussi je suis assez optimiste, surtout que je ne serais pas surpris qu’une fois la situation contrôlée, les gens vont vouloir voyager plus pour compenser l’année pogné à la maison.

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Deux ans chez soi

100% d’accord. On assiste juste à une game politique dans les médias. Pas la première ni la dernière. C’est impensable que la station ne se fasse pas. anyway la CDPQi pourrait poursuivre le gouvernement (ou l’ARMT??) pour bris de contrat car sans la station YUL ils n’auront pas l’achalandage prévu (les passagers de l’aéroport ne payeront pas 3$ …) et le coût moyen de la branche serait trop élevé (l’achalandage de la station Marie-Curie sera ridicule, avec ou sans station YUL).

Freelance prépare son plan de relance massif pour des projets qui sont prêts à sortir de terre. La relance c’est là là, pas en 2025. La station REM de YUL est prête à construire et il y a zéro chance qu’elle soit ignorée.

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Effectivement. Aujourd’hui le Congressional Budget Office aux É-U a prévu que l’économie américaine rebondira au niveau de 2019 avant le Q4, et par conséquent on peut prévoir que notre économie va la copier.