Sherbrooke - Projets et actualités

25 octobre 2024

Dans l’arrondissement Fleurimont, secteur 12e avenue.
Il y a 3 projet en construction un à côté de l’autre, sur la nouvelle rue en arrière du nouveau Candian Tire.

Le projet Le monarque, 134 logements abordables.

Projet de 44 logements


48 logements


Nouveau petit bâtiment commercial qui remplace une ancienne station service abandonnée.

2 bâtiments de 20 logements sur le long de la 12e av. un terrain qui à ma connaissance a toujours été vacant.

Gros travaux d’infrastructure pour le nouveau développement de grande surface, l’espace 610. Il a été annoncé dernièrement qu’un walmart s’installera là un jour… yeah…


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Merci pour les photos!

Et voilà qu’on répète les mêmes erreurs du Plateau Saint-Joseph. On a l’opportunité d’innover (au Québec) en matière de quartier commercial et là on bâtit un autre power center…

On aurait pu rajouter des logements, des bureaux ou même d’autres commerces par dessus ces grandes surfaces, ça aurait déjà donné un quartier bien plus intéressant. Là on construit du jetable qui sera à redévelopper dans 30-40 ans. C’est vraiment plate à voir.

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Et un AUTRE projet novateur et avant-gardiste de nos promoteurs locaux adorés :heart_hands:

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En plus, c’est un 2 pour 1! Ça va régler le trafic d’après le rendu! Finalement!

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Considérant que le centre d’achat à l’intersection de Bourque et de la rue Haut-Bois a été démoli il y a un peu plus d’une décennie de cela, disons que ça fait quelque peu étrange. Ce n’est pas l’offre commerciale dans le secteur qui manque.

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Une grue est apparue sur la rue Bossé pour le projet Monarque ( 134 logements ) chantier de Longer.
essayé dènvoyer la photo mais pas un expert en transfert de fichiers,

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Sur ce forum, il suffit de sélectionner la photo et de faire un click and drag jusque dans la boite de texte. Le forum va télécharger la photo. C’est plus simple que la vaste majorité des logiciels de forum.


Voilà, 24 novembre 2024, une belle grue en périphérie de la ville, pas loin de l’autoroute.

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Il y a eu aussi l’ouverture de deux prolongements de rue majeurs, cette semaine.

Mi-Vallon

Jean-Baptiste-Nolain


Sur celle-ci, ils ont construits un segment de 30m de piste cyclable bidirectionnelle surélevée qui connecte à rien.


L’échangeur Darche a aussi été remis en service, après 1 an et demi de travaux :


Les travaux pour y ajouter des bretelles dédiées au transport en commun dans le cadre du projet structurant (pour permettre un arrêt pour les autobus circulant sur l’A-410), s’ils sont approuvés, ne vont cependant pas avoir lieu avant 2026. On peut supposer que l’aménagement paysager final ne sera pas fait avant ce moment-là.

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Soirée d’information au sujet du projet d’UTILE

UTILE convie la population de Sherbrooke à une soirée d’informations pour présenter son projet de logement étudiant à but non lucratif.

‍Cette soirée d’information se tiendra le lundi 2 décembre 2024 de 18h à 20h30 au Centre Multi Loisirs Sherbrooke (1010 rue Fairmount). Les Sherbrookoises et Sherbrookois pourront y découvrir le projet via différentes stations présentant l’organisme, le projet imaginé sur le terrain de la rue du Pacifique et son état d’avancement.

Plusieurs membres de l’équipe d’UTILE seront disponibles tout au long de la soirée pour échanger avec les personnes intéressées et répondre à leurs questions, des très générales aux plus particulières.

Ce projet viendra répondre à un important besoin en matière de logement étudiant abordable à Sherbrooke, où vivent quelque 20 000 étudiant·es locataires. La plus récente enquête statistique d’UTILE sur la situation résidentielle à Sherbrooke révélait notamment qu’entre 2021 et 2023, le coût moyen d’un 4 et demi occupé par un ménage étudiant avait augmenté de 17,5%.

https://www.utile.org/nouvelles/soiree-dinformation-a-sherbrooke-presentation-du-projet-dutile-sur-la-rue-du-pacifique

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J’ajouterais que Québec a été très réaliste dans ses choix. Étant donné le relief très varié de la ville, les responsables municipaux ont immédiatement choisi des vélos avec assistance électrique, au lieu des vélos coventionnels. Une décision judicieuse qui a incité plusieurs citoyens à se lancer dans l’expérience et l’ont rapidement adopté.

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Projet d’agrandissement sur la King Est (18 logements)
Démolition du bâtiment encadré en rouge pour permettre l’agrandissement du bâtiment encadré en bleu.

Bâtiments commerciaux : Espace 610



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400 logements communautaires à venir près de la 12e Avenue

Un imposant chantier sera lancé dans environ un an par les Habitations L’Équerre aux abords de la 12e Avenue à Sherbrooke. Il permettra à terme d’ajouter 400 logements dans le futur quartier Masson, dont environ 30 à 40 % qui seront subventionnés, a informé la directrice générale de l’organisme, Denise Godbout, en dévoilant ce projet le 28 novembre.

Baptisé Haùs, soit «maison» ou «foyer» en allemand, ce complexe résidentiel se déploie en dehors du conventionnel programme d’habitation abordable Québec (PHAQ), souvent critiqué par le passé pour sa lourdeur bureaucratique, et repose plutôt sur une approche qualifiée d’innovante qui implique la participation de plusieurs acteurs.

Les Habitations L’Équerre espèrent notamment un appui financier de la Ville de Sherbrooke par le biais de son programme maison implanté en 2023. La demande est déjà déposée, a confirmé le chargé de projet Richard Tanguay. À environ 11,86 millions de dollars pour l’ensemble du complexe, on parle d’une contribution potentielle légèrement sous la barre des 30 000 $ par porte.

Le Groupe Custeau, qui mène plus largement le projet Masson dans lequel s’insère Haùs, a pour sa part vendu le terrain 25 à 30 % en deçà du prix du marché. L’entreprise partage aussi son expertise dans le développement du projet. La firme Équipe A architectes, les firmes d’ingénierie St-Georges et IME en plus de Construction Longer sont également impliquées.

L‘approche «intégrée» inspirée de Vienne implique justement de mettre à contribution tous ces partenaires vers un objectif commun, dans une «synergie» qui doit permettre d’optimiser les coûts si chacun fait sa part, a expliqué M. Tanguay.

Logements hors marché

Même les logements non subventionnés seront maintenus au prix coûtant, soit moins que dans le marché privé locatif, selon l’organisme. La vocation des lieux sera «communautaire» dans tous les sens du terme, a promis Mme Godbout, qui envisage déjà plusieurs espaces communs, par exemple une bibliothèque, des jardins, des aires de jeux pour les plus jeunes ou des espaces de rencontre pour les aînés, entre autres.

«Haùs sera un modèle à suivre, une preuve que l’innovation peut et doit être au service de la population et de la planète», a déclaré la directrice de l’organisme.

La clientèle visée par Haùs est variée, comprenant autant des personnes seules que des couples ou des familles, ce qui se traduit donc par une variété dans les grandeurs de logement. On parle même «d’installations conçues pour faciliter la vie quotidienne des personnes à mobilité réduite ou ayant des besoins spécifiques». L’organisme sans but lucratif d’habitation vise 2027 pour livrer les premières unités.

Ce volet fait partie de la forte proportion de logements abordables que promettait le Groupe Custeau dans son projet Masson, où l’on prévoit plus de 800 unités. En plus de Haùs, un volet coopératif est aussi prévu, et le reste sera du logement privé.

La construction de Haùs devra par ailleurs respecter des normes environnementales élevées en matière d’isolation, d’efficacité énergétique et de récupération de chaleur et des eaux grises. En fait, les Habitations L’Équerre prévoient même que le complexe consommera seulement le tiers de la consommation normale pour 400 logements, ce qui réduira considérablement la pression sur les systèmes municipaux de traitement de l’eau, un enjeu critique dans un secteur en plein boom résidentiel.

Alors que les Habitations L’Équerre mènent déjà plusieurs projets de front, l’OSBL a aussi annoncé avoir en tête un plan de développement encore plus vaste puisqu’il prévoit générer des projets dans les cinq prochaines années qui pourraient cumuler environ 925 logements au total. L’organisme lance donc un appel à la Ville de Sherbrooke pour développer une entente spécifique autour de cette stratégie.

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Le projet d’UTILE à Sherbrooke

Le projet en bref

  • Six étages, soit trois de moins que la limite permise par le règlement d’urbanisme ;
  • 180 logements, dont 118 studios/1 c.c. et 62 colocations ;
  • Logements abordables loués en priorité aux étudiant·es à la maitrise et au doctorat de l’Université de Sherbrooke ;
  • Taux d’implantation de 20% (maximum permis : 40%) ;
  • À 20 minutes à pied ou 10 minutes de vélo du campus de l’Université de Sherbrooke;
  • 134 stationnements (80 cases extérieures et 54 intérieures) ;
  • Pas de balcons, mais une terrasse partiellement couverte au rez-de-chaussée.

UTILE souhaite offrir à la population étudiante des studios et des appartements complets à des loyers sous les prix du marché. Ses projets sont des milieux de vie qui visent à encourager la réussite des études et la participation citoyenne :

  • Des espaces communs axés sur leurs besoins : salle d’étude, stationnements à vélo et buanderie ;
  • Une gestion de proximité assurant une présence régulière de nos équipes dans les immeubles ;
  • L’accessibilité à de l’information par différents points de contact avec le voisinage pendant la construction ;
  • Un engagement à long terme dans la communauté pour contribuer au vivre ensemble.

https://www.utile.org/nouvelles/utile-presente-son-projet-de-logement-etudiant-a-la-communaute-sherbrookoise

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La belle ville de Sherbrooke semble avoir une véritable passion pour le rouge, et si j’ai bien compris, la municipalité a récemment rendu cette couleur (brique rouge) obligatoire pour les nouvelles constructions, ce qui est une excellente initiative ! Cependant, les nouveaux projets au centre-ville manquent parfois (souvent) de finesse architecturale, ce qui est regrettable compte tenu des sublimes immeubles patrimoniaux qui font tout le charme de la ville.

En observant le projet Stirlyng à Montréal, je me disais que son revêtement couleur terra cotta, alliant modernité et élégance, s’intégrerait parfaitement dans le centre-ville de Sherbrooke. Pour les nouveaux projets sur la rue Wellington par exemple, ce type de design pourrait apporter une touche de modernité tout en respectant le caractère et l’ADN du centre ville de Sherbrooke. Cela mettrait encore plus en valeur les magnifiques immeubles patrimoniaux environnants.

Si ce message inspire la ville ou des architectes locaux, j’en serais ravi !

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Obliger une couleur ou un matériau ça ne veut pas dire que ça va rimer avec qualité architecturale. Je trouve cette décision de la ville de Sherbrooke particulière et va limiter grandement l’audace architectural. Je peux comprendre pour un secteur patrimonial particulier mais de là à l’imposer à toute une ville

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À quoi faites-vous référence, exactement?

N’oubliez pas de recopier la phrase en entier; car le

Est important pour la compréhension de ma citation ! Je ne voudrais pas, par inadvertance, être à l’origine d’une rumeur :innocent: :innocent: :innocent:

Donc, effectivement, à plusieurs reprises sur ce fil de discussion, il est mentionné que la ville recommande d’incorporer la fameuse brique rouge dans les nouveaux projets. Par exemple,

Voilà à quoi je faisais référence. Je l’avais lu aussi à plusieurs autres endroits, mais je n’est pas le temp de les retrouver maintenant.

Bonne nouvelle! :slight_smile:

Vers une Well de plus en plus piétonne

La rue Wellington Nord sera davantage piétonne à l’été 2025, et sur une plus longue durée, ont convenu mardi les élus sherbrookois.

La facture visuelle à prévoir sera dans la même veine que celle implantée l’été dernier, mais une portion de rue «partagée» sera ajoutée au croisement de la rue Frontenac et de l’extrémité de la Well, tout près de l’hôtel de ville.

L’ilot central complètement fermé aux véhicules, entre Albert et Meadows, reviendra également, tout comme le sens unique vers le nord qui permet de maintenir la circulation automobile en la déviant via la rue Webster.

La période visée passe aussi du 15 mai jusqu’à l’Action de grâces, au lieu de la fin juin à la fête du Travail comme c’était le cas.

L’aménagement amorcé l’an dernier sur Frontenac en bordure du carré Strathcona s’étendra plus largement dans le virage formé avec la rue Wellington, où les véhicules, les passants et les cyclistes devront partager la voie, et où la vitesse pratiquée sera donc nécessairement réduite. En plus du mobilier urbain, on prévoit même l’installation de brumisateurs aux abords de la rue.

On parle grosso modo de l’emplacement qui formait le parterre devant la scène utilisée l’été dernier lors de la Fête nationale, entre autres. Il est par ailleurs prévu qu’une partie des aménagements puissent être mobiles afin de pouvoir coexister avec cet espace de spectacle à l’été 2025.

Concept proposé pour la rue Frontenac en bordure du carré Strathcona. (Castor et Pollux)

Au regard des plans fournis, la cohabitation entre tous ces usagers semblait toutefois poser problème, selon les élues Annie Godbout et Nancy Robichaud, et l’administration a reconnu qu’il faudrait retirer un îlot de béton à cet endroit et possiblement «repenser les formes» de certaines portions du projet.

La Well du futur

La vision 2025-2028 prévoit ensuite une augmentation progressive de l’espace réservé ou partagé avec les piétons, a-t-on présenté aux élus en séance plénière. L’architecte-paysagiste Stéphanie Henry, de la firme Pollux et Castor, chargée de l’idéation du projet, a ainsi donné quelques aménagements qui viendront concrétiser au fil du temps cette orientation, notamment le retrait éventuel de cases de stationnement de longue durée pour les remplacer par des espaces pour les terrasses, du verdissement ou simplement du stationnement à plus courte durée. Le nombre de cases touchées demeure à déterminer.

Le maintien d’une certaine piétonnisation en hiver est aussi envisagé pour la première fois, plus précisément à la hauteur de l’ilot central entre Albert et Meadow. La planification actuelle prévoit cette intervention pour l’hiver 2026-2027.

Une majorité d’élus a appuyé le caractère progressif de ce déploiement, d’autant plus que la porte demeure ouverte à s’ajuster au besoin de saison en saison, a spécifié Bianca de La Fontaine, conseillère en développement du centre-ville pour la Ville de Sherbrooke. Un amendement proposé par la conseillère Danielle Berthold et approuvé à l’unanimité est venu formaliser cette garantie.

Déjà, une rencontre à laquelle 16 commerçants ont participé pour faire le bilan de l’été 2024 a été tenue le 30 octobre. «La facture visuelle a été très appréciée», a rapporté Mme de La Fontaine, tout comme la «bonne cohabitation» avec les événements estivaux comme la Fête nationale, Bouffe ton centro ou Sherblues & Folk.

Le sens unique là pour rester

Le marquage au sol a toutefois été «très, très, très difficile à retirer» une fois septembre venu, a-t-elle relevé. Ce ne sera plus nécessaire à l’avenir, puisqu’il est prévu que ce marquage, tout comme la circulation à sens unique par ailleurs, soit maintenu de façon permanente sur la Wellington Nord. Il s’agira donc d’une continuité avec la Wellington Sud, également à sens unique vers le nord depuis sa reconstruction.

Autre limite du projet 2024, la zone restait très minéralisée et le besoin pour davantage d’ombre a été identifié.

L’estimation du budget pour 2025 s’élève à 325 000 $, ce qui inclut entre autres le mobilier, le marquage au sol, la signalisation, l’entretien, la main-d’œuvre, les communications et l’animation.

La conseillère Hélène Dauphinais a émis sa dissidence en jugeant que «c’était déjà beaucoup» en 2024. «Je comprends moins la nécessité de vouloir en rajouter», a-t-elle commenté.

«On n’est plus à faire des bancs d’essai. […] On a non seulement écouté, mais on a travaillé ensemble [pour réaliser ce projet]», a pour sa part émis l’élu du centre-ville, Raïs Kibonge, en parlant de l’implication des commerçants et des résidents du secteur et en saluant l’avancée pour le concept de piétonnisation.

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