Sherbrooke - Projets et actualités

Lol, j’ai vérifié pour être certain (je me souvenais que le 1 Kennedy N était PIIA 3 et non 1) et je retire le compliment, le terrain vacant sur King E est dans une zone 3 et non pas 1 comme le reste de ses voisins en allant vers l’ouest.

(J’aurais dû vérifier avant de poster, par principe… :P)

Par le plus grand des hasards, j’ai justement rendez-vous avec l’entrepreneur général de ce projet sur place demain matin. Je pourrai demander si c’est le même projet qu’il y a deux ans, ou bien si des choses ont été modifiées depuis. Je suis légèrement curieux moi aussi en fait.

edit: s’il y a quelqu’un ici qui est familier avec le software du forum, dites-moi quel est le problème avec ma citation ci-haut svp… :wink:

Les balises autour du texte cité doivent être sur leur propre ligne. J’ai corrigé ton message!

Le bar le chat noir a annoncé qu’il fermait pour laisser place à un nouveau projet immobilier. Il s’agirait d’un projet mixte avec espace commercial et logements. (à suivre…)

‘‘L’endroit sera transformé en nouveaux locaux et logements, qui remplaceront le bar qui avait pignon sur la rue King Ouest à Sherbrooke.’’

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Le site du Vieux Clocher de Sherbrooke pourrait se réinventer

Par Mia Alexis, La Tribune
3 juin 2025 à 04h00
4 minutes


Le terrain de l’ancien Vieux Clocher de Sherbrooke attend un nouveau projet résidentiel. (Isabelle Pion/Archives La Tribune)

Un bâtiment immobilier d’approximativement 240 logements, un stationnement entièrement intérieur et des espaces verts sur 50 % de son terrain. C’est ce que proposent les nouveaux promoteurs du site du Vieux Clocher Patrick McNamara et Sébastien Beaudette, ainsi que la firme multidisciplinaire associée, Groupe Marchand Architecture & Design inc. (GMAD).


Lundi soir, les nouveaux propriétaires du terrain où s’érigeait autrefois le Vieux Clocher de Sherbrooke ont invité le voisinage à une séance d’information. Ils y ont présenté leur projet résidentiel pour recueillir les rétroactions des citoyens.

L’immeuble d’habitation, intégré dans la montagne et au terrain bien verdi, compterait plusieurs grandeurs de logements, du studio jusqu’au 5 ½.


«Le projet va aussi offrir des loyers pas trop chers, parce que la superficie des logements est moins grande, donc ça permet de diminuer le coût de construction», avance M. McNamara.


Les entrepreneurs Patrick McNamara et Sébastien Beaudette sont les nouveaux propriétaires du 1590, rue Galt Ouest. (Mia Alexis/La Tribune)

Pour les quelque 240 appartements prévus, il y aurait 80 stationnements intérieurs. «C’est exactement ça que la Ville veut dans l’avenir, c’est d’avoir le moins de stationnements possibles parce qu’ils veulent avoir plus d’immeubles verts, des immeubles qui font en sorte que l’on prend plus le vélo, l’autopartage… c’est plus ça que la Ville recherche», a fait comprendre Patrick McNamara.

«C’est une bonne chose en général parce que s’il y a moins de stationnements, ça va encourager les gens à faire du transport actif, du transport collectif, ce qui va probablement améliorer les services. S’il y a plus de gens qui prennent l’autobus, ils vont ajouter des autobus. Ça va être bon pour tout le monde autour», a reconnu un citoyen présent à la séance.

M. McNamara et M. Beaudette ont acquis le site pas plus tard que la semaine dernière, mais les démarches auprès de la Ville ont été lancées il y a environ trois ans. «On était en promesse d’achat avec Mario et Karine [les propriétaires précédents], parce qu’ils nous laissaient le temps de monter notre projet», a expliqué Patrick McNamara.

Ce dernier précise que leur plan a reçu des commentaires favorables de la municipalité. «C’est eux qui nous ont encouragés à faire une rencontre citoyenne parce que les personnes à la [Ville] et les élus aiment vraiment notre projet.»


C’est un projet résidentiel qui prendrait naissance sur l’ancien terrain du Vieux Clocher de Sherbrooke. (Mia Alexis/La Tribune)

Parmi la petite masse citoyenne présente, la vision des entrepreneurs, mise au point par GMAD, semble généralement bien reçue.

«Moi, ce que j’ai entendu à date, c’est quand même positif. Je pense que les gens ont une bonne conscience qu’on a besoin de logements et les gens comprennent que ça [y] répond», a constaté Geneviève La Roche, conseillère municipale du district d’Ascot et présidente du Comité consultatif d’urbanisme central de Sherbrooke.

Joël Kakoherio, propriétaire du salon de coiffure Le Barbü, lequel est voisin du terrain aujourd’hui vacant, anticipe positivement la construction d’un immeuble d’habitation. Par sa proximité, il espère que le projet agrandira sa clientèle.

Un autre citoyen a participé à la rencontre pour avoir une meilleure idée des intentions des nouveaux propriétaires, «parce [qu’il] trouve ça important qu’on ne continue pas à avoir des autos partout et qu’on ne continue pas à développer comme on [l’a déjà fait].»


L’immeuble a été conçu pour s’intégrer convenablement à la montagne. (Mia Alexis/La Tribune)

Les propositions montrées lundi soir ne sont pas encore coulées dans le béton: il manque encore plusieurs étapes d’ici la concrétisation du projet.

Rappelons que l’ancien maître des lieux, [le Vieux Clocher de Sherbrooke, n’est plus depuis le début de l’année 2024.

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J’allais partager ça moi aussi! Très bien comme projet, à première vue.

Beaudette et McNamara font de la haute qualité jusqu’à maintenant, ils ne sont plus là juste pour le “flip”. Leur projet dans la côte de la rue Conseil est vraiment bien en haut de la moyenne. (Ils savent déjà ce que j’en pense, leur ayant déjà dit en personne plus tôt cette année.)

Aussi, la Ville vient de lever le moratoire pour une proportion importante des secteurs touchés, dont le terrain de la Toque Rouge

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En construction pas loin de l’intersection King Est / 8e avenue. C’était un terrain vacant, je ne sais pas combien il y a de logements en tout.

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Autre questionnaire consultatif pour le projet coin Galt/Courcelette. Il semblerait que le projet s’appelle “Écoquartier Galt-sur-le-Lac”.

Le questionnaire comporte plusieurs croquis préliminaires pour divers scénarios d’aménagement. L’option avec la plus haute densité compte une tour de 21 étages.



Le lien : https://shorturl.at/j6pFB

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(Building en construction sur la 8e Avenue Nord)
Le zonage permet jusqu’à 14 logements là… d’habitude, tant qu’à construire du neuf, on va vouloir aller chercher le max, mais dans ce cas, il y avait sûrement des contraintes (max d’étages, 3, max d’occupation du sol, 65% de la surface du terrain; le terrain n’est pas énorme non plus).

À première vue, ça semble être un 6-8 logements, il n’y a aucun panneau qui parle du projet un peu…?

Levée du moratoire : un projet de 121 logements relancé à Sherbrooke

IMMOBILIER. La levée du moratoire dans sept secteurs du périmètre urbain pousse un souffle de soulagement chez certains promoteurs, dont la Coopérative d’habitation des Cantons de l’Est, qui pourra enclencher les étapes finales de son projet de 121 logements sur la rue Belvédère Sud.

Situé sur le site actuel de La Toque Rouge, ce projet, dont la construction était initialement prévue en mars dernier, a connu un certain retard, notamment en raison du moratoire, mais aussi de quelques ajustements que la Coopérative a dû apporter aux plans.

« On a pris un peu de retard pour de multiples raisons, dont la livraison de nos plans avec les demandes du service de l’urbanisme a été plus longue. Il n’y avait pas d’énormes modifications, mais on a dû changer l’entrée, en plus de répondre à certains critères du service des incendies », explique le directeur général de la Coopérative d’habitation des Cantons de l’Est, Philippe Grenier.

La Coopérative a également revu certains éléments architecturaux afin d’atténuer l’impact visuel du bâtiment. « On a enlevé un logement pour aménager un toit-terrasse, de façon à ce que, lorsqu’on arrive par Belvédère, il y ait un étage de moins en façade, ce qui diminue l’effet de masse », précise M. Grenier.

Le projet actuel prévoit la construction de trois bâtiments, dont un de 73 logements, séparés en cinq étages (un étage de stationnement sous-terrain), ainsi que deux bâtiments de 24 logements en trois étages en façade et quatre étages à l’arrière.

Le moratoire est derrière

Si tout se déroule comme prévu, Philippe Grenier croit possible de lancer les travaux dès l’automne prochain, avec une livraison entre 18 et 34 mois plus tard. Au final, le moratoire n’a pas causé de grands délais, selon M. Grenier, mais il se dit tout de même soulagé qu’il soit désormais chose du passé dans ce secteur.

« On a été retardés dans notre passage au CCU central à cause du moratoire. C’est à ce niveau-là qu’on a été touchés. Mais on est vraiment soulagés. Même si nous n’avions pas d’autres projets touchés, celui-ci est important pour nous et pour la crise du logement abordable », souligne-t-il, ajoutant qu’il aurait été prêt à déposer une demande de permis de construction sans ces délais.

À l’heure actuelle, seule la recommandation du CCU central reste à obtenir pour que le projet soit présenté aux élus en vue d’une adoption.

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