Le Lafleur sur Sainte-Catherine devient indépendent et se nomme Mont Hot-Dog Poutine Réal.
Je suis allé souper là ce mercredi et un itinérant est venu se coucher devant la porte pendant qu’on soupait. On est passé sur la rue St Dominique en sortant, assez glauque.
Belle expérience overall. Le nouveau local est beau, mais le changement de localisation ne me paraît pas un upgrade du tout.
Il y a maintenant un ruban informatif le long de la clôture renfermant le terrain vague en face du Forum sur Sainte-Catherine. Il décrit vaguement des terrains verts et un plan particulier d’urbanisme pour le secteur.
(Note: il se peut que ce ne soit pas le bon fil pour cette photo, svp déplacer ce message au besoin!)
I walked along the street between Promenades Cathédrale and Place-des-Arts yesterday and I gotta say, it’s a hit or miss at best.
The pavement in the middle of the street is already cracked in numerous spots, the added greenery while in theory a good idea feels more like an afterthought. The facades of most buildings is in dire need of renovations or should be torn down to make way for new developments.
It was packed with people for sure and it was nice to see busy terraces and line-ups in front of restaurants, but the city could have done much better to rebuild the street. I’m starting to understand what “architecture jetable” means.
In my opinion, I think the renovation was a success, for reasons that you mention. It is expected and ok for it to crack and chip at certain spots, just like normal sidewalks and roads would with use. The advantage here is that you can easily exchange individual pavers and maintain a clean modern appearance, as opposed to asphalt that you have to patch.
As for quality, I think they struck a good balance between quality and affordability. Considering the scale of work being done downtown, using granite pavers for such a large scale project would have been too expensive. I do like that they use granite for some benches and in parks.
The quality is on par with other cities (in north america), for example New York city only uses concrete or asphalt pavers as well, and granite is reserved for historic districts or plazas: https://www.nycstreetdesign.info/material/sidewalks
Je suis d’accord, mais le plus gros problème n’est pas la qualité, qui est plutôt à la hauteur. C’est la démarcation floue entre l’espace réservé aux voitures et l’espace réservé aux piétons. Il y a tout simplement trop de voitures garées sur le trottoir (dans des zones où il n’est pas seulement interdit de se stationner, mais aussi de s’arrêter). Entre Phillips Square et Bleury il y a généralement une rangée de voitures stationnées, presque comme une rue normale. Pour la rue principale du centre-ville, c’est inacceptable et désordonné.
Parce qu’on envoi tout notre granite aux États-Unis. On a d’énormes ressources, et si on décidait d’en utiliser dans tous nos grands projets, le prix baisserait enfin.
Mais pour l’instant, on est toujours pris entre deux grosses commandes étrangères, ce qui fait beaucoup monter les prix. Il n’y a pas la masse critique.
D’ouest en Est :
Succursale Mr Pretzel dans le secteur de Concordia (1841 rue Saint-Catherine O) - à ma connaissance leur seul point de vente qui n’est pas dans un centre commercial.
Dans l’ancien Seoul Chako, “B12 Burger”
Superbe transformation des anciens locaux occupés par Swatch, voir avant après :
Nouvel emplacement de Swarovski coin Mc Gill College :
C’est vraiment beau, toute une amélioration de façade par rapport à celle du Swatch!
C’est Swatch qui a aménagé la rampe d’accès
Ce n’était pas ainsi quand c’était un magasin Bedo en 2014
@Martin : t’aurais pas une vieille photo de ce bâtiment au coin sud-est de Sainte-Catherine/de la Montagne?
Selon le rôle foncier, le bâtiment du 1254-1256 aurait été construit vers 1885
J’ai trouvé un truc daté de 1983
La photo avant
Bedo que de souvenirs. J’ai inauguré le magasin de la Place Versailles en 1988 …. je crois . Ouffffff
Je me demande pourquoi la ville n’a pas requis la restauration de la marquise, qui actuellement n’est qu’un bande de tôle…
La ville ne peut jamais demander de travaux non prévus par le requérant.
Dans ce cas-ci, le projet était la vitrine. La ville a donc exigé un retour aux composantes d’origine pour cette portion du bâtiment.
Si les travaux touchaient l’ensemble de la façade, le couronnement ou la toiture, la ville aurait pu demander le retour de la corniche d’origine.
La réglementation devrait être modifiée pour forcer ce genre d’invention lorsque nécessaire. Ici on refaisait l’entrée et restaurant la composante patrimoniale. Alors pourquoi ne pas aussi avoir pousser pour avoir la corniche. Je sais que la ville ne peut pas ‘‘forcer’’ de travaux, sauf qu’ici c’était l’occasion parfaite de le faire.
Est-ce qu’en échange, la ville n’aurait telle pas pu offrir une dérogation en matière d’affichage ou d’éclairage? Oui on s’envient dans le cas par cas, mais lorsqu’on fait affaire avec un bâtiment patrimonial, ça serait bien que la ville pousse plus les promoteurs à en faire davantage, en échange de ‘‘réduction’’ de certains restrictions.
Si on veut pousser les propriétaires à restauré leur bâtiment et redonner les lettres de noblesse à la Ste-Catherine, on va devoir y aller plus avec la carotte que le bâton. Si on n’explore pas cette avenue, on va continuer d’avoir du strict minimum. On va jamais refaire cette corniche à moins qu’un jour on découvre des failles dans le parement et qu’on doivent le réparer… donc allo la tôle ondulée pour encore plusieurs décénnies…
Honnêtement, on s’en va plutôt dans le sens contraire.
C’était le fantasme des premiers règlements de retour aux composantes d’origine dans les années début 2000, mais la réalité c’est que ça coûte une fortune. Si on commence à forcer des trucs comme ça, les gens vont simplement laisser les bâtiments se détériorer et ne toucher à rien.
La conclusion des récentes analyses est qu’il est plus avantageux de contrôler au fil des travaux normaux d’entretien que de forcer les choses.
Une des réalités, c’est que les éléments ne se renouvellent pas tous à la même vitesse. Les ouvertures c’est souvent aux 15 ans, la toiture aux 20-30, le revêtement de façade au 50 ans… Dans une logique de développement durable, la ville ne peut pas forcer le remplacement de choses encore bonnes. Évidemment qu’on préférerait tous la corniche d’origine, mais la tôle actuelle est propre et fait son travail de couronnement. On vient de gagner un magnifique rez-de-chaussée commercial, c’était déjà beaucoup! La corniche viendra. Je ne connais pas le détail dans Ville-Marie, mais souvent une réfection de la toiture implique l’obligation du retour de la corniche. Ça ne devrait pas être si long.
Ajout: mais je serais pour des subventions pour les travaux de retour aux composantes d’origine pour accélérer. Il y en a déjà eu, et c’est quand même courant ailleurs dans le monde.
Je rêve d’une restauration de ce genre sur l’édifice au coin McGill et Notre-Dame
J’ai déjà profité de ce genre de subvention en 2011 pour mon duplex. En fait, pour la petite histoire, j’avais été plus exigeant que ce que l’arrondissement me demandait. Exemples:
1- Ils exigeaient des vitres de porte de 48", mais j’ai mis 54" car c’est ça ce qui était fait dans temps.
2- Pour les allèges, ils acceptaient le béton en 2011 sur le Plateau. J’ai mis de la Saint-Marc bouchardée.
Est-il possible d’acheter de la pierre des carrières de Saint-Isidore, Saint-Constant ou Saint-Jacques-le-Mineur ? Elles sont dans la même formation que les carrières ayant produit la traditionnelle pierre grise de Montréal. La carrière de Saint-Marc-des-Carrières est dans une formation qui est absente dans la région de Montréal et qui se rattache historiquement davantage aux bâtiments de Québec et de son hinterland.