Station Sunnybrooke

Déniché sur YT.

PREMIER TEST OFFICIEL DU DRONE Vue aérienne de la station Sunnybrooke du REM

Nomuw
11 mars 2023

Aujourd’hui, je publie mon premier test officiel de mon nouveau drone DJI mini 2. Aujourd’hui, je suis allé à Dollard-des-Ormeaux filmer la station Sunnybrooke du REM. Je prenais souvent l’ancienne ligne de Deux-Montagnes et je passais toujours par cette gare la majorité des fois à bord des MR-90s et parfois à bord des trains Multilevels.

5 « J'aime »

Après plusieurs mois, l’installation des rails reprend à la jonction de l’ouest.

je

12 « J'aime »

02-06-2023

Les travaux avancent à la station Sunnybrooke, avec les préparatifs pour l’installation des murs-rideaux entamés:

d’autres points de vue de la station:

Du côté de l’accès piétonnier de la rue Cerès, pas de changements. L’ancienne billetterie d’Exo est toujours là.

15 « J'aime »

That is just effing insane. Tell me again how their property values will increase… lol!

3 « J'aime »

They can add a gate to their north facing fence and have their own private access to the station :joy: bu yeah it’s wild.

In situations like this, it would still be a net positive to have that station next to you, but there’s also irritants that comes with it.

Though there’s still typically going to be a significant increase of value, proximity does kind of becomes a double edge sword.

6 « J'aime »

21 minutes to downtown door to door!

11 « J'aime »

Pour l’accès à une station de métro, c’est un avantage énorme.

Maintenant ces gens doivent lire et surtout écouter les reportages sur le bruit dans Griffintown avec inquiétude. Car si c’est bruyant, l’avantage de la proximité sera certain effacé par les inconvénients du bruit.

2 « J'aime »

La valeur de la maison surement pas, mais si on permet un redéveloppement à plusieurs étages, la valeur du terrain vient de monter pas juste d’un peu.

Mais clairement ces maisons ne sont plus dans leur habitat naturel!

1 « J'aime »

Même-moi je trouve ça intense comme proximité. Disons que ça l’aurait pu être décalé de plusieurs mètres vers le nord( en lieu et place de l’ancien stationnement). On dirait presque une vengeance contre une militante active contre le REM du nom de Josée Riopel qui habite le secteur Sunnybrook. ( elle commente négativement tous les postes Facebook sur le sujet).

1 « J'aime »

C’est comme <Quin, ma côlisse !> :joy: :joy: :joy:

3 « J'aime »

Le bruit du métro lui même, pas sûr. Il a une plus basse vitesse à l’approche de la station, et la station elle même agit comme barrière. L’inconvénient sonore, s’il y en a, serait humain, avec l’augmentation de déplacements vers le secteur, dont à sa réouverture le stationnement en arrière, en attendant un parc ou un projet immobilier.

3 « J'aime »

5 messages ont été fusionnés à un sujet existant : Ouvrages d’art Tronçon Central - Discussion

Nouvelles photos partagées par NouvLR des travaux à la station:

Automne 2022

Hiver 2023

Printemps 2023

5 « J'aime »

:roll_eyes:

:unamused:

6 « J'aime »

Ça presse de rééquilibrer le rapport de force concernant les opposants. Quant une minorité l’emporte systématiquement sur la majorité c’est qu’il est temps de remettre à l’heure les pendules de la démocratie.

15 « J'aime »

Le loin de Gouin dans Roxboro il y a énormément de bâtiment abandonné et de terrain vacant à cause de ça. Je ne sais pas ce qui peut ou doit être fait, mais oui ça doit changer.

2 « J'aime »

L’autosabotage de Montréal

PHOTO OLIVIER JEAN, LA PRESSE

Pierrefonds, près d’une gare du REM


Stéphanie Grammond
Stéphanie Grammond La Presse

Le paradoxe du REM ne peut pas être plus flagrant que cette semaine.

Publié à 1h17 Mis à jour à 5h00

Partager

D’un côté, on nous dit qu’il faudrait dépenser 36 milliards pour un REM 2.0 afin de favoriser le développement de l’est de Montréal. On nous dévoile cette facture astronomique sans avoir étudié les modes de transport alternatifs qui pourraient présenter un meilleur rapport coût/bénéfice. Et surtout, sans nous offrir une vision claire du développement urbain – construction de logements, création d’entreprises – qui est pourtant la clé de voûte de l’investissement.

On aurait voulu tuer le projet dans l’œuf qu’on n’aurait pas mieux fait.

Pendant ce temps dans l’ouest de l’île, on laisse 26 résidants de Pierrefonds faire dérailler un projet de construction de 111 logements… juste à côté d’une gare où le nouveau REM va bientôt s’arrêter.

Lisez l’article « Regard sur l’immobilier : un autre cas de “Pas dans ma cour” »

C’est du sabotage qui mène le développement de Montréal dans un cul-de-sac.

À quoi bon dérouler des REM partout dans l’île, à grands coups de milliards, si on laisse ensuite les communautés mettre des bâtons dans les roues de ceux qui veulent développer les quartiers ?

Un peu de vision ! Un peu de courage politique ! Le développement du transport collectif structurant va de pair avec la densification urbaine.

En ce moment, il est trop facile pour une poignée de résidants de bloquer des projets qui nécessitent un changement de zonage, en brandissant la menace d’un référendum, comme on l’a vu à Pierrefonds et à de nombreux autres endroits.

Dans Griffintown, la situation est particulièrement criante. Dans la rue Eleanor, par exemple, un projet de quelque 100 logements a été renversé en 2022, à l’issue d’un référendum où 78 personnes ont voté contre.

Consultez l’article du journal Métro sur le projet rejeté dans Griffintown

Mais la plupart du temps, le projet avorte dès qu’un nombre suffisant de résidants signent le registre exigeant un référendum qui n’a jamais lieu parce que les villes et les promoteurs ne veulent pas s’embarquer dans un processus long et coûteux.

Souvent, on se retrouve dans des situations aberrantes, où un nombre très restreint de citoyens qui vivent à proximité ont droit de vie ou de mort sur des projets d’ampleur.

Le printemps dernier, il aurait fallu seulement 16 signatures pour obtenir un référendum auquel à peine 62 personnes auraient été appelées à se prononcer sur un projet de plus d’un millier de logements à L’Île-des-Sœurs, à proximité du REM. Finalement, seulement 10 résidants ont signé le registre. Mais il s’en est fallu de peu !

Consultez l’article du média Nouvelles d’Ici sur le référendum à L’Île-des-Sœurs

Cela prouve que le processus est beaucoup moins démocratique qu’il en a l’air.

Si les référendums peuvent servir de garde-fous lorsqu’une ville est trop complaisante avec un promoteur, ils peuvent trop aisément être détournés par des individus qui placent leurs propres intérêts devant le bien commun.

Le classique : les résidants se plaignent qu’un nouveau projet entraînera trop de circulation dans leur quartier. Or, ils perdent de vue qu’en rejetant la densification, on provoquera un étalement urbain qui causera beaucoup plus de circulation… mais pas chez eux.

Si on veut vraiment lutter contre les changements climatiques, il faut réfléchir de façon collective, pas individuelle. Si on veut résoudre la crise du logement, il faut mettre fin au « pas dans ma cour » qui empêche la jeune génération de s’installer sur l’île.

De la Colombie-Britannique à la Nouvelle-Zélande en passant par le Vermont, de nombreux gouvernements ont changé leurs lois pour favoriser la densification.

Au Québec, l’adoption récente du projet de loi 16 va permettre d’éviter les référendums pour les projets à proximité du transport collectif structurant, mais seulement si on augmente la densité de moins que 50 % par rapport au zonage actuel (ex. : en passant de 2 étages à 3 étages).

C’est mieux que rien. Mais on est mûrs pour une réforme en profondeur du processus référendaire qui reste affreusement complexe.

Les projets immobiliers qui respectent une saine vision du développement urbain à proximité du transport collectif structurant ne devraient plus être soumis à des référendums.

Alors qu’on investit des milliards en transport collectif, on ne peut pas accorder un droit de veto à quelques résidants vivant à proximité, alors que le reste de la communauté – et ceux qui voudraient s’y établir – n’a pas un mot à dire.

Les villes doivent aussi faire leurs devoirs. Certaines comme Brossard ou Verdun sont plus proactives que d’autres, comme Pointe-Claire, dont les élus se sont rangés du côté des citoyens pour bloquer un projet tout près du REM.

Bien sûr, les abords du REM ne doivent pas être juste un terrain de jeu pour les promoteurs.

Mais au lieu de se braquer, les élus devraient faire preuve de courage politique et procéder à une planification détaillée reposant sur une vision d’ensemble qui tient compte du développement des parcs, des écoles et des autres infrastructures publiques.

Cette vision claire, c’est l’élément essentiel qui doit accompagner le projet de transport structurant dans l’est de Montréal, où il y a plein de potentiel (terrains et bâtiments sous-utilisés), mais aussi beaucoup de contraintes (proximité du port avec les camions et le rail, terrains contaminés, etc.).

On a besoin de solutions pour relever les défis. D’un plan clair pour propulser le projet de transport structurant dans l’Est.

8 « J'aime »

They’re putting the glass on the station.

18 « J'aime »

Wait c’est quoi?? Une voie protégé pour les autos qui veulent aller dans le parking??? Ça me semble pas assez large pour ça, une piste cyclable peut-être?

2 « J'aime »

Voici toutes les images que j’ai prises.

14 « J'aime »