From what I understand they just need an engineer to approve it, it’s not really about making sure it follows the standards (obviously that’s the goal but an engineer could miss this), which is why things can be so inconsistent
Well that surely explains what leads to our inconsistencies… That just seems quite silly. If they don’t want to follow provincial markings constantly, just create a city-wide standard like NYC and make engineers strictly follow that instead. It’ll lead to cost reduction in the long-run too.
The crossing are probably yellow on the engineer approuved plans, but the person responsable of painting them chose the wrong colour.
Usually, it is the subcontractor that does the paint job after big road works.
The EESM team wouldn’t have painted them white.
When there was a crosswalk being painted near the REM, it was going into grass and without a curb or ramp. When it was being marked out, I emailed and asked if the crosswalk would be painted because it’s going into nothing, they said it wouldn’t, but then I saw it being actively painted. I emailed again, and I talked with them as they were painting it, and they stopped mid job and then removed it…
I don’t know how this type of miscommunication can happen so often.
Another example is on rue de Verdun, where they had to do some corrections to the newer bike path. They removed the lines and painted new ones but didn’t get approval and were stopped by the police. They eventually continued but because they did it two weeks before it snowed, the fresh paint was removed first and is nonexistent in that single block now
Je pensais que les chaussées désignées/ voies partagées comme la rue de Rouen étaient des vélorues! Je ne suis même pas capable de trouver la signification de la pancarte avec la petite auto et le petit vélo. Il y a pas mal de confusion!
Au Vermont, c’est simple, dans des cas similaires, il y a un pictogramme et en bas, il est marqué “bikes may use full lane”.
Ça serait le fun que tous les concepts de rues partagées soient unifiés ou très bien expliquées pour qu’il y ait moins de confusion et que tous les usagers comprennent ce que ça veut dire.
En parlant des vélorues, je viens d’être accroché·e par un char sur une vélorue. J’étais au milieu de la voie et le chauffeur m’a dépassé en roulant dans la voie cyclable de l’autre côté. J’ai crié et il m’a fait un geste grossier par la fenêtre. Et immédiatement après cette dangereuse manœuvre, il a dû s’arrêter dans une file de voitures qui attendaient à l’intersection…
(Je n’étais pas blessé·e, son miroir a accroché mon sac suspendu à mon guidon. Le laitue a subi des contusions mineures.)
Ajout: diagram
c’est fachant!
C’est plus que fâchant, c’est une incivilité dégueulasse qui aurait pu blesser gravement. Cette manœuvre est interdite par le code de la route avec raison!
C’est ce genre de manœuvre qui fait abandonner le vélo par plusieurs personnes. J’espère que tu t’en remets bien @une.abeille
C’est drôle, ma conjointe m’en parlait justement hier : elle s’est faite frôler sur la vélo rue de Mentana. Mais elle a été rejoindre le gars qui naturellement est resté au feu rouge et l’a invectivé.
The same thing happened to me last year, I used my arm to block them from passing and they shouted at me as I dropped my Bixi off, but I just acted like they didn’t exist and walked away to annoy them even more
Si jamais je me fais frôler de la sorte, je poursuis la voiture et je casse son miroir.
Hier soir vers 19h30 je traversais la partie est de l’avenue du Parc-Lafontaine avec ma conjointe, dans une traverse piétonne bien marquée, quand un VUS BMW nous a coupé la piste à haute vitesse. Rendu au terre-plein central, j’ai vu un autre VUS (une Audi cette fois) rouler assez vite vers nous dans la partie ouest de l’avenue, alors on a tous les deux fait signe de la main et j’ai fait un signe « stop ». Le conducteur a fini par s’arrêter, on a poursuivi notre chemin, mais une fois rendu sur le trottoir, le conducteur a klaxonné. J’ai regardé derrière moi et j’ai eu droit a deux doigts d’honneur.
Tout ça pour avoir traversé dans un passage piéton clairement indiqué par de la peinture jaune et plusieurs grands panneaux.
En rentrant tantôt dans Ville Mont-Royal, ma conjointe et moi traversions un marquage piéton jaune avec pancarte de priorité piéton.
Le premier automobiliste arrive à vive allure, n’arrête pas et klaxonne en gueulant.
Le second juste derrière, nous gueule dessus “fais ton stop”.
J’ai encore mal à la gorge à force de lui avoir gueuler dessus “tu connais pas le code de la route”.
Le 3eme arrête et nous fais signe gentiment de la main de passer.
L’automobiliste derrière lui klaxonne.
On fait quoi avec ça???
Je vais commuer par vélo cette semaine et à cause des incidents récents (dont certains n’ont pas été publiés ici parce que la police était impliquée) je planifie de porter mon GoPro. Je trouve que quand je le porte les automobilistes sont beaucoup plus prudent·e·s, et si non, j’ai de preuve vidéo.
Je me fais beaucoup plus respecté quand j’ai un veston ou une cravate.
Fais l’essaie et tu verras, c’est magique!
Malheureusement mon apparence est trop alt pour être respecté par l’automobiliste moyen, même si j’ajoute une cravate.
Depuis l’hiver, mes mauvaises expériences ont diminués, c’est peut-être une fois par semaine que je passe vraiment proche de quelque chose de grave, mais entre août et novembre passé, c’était pratiquement tous les jours et c’est exactement ce que j’ai fait, j’ai porté une gopro pour la fois où je me ferai ramasser.
les pires journées : les jeudis et vendredis de novembre. Impatience, journées plus courtes et approche de la fin de semaine.
Chemin Lucerne à Ville Mont-Royal
Large et parfaitement droit, le chemin Lucerne file pendant 1,5 kilomètre de la rue Jean-Talon à l’autoroute 40. On y trouve peu d’arrêts obligatoires : l’axe scinde ce quartier résidentiel, sans offrir d’occasion pour les piétons et les cyclistes de le traverser de façon sûre à plusieurs intersections.
Installé par la municipalité il y a plusieurs années, un radar pédagogique mesure l’ampleur du problème : il affiche régulièrement des lectures de 60 à 70 km/h sur le chemin Lucerne, où la limite est de 40 km/h, déplore M. Cassis, qui est père de deux enfants.
M. Cassis a lancé une pétition en ligne le mois dernier, signée jusqu’ici par 194 personnes. Les citoyens demandent que l’axe routier soit doté d’une piste cyclable protégée par des balises flexibles, de saillies de trottoir modulaires, de dos d’âne, d’îlots centraux temporaires et de refuges piétons amovibles. Ils demandent aussi la levée de l’interdiction de stationnement aux heures de pointe, ce qui avait pour effet de réduire la largeur de la rue et d’apaiser la vitesse adoptée par les automobilistes.