Station Édouard-Montpetit

La façade vitrée sur l’avenue Vincent-D’Indy était presque finie, lors de mon passage hier matin. :sunglasses: :+1:

13-09-2022

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Le bureau des com de l’UdeM est un peu en retard. :sleepy:

Des œuvres monumentales de Manuel Mathieu dans le REM

Lorsqu’il avait 19 ans, Manuel Mathieu est venu d’Haïti étudier à HEC Montréal. Résidant de Blainville, il passait une heure dans l’autobus pour se rendre à ses cours. «Si l’on m’avait dit, à l’époque, que mes œuvres seraient exposées dans la station de métro à l’Université de Montréal, jamais je ne l’aurais cru! C’est incroyable d’avoir l’occasion de concrétiser ce projet», déclare celui dont l’œuvre Le mont habité a été retenue au terme d’un rigoureux processus de sélection.

Pousser la mosaïque à ses limites

La future station Édouard-Montpetit du Réseau express métropolitain (REM) sera reliée à la ligne bleue du métro. Afin de créer un sentiment d’unité avec les différentes mosaïques d’art du métro, il a été demandé de concevoir des œuvres de ce type pour cette station.

Manuel Mathieu, qui est internationalement reconnu pour ses peintures colorées oniriques, n’avait jamais touché à la mosaïque. Il s’est énormément renseigné, notamment auprès de Mosaika, avant de se lancer dans ce nouveau défi de taille! Et il a effectué une «combinaison de collages, de peintures, de céramiques, d’aquarelles, de dessins pour créer de nouvelles images». Le but n’est pas de les plaquer ensuite sur de la mosaïque, mais d’aller bien plus loin et de «pousser la mosaïque à ses limites.»

Dans l’atelier de Mosaika, il a choisi des échantillons de mosaïque qui ne sont pas généralement utilisés pour composer de nouvelles images et produire des effets de surprise.

La tête dans les étoiles et les pieds sous terre

La station Édouard-Montpetit du REM sera creusée à 70 m sous terre. Manuel Mathieu s’est inspiré de cet environnement géologique pour imaginer son œuvre et a joué avec les différentes échelles, mêlant de façon poétique infiniment grand et infiniment petit. Ainsi, il a passé au microscope un morceau de gabbro, cette roche qui compose le mont Royal, pour en révéler les plus minces détails. Puis, à partir de là, il a conçu ses cinq œuvres monumentales. Chacun pourra rêver en passant devant ces mosaïques à l’aspect très organique et observer des morceaux de roche à leur côté. «Je voulais proposer une création en symbiose avec ce qui était déjà là», dit-il.

On a souvent l’impression de voir des visages dans les œuvres de Manuel Mathieu, un phénomène appelé paréidolie. «On pourra facilement imaginer que des visages ou des paysages sortent des œuvres en relation avec les pierres apparentes de la station», indique l’artiste.

Révéler une ville habitée

«Montréal est une ville habitée par des artistes: leurs œuvres rendent la ville habitée. On pense par exemple à La joute, de Jean Paul Riopelle, aux Neuf couleurs au vent, de Daniel Buren, sur la rue Sherbrooke. Montréal reflète l’âme de ces personnes qui ont laissé leurs traces sur ces lieux», souligne Manuel Mathieu. Ses mosaïques veulent leur rendre hommage et rendre hommage aux différents artistes qui sont passés par là.

Le public sera invité à contempler les œuvres de Manuel Mathieu à 70 m sous terre pour faire un lien vers l’extérieur à partir de l’intérieur du REM et à se laisser transporter par son imaginaire.

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24 heures après la grosse pluie d’hier, il y a encore une accumulation d’eau sur le toit. Humm…

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J’ose espérer que ce n’est pas le toit finalisé. Un toit noir sur une infrastructure de transport en commun flambant neuve serait une belle occasion manquée.

Sans devoir installer un toit vert systématiquement (quoiqu’avec les pluies torrentielles de mardi ce ne serait peut-être pas une mauvaise idée), il me semble qu’un toit blanc serait le strict minimum. Je me demande ce que disent les règlements?

Ce qui est sûr, c’est qu’on doit encourager l’installation de toits verts ou blancs. J’aime beaucoup voir des projets comme le nouveau Wal-Mart du Marché Central où on intègre d’emblée des serres sur les toits, ce qui est même une coche au-dessus d’un toit vert standard! Il faut certainement encourager la conversion à des toits verts ou blancs, mais on devrait l’exiger pour les nouvelles constructions. Et les serres sur les grands toits plats commerciaux ou industriels sont définitivement une voie d’avenir!

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On dirait une couche d’enduit bitumineux donc il n’est pas final.

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Normalement un toit plat a une pente vers le drain afin que tout s’écoule dans un laps de temps raisonnable en fonction de la capacité du drain, du volume de pluie, de la superficie du toit, etc.

Là ça fait 3 jours et il y a encore de l’eau résiduelle.

Hormis le matériaux actuel qui ne serait pas final, il resterait également à compléter la pente?

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Photos des travaux de cette station, partagées sur le site de NouvLR:

Station Édouard-Montpetit - Été 2022

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Les photos date de quand? On voit de l’eau résiduelle sur presque tout les toits du secteur.

Si c’est la photo ci-dessous, elle “aurait été uploadée” sur le site de NouvLR le 12 août… :slightly_smiling_face:

https://www.nouvlr.com/wp-content/uploads/2022/09/20220812-E%CC%81douard-Montpetit-scaled.jpg

Par contre, pour les photos avec la Devisubox, c’est plus facile de connaître la date… puisque c’est indiqué. :wink:


À propos du toit de la salle mécanique des ascenseurs (présentement de couleur noire), ce n’est certainement pas le toit final. Toutes les toitures des stations extérieures du REM ont une membrane de couleur gris pâle, tel que l’on aperçoit sur l’édicule de la station É-M.

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Sur l’instagram de Manuel Mathieu:

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Trop blanc et épuré pour mon goût. Mon centre commercial local a fait quelque chose dans ce genre il y a à peu près une décennie à peine un ans plus tard, ils ajoutaient de la couleur. Sérieux, ce n’est pas hôpital, c’est une station de métro!

Will paddle gates be new for a Montréal subway station?

ARTM is in charge of the fare gates so we’ll see what they choose soon! I hope it’s paddle gates

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Honestly me too. In Vancouver they work really well

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J’avoue que c’est très épuré. Par contre ça va faire ressortir les tableaux de l’artiste que je ne connaissais pas et que j’apprécie beaucoup présentement. Ça sera comme marché dans une galerie d’art et je trouve cette approche très réussi pour cette station. Eduard Montpetit pourrait très facilement devenir la station la plus distinguée du REM. Par ça profondeur, la présence de tableau artistiques et la roche présente. Presque toute les stations du REM se ressemblent dans l’ensemble. J’aime bien ce qui sorte du lot. Donc personnellement j’applaudi le design intérieur de cette station.

Ça va aussi faire briller les institutions environnant je parle bien-sûr de l’université de Montréal et le HEC. Comme je suis une diplômé de cette belle université j’en suis particulièrement contente!

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Cinq minutes avec Manuel Mathieu

30 sept. 2022

- Radio-Canada Info

Ses œuvres ont été exposées aux quatre coins du monde et embelliront la future station Édouard-Montpetit du REM : Manuel Mathieu connaît, à 35 ans, une ascension fulgurante dans le monde de l’art visuel.

Né en Haïti, c’est à l’adolescence qu’il s’est installé chez sa grand-mère à Blainville. Un déracinement qui l’inspire.

Louis-Philippe Ouimet a passé 5 minutes en sa compagnie. #tj22h


Vu sur son compte Instagram:

image manuelmathieu

#sample #rem #mosaic

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La grue à tour retirée…


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Un nouvel habillage de chantier est apparu dernièrement. :sunglasses:

17-10-2022

Ce n’est pas trop évident de capturer ce qui se cache derrière les panneaux…

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Via les médias sociaux du REM:

image Réseau express métropolitain - REM

Survol du réseau 📷🚁 | Les chantiers ont beaucoup progressé depuis les deux dernières années. Voyez l’avancement du réseau à vol d’oiseau!

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Via les médias sociaux du REM:

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image Réseau express métropolitain - REM

Une nouvelle œuvre a été installée sur les palissades du chantier de la future station Édouard-Montpetit! Issue d’une collaboration avec MASSIVart et La Camaraderie, la murale présente les « colocataires » de la montagne, en référence à la station Édouard-Montpetit du REM qui se trouve 70 mètres sous terre et inspirée par la vie étudiante du secteur. Dans ce concept ludique, on y voit notamment les personnages amoureux, les farceurs et un dormeur 👾

Avec notre programme d’embellissement des chantiers, nous collaborons avec des artistes locaux pour habiller les palissades qui entourent les travaux du REM pour les transformer en véritables œuvres d’art. Pour en savoir plus ➡️ https://rem.info/fr/collaboration-artistique

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