Sherbrooke - Projets et actualités

Voilà, pour faire suite au post plus haut sur les projets dans l’arrondissment Fleurimont. En noir, c’est des projets qui ont été anoncés ou en construction.

En rouge j’ai mis ce que le zonage actuel autorisait. À ma connaissance, il n’y a pas de projet d’annoncé pour l’instant.

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Finalement dans la zone identifiée de 48 à 85 logements, il y a un projet de 134 logements qui a été présenté au dernier conseil.

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Une trentaine de logements abordables verront le jour dans l’est de Sherbrooke

Une trentaine de logements abordables apparaîtront dans les prochains mois au coin de la rue Terrill et des 12e et 13e Avenues Nord, dans l’est de Sherbrooke.

Les Habitations l’Équerre pilotent ce projet. L’immeuble comptera plus précisément 33 appartements 3 1/2 ainsi que 3 appartements 4 1/2. Selon l’organisme, ce projet de construction viendra répondre à un besoin critique sur le territoire.

“Notre liste d’attente s’allonge de semaine en semaine. Il y en a qui sont désemparés. On est au mois de décembre et on reçoit des appels de gens qui n’ont pas de logement pour janvier. Antérieurement, on recevait beaucoup des gens sur l’aide sociale, qui ont un bas revenu, mais maintenant, de plus en plus, on voit des travailleurs au salaire moyen qui cherchent des logements abordables”, a fait savoir la directrice générale des Habitations l’Équerre, Denise Godbout.

En ce moment, quelque 170 personnes figureraient sur la liste d’attente des Habitations l’Équerre, comparativement à une dizaine il y a à peine trois ans. Denise Godbout est certaine de trouver preneur pour les 33 nouveaux appartements sans trop de problèmes.

La construction de l’édifice devrait débuter au mois de mai. Si tout se déroule comme prévu, les logements seraient habitables dès 2025. Le coût total du projet s’élève à environ 11,6 M$. De ce montant, 6 M$ proviendront d’une subvention provinciale, tandis que la Ville de Sherbrooke devrait contribuer à hauteur de près de 1 M$. Le reste du montant sera obtenu sous la forme d’une hypothèque garantie par Québec.

“Je ne peux pas vous dire combien [coûteront les logements]. Étant donné [les subventions de la municipalité et du provincial], c’est sûr que les logements vont coûter moins cher que ce qu’on considère abordable” , a précisé la directrice générale de l’Équerre.

Par ailleurs, une partie de ces futurs locataires bénéficieront d’un programme de soutien au logement. Cela signifie qu’ils paieront 25 % de leur revenu annuel pour se loger.

Des promoteurs privés se tournent vers le social

Au départ, un groupe privé souhaitait construire des appartements de luxe à cet endroit. Le projet a finalement avorté et c’est à ce moment que l’Équerre s’est fait approcher par un promoteur privé qui voulait connaître son intérêt pour le site. L’organisme a sauté sur l’occasion et a présenté un projet par l’entremise du programme d’habitation abordable du gouvernement.

“Les promoteurs immobiliers de Sherbrooke ont à cœur le logement social. Ce projet-là aurait pu être vendu à un promoteur privé, il y en avait un qui était intéressé. Notre intermédiaire, Groupe Custeau immobilier, a proposé au promoteur qui détenait le terrain de nous demander si on était intéressés à acheter ce clé en main. On a dit oui. C’est le fun d’entendre ça” , s’est exclamée Denise Godbout.

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Voici une image de l’ancien projet:


PS. C’est probablement mon dernier post avant les fêtes alors joyeuses fêtes à tout le monde!

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J’ai pris quelques photos avant Noël d’un bâtiment de condos en construction ici sur la rue Mézy.



Voici le site web du projet.


Ce même angle la nuit:

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Le combat pour une rue partagée à Sherbrooke


Jessica Garneau, Le Devoir
Le quartier connu sous le nom du parc London, situé dans un secteur résidentiel au coeur de Sherbrooke, mais enclavé par de grandes artères, serait l’endroit par excellence où réaliser une rue partagée, selon Louis-Philippe Renaud.

Lisa-Marie Gervais
8 janvier 2024
Transports / Urbanisme

De plus en plus populaire depuis la pandémie, le concept de rue partagée, un type d’aménagement visant à réduire la vitesse des automobilistes pour accorder la priorité aux piétons, a lui aussi connu une petite éclosion dans plusieurs villes du Québec. Si des projets pilotes de ces rues aussi dites « conviviales » ont pu être rapidement mis sur pied à Montréal ou Québec, celui de la rue London, porté à bout de bras depuis cinq ans par des citoyens de Sherbrooke, fait du surplace.

« On est peut-être des irréductibles Gaulois, mais on commence à s’affaiblir. On n’a plus de moyens. » Citoyen engagé dans son quartier tricoté serré autour du parc de l’Ancienne-Caserne — aussi connu comme le parc London —, Louis-Philippe Renaud ne cache pas son découragement devant le piétinement du projet de rue partagée, qu’il a lancé avec d’autres en 2018. À l’époque, réduire la limite de vitesse à 20 km/h et aménager des saillies de trottoir ou installer des bacs de jardinage pour inciter les automobilistes à ralentir semblait si simple.

Cinq ans plus tard, lui et ses complices se voient plutôt comme Astérix et Obélix qui se démènent dans la maison qui rend fou. « On s’est fait dire souvent : “La balle est dans notre camp, soyez patients”. Mais après, on apprenait que la balle était dans NOTRE camp », raconte-t-il. « Nous, on y a cru. On a toujours embarqué parce qu’on était de bonne volonté. Mais on a été naïfs, au fond. »

Ce quartier tricoté serré dans un secteur résidentiel au coeur de Sherbrooke, mais enclavé par de grandes artères, serait pourtant l’endroit par excellence où réaliser — ou à tout le moins tester — un tel projet, selon lui. « Il y a comme une ambiance communautaire très vivante autour du parc London, où énormément d’enfants marchent et font du vélo. Il y a une vie extérieure et conviviale comme on en trouve peu ailleurs. »

Le sentiment d’appartenance s’est même raffermi pendant la pandémie, avance Louis-Philippe Renaud. « Je sortais mon speaker dehors, les gens venaient nous voir. Il y avait une magie », raconte-t-il. « La rue partagée, c’est exactement ce qu’on aurait dû avoir pendant la COVID ! » souligne son compagnon de lutte, résident du quartier, Jérôme Theau.

Des tests pendant la pandémie

Plusieurs villes ont en effet profité de la pandémie pour aménager des projets pilotes. À l’été 2021, la Ville de Québec a lancé un appel à tous, et une vingtaine de projets de rue partagée ont été testés, dont la moitié a été reconduite l’année suivante. À cette même époque, Gatineau s’est aussi dotée d’une Politique des rues conviviales. Montréal, qui en compte aujourd’hui une centaine, possède depuis plusieurs années un Programme d’implantation de rues piétonnes et partagées pour soutenir les arrondissements.

Défini comme étant « tout ou partie d’un chemin public sur lequel la circulation piétonne est priorisée », le concept de rue partagée avait d’abord été intégré officiellement au Code de la sécurité routière en 2018, ce qui a ouvert la voie aux municipalités. L’année suivante, le ministère des Transports avait publié un guide pour faire connaître la marche à suivre aux différents gestionnaires de réseau qui voudraient en implanter. Il ne tient toutefois pas de registre, leur aménagement relevant du pouvoir des municipalités.


Photo: Jessica Garneau Le Devoir
«On nous a autorisés à mettre du mobilier urbain, mais il fallait le rentrer tous les soirs. S’il y avait un accident avec le pot de fleurs que tu avais mis dans la rue, c’était toi le responsable», explique Jérôme Theau.

À l’été 2021, un projet pilote a également été mis sur pied à Sherbrooke, justement dans la rue London. Une mascarade, selon plusieurs. « On nous a autorisés à mettre du mobilier urbain, mais il fallait le rentrer tous les soirs. S’il y avait un accident avec le pot de fleurs que tu avais mis dans la rue, c’était toi le responsable », explique Jérôme Theau. La pancarte limitant la vitesse à 20 km/h était à peine visible, se désole Maude Boisvert, une autre membre du groupe. « Et il a fallu courir après [la Ville] pour avoir un suivi. »

Un autre obstacle

Un autre obstacle a surgi il y a quelques mois : la mairesse de Sherbrooke, Évelyne Beaudin, a exigé la création d’un OBNL pour tout projet de rue partagée. Il s’agissait pour elle d’avoir un seul interlocuteur qui aurait la légitimité de parler au nom des personnes concernées et qui pourrait être, en quelque sorte, le gardien de l’acceptabilité sociale. Mais c’était aussi une question d’équité, envers tous ceux qui souhaiteraient mettre sur pied un tel projet, avait-elle expliqué aux médias.

Pour le groupe de la rue London, après autant de temps investi bénévolement dans le projet, de rencontres avec les élues et fonctionnaires de la Ville, ça a été comme se heurter à un mur. « La raison d’être d’un OBNL, c’est de rendre un service à ta communauté. Mais nous, ce n’est pas ça, notre objectif. On ne veut pas devenir les gestionnaires de la rue partagée », explique Jérôme Theau.

« On ne veut pas devenir un guichet pour toutes les demandes citoyennes », renchérit Maude Boisvert. « Et on ne peut pas parler au nom de tout le monde. On ne représente pas notre quartier parce qu’on est cinq à créer un OBNL. » Pour elle, la question de l’acceptabilité sociale avait été réglée lors d’une consultation citoyenne menée précédemment, dans laquelle beaucoup de temps et d’argent ont été investis. « S’attaquer à l’automobile, c’est une vraie patate chaude. »

Nous, on y a cru. On a toujours embarqué parce qu’on était de bonne volonté. Mais on a été naïfs, au fond.

— Louis-Philippe Renaud

Le projet a pu prendre la Ville de Sherbrooke de court, reconnaît Jérôme Theau. « Ils n’ont pas su dans quelle case mettre ça et ils se sont dit que c’était une demande citoyenne, au même titre qu’un citoyen qui veut un stop ou un trottoir devant chez lui », constate-t-il. « Alors que, dans les faits, c’est un projet d’aménagement urbain, donc c’est à la Ville de le prendre en charge. »

De l’espoir au bout du chemin ?

Le maire suppléant, Raïs Kibonge, dit avoir toujours appuyé la rue partagée dans London. « C’est un projet porteur. Mais il faut qu’on s’entende sur pourquoi on va le faire et comment », a-t-il affirmé en entrevue au Devoir. « On ne veut pas une seule rue partagée dans un quartier favorable, qui serait une exception. On veut un programme qui sera étendu à la grandeur de la ville. »

Il a d’ailleurs annoncé qu’en 2024, une somme de 100 000 $ serait consacrée à « un ou deux » projets pilotes de rue partagée qui répondraient à certains critères, encore à définir. « C’est la première fois qu’il y a de l’argent sur la table pour ça », s’est-il réjoui.

Quant au projet de la rue London qui tarde à aboutir, c’est qu’effectivement, il semblait difficile de lui trouver la bonne case. « Le ministère des Transports a sa définition de rue partagée, et ça bloquait au niveau de l’administration municipale. On s’est demandé si elle allait servir comme outil de développement communautaire ou outil de sécurité routière. C’est là que [le projet] s’est promené d’une division à l’autre », a admis M. Kibonge, qui a rencontré cet automne les responsables des rues partagées pour la Ville de Québec.

Le maire suppléant a également rappelé l’importance de l’adhésion des résidents concernés. Lors d’événements publics autour du projet, des opposants se sont manifestés, a-t-il constaté. Malgré tout, il demeure positif et espère que Sherbrooke aura plusieurs propositions de rues partagées, lorsque les critères seront déterminés. « À ce moment-là, tout le monde pourra soumettre un dossier. Et les candidatures les plus favorables [pour un tel projet], ce sont elles qui auront le projet pilote. » La balle n’a peut-être pas fini de changer de camp.

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Selon le dernier décret de population du gouvernement, la population de Sherbrooke aurait augmenté de 6246 personnes en 2023. C’est vraiment étonnant considérant que les dernières années la population augmentait d’environ 2000 personnes et je trouvais que c’était beaucoup pour Sherbrooke. La population totale de Sherbrooke serait de 181 360 personnes.

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Source : Estimation de l’ISQ | La population de Montréal rebondit | La Presse

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Ledit promoteur a publié ceci sur sa page Facebook récemment :

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Le premier me semble être le 116 rue Sanborn, au centre-ville. Aucune idée pour le 2e.

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C’est sûrement parce que c’est de la «mixicité bovatrice» que ça ressemble autant à un projet d’une autre époque!

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Je n’ai pas tendance à prendre ce que Nikolai Ray dit trop au sérieux! Par contre, c’est vrai que c’est décevant de voir autant de stationnement dans un nouveau projet. :confused:

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Moi aussi, il annonce beaucoup de nouveaux projets sans rien concrétiser. À ma connaissance, il n’a rien construit de nouveau à Sherbrooke depuis qu’il est dans le décors. Il semble seulement faire des flips immobiliers.

Le deuxième projet n’a absolument rien de vert ou de développement durable ou de novateur, commes disent les autres, c’est un projet du début des années 2000, pas de 2024.

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L’ancien Vieux Clocher de Sherbrooke sera démoli

Par Lilia Gaulin, La Tribune

18 janvier 2024 à 04h00
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La Ville de Sherbrooke confirme qu’un permis de démolition a été émis en septembre dernier pour le bâtiment situé au 1590 rue Galt Ouest. (Maxime Picard/La Tribune)

L’avenir de l’ancien Vieux Clocher de Sherbrooke est maintenant connu: un permis de démolition pour le bâtiment situé au 1590 rue Galt Ouest a été délivré le 18 septembre 2023.


C’est ce qu’a confirmé le service des communications de la Ville de Sherbrooke à La Tribune. Ce permis est «normalement» valide pour une période d’un an.

Des conteneurs sont visibles sur le site de l’ancienne salle de spectacle.

Selon une étude fournie par l’entrepreneur, les coûts de réhabilitation sont plus élevés que la valeur inscrite au rôle d’évaluation, indique-t-on du côté de la Ville de Sherbrooke.

«La Ville a demandé une contre-expertise de cette étude qui est arrivée à la même conclusion», ajoute-t-on.

Concrètement, le règlement sur la démolition d’immeuble de la Ville de Sherbrooke prévoit qu’une demande de démolition pour un immeuble qui est «dans un état avancé de détérioration qui rend impossible l’occupation pour lequel l’immeuble est destiné, et ce, sans que soit réalisé des travaux d’une valeur supérieure à la valeur de l’immeuble inscrite au rôle d’évaluation foncière en vertu de la Loi sur la fiscalité municipale» n’est pas assujettie à une autorisation du comité de démolition.

Selon le rôle d’évaluation, la valeur du bâtiment s’élève à 254 500$. Celle de l’immeuble, incluant la valeur du terrain, se chiffre à 837 300 $. La demande de démolition complète a été déposée le 21 février dernier.


Les portes du bâtiment sont barricadées. (Maxime Picard/La Tribune)

La Ville de Sherbrooke est en train de revoir le processus menant à l’obtention d’un permis de démolition. La commission de l’aménagement du territoire a proposé une réforme règlementaire en juin dernier.

La conseillère municipale et présidente de la commission de l’aménagement du territoire, Geneviève La Roche, a été déçue d’apprendre qu’un permis de démolition avait été délivré sans que le dossier soit analysé par le comité de démolition.

«C’est un bâtiment qui valait la peine qu’on prenne le temps de se poser des questions et d’entendre le public», dit-elle.

La nouvelle mouture du règlement de démolition entrera en vigueur en 2024, soutient Mme La Roche. «Si la demande avait été déposée juste un peu plus tard, avec les nouvelles dispositions légales, il [le Vieux Clocher de Sherbrooke] aurait dû aller devant le comité de démolition. Les règles sont en train de changer justement parce que je pense qu’autant au niveau municipal que provincial, on veut de plus en plus protéger ce genre d’édifice et s’assurer que s’il y a démolition, c’est parce qu’on a tout fait pour l’éviter.»

Mme La Roche est bien consciente que le bâtiment nécessite d’importants travaux de décontamination et de mise aux normes. Le bâtiment contient de l’amiante, précise-t-elle.

Avec la nouvelle règlementation, tous les immeubles ayant une valeur patrimoniale devront passer devant le comité de démolition, explique la conseillère. «L’état du bâtiment à lui seul ne peut pas créer une exception avec la nouvelle règlementation. On fait vraiment une analyse plus globale avant de dire qu’il peut y avoir une exception.»

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Je n’avais pas réalisé que ce secteur du centre ville était dans la zone d’innonvation quantique (DistriQ)

Décontamination du secteur des Grandes-Fourches: Québec verse 13 millions à la Ville de Sherbrooke.

Le gouvernement du Québec octroie 13 millions à la Ville de Sherbrooke pour finaliser la décontamination, l’aménagement et la réhabilitation du secteur des Grandes-Fourches.

Il s’agit d’une aide financière qui s’ajoute aux 10 millions de dollars que la Ville a reçus en 2019.

« Nous nous réjouissons d’obtenir ces fonds. En 2019, nous avons reçu 10 millions de dollars pour la décontamination de la zone Wellington Sud. Aujourd’hui, nous sommes extrêmement fiers de pouvoir bénéficier de cette deuxième enveloppe pour poursuivre le travail de décontamination d’un secteur appelé à devenir névralgique pour la zone d’innovation de Sherbrooke. Il s’agit d’une excellente nouvelle! »

  • Raïs Kibonge, maire suppléant de la Ville de Sherbrooke

Développer le secteur des Grandes-Fourches
Ce soutien lui permettra aussi de procéder au développement d’infrastructures publiques dans le secteur des Grandes-Fourches, l’un des deux secteurs géographiques qui font partie de la zone d’innovation quantique DistriQ.

Rappelons que DistriQ vise à accélérer les innovations quantiques dans les secteurs de l’environnement, de la mobilité, de la santé et des énergies renouvelables.
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Source : Décontamination du secteur des Grandes-Fourches: Québec verse 13 millions à la Ville de Sherbrooke - SOCIÉTÉ - EstriePlus.com | Journal d'actualité Web | Sherbrooke | Estrie.

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En rappel :
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Il est à noter que la plan directeur de la zone d’innovation (qui se concentrerait principalement sur le redéveloppement de la rive sud du lac des Nations) n’est pas encore en développement. La Ville se disait prête à lancer l’appel d’offres pour sa réalisation en février dernier, mais rien n’a été fait depuis à ma connaissance. La zone d’innovation dans sa formule présentée en 2022 (ci-dessus) est pour ainsi dire plus ou moins sur la glace pour le moment.

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Quelques mises à jour de construction provenant de des caméras de chantier:

Le Centre Mère-Enfant:



https://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&sRef=8RC9XFBS

Le lieu de diffusion jeunesse:


Oplex ont publié des photos du progrès du Novium sur le plateau et de l’Espace Naturia sur leur page Facebook.



J’ai aussi trouvé ce vieux rendu d’un projet de bureaux qui me semble avoir été abandonné. Sur Street View, on peut bien voir où le bâtiment aurait été construit.

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Il y a un incendie dans le centre-ville sur la wellington Sud actuellement. (à suive)

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Le bâtiment a été déclaré perte totale. :frowning:


D’autres articles:


Une autre mauvaise nouvelle datant d’aujourd’hui:

Marc Denault claque la porte de la STS

Le conseiller municipal Marc Denault a annoncé mardi qu’il démissionnait de son poste de président de la Société de transport de Sherbrooke (STS).

éçu d’avoir été laissé de côté en prévision d’une rencontre entre la ministre des Transports et de la Mobilité durable Geneviève Guilbault et la mairesse Évelyne Beaudin, et dans l’incapacité de lui parler dans les dernières heures, M. Denault a choisi «avec beaucoup de peine» de quitter la STS, et par le fait même la présidence de l’Association du transport urbain du Québec (ATUQ).

«De voir ce genre de comportement-là, ça ne rejoint pas mes valeurs. […] C’est un choix déchirant, mais je dois mettre mon pied à terre. Il y a une ligne, et elle a été franchie», a déclaré M. Denault.

Sur place lors de cette annonce, le directeur du cabinet de la mairie, Steve Roy, a pour sa part parlé d’une décision «regrettable» considérant l’apport de M. Denault dans les enjeux de transport collectif. «C’est un malentendu, et je pense que c’est précipité [comme démission]», a-t-il commenté.

«La mairesse fait des rencontres seule, ça arrive à certains moments avec des ministres. M. Denault en a effectué seul lui aussi de son côté. On se tient au courant de nos démarches», a-t-il ajouté.

Président, mais pas invité

M. Denault a soulevé que le directeur général de la STS Patrick Dobson était pourtant convié à cette rencontre, prévue mardi en après-midi. «Si je ne peux pas avoir les coudées franches pour participer à une discussion sur des projets à teneur locale, je me vois mal défendre les intérêts pour l’ensemble du Québec», a déclaré le président démissionnaire en faisant référence au projet de réseau structurant de transport en commun de la STS.

Dans une communication entre M. Denault et M. Roy, ce dernier aurait précisé qu’il souhaitait que le président de la STS «ne porte pas ombre pour aller chercher une certaine crédibilité auprès de la ministre», a déploré M. Denault. Il a aussi précisé qu’il n’était pas judicieux selon lui que la mairie ait «la mainmise sur l’ensemble des dossiers».

«L’ensemble des dossiers ne concernaient pas M. Denault non plus. Mme Guilbaut est vice-première ministre aussi», a souligné Steve Roy en parlant de la rencontre. «Je ne changerais rien dans la façon dont on a abordé le sujet», a-t-il clairement indiqué.

Le directeur du cabinet a tout de même salué la contribution de M. Denault. «Je trouve son travail admirable. […] Il n’y a pas de conflit. Je ne comprends pas…», a-t-il réagi.

La situation survient alors que la mairesse Évelyne Beaudin amorce un retour progressif, elle n’est donc pas encore disponible pour des entrevues, a fait savoir son équipe.

Pour la suite du mandat

Marc Denault conserve tout de même son siège au conseil municipal. Il était impliqué depuis 14 ans comme président ou vice-président de la Société.

Se plaçant comme un modéré à travers les divisions répétées survenues entre indépendants et membres de Sherbrooke Citoyen durant le présent mandant, l’élu du district du Golf n’a pas semblé vouloir changer radicalement de posture. «À la veille des prochaines élections, je pense que le climat va devenir de plus en plus tendu. Je ne veux pas faire partie de l’opposition officielle. […] Je n’ai aucune ambition politique», a-t-il affirmé, rappelant qu’il ne compte pas se représenter en 2025.

Le départ de M. Denault survient après une autre démission au conseil municipal à Sherbrooke. Hélène Dauphinais avait fait de même à l’été 2022 à titre de présidente de la désormais défunte commission des finances.

À titre de vice-présidente de la STS, la conseillère Geneviève La Roche assurera l’intérim pour le moment.

Un défi pour l’ATUQ

Joint par La Tribune, le directeur général de l’ATUQ, Marc-André Varin, estime que le départ de son président représente un «défi logistique», notamment avec l’arrivée prochaine des discussions pour établir le cadre financier du transport collectif avec Québec.

«Marc était passablement impliqué dans tous les différents travaux de l’ATUQ, notamment ceux touchant aux défis du financement», a commenté M. Varin.

«Je l’ai appris ce matin, peu de temps avant que ce soit rendu public, a-t-il continué. On devra se retourner et voir comment on gère ça. À très court terme, la pratique voudrait que notre vice-présidente prenne le relais, mais je laisserai le soin à notre conseil d’administration de décider.»

Marc-André Varin a précisé qu’une nouvelle élection pour le poste de président devait se tenir en avril au sein de son association.

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C’est vraiment triste cet incendie. Il y a déjà beaucoup de terrains vacant sur la Well sud, j’espère qu’il sera remplacé rapidement.

Ce à quoi ressemble le paysage du centre-ville mercredi matin. Le 16, rue Wellington Sud a complètement été détruit.

Le resto-billard Liverpool et le Café Bla-Bla ont été endommagés, mais les pompiers ont réussi à préserver la structure des bâtisses.

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Source : Important incendie au centre-ville de Sherbrooke | Couverture en direct | Radio-Canada Info

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Résumé de quelques projets présentés dans l’arrondissement Fleurimont. C’est des projets présenté au CCU pour approbation final au conseil municipal.

Un 6 logements sur Bowen, la couleur n’est pas définitive. Sur un terrain vacant
6 logements bowen

Projet d’une d’habitation collective de 26 chambres sur Kennedy. Ce n’est pas précisé pour qui (étudiants ou autres) sur un terrain vacant
habitation collective 26 chambres

Un 6 logements sur la rue Conseil, sur un terrain vacant
6 logements conseil

Deux projets de 82 logements identiques sur la 12e av. À côté du projet de 170 logements annoncé dernièrement.
2 82 logements

Projet de 48 logements dans le même secteur. À côté du projet de 134 logements annoncé dernièrement.
48 logements

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Démolition de ce bâtiment abandonné depuis plusieurs années, remplacé par un stationnement… Il devait y avoir des projets de densification dans les stationnements du carrefour de l’Estrie. Finalement y avoir seulement y avoir plus de stationnement pour l’instant on dirait.
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Approbation de ce projet de 17 logements sur la Wellington Sud.
17 logements well

Normalement, je ne m’intéresse pas aux enseignes, mais celle-ci est vraiment intéressante. Dans les nouveaux bureaux sur la Wellington sud. :slight_smile:
UQAC

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