Stade olympique et la Tour de Montréal (rénovations)

Reportage de CBC

How to reuse Montreal’s Olympic Stadium’s roof? You can vote on it

Montreal’s Olympic Stadium needs its roof replaced — and the group that manages the stadium has launched a competition to make the most of the old one.

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Avant le Stade

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Si vous passez sur Sherbrooke

Les passants sur la rue Sherbrooke, à Montréal, pourront voir que les travaux de démantèlement de la fameuse toiture blanche du Stade olympique ont commencé.

Le Parc olympique indique qu’il s’agit d’une «phase symbolique» du chantier de remplacement du toit.

Une première ouverture dans le toit avait été faite il y a déjà quelques semaines en préparation au démantèlement. Après la toile blanche, c’était au tour de descendre la toile bleue, uniquement visible de l’intérieur.

Autres photos

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La photo du toit vue de l’intérieur, sans la toile bleue, est superbe!! Je me demande qu’elle était l’utilisation de la 2e toile et si elle est vraiment nécessaire. C’est tellement plus beau sans.

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Le communiqué du Parc olympique avec d’autres photos

Communiqué + photos

DÉBUT DU DÉMANTÈLEMENT DE LA TOITURE DU STADE OLYMPIQUE

PUBLIÉ LE 11 JUILLET 2024

Le chantier du remplacement de la toiture du Stade olympique entre dans une phase symbolique. En effet, depuis aujourd’hui, les équipes s’affairent à démanteler la toile de Sherfill blanche de la toiture, visible depuis l’extérieur. Ainsi, les curieux qui passent sur la rue Sherbrooke pourront apercevoir le début du démantèlement de celle-ci.

Une préparation depuis plusieurs semaines

Une première ouverture a été créée il y a quelques semaines afin de descendre des matériaux de la niche, vestiges de l’ancienne toiture.

Une fois les matériaux descendus, les équipes se sont par la suite attaqués à la toile bleue, visible uniquement depuis l’intérieur du Stade, laissant révéler la structure d’acier qui relie la toiture aux 26 câbles rattachés au mât; ces deux composantes font d’ailleurs l’objet d’un concours de valorisation pour lequel le public est invité à voter pour son coup de cœur.

Par la suite, les grues mobiles entrent en action : au bout de celles-ci, des nacelles comprenant les travailleurs. Une première équipe attache une section de la toile à la grue afin de la récupérer en toute sécurité lors de son détachement, à l’aide d’un système de palan. La seconde équipe entre ensuite en scène et procède au découpage de la section visée.

Sur l’aire de jeu, une équipe d’une dizaine de personnes récupère les sections des toiles afin de les plier pour entreposage.

Les équipes travailleront ainsi jusqu’aux vacances de la construction, démantelant un peu plus de la moitié de la toile blanche, révélant la partie structurelle de l’actuelle toiture. Le démantèlement se poursuivra ainsi jusqu’à la fin de l’été, avant de procéder à la déconstruction de la partie métallique et à l’enlèvement des câbles dès l’automne.

Le Parc olympique publiera des photos de l’avancement des travaux sur son site Web de manière régulière.

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Ahhhhhh! C’est ça qui se passe! Une amie m’a envoyé une photo hier, mais je ne savais pas ce qu’il se passait.

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C’est triste que la toile soit découpée pour être retirée par morceaux
Je me souviens d’un épisode d’Infoman où Jean-René Dufort avait démontré la durabilité/robustesse de la toile

Le démantèlement de la toiture du Stade olympique a débuté. Plusieurs projets sont d’ailleurs étudiés par les équipes du Parc olympique pour réutiliser la toiture du Stade. Son porte-parole, Cédric Essiminy, explique que le Stade est unique au monde et le chantier pose donc de nombreux défis.

Ces travaux de grande envergure sont amorcés depuis déjà quelques semaines, mais ils sont désormais visibles de l’extérieur puisque la grande toile blanche en Sheffield, qui caractérise le stade, est minutieusement enlevée par les ouvriers. La toile bleue, visible uniquement depuis l’intérieur du stade, a déjà été retirée.

[C’est] une phase très symbolique, le démantèlement de la toile blanche. La lumière entre à l’intérieur du Stade olympique. [On aura] un stade à ciel ouvert une fois ces 27 000 m2 découpés.

— Cédric Essiminy, porte-parole du Parc olympique

Le démantèlement du toit commence à être visible du centre-ville, du moins avec un gros zoom.

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J-F Savaria a plusieurs photos du toit sur son compte Instagram et Facebook

https://www.instagram.com/p/C9fKh73perq/

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Aujourd’hui, le démantèlement est visible de loin:

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Un Stade sans toit… Ce serait super :blush:

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Après le match de ce soir


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Ce sera long mais au moins c’est un pas dans la bonne direction. Après autant d’années à espérer, on peut maintenant envisager un stade performant 12 mois par année au terme du remplacement du toit. Cela veut dire toutes sortes de manifestations d’envergure et d’événements rassembleurs qui contribueront directement à l’économie de l’est et au rayonnement de Montréal.

En ce qui me concerne personnellement ce sera l’aboutissement d’un chantier que j’ai vu naitre de l’intérieur durant mes 3 années au sein du COJO de 73 à 76 (j’avais alors 22 ans au début de mon emploi). J’aurai donc passé à travers toutes sortes d’émotions et de grandes déceptions à voir ce projet grandiose être finalement tronqué faute de temps pour le compléter avant l’inauguration des Jeux.

Puis toutes ces décennies de tergiversation et de décisions politiques contradictoires dans une saga interminable face aux coûts astronomiques qui en auront résulté. Une histoire invraisemblable mais pourtant combien réelle d’un rêve olympique récupéré en catastrophe pour sauver l’événement à la dernière minute.

En effet c’est à partir de cette douloureuse expérience que le CIO a alors décidé que les Jeux ne seraient désormais plus donnés à une ville mais à un pays. Puisque les villes n’avaient pas les budgets ni les pouvoirs politiques pour créer des lois et les faire appliquer si les choses tournaient mal.

Maintenant bien que je sois encore en très bonne forme, j’ose espérer voir le stade enfin terminé de mon vivant, en devenant concrètement l’oeuvre dont tous les montréalais.es rêvaient lors de l’attribution en mai 1970 à Amsterdam des Jeux Olympiques de 1976 à Montréal.

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Terminé est un bien grand mot. En 1987 tout le monde pensait qu’il était terminé.

Vu sous cet angle rien n’est jamais terminé puisqu’il faut sans cesse entretenir, réparer et améliorer en tenant compte des nouvelles technologies et des nouveaux besoins qui apparaissent avec l’évolution de la société.