L’ensemble des activités du Centre sportif reprendront normalement dès le 31 mars, incluant la baignade libre et l’accès à la salle de conditionnement physique. Ce dernier sera toutefois réservé aux membres seulement, comme en 2024 (plus d’informations à ce sujet ci-dessous).
Construction des pyramides olympiques en 1975. Celles-ci sont chauffées par la centrale thermique souterraine du parc olympique, qui est située entre le mat et le stade Saputo.
On peut dire que les pyramides du Village Olympique ont vraiment marqué durablement le paysage urbain de ce secteur de la ville. Elles se démarquent encore magistralement aujourd’hui malgré son proche demi-siècle.
Une anecdote à propos de la finition des appartements durant les Jeux de 1976. Pratiquement aucune porte d’armoire ou élément amovible quelconque n’ont été installés pour éviter que les athlètes friands de souvenirs authentiques ne les emportent à leur départ.
L’Institut national du sport (INS), au cœur du Centre sportif du Parc olympique, rouvrira ses portes le 24 février, plus de 10 mois après sa fermeture en raison d’un incendie près de la tour du Stade olympique. C’est ce qu’a confirmé mardi à Radio-Canada Sports son directeur des communications et du marketing, Jean Gosselin. Pour les sports aquatiques, le retour se fera le 3 mars.
Les équipes sportives et entraîneurs qui seront de retour au travail le 24 février auront accès aux installations de l’INS la semaine précédente, pour préparer leurs plateaux et aménager leurs bureaux.
Les travaux de décontamination ont forcé des centaines d’athlètes d’élite à s’entraîner sur d’autres plateaux ou dans d’autres bassins dans le Grand Montréal à la suite de l’incendie du 21 mars 2024.
Les installations et matériaux irrécupérables dans les travaux de décontamination ont été remplacés, a confirmé Jean Gosselin. Les plateaux de gymnastique ont par exemple de nouveaux coussins pour la réception des sauts.
On dirait presque la campagne en ville. Même si on ne le remarque pas bien sur la photo, il y avait un bon dénivelé à partir de Sherbrooke, où on stationnait sans autre formalité. Je me rappelle avoir déjà glissé en traine-sauvage un hiver près de l’intersection Pie IX. C’était un endroit très ouvert et dénudé (sans arbres) fort populaire dans le quartier.
On n’aurait jamais imaginé à l’époque qu’un complexe sportif de l’importance du Parc Olympique aurait occupé l’ensemble du site. Une impressionnante métamorphose qui a propulsé dans la modernité ce secteur de la ville, qui n’aurait jamais eu cette envergure sans l’attribution des Jeux de 1976 à Montréal.