On comprendra que l’initiative individuelle quand elle prend les bons moyens est bien plus rapide que la bureaucratie. En effet chaque entreprise dans le circuit est légalement responsable de la signalisation de son propre territoire, même si le dit territoire est à un pas de celui de l’autre.
Malheureusement chaque partenaire sur le circuit pour une question d’hiérarchie, de souveraineté ou d’assurance responsabilité notamment, ne laissera personne d’autre empiéter sur ses décisions, son territoire ou son agenda.
C’est comme ça dans notre monde hyper complexifié où les poursuites légales sont devenues monnaie courante et que chacun est sur ses gardes pour éviter d’être pris en défaut.
Qu’on le veuille ou pas c’est le monde que l’on a créé et avec toutes ces entités privées et/ou indépendantes qui se chevauchent. Pas étonnant alors que la confusion soit si répandue et si difficile à démêler.
On le voit dans la gérance de Montréal et bien d’autres villes ici et ailleurs; des organismes publics; des gouvernements; etc. etc. Rien ne nouveau sous le soleil.
Alors on peut bien s’indigner et traiter tout le monde d’incompétents. C’est la réalité de la gestion ancienne comme moderne, dont les aberrations et les complications réglementaires n’ont rien à envier aux autres administrations publiques ou privées.
En fait seules les technologies changent, mais les règles demeurent aussi éprouvantes et les solutions aussi complexes à appliquer.
Allez en France, au Royaume-Uni, aux USA, en Italie et pire en pays totalitaires, vous vous ruinerez en chemises déchirées. Car l’humain est pareil partout quand il s’agit de gérer les autres.
What I brought up when talking with the reporter is how there already are ARTM (former AMT) signs in the building like La 1000 De La Gauchetière, and for some reason even after they updated the sign to the buses, they still didn’t add one to the REM! I’m glad they’re saying in September something with finally be done
Sur un signal des médias, le public exige que le gouvernement règle un problème X, souvent légitime. Les politiciens alors réagissent en ordonnant aux fonctionnaires de pondre une politique en vitesse qui s’applique mur à mur. Les administrateurs publics passent alors leur temps à rendre des comptes sur le sujet car les politiciens les talonnent. Comme conséquence, les administrateurs perdent de vue certains aspects de leurs mandats, et des choses, comme la signalétique, tombent entre deux chaises. C’est pire si l’on doit sortir de son silo pour se concerter avec d’autres administrations, qui ont leurs propres priorités.
Ces politiques s’ajoutent par couches et rendent laborieux de travailler sur le mandat principal de son ministère. Par exemple, en ce moment, dans certaines administrations gouvernementales, toute l’énergie porte sur les tendances du jour, soit la réconciliation autochtone et la diversité de genre. Le public le demande, et ce sont effectivement de bonnes intentions, mais justement, l’enfer est pavé de bonnes intentions et c’est ce qu’est devenu, maintenant, le travail à la fonction publique – un enfer de bonnes intentions!
Face à l’absurdité de la situation, l’initiative de Mashdash recadre le travail de l’ARTM.
People online have reported the signage being bad, and asked the REM to make MY signs bigger. They don’t respond saying it’s theirs, they just say “something is being done.”
What I also want to note, is that I contacted every single building about the signs I want to install:
Back in fall of 2022, I contacted Groupe Petra about Le 1000 DLG, no response.
In February of this year, I contacted the city about updating the RÉSO signs, no response.
Because of the no response with all the owners, I went to Place Bonaventure to talk to Kevric’s offices directly, and got a response that way.
They were owned by different train companies previously, then the old Bonaventure Station burned down. So CN was going to rename it in commemoration to the old station, but didn’t because people didn’t care enough so it was never actually changed
It was built by Grand Trunk Railway and then the company was absorbed by the CNR (which became the CN) after they had financial trouble. Gare Bonventure burnout down in 1948 and it was still in use up to that point, it cooperated with Gare Central for a while. There were some talk about restoring it after the fire apparently, but they finally decided to destroy it in 1952.
Place Bonaventure took the name in commemoration and the metro station took the name of it as it was nearer and directly connected to it.
In an excerpt from this article, Ms. Guilbault responded to my signs:
Côté signalisation, toutefois, l’élue s’explique assez mal la situation. « Ça, honnêtement, ça n’a pas de bon sens. Développer une application, c’est quand même plus compliqué que faire de la signalisation. On peut y aller, nous, faire de la signalisation au besoin. Des fois, je suis quasiment rendue là », a plaidé Mme Guilbault, visiblement irritée.
